Sexe: Trois fois par semaine
Age: 20 ans
Race: Humain
Carrière: Chevalier errant
Lieu/ville de départ: Oisillon, Gisoreux
Fréquence de jeu: Variable
Profil: FOR 8 / END 8 / HAB 8 / CHA 10 / INT 8 / INI 8 / ATT 9 / PAR 9 / TIR 8 / MAG / NA 1 / PV 60/60 (aucun bonus/malus de compétences ou venant de mon équipement ne s'y trouve, uniquement les PC gratuits)
Description physique :
Beau. D’une taille légèrement supérieure à la moyenne (1m78), longiligne et fin, mais aux cuisses galbées par l’équitation et la danse et aux bras saillants grâce aux exercices quotidiens de l’armée, c’est un corps plutôt plaisant qu’on découvre en observant Armand. Sa peau est blanche et diaphane, mais le visage et les avants-bras sont brunis par le bronzage d’un été passé à suivre des lices de tournois. Des épaules pas très larges, des poignets plus arrondis et solides, aux mains très douces et fines, celles d’un homme qui n’a jamais travaillé de sa vie — il est un noble Bretonnien, un vrai, un aristocrate bien né et bien élevé, dans le privilège et avec le chemin facile tout tracé des véritables nantis du Vieux Monde.Un grand nez aquilin, des lèvres fines, des joues anormalement creuses et (Généralement) correctement rasées de près, il a de grands cheveux noirs épais et presque toujours en bataille — ses yeux ont d’ailleurs presque la couleur de ses cheveux, et on dit qu’il a un regard assez dur. Dès qu’il le peut, Armand soigne son apparence, il épile ses sourcils, coiffe sa tignasse, se décrasse les oreilles : non seulement car son emploi de sentinelle l’oblige à être présentable, mais aussi parce qu’il aime prendre soin de lui avec minutie dès le réveil.
Malgré son apparence de bellâtre, Armand est loin d’en avoir l’air. Il ne sourit presque jamais, et lorsqu’il le fait, c’est toujours parce qu’il force — il étire bien ses lèvres en faisant apparaître des fossettes, mais ses yeux n’ont jamais aucune lueur de gaieté. Ses réactions se font souvent avec latence, et son visage manque de micro-expressions. Lorsqu’on lui parle, il doit faire un effort constant pour avoir un simulacre de réactions sur sa trogne, car lorsqu’il est réellement lui-même (Ce que certaines lui disent vouloir), il fait froid dans le dos. Il y a quelque chose de bizarre avec lui, et ça se ressent à travers ses pores.
Description psychologique :
Faux. Depuis qu’il est tout petit, Armand est « bizarre », sans que l’on parvienne réellement à mettre le doigt dessus — quand il était môme, une prêtresse de Shallya engagée par son père a essayé de lui faire faire des dessins et lui a posé des milliers de questions, pour qu’au final elle trouve une étrange chose à dire en guise d’explication : « Son comportement ne respecte pas les convenances humaines. » Elle fut licenciée quand elle se mit à poser des questions intimes au père, pour savoir s’il était violent ou maltraitant envers son enfant…Une petite-amie d’Armand lui donna une explication peut-être plus raisonnable, quand bien même c’était sûrement pour essayer de le blesser : « Ton cœur est vide. »
Tout le temps, Armand fait semblant. Tout le temps. À 20 ans, il a compris comment les êtres humains autour de lui fonctionnaient et qu’il devait faire semblant : il sait que parfois il faut qu’il ait l’air triste, parfois heureux, parfois souriant. Mais rien ne lui va naturellement, et parfois, il confond les réactions appropriées. Son cerveau est un sac de nœud, et les interactions avec les autres le fatiguent. C’est comme ça depuis qu’il est enfant : il faisait du mal à un autre gosse et n’en éprouvait aucun remord, mais il comprit à l’instigation de sa mère terrifiée qu’il fallait pourtant qu’il présente des excuses et qu’il ait l’air penaud. Ou alors, il volait tout le temps les meilleurs bonbons, et il ne lui venait jamais à l’esprit qu’il était bien vu d’en partager. Ce fut un travail constant de gommer en public ces traits, mais il ne les a jamais dépassés mentalement.
Armand est égoïste, très tourné sur lui-même et son intérêt. Il a du mal à comprendre que les autres aient les mêmes sensations que lui. Sensations, d’ailleurs, qui sont un peu à rebours des autres — Armand est très désinhibé, il a du mal à percevoir la gêne, le malaise, ou l’inconvenance. Parmi des nobles batailleurs et bons vivants, ça lui permet d’être bien vu : il n’hésite pas à sortir des blagues salaces ou à lancer des bagarres, alors on a juste l’impression que c’est quelqu’un qui sait vraiment vivre. C’est beaucoup plus gênant quand il se met à tripoter sa copine pendant l’enterrement de papy…
Impulsif, Armand est du genre à charger. Pas parce qu’il est courageux, mais juste parce qu’il a du mal à comprendre ce qu’est la peur — ce n’est pas du tout la même chose. Menteur pathologique, il lui arrive aussi parfois de sortir des bobards pour se faire mousser, même quand ce n’est pas nécessaire. Il est un caméléon qui a un besoin constant de vivre parmi la société, alors qu’il ne pige même pas comment elle fonctionne.
Le seul réconfort qu’Armand trouve, c’est dans la religion. Armand sait au fond de lui qu’il est malade, mais croit aux puissances supérieures. Comme de très nombreux chevaliers, il prie la Dame du Lac, ce mythe national qui s’étiole et passe au second plan dans le vieux royaume de Bretonnie — c’est parce qu’il rêve d’être un paladin idéal, et peut-être qu’il désire la même gloire que les Compagnons du passé.
Alignement : Loyal mauvais
Historique :
La famille de Lyrie est une illustre et riche famille de la province d’Aquitanie, sur la côte occidentale de Bretonnie. La dynastie est née à l’origine grâce à un chevalier de la vallée du Gilleau, qui parvint à occire une puissante vouivre qui semait la terreur dans les marais salants du pays — les Lyrie se muèrent alors en serviteurs des gouverneurs successifs nommés par la couronne, jusqu’à ce que leurs services sincères envers Oisillon leur permirent quelques coups d’éclats : l’un des Armand devint un chef croisé contre les hordes Peaux-Vertes, tandis qu’un autre fut un régisseur excellent qui transforma la seigneurie de Lyrie en une terre productive (Où on cultive une vigne aux tanins très particuliers, que certains raffolent mais que pas mal détestent d’ailleurs…). C’est ainsi que leur seigneurie fut élevée en dignité, et qu’ils obtinrent le titre de comte.Mais toutes les branches des arbres qui s’étendent trop finissent par devenir malades. Et de riches et dynamiques nobles provinciaux, la trop grosse quantité d’argent, de fiefs et de charges accordées aux Lyries commença à petit à petit peser sur le pedigree de la race. Le dernier comte régnant aujourd’hui, Armand VI, est un administrateur passable, et un stratège relativement médiocre, qui passe surtout sa vie à courtiser des (Trop) jeunes filles et commander des œuvres d’arts à des artistes Tiléens qui suivent les routes des foires vers Bordeleaux. Quand on peut régler un problème en jetant dessus du fric et de jeunes écuyers, on a tendance à bien se reposer sur ses lauriers et à devenir grassouillet.
Celui qui sera le futur Armand VII, premier-né de ce comte, vit le jour dans un accouchement difficile de l’an 1504 (Ou 2482 pour les buveurs de bière), le jour du Sommeil du Roi des nobles, le Solstice d’Hiver des paysans — sa maman, qui l’aimait beaucoup, aimait lui dire qu’il avait été son cadeau de Mondstille. C’est ainsi que le petit Armand grandit de façon bien couvée et bien privilégiée, allaité par une nourrice dans la basse-cour du château, à éviter miraculeusement les affres du Pestilent qui aime prendre trois enfants sur quatre avant qu’il puisse atteindre l’âge adolescent.
Tout était à peu près normal et sans trop d’intérêt, jusqu’à ses neufs ans. Sa naissance fut suivie par celle d’un petit frère (Nommé Valère) envers lequel Armand était très protecteur. Leur maman n’arrêtait pas de les saouler en leur rappelant ces beaux moments entre le gamin et le petit têtard dans son berceau. Une vraie idylle.
Puis, un jour, quelque chose de bizarre arriva. Pendant quelques semaines, Armand était devenu ami avec une petite créature de Ranald — un adorable chat roux plein de puces et avec un œil crevé, sorti d’on-ne-sait-où. Chassé des cuisines, mais se planquant dans le moindre recoin de l’immense château des Lyrie, Armand se mit en tête d’apprivoiser l’animal. Il ne cessa de laisser derrière lui des petites coupoles remplies de lait, des petits morceaux de chutes de viande chipées dans les restes des repas… D’abord, Armand parvint à le caresser du bout des doigts avant que le matou ne s’enfuie en crachant. Puis le second jour, il put franchement lui masser la tête, même si ce gros roux grognait méchamment tout le monde. Deux semaines plus tard, le matou puant et sale accepta les câlins comme un gros bébé, tout en mangeant ce que lui donnait l’enfant. Le portrait était merveilleux, et la maman d’Armand était persuadée, comme toutes les mamans du monde, qu’elle avait donné naissance à un véritable petit ange.
Un soir, elle découvrit le cadavre du chat par terre près des box des chevaux. Et son fils était couvert de griffures saignantes sur son menton et ses bras. Il n’oublierait jamais le regard horrifié de sa mère, et la manière qu’elle eut de l’agiter vigoureusement, quand pour toute réponse à ses questions, il se contenta de hausser des épaules en disant : « Je voulais voir comment ça fait. » Après, il y eut les remontrances de son père absent qui le gifla, les pleurs de sa mère qui lui posa encore des questions, et puis la venue d’une prêtresse de Shallya qui pendant des semaines et des semaines et des semaines n’arrêtait pas de lui demander des trucs bizarres et de lui faire faire des dessins. Puis on ne lui parla plus jamais de cette histoire, et ça ne devint qu’une nouvelle anecdote qui semblait s’empiler à d’autre — apparemment, une fois, il avait déjà enfermé Valère dans la cage du chenil, mais Armand avait assuré que Valère était d’accord et que c’était pour jouer. Aussi, une fois, il avait fait tomber un copain dans les escaliers, mais pareil, il avait commencé parce que plus tôt dans la journée ils s’étaient bagarrés. Tout ça était-il vraiment si mal ?
À l’âge de dix ans, Armand fut envoyé chez un oncle maternel dans la province de Lyonnesse. Passer de la richesse, de la beauté et du climat chaud d’Aquitanie à cette terre froide, pleine de vaches et de prairies et peuplée de semi-Norses pas très élégants (Et se tassant les cheveux avec du beurre) fut vécue par lui comme une profonde injustice. Il reçut là-bas une éducation froide et franche, avec un oncle très « bizarre » qui aimait beaucoup se « bagarrer » avec lui. Au moins, Armand y apprit de force ses lettres, la bonne religion (C’est-à-dire apprendre à s’agenouiller et répéter les mêmes trucs tout le temps), puis comment s’occuper d’un cheval, d’une armure, et finalement, de se battre.
À l’âge de quinze ans, un grand magnat du coin l’invita avec plein d’autres gosses de la région dans une cérémonie d’adoubement. Armand embrassa une épée, jura de servir la Dame du Lac et le Roy, puis on lui colla une grosse claque sur la nuque avant de lui donner des éperons plaqués d’or et une arme neuve. Et c’est ainsi que le jeune adolescent put devenir un vrai chevalier et revenir dans son pays natal, comme un nouvel homme — ou plutôt comme quelqu’un qui savait se faire passer pour un nouvel homme.
Il retrouva sa province et ses intrigues. Les combats dans les tournois, les rivalités avec d’autres jeunes hommes, les beuveries, les potes, les petites amies. Une vie d’adolescent noble Bretonnien totalement typique et qu’on imagine très bien. Enfin, excepté quelques affaires un peu gênantes, des mensonges qui commencèrent à franchement le choquer et dont il se défendit très bien devant ses parents, qui heureusement le crurent sur parole (Ou firent semblant de le croire…).
Il y avait eu ce jeu avec une paysanne que lui et quelques garçons avaient mené — elle avait pleuré en disant qu’on l’avait mutilée, mais c’était exagéré, et c’était son témoignage contre six nobles, dont une fille qui corrobora tout le témoignage des bien-nés : le bailli du roy fut un homme censé et classa l’affaire sans suite.
Beaucoup plus gênant, lorsqu’il eut dix-huit ans, sa petite amie d’alors, une fille de chevalier de l’archi-petite-noblesse, alla pleurer à son papa qu’Armand avait été inconvenant avec elle. Ça finit avec son père qui demanda un cartel au roi en personne, exigeant de défier le jeune homme dans un duel singulier à mort — un pur anachronisme, mais tout de même, un scandale suffisamment pénible pour justifier de l’enquête d’un prévôt. Armand eut beau répéter en s’énervant que c’était une affaire avec un consentement absolu des deux parties, son père dût quand même régler la situation comme tous les vrais Bretonniens modernes : avec des compensations financières généreuses aux officiers, aux témoins, et au père de la gamine. Et tout le monde oublia tout ça et on put planquer les procès-verbaux de l’enquête tout en dessous d’une pile de dossiers qui ne seraient jamais traités.
Il n’empêche : le divorce entre Armand et son père était entamé, et après de fortes engueulades, le jeune homme décida qu’il en eut assez de sa famille, et décida de se casser. Recontactant son oncle bizarre de Lyonnesse, il chercha désespérément un endroit où il put avoir une place, car bien sûr, un gosse privilégié comme lui n’allait pas s’abaisser à avoir une vie de simple chevalier…
Grâce à papa et tonton, Armand obtint une place dans une institution aux accès très limités : La gendarmerie du roy. Son armée de chevaliers personnels à temps plein, qui surveillent ses palais et sa personne. Grâce au népotisme et l’argent de sa famille, Armand de Lyrie devint homme d’armes de Sa Majesté Charles III.
Depuis deux ans maintenant, Armand sert dans l’armée royale. Au départ un simple écuyer sans trop d’importance, se contentant d’être une sentinelle dans un des nombreux palais de province du monarque, il apprit la rigueur de la discipline et de la vie militaire. Mais récemment, il eut une chance immense : Il fut muté à Oisillon, où se trouve le plus somptueux palais du Vieux Monde, pour devenir l’un des gardes-du-corps du roi.
Compétences :
• Coups puissants (B)
• Étiquette (B)
• Sang froid (B)
• Alphabétisation (E)
• Séduction (B)
• Monte (A)
Bourse: 0 Couronnes d'or || Autres :
Inventaire:
Épée bâtarde
Casque ouvert
Haubert
Délice de Ranald (1 sachet)
Corde
Rations (Quelques jours)
Menottes
Dés en os (Pipés)
Autres:
Shallya : 10
Mórr : 5
Dame du lac : 5
Note : personnage chronique, commence l'aventure en 2502 (1524 du calendrier Bretonnien), sous le règne de l'Illustre Charles III de la Tête d'Or, roi des Bretonniens depuis son palais de l'Oisillon.
Destinée : « Une mauvaise réputation engendrera un mauvais homme. »
Constellation : Armand est né le jour de Mondstille — en Bretonnie, on y fête aussi « le Sommeil du Roy », un jour où l’on honore le départ de ce monde de Gilles le Breton en s’échangeant des cadeaux.
Son signe astrologique est le Grimoire. C'est un symbole de Compétence et d'Etude, souvent lié aux gens curieux, habiles, philosophes ou parfois assoiffés de connaissance(s). Ils aiment partager leur savoir avec leurs semblables ou leurs proches, au point d'en devenir parfois ennuyeux ou dictatoriaux.
Code pour fiche
Code : Tout sélectionner
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Informations générales sur le personnage :<html></p><center></html>
|< 50em >|
| **Nom et Prénom:** | Armand VII de Lyrie | <html><img src="https://warforum-jdr.com/download/file.php?avatar=3825_1697979139.jpg" /></html> |
| **Age:** | 22 ans | ::: |
| **Sexe: ** | Trois fois par semaine | ::: |
| **Race: ** | Humain | ::: |
| **Carrière: ** | Chevalier Bretonnien | ::: |
| **Lieu/ville de départ:** | Oisillon, Gisoreux | ::: |
| **Fréquence de jeu:** | Variable | ::: |
| **MJ:** | **à compléter** | ::: |
<html><br></html>
<html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre1.jpg" align="center" /></html>
^ Nom de la ligne ^ FOR ^ END ^ HAB ^ CHA ^ INT ^ INI ^ ATT ^ PAR ^ TIR ^ MAG ^ NA ^ PV ^
| Profil de départ (+4 PC initiaux) | 8 | 8 | 8 | 10 | 8 | 8 | 9 | 9 | 8 | | 1 | 60/60 |
| Profil actuel | 8 | 8 | 8 | 10 | 8 | 8 | 9 | 9 | 8 | | 1 | 60/60 |
| Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) | A remplir par le MJ |||||||||||||
<html><br></html>
| **XP disponible:** | 0 |
| **PC dépensés:** | 4 |
<html><br></center></html>
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<html><br></html>
<html><img align="right" src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre2.jpg" style="padding-left:10px;padding-bottom:10px;" /></html>
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description physique :<html></p></html>
Cacaprout
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description psychologique :<html></p></html>
Cacaprout
__Alignement :__ Loyal mauvais
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Historique du personnage :<html></p></html>
Cacaprout
<html><br></html>
----
<html><br></html>
<html><img align="left" src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre4.jpg" style="padding-right:10px;" /></html> <html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Compétences :<html></p></html>
• **Coups puissants (B)** : Votre personnage développe une puissance hors du commun lors des combats et augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 points de dégâts.
• **Étiquette (B)** : Votre personnage connait les conventions sociales et la façon adéquate de se comporter et de s'exprimer convenablement dans la plupart des situations que l'on peut rencontrer dans le «beau monde». Il a donc un bonus de + 1 sur tous les tests en rapport avec des personnes appartenant à la haute société.
• **Sang froid (B)** : Votre personnage a ce qu'on appelle des «nerfs d'acier». Il sait rester maître de lui-même dans les situations les plus dangereuses. Il bénéficie d'un bonus de +1 sur n'importe laquelle de ses caractéristiques lors de la réalisation d'une action dans un climat de stress et de tension mentale (En d'autres termes, ce bonus sert à réduire un malus généré par une situation stressante. Cette compétence ne peut s'appliquer que dans la mesure où un test est soumis à malus!)
• **Alphabétisation (E)** : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.
• **Séduction (B)** : Votre personnage dégage une combinaison de charme naturel et d'attrait physique. Il peut ainsi ajouter un bonus de +1 pour tous les tests mettant en jeu des personnes du sexe opposé (voire du même sexe).
• **Monte (A)** : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.,
<html><br></html>
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<html><br></html>
<html><center></html>
<html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre3.jpg" /></html>
<html><p style="font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Inventaires et biens du personnage:<html></p></html>
| **Bourse:** | 0 Couronnes d'or |
<html><br></html>
|< 50em >|
^ Inventaire ^^^^
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Épée bâtarde** | 24+1D10 dégâts ; 12 parade | Épée légère et maniable, elle peut être utilisée à une ou deux mains. C’est l’arme préférée des chevaliers de tout le Vieux Monde. |
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Casque ouvert** | 12 protection tête ; -1 perception | Les chapel de fer, les salades ou les morions sont différents types de casques d’acier qui sont répandus dans la plupart des rangs des armées du Vieux Monde. Ils sont coûteux, mais il y a peu de choses aussi importantes à protéger que la tête. |
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Haubert** | 9 protection torse et bras ; -1 INI, ATT, PAR | Autres |
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Délice de Ranald (1 sachet)** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Corde** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Rations (Quelques jours)** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Menottes** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Dés en os (Pipés)** |||
<html><br></html>
|< 50em >|
^ Grimoire ^^
<html></center></html>
<html><br></html>
===== Parcours =====
===Quêtes accomplies===
Nom + lien + récompenses obtenues
=== Classes acquises ===
=== Carrière et classe en cours d'apprentissage===
**Carrière :** Chevalier Bretonnien
<html><br></html>
**Classe actuelle :** Chevalier errant
=== Dévotion religieuse ===
^ Dieu ^ Points de dévotions disponibles ^ Points de dévotions dépensés ^
| **Dame du Lac** | 10 | 0 |
| **Shallya** | 5 | 0 |
| **Mórr** | 5 | 0 |
==== Autres ====
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