[EVENT] La chasse à l'homme !

[Taille Tallgott]

Bon, moi qui m’attendais à me retrouver dehors, voilà que je me trouve dans une autre pièce… Là même, mais sans eau. Cette baraque est bizarre quand même… Je jette un coup d’œil rapide, très bien cette pièce est vide de chez vide, rien d’intéressant, le reste de mes sapes n’est pas ici, sûr de sûr.

— Qu’est-ce que je fais là moi ?

Puis je me sens stresser, c’est une sensation que je ne contrôle pas, qui n’est pas normale pourtant je n’ai rien fait pour être stressé. Puis cette sensation de faire du vacarme, beaucoup trop de bruit…
De toute manière je ne vais pas m’arrêter ici comme un abruti ou bien me cacher, recroquevillé dans un coin de mur. Ça serait encore plus ridicule que de rester là à regarder cette porte en face de moi, surtout avec mon air ahuri.

N’empêche que j’ai tellement cette impression de faire une grosse connerie, comme quand je volais des bouteilles dans la cave du voisin pour aller les siffler en cachette avec mes frangins. D’une façon ou d’une autre on finissait toujours par se faire choper.
Allons, en tout cas il faut bien avancer. Donc je me lance et je franchis les quelques mètres qui me sépare de cette porte rafistolée et je passe dans l’autre pièce. Cette fois je m’en tape si on voit mon engin de toute façon je suis dans un rêve ou quelque chose du genre.

— De l’eau qui s’écoule sous une sortie et disparait quand je l’ai passé, sérieusement ça ne tient pas debout…

[Dokhara de Soya]

La porte avait grincé comme pas permis, un bruit strident insupportable qui avait glacé le sang de Dokhara alors qu'elle la poussait. Elle qui voulait éviter d'attirer l'attention ! Mais trop tard pour reculer : elle préféra limiter au maximum la durée du bruit en ouvrant violemment la porte, plutôt qu'à le laisser s'étirer sur de longues secondes en tentant d'y aller plus lentement.

La nouvelle pièce dans laquelle elle était arrivée possédait trois sorties, en comptant celle d'où elle venait. Après la statue de femme en prière, voici désormais la figurine de licorne en verre, le tapis représentant une carte inconnue, et la porte aux visages métalliques terrifiants.

Mais où je suis tombée, bon sang ?

L'architecture n'avait aucun sens. Si on l'avait droguée et abandonnée ici, quel en était l'objectif ? Dans le meilleur des cas, elle était dans un genre de... temple souterrain ? Dans le pire... non, mieux valait ne pas penser au pire.

Et ces visages putain. C'est quoi le problème avec cette porte ? Quel espèce de sinistre barjo s'amuse à modeler des faciès aussi réalistes dans du métal ? En temps normal, Dokhara aurait pu apprécier la peur qu'inspiraient ces vilaines tronches, la qualité de l'illusion d'optique qui offrait au spectateur l'impression horrifiante d'être vraiment observé par ces pupilles métalliques. Mais là tout de suite, son esprit apeuré était incapable de se convaincre que ces yeux qui l'observaient n'étaient que le fruit de son imagination - non, il y avait ce risque qu'une obscure magie soit à l’œuvre, et que quelque chose s'amusait à se délecter de sa terreur.

Attends, c'était quoi ça ?

Elle aurait juré avoir entendu un bruit au loin. Derrière elle, de là où elle venait. La chose qui grognait la suivait, c'était sur. Ça avait entendu le bruit de la porte qui grince, et ça la traquait. Les visages lui disaient où aller, ils la suivent du regard, et leurs bouches figées riaient de ses tourments prochains.

Prise d'une pulsion, Dokhara se saisit de la figurine de licorne, puis fit semblant de revenir sur ses pas en courant. Mais juste avant de reprendre la porte qu'elle avait laissée ouverte, elle se colla au nord de la paroi ouest, son arme improvisée dans sa main levée, hors de portée du regard inquisiteur des visages métalliques grâce au battant de porte ouvert, mais bien capable d'attaquer par surprise tout kidnappeur un peu trop sur de lui. Contrôlant tant bien que mal sa respiration saccadée et les tremblements dans ses bras, les mâchoires si serrées que c'en était douloureux, Dokhara resta cachée ainsi, à l'affut de tout ennemi, prête à lui éclater sa statuette au visage - pour peu qu'il en ait un.

Début du Tour 3 : BRUIT 3 - FATIGUE 0 - STRESS 4 Actions réalisées : 1) Se cacher : -3 bruit, +1 stress PS : je suis consciente que la figurine n'a aucun rôle de gameplay ici, mais ça m'amuse de la prendre Puisqu'il n'y a pas de meuble pour me cacher, j'ai improvisé, mais je reste bel et bien dans la pièce à me planquer en embuscade d'un ennemi que la panique a fait imaginer à Dokhara. Fin du Tour 3 : BRUIT 0 - FATIGUE 0 - STRESS 5

[Raël Khem]

Jusque là tout allait bien, à peu près. Alors oui certes il y avait eu la phase de fouille dans les ordures, mais c'était tolérable en un sens, non? Personne ne le voyait, personne n'était là pour le juger. Le calme. Puis ce couloir aussi en un sens n'était pas *si* horrible, une allée de pierres froides et sombres mais silencieuses, qui se moquait éperdument de ceux qui la passerait.

Pui vint cette chose. Cette créature idiote et ennuyeuse qui se faisait appeler "femme". Et quelle femme d'ailleurs: dévêtue, féline dans son attitude et pâle comme la mort. Non mais vraiment pâle, du style pâle comme la plante des pieds d'un eunuque de harem. Au départ cependant tout partait plutôt bien: affable, belles courbes, gros seins. Non mais le premier était pas mal. La suite par contre… Comment une créature si petite pouvait produire autant de sons agaçants et bondir aussi vite?! Elle était partout, mettant ses gros doigts froids entre les tissus précieux, les bandelettes attachées et la maille.

-"Mais... Mais assez… Assez femme! ASSEZ!"

Rien n'y faisait! Elle continuait à bondir comme une puce autour de lui, débitant des propos incohérents avec une joie délirante. Cette fille avait perdu la raison, elle était folle à lier, c'était la seule explication possible. La raison ne lui était plus accessible, pas plus que la sagesse, il allait falloir faire abstraction d'elle quelques temps.
Le Scythien s'aperçut alors des traces de brûlé sous la porte à sa gauche. Etrange. Un bras de porte calciné mais seulement le bas… S'il y avait eu un feu c'est tout la porte qui aurait pris et pas seulement la partie basse. Et si les flammes venaient du bas? Et si… Ah mais quelle chieuse… Mais si… Si… Il craqua et hurla de son plus bel accent arabéen le plus prononcé.

-"PAR PTRA TU GOÛTERAS A MA CHAUSSURE!"

Saisissant sa sandale dure, Raël se mit à frapper comme un sourd sur sa vis-à-vis jusqu'à la dégager suffisamment pour l'éjecter d'un coup de pied dans le buste vers la porte. Elle allait peut-être servir à quelque chose finalement!

Je balance Lucy sur la porte pour vérifier si elle est piégée. Si l'action est trop lointaine pour être faite à ce tour je prendrai le tour suivant également pour le faire.

[Faust Valdorf]

S’il y avait bien une chose dont le sorcier pouvait désormais être sûr, c’est que ce dédale ne faisait absolument aucun sens. Ici, finis la poussière et les tentacules : il était temps pour le jeune homme de dire bonjour au sable chaud et aux arbres tordus, même s’il devait bien avouer que ce changement soudain de décor ne lui déplaisait pas forcément. La présence d’autant de runes avait au moins le mérite de le rassurer : malgré l’utilisation d’un magikane bien trop archaïque pour qu’il ne qu’il puisse le déchiffrer efficacement, il pouvait toujours se rattacher à ces symboles, se dire qu’il y avait une chose qu’il pouvait malgré tout identifier dans ce foutu labyrinthe. Sans doute que l’absence de monstre devait aussi bien aider, mais l’Altdorfer se sentait véritablement plus en sécurité que dans la précédente pièce.

Il souffla un bon coup, avant de passer la main sur son dos endolori. Tant qu’à faire, mieux valait profiter de ce moment de calme pour évaluer l’état de ses blessures. Soulevant légèrement le haillon qui lui servait de tunique (remerciant au passage ses ravisseurs pour ne pas l’avoir laissé complètement nu), il jeta un petit coup d’œil vers l’arrière de son anatomie, tentant tant bien que mal de se contorsionner pour obtenir une vision décente de la zone. À vue de nez, le tentacule ne l’avait pas tant amoché que ça : mis à part quelques hématomes de taille assez monstrueuse, ainsi qu’une ou deux coupures ici et là, il avait à priori eu plus de peur que de mal. Néanmoins, le jeune homme était prêt à parier qu’il ne s’en tirerait sans doute pas aussi bien s’il était amené à retomber sur l’une de ces choses… ce qui allait peut-être arriver plus tôt que prévu.

Il entendait du bruit dans les environs. Et il ne parlait pas de ses grognements de douleur. Des raclements, des échos, au milieu desquels il lui parût même distinguer des paroles se perdant jusqu’à lui : tout provenait de cette porte noire ouverte et à laquelle il n’avait pas prêté attention en entrant, occupé qu’il était à vérifier ses blessures. Quelqu’un était déjà passé par là, cela ne faisait pas de doute. Et qui que soit cette personne, elle se trouvait probablement encore dans le corridor qui lui faisait désormais face. Alors quoi ? Pouvait-il vraiment risquer de foncer tête baissée vers l’inconnu ? La curiosité l’appelait comme une sirène, mais il lui était impossible de savoir si les voix qu’il semblait distinguer n’étaient pas le simple fruit de son imagination, ou pire, d’abominations cherchant à le berner une nouvelle fois. Puis jeter un coup d’œil à ses inscriptions qui serpentaient dans toute la pièce était également tentant : avec ou sans pouvoir, Faust restait un Magister, et tout ce qui touchait à la magie attirait nécessairement son attention. À moins que cette salle aussi ne soit piégée ? L’indécision le faisait souffrir plus violemment que n’importe laquelle de ses plaies. Que faire, que faire, que faire ?

Et puis une ombre passa devant lui. La porte qu’il avait refermée s’ouvrit dans un claquement prononcé, et avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, une grande silhouette élancée le frôla, s’engouffrant dans le couloir à la manière d’une brise d’été. Il dut cligner des yeux une ou deux pour bien réaliser ce qu’il venait de se passer, bloqué dans une surprise sourde pendant une petite dizaine de secondes. Puis son corps bougea sans trop qu’il ne le demande, comme porté par un réflexe. Il n’avait aucune idée de qui pouvait bien être cette personne, mais s’il elle avait voulu prendre sa vie, il n’aurait pas été là à se tenir comme un idiot au milieu de la pièce, penaud, mais bien vivant. Elle venait tout simplement de lui apporter la preuve qu’il n’était pas seul ici. S’il n’y avait, ne serait-ce qu’une chance infime que quelqu’un puisse l’aider à sortir, et qu’il puisse l’assister en retour, alors il ne devait en aucun cas la laisser filer. Prenant son courage à deux mains, il s’élança donc également vers le corridor, bien décidé à découvrir l’identité de ce passant autant que l’origine des sons lui parvenant.

Déplacement vers le corridor derrière la porte noire, j'utilise pas ma deuxième action o7

[Martin de Mavignon]

Martin s'était avancé via l'accès et avait poursuivit son chemin, se lançant dans ce qui ressemblait à un immense dédale de boyaux sans fin à l'allure sinistre et qui ne donnaient clairement aucune envie que de rester dans ce genre d'endroit, sauf si l'on avait un esprit tordu. Notre bon chevalier ignorait tout de cette place où de comment il y avait atterris mais il ne comptait pas rester ici plus longtemps, foi de Mavignon !

Remarquant une brève ombre qui l'inquiéta encore plus, la vision d'un autre homme à l'autre bout du couloir n'inspira aucune confiance au chevalier errant, mais vu sa stature et son air hagard, Martin comprit bien vite qu'il était plus que probable que le bougre soit dans la même situation que lui. Qu'était-ce kà que donc ? Une sorte de jeu fou ? Guère le temps de plus penser que le chevalier errant sans un mot inspecta le couloir pour être sûr qu'aucune machination digne d'un ork ne s'y trouverait et lui trouerait la peau de manière bien peu glorieuse.

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Tour 3 : BRUIT 4 - FATIGUE 0 - STRESS 7

Action :
- Recherche de potentiel piège dans le couloir

[Theodoric Hohenjager]

La main serrée sur cette sarbacane, piètre défense face à l'agresseur, le roublard se tourna vers le nouvel arrivant, le regardant avec une intensité à la limite de l'affront et se contenta de maugréer un piètre...

b'jour...vous m'avez l'air d'être tombé dans le même traquenard que moi, vous...

il guettait le moindre signe d'agressivité, prêt à lancer une attaque dévastatrice avec son microscopique flutieau si l'autre avait l'intention de montrer le moindre signe d'animosité...

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HRP : du coup, repos...

[Goraxul]

Rien, il n’y avait rien qui pourrait être utile aux deux guerriers dans ces pièces froides et humides. Pas le moindre couteau ou pic qui aurait été utilisé pour se frayer un chemin dans la pierre ou pas la moindre pierre précieuse derrière le grand rideau saupoudré d’étoile. Le Kurgan entendait des voix humaines aux alentours de leur cachot. Déjà que le brouhaha de leur recherche était fort, il ne souhaitait pas attirer les foudres de ces quelques capteurs. Il décida donc de profiter de ce moment pour observer encore plus longuement les constellations. Mais intérieurement, il priait, il communiait avec l’Architecte. Il sondait son esprit dans l’espoir qu’une révélation lui montre le chemin vers la liberté. Cette porte qui dans son imaginaire était une grande porte massive en fer, verrouillée à double, non, triple tour, donnant sur une terre désolé ou une caverne encore plus sombre et plus dangereuse. Un filet de lumière tamisé dans une atmosphère poussiéreuse. Chaque particule de poussière scintillante comme une des étoiles sur le rideau devant lui. L’odeur de moisi du tissu l’assaillit une seconde. L'arôme subtil et le rappel direct que le grand-père allait l’aider.

Fin tour 2, Bruit 4, Fatigue 0, Stress 7

Tour 3, Action 1, Se cacher. Bruit -3, Fatigue -1, Stress +1

Fin tour 3, Bruit 1, Fatigue 0, Stress 8

[Gorgut Grimzog]

tour 3 : BRUIT 5 - FATIGUE 0 - STRESS 4
En pénétrant « doucement » dans la pièce, Gorgut peut voir une fissure déchiquetée d’un pied de large qui s’étale au sol sur toute la largeur de cette vaste salle de douze mètres sur huit orientée nord-sud. De son côté de la fissure, il y a, en plus de la porte qu’il vient de franchir et qui se trouve au sud du mur ouest, deux arcades qui mènent vers des porches étroits aménagés dans le coin sud du mur est, donc en face de l’orque, et au milieu du mur ouest, chacun abritant une porte. Une troisième porte se situe dans le mur nord. D'épais rideaux rouges pendent du plafond et masquent le reste des murs de manière à ce que seules les portes et ouvertures soient visibles. La partie du rideau qui couvre le mur sud est déchirée et tachée en de nombreux endroits proches du sol.

Bordel. Quitter une salle pourrie pour une salle moisie... Des rideaux partout, un trou au milieu, et des portes dans tous les coins. Pas un objet, pas un meuble, pas une personne à dépouiller ou à cogner. Pourtant, cette salle, aussi vide qu'elle semblait être, l'Orque Noir ne la sentait pas. Non pas que ça fouettait le renfermé hein, juste que... Cette salle était bien trop vide à son goût... Et un côté bien trop tâché...

Tu te réveilles en pagne, dans un donjon pété, sans tes joujous, sans personne à éclater, donc déjà, t'es bien chauffé pour fumer le premier truc qui passe, MAIS EN PLUS, au vu de la gueule du coin, tu dois adopter toutes ces conneries de précautions, de discrétion et de patience, QUI NE SONT QUE DES SALOPERIES DE TRUC DE GOB' !!!

Mais malgré l'envie de Gorgut de se barrer directement vers la porte la plus proche, au vue de l’inintérêt évident de cette pièce, il se décida quand même à se déplacer avec "prudence", ses sens aux aguets, prêt à réagir au moindre mouvement.

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Tour 3 : BRUIT 5 - FATIGUE 0 - STRESS 4 Actions réalisées : 1) Recherche de pièges 2) Ouverture de la Porte au milieu du mur ouest / Déplacement normal vers l'Ouest Tour 4 : BRUIT 6 - FATIGUE 0 - STRESS 7

[Alicia]

Mutant. Hérétique. Démon.

Pour peu, l'inquisitrice se serait emparée de l'arme pour ensuite charger l'horreur qui lui faisait face, criant quelque chose comme ''Sigmar Vult !!!''.

Mais c'eut été contre productif. Déjà ce machin était plus grand, plus gros, et sans doute plus fort. Pas forcement plus malin par contre. C'était déjà ça.

Surmontant l'absolue répugnance qu'elle avait pour ce.... cette chose, elle essaya de la regarder sans trop afficher son mépris et sa haine envers.... ça.

Votre offre.... Mérite d'être.... Considérée....

''Tu es nue, avec une arme trop lourde pour toi, et cette abomination ne ferait qu'une bouchée de ce que tu es. Calmes toi. Regarde la situation avec pragmatisme. Privilégie le long terme.''

Votre existence même est une abomination, et il est de mon devoir d'y mettre un terme. Vous purger par le feu et l'acier serait bienvenu, immonde pourceau d'hérétique..... Mais Sigmar nous enseigne que la victoire des justes est inéluctable. Vous laisser vivre aujourd'hui serait... acceptable, pourvu que nous puissions purger les damnés qui nous ont jetée ici.

''Fais un effort pour mettre moins de répugnance dans ta voix. Après tout, il s'est montré extrêmement courtois pour une horreur des égouts.''

Collaborer avec vous, pour un temps, ne constitue pas une hérésie. Après une petite pause, elle poursuivit la discussion. Qu'y avait il, de là d'où vous veniez ? Pour ma part, il y avait trois portes et....... Que diriez vous d'aller par là ? Aussi... Arrêtez de regarder ma poitrine et passez devant.

Elle tremperait le fer dans la chair de cet être une autre fois. Une fois dehors. Ou pas. Cela dépendrait de comment il se comporterait par la suite. Et s'il cessait de la regarder à la dérobée. Elle n'avait certes qu'une toile miteuse pour la couvrir mais ça n'était pas une raison pour autant.... Et surtout elle portait une grosse épée à deux mains. Une raisons supplémentaire pour inciter le.... "machin", à se comporter correctement.

[Alessio Strauss]

Quelle montagne de muscle, notre jeune mage en resta limité bouche bée. Par réflexe, il brandit sa rondache devant lui, protection qui lui semblait dérisoire face à ce géant blond.

Attention, je suis armé !

Se rendant compte du ridicule de sa tirade, notre mage, qui se sentait aussi nu qu'un ver sans sa magie, tenta de se calmer. Cet homme paraissait aussi perdu que lui, et Alessio avait bien remarqué son réflexe de prendre son arme, absente, il était donc dans la même situation que lui, peut-être pourrait-ils s'entendre.

Je ne sais pas qui vous êtes, mais il semble que nous soyons tout les deux dans la même galère, pourquoi ne pas s'entraider ? Ensemble nous pourrons surement sortir de ce trou.

Le mage regarda l'homme d'un œil interrogateur avant de continuer.

D'où je viens, il semblerait que la seule issue soie marquée comme dangereuse, et il semblerait que vous ayez été gâté dans votre salle. Qu'en est-il de cette porte ô combien pourrie ? Savez-vous où elle mène ?

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Tour 2 :BRUIT 4 - FATIGUE 1 - STRESS 2

Actions réalisées :
1) Action de repos