Bienvenue en Bretonnie [Elwan Sarrow]

[[MJ] Spectre]

-Toute aide sera la bienvenue après tout. Mes hommes ne sont pas des incapables, mais nous serons en sous nombre, vous avez la nuit pour y penser. Et en ce qui concerne mon repas, il sera servi dans mes appartements, je doit encore préparer les plans de défense pour l'attaque de demain. Nous tiendrons, j'espère que mon père découvrira autre chose que des ruines et des cadavres à son retour.

Roderick se leva, salua l'elfe, partit. Le silence le plus total résonnait, dehors, on pouvait entendre la marche des gardes le long des murailles, Elwan se leva donc, et se faufila jusqu'au murailles, personne ne lui posa de question, des torches étaient disposées en contrebas des murailles, les hommes préparaient l'huile bouillante et la poix, aiguisaient leurs armes, nettoyaient leurs tenues. Tous cherchaient à s’occuper, quelques-uns dormaient, ils étaient rares. Demain serait peut être leur dernier jour, l'un des soldats était recroquevillé sur lui-même, il psalmodiait des prières à la dame du lac. La nuit était noire, on ne verrait pas le bas des murailles sans l'aide des torches qui y étaient disposées. Les barricades créées pour colmater les brèches de l muraille ne survivraient pas à un assaut trop prolongé, la catapulte ne servirait à rien une fois les soldats entrés, le désespoir est partout. Demain sera une journée sanglante, et seul le courage pourra les aider à tenir. Car les dieux ne tournent pas leurs regards constamment sur les mortels.

(élipse)

Le petit matin est arrivé, au loin, une épaisse fumée et apparue, Si Elwan veut partir c'est maintenant ou jamais. Roderick est en haut des murailles, son armure brille au soleil. Son frère et parmi les miliciens, Tous attendent le discours de leur seigneur.

[Elwan Sarrow]

Roderick était désespéré. Mais il ne fallait pas être si sombre. Une victoire se remportait si l'on gagnait. Ce qui m'étonnait, c'est qu'il ne m'avaient absolument pas soupçonné. J'aurais pu être un espion de leur adversaire. J'aurais pu leur ouvrir la porte en pleine nuit, tuer les sentinelles... Ces humains n'étaient pas des plus malins, et heureusement pour eux, je n'étais pas un espion.

Finalement, il partait manger seul. Quant à moi, je quittais également ma chambre, pour prendre l'air d'abord. Puis pour manger un petit quelque chose avec les soldats. Ce n'étaient pas des troupes d'élite. Mais ils étaient actifs et préparaient tout ce dont ils avaient besoin. Observant les défenses, je présentais que ça ne tiendrait pas longtemps. Sauf si l'adversaire n'avait pas beaucoup de troupe. Ils priaient. La fameuse dame du lac. Ils n'étaient décidément pas vaillants.

Je m'assit avec ma couverture en haut d'une des tours, veillait, pensait, et finalement m'endormit. Je rêvais mon bannissement. Je revoyais la scène entière. C'était il y a à peine quelques jours. Je revivais ma haine chaque nuit. Je ne comprenais pas pourquoi ils avaient fait ça. Moi, le guerrier le plus dévoué à Loec, ils avaient osé me bannir pour ma violence. Pour suivre les préceptes de Loec, il fallait déverser de sa colère, la transformer en énergie. Je revoyais mes frères elfes, leurs regards que je n'oublierais jamais...

C'est les première lueurs du soleil qui me réveillèrent. Certains gardes dormaient, d'autres somnolaient. Ils avaient le soleil léger... Je me déplaçait et allait chercher un arc et des flèches à l'armerie. Ils ne pourraient pas me les refuser. Un elfe savait tirer à l'arc, c'était bien connu. Je remontais ensuite sur les murailles. Les soldats étaient réveillés. Une fumée apparaissait au loin. Les troupes ennemies approchaient. J'avais décidé de rester là, afin de me battre. Non pas pour une cause. Non. Pour Loec. Pour prouver ma puissance. Pour prouver mon courage. Pour prouver aux hommes ce que vaut la race supérieure des elfes.

Les soldats attendaient le discours de leur seigneur Roderick. J'attendais aussi.

[[MJ] Spectre]

-Messieurs, aujourd'hui, nous sommes en guerre, n'ayez aucune pitié pour l'ennemi car il n'en aura aucun pour vous, souvenez vous qu'aujourd'hui vous ne défendez pas seulement ce château, vous défendez aussi les terres qui l'entoure, vos foyers, vos familles, les villages ont été évacués, nous devons tenir toute la journée, les troupes de mon père n'arriveront qu'à ce moment là. N'oubliez pas que vous avez prêté allégeance à votre seigneur. Faites lui honneur, ne reculez pas tant qu'on ne vous en a pas donné l'ordre, n'avancez pas sans notre ordre, tenez les murailles, soyez plus forts que l'adversaire, vous le pouvez. Aujourd'hui, soyez digne de notre famille. LES BALTOR VAINCRONS!!!!

Gauvain leva son arme et cria, tout les soldats firent de même. Puis tout le monde se mit à genoux pour adresser une prière à la dame.
L'armée se rapprochait des murs alors que tout le monde se mettait en position, les archers encochèrent leur flèches, Gauvain tenait son arme levée, prêt à donner l'ordre de tirer les volées meurtrière, un homme seul s'approcha, un messager.

-Sur ordre du seigneur Gardakan de la famille des Beledar, nous vous sommons de vous rendre et de vous soumettre au jugement de notre seigneur.
-Que votre seigneur aille en enfer avec les démons de son espèce, si il nous veut qu'ils vienne nous chercher. Hurla Gardakan.
-Clémence sera accordée à ceux qui nous rejoindrons.

Les sodlats hésitèrent un léger instant.

-Moi Roderick, de la maison Baltor, je proclame que tout soldat rejoignant les rangs de Gardakan de la maison Beledar sera condamné à mort.

Les hommes raffermirent la prise sur leurs armes et hurlèrent un cri guerrier. Le messager s'en retourna, et l'armée de Gardakan reprit son avancée. Roderick se jucha sur les murailles épée à la main, prêt à donner le signal à la catapulte.
Plus les soldats avançaient et plus la taille de l'armée devenait conséquente, des dizaines de sodlats avançaient au rythme des tambours, Gardakan se repérait facilement, juché sur son cheval, en armure complète dorée. L'armée stoppa sa marche, Gardakan leva son épée et l'abaissa, donnant le signal de la charge, tout les sodlats se ruèrent à l'assaut en hurlant.

-Attendez, attendez, encore un peu. FEU!

Gauvin abaissa son épée, une vingtaine de flèche transperça les rangs ennemi, provoquant morts, blessures et chutes, la catapulte lança un bloc de pierre qui ne fit que s'écraser près de quelques soldats dont deux d'entre eux moururent à cause des éclat, mais il restait tellement de soldats, et si peu de défenseurs.

-Feu à volonté.

Les traits fusaient dans les airs alors que l'entrée était assaillie par des soldats avides d'en découdre et leur bélier. Gardakan assistait au spectacle, au loin, une étoile dans la plaine.

[Elwan Sarrow]

Roderick proclama son discours afin de donner du courage à ses hommes. S'en suivit l'arrivée toute proche de l'ennemis. Leur demande de reddition. Puis l'assaut, tant attendu. Gardakan, lui, restait en arrière, une armure dorée, visible à des lieux. J'aurais voulu l'affronter. Je voulais me retrouver face à ce seigneur et combattre. Réaliser mon premier duel. Mais je ne pouvais sortir de la forteresse sans ouvrir une porte, sans laisser entrer l'ennemi... Il fallait pour le moment repousser l'adversaire. Le repousser jusqu'à ce qu'il se retire un peu, reprenne son souffle, se réorganise. A ce moment-là, il faudra agir et le provoquer en duel. Ou trouver une solution de la sorte.

J'étais tellement perdu dans mes pensées que je ne pensais pas à tirer la première volée de flèches. J'étais encore trop concentré sur le désir de combattre Gardakan. J'armais mon arc prenait mon temps pour viser les hommes qui transportaient les béliers. Je prenais un rythme rapide et tirait les flèches sur les hommes qui pouvaient faire tomber les portes, qui pouvaient ouvrir une brèche. Je décochais à tout rompre, ajustant à chaque fois mon tir. J'étais un elfe sylvain. Je ne ratais pas ma cible.

Mais au fond de moi, je me languissais d'en découdre au corps à corps. De retrouver cette jouissance, et cette fois-ci, d'aller jusque au bout et faire couler le fruit de ma supériorité.

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Tirer flèche sur flèche en direction des porteurs de béliers. 

[[MJ] Spectre]

Elwan tirait et tirait encore, mais pour chaque soldat tombé lors de l'acheminement du bélier, un autre le remplaçait, c'était peine perdue, mais heureusement le pont levis était baissé, c'est alors que l'impensable se produisit, un groupe de soldat qui avait contourné le château s'introduisit dans l'enceinte de celui-ci, les défenseurs avaient désormais de ennemis dans leurs murs, et la salle de contrôle de la chaîne était visiblement leur objectif. Ils étaient une cinquantaine, hurlant à plein poumons, une poignée entra dans la salle de contrôle, personne ne put rien faire, à part une poignée de défenseurs qui combattit vaillamment l'assaillant, un grand craquement se fit entendre et les murailles tremblèrent, tout le monde savait ce que cela voulait dire, le système qui maintenait la chaîne du pont levis venait d'être fracassé, les défenseurs mirent fin à cette incursion mais le mal était fait, les hommes de Gardakan se jetèrent sur la porte d'entrée et frappèrent avec le bélier, un coup, deux coup, trois coups, au sixième, la porte se fractura et des éclats de bois fusèrent, tout le monde recula et sortit ses armes, il était temps de combattre avec bravoure, Roderick et Gauvain étaient en première ligne. cinq archers continuaient d'envoyer leurs traits meurtriers sur les assaillants qui semblaient de pas décroître en nombre. Ils étaient innombrables se pressant sur la muraille, quelques soldats poussèrent alors l'huile bouillante et la poix sur le pont levis, les ennemis hurlèrent de douleur alors que leurs chaires brûlaient et qu'ils prenait feu quand les défenseurs lançaient des torches, plusieurs groupes se formèrent et partirent à l'assaut avec leurs échelles Ils allaient submerger les défenses.
La porte finit par céder, de éclats de bois jaillirent en tout sens et les défenseurs se jetèrent à l'assaut, Goderick et Gauvian disparurent dans la mêlée. Gardakan profita de cet instant pour se jeter à la charge, éperonnant son destrier, il lui faudrait peu de temps pour arriver au contact, en écrasant ses hommes bien entendu.

[Elwan Sarrow]

J’étais pris dans la fièvre de la bataille. Je tirais des flèches à tout va, mais cela ne changeait rien. Je tuais à la chaine mais le flot continuait à frapper par vague contre les murailles. Puis ce qui devait arriver arriva. Un groupe d’attaquant perça la décence et réussi à s’introduire entre les murs.

Cinquante hommes à l’intérieur. Les Galtor sont vraiment en mauvaise passe.

Ils perçaient. Avançaient. Dévastaient. Une vague trop puissante que rien de pouvait arrêter. Ils réussirent à attendre le poste de contrôle du pont-levis. Celui-ci allait s’ouvrir. Quelques coups de béliers suffiraient. Roderick et Gauvain se mirent en première ligne. Ils allaient charger héroïquement. Il y avait également cinq archers qui avaient tenu la cadence et envoyaient toujours des traits meurtriers sur les assaillants. Mais ils étaient toujours autant.

Combien d’hommes étaient déjà morts en cette matinée ? Et combien allaient suivre… ? La douleur raisonnait dans ma tête. La haine ressortait. En j’y prenais presque du plaisir. J’allais bientôt pouvoir charger. Être au corps à corps. Planter mon épée dans les corps de ces humains. Charger. Danser.

J’avais lâché l’arc entre temps et ramassé une épée à une main sur un soldat mort, et couru dans les écuries. J’allais récupérer le coursier elfique. Il était certes un peu frêle, mais il était vigoureux. Je sorti le cheval quand les portes cédèrent. Je vis Gauvain et Goderick s’engouffrer dans la mêlée afin de protéger encore leur place forte.

Je montais sur le coursier en lui murmurant quelques mots en elfique.

Aya. N’ai pas peur. Je vais t’aider à t’enfuir des hommes. Nous allons traverser leurs troupes, et s’enfuir au loin…

Je vis également Gardakan partir à la charge. Il voulait probablement affronter les deux chevaliers. Ou allais-je, moi, aller à son contact ?

Va-y Roch…

J’ordonnais au cheval de prendre son élan, j’allais tenter une sortie hors de la forteresse. Je tenais fortement l’épée ramassé. Celle à deux mains se trouvait accroché dans mon dos. Je commençais à former des moulinets, afin de me créer un passage à travers le flot d'humains.

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Tentative de sortie de la forteresse, en sabrant les ennemis susceptibles de me couper la route… (je ne sais pas encore si je vais tenter de sortir complètement de la mêlée ou affronter Gardakan… j’attends donc cette première résolution). 

[[MJ] Spectre]

(Je prend en compte ton inconscience, y'a des soldats massés sur un pont levis et dans une porte qui se tapent dessus et toi tu y va avec un coursier elfique qui n'est même pas prévu pour le combat, j'applaudit cet acte de bravoure stupide, mais chez moi pas de retour en arrière.)

Test de chance sur D100 (ah oui! Faut pas déconner avec les combats, et les paramètres), résultat 46, résultat attendu 10 ou moins

Alors que tu t'élance avec le coursier elfique, celui ci est prit de panique, il n'a pas été élevé pour charger à travers la bataille, tu tombe au sol sans pouvoir rien y faire mais sans toutefois te blesser, le cheval s'enfuit, complètement affolé, vers les écuries, inutile de tenter quoi que ce soit d'autre pour lui. Tu te relève, le dos plein de boue, Gardakan à plus de chance que toi grâce à son cheval caparaçonné, son expérience, entrainement de son cheval et un peu de foli furieuse, il se fraye un chemin à travers la mêlée et déboule dans la cour centrale en hurlant.
Les archers le prenne pour cible mais un Roderick couvert de sang les en empêche, il veut affronter lui même le chef ennemi, il hurle son défi à Gardakan qui éperonne sa monture, le chevalier se pousse sur le côté et fauche les jambes du cheval avec son épée, le cheval trébuche et Gardakan et catapulté au sol, il se relève fulminant de rage, et avant que quiconque puisse faire le moindre geste, il donne un puissant coup d'épée à Roderick et le touche à la taille, ce dernier s'effondre alors. Gardakan regarde autour de lui et malgré son heaume on devine ses yeux déments. Il porte alors son attention sur Elwann.

-COMBAT MOI DÉMON!

Il se jette sur l'elfe en hurlant un cri de guerre.

(tu a un post pour décider de ce que tu doit faire, le temps qu'il arrive sur toi)

[Elwan Sarrow]

Je sais que c'était peu probable, mais j'assume.

Ce cheval n’est pas entrainé pour le combat… Moi qui pensait qu’ils l’avaient piqué à des elfes… Et les coursiers élevés il y a quelques années avaient été entrainés pour la guerre. Et bien, probablement pas celui-là…
Je tombais au sol, tandis que le cheval n’en faisait qu’à sa tête et retournait se réfugier. Il ne connaîtrait pas encore la liberté. Je me relevais prestement. J’avais laissé tombé mon épée à une main. C’est là que je remarque la présence de Gardakan. Son cheval est monstrueux. Lui est fou à lier. Je dégaine alors mon épée virevoltante et le suit du regard.

Roderick, en bien mauvais état, appel au duel. Il réussit à le faire tomber du cheval. Mais Gardakan, plein de rage, donne un violent coup d’épée sur son adversaire qui s’effondre. De ses deux yeux pleins de haine, il voit que je le regarde, il reporte alors son attention sur moi. Et me cris :

Combat-moi démon !

Sans problème le scarabée. Ta grosse armure ne te sauvera pas.

Le duel était enfin engagé.

La danse commence.

Se jetant sur moi, je commence ma danse de Morrslieb. Je fais un bond sur le côté au dernier moment, afin d’éviter son attaque. Profitant de sa probable surprise, j’assène un coup d’épée sur la nuque de mon adversaire.

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Esquive acrobatique de la charge de Gardakan (compétences esquive, acrobatie de combat et danse de Morrslieb). Puis assener un coup sur la nuque avec mon épée à deux mains (13 de dégâts).

[[MJ] Spectre]

Gardakan charge, la masse de fer et de chaire qu'il représente prête à étriper son adversaire, ses yeux déments lances des éclairs, il arrive près de son adversaire et attaque dans un magnifique coup de taille que Elwan réussi à esquiver, de toute façon il aurait put facilement parer cette attaque qu'il avait vus venir, il se glisse derrière son adversaire et le frappe, mais son attaque rebondit sur l'épaisse carapace de Gardakan qui raille alors son adversaire et en lui hurlant dessus.

-Cesse de te mouvoir démon, tu n'en mourra que plus vite.

Sur le pont-levis, le combat fait rage, Les cris de Gauvain au coeur de la bataille galvanise ses hommes qui se battent avec une grande ardeur, mais des soldats prennent possession des remparts, ils seront bientôt pris entre deux masses de combattant, inutile de faire un dessin pour imaginer la suite. Gardakan rit alors qu'il se jette de nouveau sur son ennemi, levant bien haut sa claymore il prend de vitesse l'elfe et son épée commence à se rapprocher dangereusement de l'elfe, passant sa tentative de Parade, l'elfe n'a plus qu'une seul solution si il ne veut pas se prendre un coup d'épée à deux mains, se glisser hors de portée de l'attaque.

[Elwan Sarrow]

J'évite facilement la charge de ce mastodonte. Mais le coups que je lui assène en haut du dos rebondit contre son armure. Foutu barrière de fer. Ces humains sont vraiment des pleutres à se terrer derrière des armures. Je ne comprenais pas la gloire que l'on pouvait éprouver quand on se cachait derrière des tonnes de fer pour devenir invincible. Sa gloire était probablement de pouvoir la supporter cette armure. Car il se déplaçait rapidement malgré le poids.

Par ailleurs, si celui-ci me touche, rien qu'une fois, mes pauvres os d'elfe ne tiendront pas longtemps...

Autour de moi, je remarque que la fin est proche. Les troupes de Gardakan ont envahi le bastion. Bientôt, le reste des troupes des frères sera balayé, emprisonné, pendu, ou je ne sais quoi. Quant à moi,... Merde ! Saute Elwan. Saute en arrière. Je venais de voir arriver le coup d'épée de mon adversaire. Il allait s'abattre sur moi. Je me propulsais en arrière. Mon entraînement de danseur de guerre me servait énormément. L'habilité à esquiver était très importante face aux humains carapatés.

Suite à ce bond en arrière, je n'essayais pas d'attaquer. Je me concentrais sur mon adversaire, afin de prévoir ses coups et avoir largement le temps de les esquiver. Sautant dans tous les sens, je comptais voir son point faible. Voir un trou dans son armure, déceler la faille, pouvoir l'affaiblir, l'énerver, jusqu'à ce qu'il me montre son point faible. Il fallait être patient et concentré.
Malgré le fait que mes "alliés" perdaient, je ne voulais pas fuir. J'étais en duel. Mon premier duel sérieux. La première occasion de prouver ma valeur. De prouver le courage, la dextérité, l'intelligence et la force d'un danseur de guerre. Il fallait y arriver. Si je le battais, ses hommes n'oseraient jamais m'attaquer...
Restait à savoir s'il était possible de le vaincre.

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Bond en arrière afin d'esquiver sa dernière attaque. 
Danser autour de mon adversaire en esquivant ses coups. Observer quel peut être son point faible.