Il se leva le lendemain, prépara ses affaires et mangea rapidement. Cela aurait au moins le mérite de lui faire un repas à consommer. Il repartit ensuite en direction de l'arène où il avait hâte de commencer son entraînement. Les quais étaient déja actifs, des esclaves transportant des caisses, des insultes faisant et les harpies criant par moments.
Il retrouva assez facilement le lieu où il passerait le plus clair de son temps à l'avenir, devenant un dompteur aguerri, il n'y avait cependant pas âme qui vive, aucun esclave, aucun dompteur, aucune bête n'était présente. Seul l'apprenti restait, désespérément seul.
C'était celle de Malfarth qui, vu ses grandes enjambées, semblait assez pressé.
Ce dernier ralentit en voyant la silhouette du jeune elfe noir et commença à discourir.
"Ah, tu es là. Très bien, très bien. Il jeta un rapide coup d'oeil aux affaires que Gormalek avait avec lui. "Oui, tes affaires et ton inscription, on va s'en occuper tout de suite. Suis-moi
Il emmena ensuite Gormalek à l'étage auquel se trouvaient les dortoirs et l'emmena dans un petit bureau avant de s'asseoir.
"La paperasse, c'est toujours agaçant mais vu qu'il faut la faire ...
Il commença alors à écrire sur la feuille avec l'encre de sa plume et commença à interroger Gormalek.
"Il me faudrait ton identité et la raison pour laquelle tu es là, même si je pense que "être un apprenti dompteur" suffira..
Il attendit les confirmations de l'apprenti, corrigea les quelques erreurs sur son identité et lui donna un petit morceau de bois gravé et pris une clé.
"Ce morceau gravé, c'est la preuve que tu es apprenti temporaire, mais on va rapidement déposer tes affaires au dortoir et ensuite on pourra commencer"..
Ils allèrent ensuite au dortoir et Gormalek déposa le sac qui contenait ses affaires dans le coffre situé devant son futur lit. Une fois cela fait, Malfarth ferma le coffre et tendit la clé à Gormalek.
Ils revinrent enfin à la surface et Malfarth fit signe à l'un des gardes d'aller chercher le futur esclave de Gromalek avant de reprendre la parole
"On va voir comment tu te débrouilles en conditions réelles. puis en baissant la voix "Je suis ravi que tu aies pris mon conseil en compte pour ton choix. Mais avant que ton esclave n'arrive, si tu as quelque chose à me demander ou que tu désires un conseil n'hésites pas.