Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Wilhelm Hollenbach
Age: 23 ans
Sexe: Masculin
Race: Vampire Nécrarque
Carrière: Voie des Arts Noirs
Lieu/ville de départ: Kislev
Fréquence de jeu: Aucune idée (ça dépendra de mon travail)
MJ: [MJ] Ombre de la Mort


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 9 10 10 8 13 9 10 8 8 1 85/85
Profil actuel 9 10 10 8 14 9 10 8 8 1 90/90
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/1 0/1 0/1 - 1/1 0/1 0/1 0/1 0/1 - 1/3


XP disponible: 58
PM disponible: 16
PC dépensés: 6
PC disponibles: 0




Description physique :

Devant vous se trouve un homme, seul, les bras croisés sur la poitrine. Il est de forte stature et porte des habits qui semblent nobles, mais dont le temps à déjà corrompu. Ses cheveux gris encadrent un visage très pâle, impassible, dur. La faible brise, qui souffle ici, fait battre sa longue cape de voyage sur ses bottes. Sa présence est inquiétante et ses yeux semblaient vides de toute âme. Devant vous se trouve Wilhelm Hollenbach, Vampire Nécrarque et apprenti du Seigneur Frederik.

Description psychologique :

Wilhelm correspond parfaitement à ce genre de personnage, intelligent, cultivé. Il est sur de lui, et généralement obtient ce qu’il désire. Manipulateur, il éprouve un réel plaisir à semer la confusion chez les autres. Détruire physiquement ne lui suffit pas, pouvoir plonger sa victime dans une détresse absolue, l'écraser psychologiquement, lui enlever toute espoir reste un jeu auquel il s'adonne dès qu'il en a l'occasion.

Avec son vécu, son expérience, il a appris à éprouver les limites éthiques instaurées par les hommes. Il maitrise la notion de bien et de mal, et il a clairement choisit son camp. Chacun de ses actes sont prémédités, réfléchis.

Malgré tous Wilhelm a des sentiments, éprouve des choses. Toutes les choses qu’il entreprend est pour lui permettre d’arriver à son seul but: ramener Elise à la vie. Qui sait peut être arriverez vous à lui faire perdre le contrôle en parlant de ce sujet et donc commettre une faute….

Alignement : Mauvais

Historique du personnage :

La brume. Une noirceur oppressante. Il court sans savoir où il va. Il trébuche et s’étale de tout son long. Il a mal, se relève. Il n’est même pas écorché. Il n’a plus mal. Il lève la tête et une lueur verte apparaît. C’est suffisant, il voit désormais. Une forme se dessine au loin et s’approche de lui. On dirait un bâtiment. Non, trop droit, trop fin. Il tente de faire le tour mais impossible. Il s’approche. Non, c’est la forme qui s’approche, pas lui. Il peut la toucher maintenant. C’est rugueux. Il se déplace à tâtons vers un coté. Il touche enfin une arrête. Il tire. Ça s’ouvre en pivotant comme une porte. Non, comme un livre. Il ne peux qu’entrouvrir. Il essaye de lire les pages mais ce n’est pas assez ouvert. Il essaye de refermer mais de la fumée noire s’échappe. Il recule, paniqué. La fumée deviens opaque, prend forme humaine. Il essaye de fuir mais on l'attrape par la gorge. Il ne peux plus respirer. Il veut hurler mais aucun son. Il va mourir.

Wilhelm se réveilla en sursaut, trempé de sueur, le cœur battant à tout rompre. Il mit un moment avant de s'apercevoir que ce n’était qu’un rêve. Il parcourra sa chambre du regard et constata que le jour était déjà bien avancé. Il chercha le livre du regard, en vain. Il se leva avec empressement et se mit à fouiller partout pendant un bon moment. Il tenait en fait le livre serré contre lui d’une main crispée. Il le fixa et passa sa main sur la couverture. La sensation était étrange. Il avait l’impression de toucher du cuir, mais quelque chose n’allait pas. Les vents de magie étaient fortement perturbés aux alentours du livre. Ils étaient comme absorbés puis refoulés par l’objet. L'apprenti sorcier plaça ses doigts et appuya. Au bout d’un moment, la couverture devint plus molle et ils commencèrent à s’enfoncer comme dans un morceau de beurre trop mou. Trois coups forts sur sa porte l’interrompirent. “- Qui est-ce ? - C’est Udo monsieur. Je tape à votre porte depuis plus d’une demi heure sans succès. Est-ce que monsieur va bien ? - Oui tout va bien, j’étais simplement très fatigué. Vous pouvez entrer, qu’y a-t-il ? - C’est que… la diligence pour Wurzen part dans moins de quinze minutes. Dit le majordome en entrant d’un air désolé. Je peux aller la faire retarder mais il vous faut tout de même faire vite si vous ne voulez pas la rater. - Pourquoi ne m’avez-vous pas réveillé avant ! Cria Wilhelm d’un ton qu’il trouva lui-même anormalement irrité. - C’est que… je ne savais pas… je ne voulais pas vous déranger. - Mes valises sont-elle prêtes ? - Oui jeune maître, elles vous attendent dans le hall. - Très bien. Dîtes au cocher qu’il aura un supplément confortable s’il repousse l’heure de départ de quinze minutes. - J’y court !” Le noble retomba sur son lit, effaré d’avoir parlé sur un tel ton. Il ne s’était pas reconnu. Sans doute la fatigue et l’empressement du départ avaient parlé pour lui. Il n’avait pas le temps de se poser de telles questions. Il se leva et prépara sa sacoche avec précipitation. Il avait seulement besoin de quelques livres. Il jeta un dernier regard à l’objet qui accaparait son esprit avant de le mettre au fond, bien à l'abri des regards. Il dévala les marches quatre à quatre et trouva deux valises qui l’attendaient à côté de la grande porte d’entrée ainsi que des morceaux de viande séchée et du pain enroulés dans un linge accompagnés d’une gourde. Il s’en saisit et sortit de la demeure du plus vite qu’il put. Un petit fiacre l’attendait à l’extérieur des grilles du manoir pour l'emmener jusqu’à la place principale. Il s’y engouffra et le cocher démarra aussi sec.

A son arrivée sur la place, Wilhelm fut soulagé de trouver Udo en train de parlementer ferme avec le cocher de la diligence. Cette dernière était de facture robuste et imposante. Avec ses six roues et ses quatre compartiments il ne fallait pas moins de six chevaux pour la tirer. Il se présenta devant le cocher, manifestement en colère et lui glissa un joli lot de pièces dans la main, ce qui le fit changer d’expression rapidement même si une moue renfrognée déformait ses traits. Il n’aurait probablement pas eu cette réaction s’il avait connu le nom de Wilhelm, mais il ne désirait pas voyager en tant que membre de la famille von Hollenbach. Cela risquerait d’attirer l’attention sur lui, plus encore que la pratique de la magie, et il n’avait pas besoin de ça. Il tendit ses valises au cocher qui les arrima sur le toit de la diligence. Le jeune homme prit place dans le troisième compartiment en s’excusant. Les deux premiers pouvaient accueillir six personnes chacun et semblaient être pleins, alors que les deux derniers, plus confortables, ne pouvait en abriter que quatre. Il allait voyager avec pour compagnie ce qui semblait être un couple de riches commerçants et un homme d’un âge avancé mais tout de même habillé avec élégance. La diligence se mit en branle, escortée par deux modestes carrosses transportant des mercenaires destinés à protéger les voyageurs. Deux semaines de voyage attendaient les passagers qui se rendaient à Wurzen dans le comté d’Ostland. Le convoi allait longer la rive du fleuve Talabec et faire trois escales principales d’une journée au moins sans compter celles qui servaient seulement à changer les chevaux ou à faire dormir les voyageurs dans un endroit convenable. Les nuits en forêt étaient peu nombreuses du fait des nombreux villages d'artisans et autres haltes qui se sont développés le long du trajet. Wilhelm n’allait pas jusqu’à Wurzen. Il s'arrêtait à la deuxième escale principale, à une semaine de voyage, dans la modeste ville de Anrath dans le Talabecland. Cette retraite loin de la grande ville lui ferait du bien. Au moins pour son moral mais aussi pour son entraînement. La grille de la grande porte ouest fut soulevée dans un grincement lent et criard. Il n’était pas fâché de quitter Bechafen tant l’atmosphère de cette ville l’étouffait. Le jeune homme échangea quelques paroles avec les autres voyageurs alors qu’ils s’éloignaient peu à peu des murs. C’était le mieux à faire pour le moment.

La fin du jour approchait et les trois carrosses allaient s’arrêter pour la nuit dans un camp d'artisans occupé majoritairement par des tanneurs de peau. Il avait fait connaissance avec les personnes de son compartiment : Wilhelm avait vu juste au sujet du couple quadragénaire, ils étaient commerçants et avaient manifestement plutôt réussi dans leur entreprise. Il allaient jusqu’à Wurzen pour fêter la naissance de leur deuxième petite fille. Quant au vieil homme, il ne payait pas de mine mais il était en fait banquier. Il voyageait jusqu’à Wurzen également, pour rendre visite à son frère cadet comme tous les ans car le hasard avait voulu qu’ils aient la même date d’anniversaire. Le camp, fait de modestes habitations en bois, n’était pas très vivant. Si proche de la ville, les familles des travailleurs avaient plutôt tendance à vivre là-bas. Le confort allait être très austère. Pas de favoritisme, quel que soit le statut, tout le monde allait dormir sur des paillasses. Au moins avaient-ils un toit pour s’abriter. Il faisait encore jour, aussi le jeune noble s’éloigna un peu et trouva un arbre contre lequel s'asseoir. Il grignota un morceau de pain et de viande séchée avant de se plonger dans un livre, la mine sévère. Il fut dérangé par une petite balle de cuir qui atterrit près de ses pieds. Un petite fille d’une dizaine d’année qui portait des vêtements un peu trop grands pour elle arriva à la course. “- Bonjour monsieur. Je peux avoir la balle ? Demanda-t-elle de sa petite voix timide. - Oui bien sûr. Répondit-il négligemment.” Elle s’en saisit et s’arrêta pour le fixer un moment. “- Monsieur, pourquoi t’es triste ?” Il releva la tête de sa lecture et resta silencieux. “- Nina ! Envoie la balle ! Criait une autre petite fille derrière elle. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Des jumelles ! - Nina, Anna, qu’est-ce que vous faites ? Venez, il va faire nuit.” Une femme d’une trentaine d’année apparut, probablement leur mère, et la dénommée Nina tourna les talons pour s’en aller la rejoindre. “- Faut pas embêter les gens comme ça ! Allez file. Sermonna la mère avec bienveillance avant de s’approcher de Wilhelm. Je suis désolée monsieur, elles sont un peu turbulentes. Dit-elle en s’inclinant poliment. - Ce n’est rien ne vous inquiétez pas. Elle ont l’air pleines de vie. - Oui elles sont très heureuses. Mon mari et moi sommes de condition modeste mais nous veillons à ce qu’elles ne manquent de rien.” Elle se redressa, ses cheveux blonds encadrant un visage rayonnant, a peine usé malgré ses mains un peu rugueuses qui trahissaient des activités difficiles. Une aura maternelle et protectrice émanait d’elle. Wilhelm était subjugué et mit un moment avant de pouvoir dire quelque chose. “- Le soleil commence à se coucher, il vaudrait mieux rentrer. Dit-il en se relevant. - Oui vous avez raison monsieur… ? Elle laissa sa phrase en suspens avec un ton interrogateur. - Wilhelm von… Euh, Wilhelm. Se corrigea-t-il. - J’avais remarqué que vous étiez de condition noble, dit-elle avec un air amusé, ne vous en faites pas. Peu de gens peuvent lire vous savez. - Ah ! Fit Wilhelm d’un air embarrassé. Et vous ? Comment vous appelez-vous ? - Je m’appelle Sigrid.” Il discutèrent encore un peu en marchant vers les couches. Le voyage suivait son court paisiblement. A chaque arrêt, le jeune noble passait du temps avec la petite famille qui allait rejoindre le mari de Sigrid, charpentier dans un petit village qu’ils atteindraient deux jours avant Anrath, la destination de Wilhelm. Il appréciait beaucoup leur compagnie et commençait à tisser des liens avec elles, bien que cela le rende un peu mélancolique car elles représentaient la famille qu’il n’avait jamais eu. Il aurait préféré mille fois abandonner la noblesse et l’instruction intellectuelle contre la chaleur humaine d’une famille soudée. Quelques jours plus tard, ils arrivèrent à la première escale principale du voyage : Satzstein, petite ville calme et prospère. Ils allaient y passer deux nuit et une journée complète afin de faire quelques provisions, vérifier l’état des carrosses et surtout dormir d’un sommeil réparateur. La première nuit, Wilhelm tomba littéralement sur le matelas moelleux de l’auberge pour ne se réveiller que tard dans la matinée suivante, tant le voyage l’avait fatigué. Il flânait dans les rues de Satzstein jusqu’à midi, l’esprit vide et reposé, ce qui ne lui était pas arrivé depuis quelques temps. L’après-midi, il trouva les deux jumelles en train de jouer près de la fontaine sur la place principale. Leur mère était assise sur un banc à l’ombre d’un pré-haut, les surveillant d’un œil attentif. Wilhelm alla s'asseoir à côté d’elle et ils discutèrent le restant de la journée.

Encore le même rêve. Mais WIlhelm avait l’impression d’être plus lucide cette fois, et le brouillard était moins épais. Il était encore devant le livre géant. Il hésitait. S’il l’ouvrait, l’ombre allait sortir, il le savait. La tentation était trop grande. Il lui fallait une arme. Il tenait un bâton de bois noir dans sa main. Il rassembla son courage, saisi le bord de la couverture et commença à ouvrir. Une lumière pourpre et sombre s'échappa du livre. Wilhelm recula vivement et se prépara. La fumée noire apparut et commença à prendre forme, plus consistante que l’autre fois. Une silhouette familière, tenant une arme. Le noble fut subjugué lorsqu’il vit son propre visage émaner des volutes, les yeux écarlates et un rictus malsain au bord des lèvres. Le reflet prépara une attaque et Wilhelm, se laissant surprendre, reçus le coup de bâton en plein dans les côtes. La douleur était vive et bien réelle. Il chancela mais se reprit rapidement pour se défendre de l’attaque suivante. Il parait tant bien que mal, sans arriver à prendre le dessus. A bout de force, il fut désarmé. L’ombre jeta son bâton au sol et lui sauta à la gorge. Wilhelm était impuissant et la poigne de l’autre était de fer. Il tentait de crier, d’appeler à l’aide, en vain. Son jumeau l’amena près de son visage et ouvrit la bouche à s’en décrocher la mâchoire, sans langue, sans dents, entièrement noire. Wilhelm sentit sa vitalité, non, son âme être aspirée, lentement. “- Wilhelm ! Wilhelm réveillez-vous qu’est-ce qui vous arrive ?” Appela une voix dans le lointain. “Si seulement je pouvais”, pensa-t-il. Il tenta de se concentrer pour arriver à se réveiller. Il sentait des tapotements sur son visage, tandis que l’autre aspirait toujours. Finalement, tout se dissipa peu à peu. Les dernières choses à disparaître furent les yeux flamboyant de cette chose. Il émergea de son cauchemar, par terre et en sueur, Sigrid penchée au dessus de lui, affolée. “- Vous allez bien ? Demanda-t-elle. - Oui… je crois. Aïe !” Une douleur lancinante dans les côtes le fit revenir à la réalité. Il souleva ses vêtements pour révéler un énorme hématome violacé, ainsi que d’autres, plus petits et plus bénins à différents endroits. “- Mais qu’est-ce qui vous est arrivé ? On dirait que vous vous êtes battu ! - J’ai dû me faire mal en tombant… S’expliqua-t-il piètrement. Qu’est-ce que vous faites là ? - Je suis sortie prendre l’air un moment et en revenant à ma chambre je vous ai entendu crier. Cela fait bien une demi heure que je vous vois vous débattre par terre sans que je puisse vous réveiller ! - Merci de votre sollicitude. Cela m’arrive quelques fois mais ça va maintenant. Vous pouvez retourner dormir. - Bon, si vous le dites… Répondit-elle, inquiète” Elle sortit de la chambre en jetant un dernier regard interrogateur pour s’assurer que tout allait bien. Wilhelm se leva difficilement et commença à chercher le livre. Comme la dernière fois, il le tenait déjà dans sa main sans s’en être aperçu. Il fallait absolument qu’il perce son secret ou bien il serait emporté par la folie. Il l’ouvrit lentement, se concentrant sur les vents de magie pour ne pas se laisser hypnotiser comme la première fois. Lorsqu’il l’eut ouvert en entier, il découvrit des pages vides. Soudain, des images, des symboles, des idées, des pensées se déversèrent dans son esprit. Le savoir à l’état brut. Il tenta de retenir des choses mais ne se souvint que de bribes sans liens entre elles. Il referma le livre avec empressement. Chaque information, même sans l’avoir retenue, lui avait laissé la même impression : la mort. Mais aussi plus que cela : le dépassement de la mort. Allait-il devoir en passer par ces arts sombres et interdits afin de mener à bien son dessein ? L’obsession qui le rongeait depuis la mort de Elise s’était peu à peu transformée en crainte de sa propre mort. Aussi, la réponse lui vint à l’esprit malgré lui : “oui”. Il reprit le livre et se munit de quoi écrire. Il tenta de l’ouvrir en se cachant les yeux et en ne laissant qu’une petite ouverture. Cela semblait marcher car les images étaient moins nombreuses et moins confuses. Il écrivit des choses incompréhensibles jusqu’au matin.


Ils avaient repris la route depuis deux jours maintenant. Le temps était gris et de petites averses tombaient par moment. Ils voyageaient sur des chemins forestiers depuis qu’ils avaient quitté le tout premier village, avec des états d’entretiens pour le moins irréguliers. Celui-ci était suffisamment large pour que deux diligences comme celle-là puissent se croiser et le sol n’était pas trop meuble, ce qui leur permettait d’aller bon train. Soudain, le cocher du fiacre de tête fit signe de s’arrêter et deux mercenaires en descendirent. “- J’ai vu quelque chose bouger là-bas. Dit le premier. C’est peut-être rien mais ça coûte rien d’aller voir. - Tu sais que j’te suis parc’que j’t’aime bien, mais y’a des fois où t’as peur pour un rien. Maugréa le second.” Arrivés au pied des arbres, l’épée à la main, ils observaient, silencieux. “- Tu vois bien qu’y’a rien. Allez on s’en v…” Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il reçut une flèche en plein dans l’abdomen tandis qu’une chose bondit sur l’autre et lui fracassa le crâne avec sa hache. C’était une de ses abominations du Chaos : un homme-bête. Celui-ci n’avait pour cornes que des petites protubérances. L’homme qui avait reçus une flèche n’était pas encore mort et il planta son épée dans les côtes de la créature. A ce moment là, une douzaine d’homme-bêtes à petites cornes jaillirent des bois, précédés par d’horribles chiens difformes tout droit sortis de l’enfer. On pouvait distinguer dans la masse, des assaillants qui possédaient de longues cornes. Les mercenaires sortirent des carrosses avec empressement. Les chiens furent les premiers au contact mais malgré leur aspect terrifiant, un coup bien placé suffisait à en venir à bout. La plupart des voyageurs restaient dans la diligence, pétrifiés et apeurés. Certains, sachant se battre, descendirent mais ne prirent pas part à la mêlée afin de protéger les autres. Wilhelm ne savait que faire. Il n’avait aucune expérience du combat, et sa connaissance de la magie n’était pas assez instinctive pour pouvoir l’utiliser ainsi. Il se contenta d’observer. Un homme-bête beaucoup plus massif émergea des arbres et grimpa sur un petit rocher. Sa stature impressionnante et ses nombreuses cicatrices attestaient de son expérience au combat. Quatre longues cornes ornaient sa tête démoniaque et il brandissaient deux haches tâchées de sang coagulé depuis longtemps. Du haut de son promontoire improvisé, il beugla ce qui semblait être un ordre et l’ardeur des attaquants n’en fut que plus intense. La rixe était violente. Les épées et les boucliers s’entrechoquaient et le sang éclaboussait le sol. Les mercenaires étaient bien entraîné mais trop peu nombreux, se battant à un contre deux, voir trois. Bien que les sans-cornes soient de piètres combattants, il y en avait toujours un aux longues cornes pour tenir tête aux guerriers. Quatre créatures s’approchèrent de la diligence. Les voyageurs qui étaient descendus se défendirent tant bien que mal, mais avec seulement des bâtons ou des épées de fortune pour arme, il ne purent les retenir. Un homme-bête seulement tomba tandis que les voyageurs furent sauvagement éventrés ou assommés. Un des homme-bêtes donna de violents coups de hache dans l’attelage des chevaux jusqu’à le décrocher pendant que les autres commençaient à pousser pour faire basculer le lourd carrosse sans grand succès. Le chef tourna son regard vers eux et s’élança dans une course folle. Il percuta la diligence de son épaule avec une violence inouïe. Elle commença à pencher et les autres monstres n’eurent qu’à finir le travail. Les voyageurs paniqués étaient maintenant à leur merci, complètement impuissant. Wilhelm sentait que les vents écarlates étaient très présents par ici. Il devait tenter quelque chose. Les enfants hurlaient, les adultes étaient pétrifiés de peur. Le noble concentra les vents dans sa paume. Lorsqu’une des créatures apparut, il relâcha l’énergie qu’il avait accumulé et une gerbe de flamme brûla le visage du démon. Sa magie était imparfaite, mais au moins cela pouvait aider. Il s’extirpa du compartiment et vit un chaos indescriptible. La moitié des mercenaires gisaient dans leur propre sang, et l’autre moitié n’allait pas tarder à les rejoindre. Beaucoup d’homme-bêtes étaient morts également mais les plus coriaces se battaient toujours avec rage. Il envoya une autre boule de feu, mieux maîtrisée, lorsqu’un autre essaya de grimper. Le chef était repartit dans la mêlée, assommant et fauchant tout sur son passage, amis ou ennemis. Wilhelm continuait son rituel d’accumulation et de relâchement d’énergie. L’adrénaline aidant, il arrivait envoyer des flammes de plus en plus grosses et de plus en plus consistantes. Il espérait attirer suffisamment l’attention des pillards pour que les guerriers puissent prendre le dessus. Un cri de femme retentit derrière lui. C’était Sigrid. Un de ceux aux longues cornes avait attrapé les deux pauvres fillettes et la mère était sortie pour essayer tant bien que mal de l’en empêcher. Wilhelm se précipita. Il ne pouvait pas utiliser la magie sans risquer de blesser les jumelles. Au même moment, l’imposant chef de la harde, attiré par ce cri, accouru à son tour en beuglant. Le jeune homme essaya de le brûler avant qu’il n’y arrive mais la féroce créature était trop rapide. Son attention portée sur lui, il ne put éviter le coup de gourdin sur l’arrière de son crâne. Il s’écroula, à demi conscient. Trop sonné pour pouvoir se lever, il fut témoin, impuissant de la scène horrible qui allait suivre. La pauvre femme était toujours accrochée à ses filles lorsque l’imposant chef sauta sur le carrosse et s’empara d’elle. La pauvresse tenait bon. Il repoussa l’autre aux longues cornes et jeta les deux petites à terre avant de les piétiner sauvagement. Leur sang éclaboussa de toute part dans un spectacle d’une horreur sans nom. Le cri de la paysanne déchira l’air. Le temps était comme arrêté. La bataille se figea l’espace d’un instant. Le monstre s’empara de Sigrid, en état de choc, tel un trophée et se dirigea vers les bois, son attribut dressé attestant de ses intentions. La colère emplit le cœur de Wilhelm. Une lueur rouge apparut dans ses yeux. Il se leva et commença à lancer d’énormes boules de feu dans toute les directions. Les rejetons du Chaos prirent peur et commencèrent à déguerpir. Des pensées malsaines s’insinuaient dans l’esprit du jeune sorcier. Ses boules de feu s’obscurcissaient. Il voyait les vents sombres se mêler aux vents flamboyants lorsqu’il les canalisait, puis, petit à petit, seuls ces vents maléfiques persistaient et il envoyait des concentrés d’énergie noire. Lorsqu’elle entrait en contact avec quelqu’un, Wilhelm pouvait voir l’âme s'échapper et être aspirée par le livre. Il poursuivit le chef des créatures. Il savait instinctivement où aller. Il le trouva en train d’arracher les vêtements de la malheureuse avec un regard fou. La rage toujours omniprésente en lui, il accouru et posa ses paumes sur le monstre. Celui-ci se figea, le visage tordu de douleur et le noble sentait son essence vitale s’échapper jusqu’à ce qu’il meure. La peau et la chair se mirent ensuite à pourrir puis à se désagréger. Il ne restait que les os. Le jeune homme s’écroula, exténué. Tout était fini. Sigrid resta là, en pleurs. Wilhelm l’aida à se relever et il revinrent vers ce qui restait du convoi sans dire un mot. “- Hé toi ! Le magicien ! Tu dois savoir soigner, non ? Vient vite dépêche toi !” Appela un mercenaire blessé. Trois seulement avaient survécus et étaient bien mal en point. Les voyageurs étaient indemnes mis à part ceux qui avaient combattu et… Les pauvres fillettes. Il se dirigea lentement vers l’homme, le regard vide, l’esprit absent. Il s’agenouilla et plaça ses mains au dessus d’une blessure. Il canalisa négligemment. “- Merci on te revaudra ça. Promis on dira rien mon gars. On sait ce qu’ils font aux gens comme vous. Hé mais… !” La blessure commença à s’infecter et le mercenaire se tordit de douleur. “- Mais qu’est-ce que tu fais ?! Haaaaaa !” Comme avec l’homme-bête. L’essence vitale du mercenaire s’échappa et il mourut. Il n’avait pas voulu ça ! Il se releva, paniqué. Les autres guerriers défouraillèrent et commencèrent à devenir menaçant. Il recula, trébucha sur un corps, se releva et s’enfuit en direction des bois. Il passa à côté de Sigrid. Elle lui jeta un regard noir qui lui glaça le sang. Il n’avait pas le temps de s’attarder, il allait devoir fuir pour survivre désormais.

La fatigue, la solitude, la tristesse. C’était le pain quotidien de Wilhelm il fallait croire. Les mercenaires ne l’avaient pas poursuivit mais il aurait presque aimé que cela soit le cas. Il ne savait pas depuis combien de temps il errait dans cette forêt. Les jours et les nuits passaient inlassablement sans qu’il s’en rende compte, le temps changeait du jour au lendemain. Tantôt le vent lui glaçait le sang, tantôt le soleil l'assommait de ses rayons. Lorsqu’il arrivait à s’allonger pour un demi-sommeil, parfois il se réveillait en plein milieu de la nuit, parfois le jour était très avancé. Il avait perdu toute notion du temps. A moitié conscient la plupart du temps, il lui semblait qu’il se nourrissait ou buvait quelques fois. La seule chose immuable : le livre. Présent dans son esprit à chaque moment de la journée et de la nuit. L’objet tourmentait ses rêves et perturbais ses réflexions. Wilhelm sentait son influence maléfique : partout ou il allait dans cette forêt, pas un animal, pas insecte aux alentours. La solitude absolue. Au court de son errance, il arriva enfin aux abords d’un village. Il allait pouvoir se sustenter, prendre enfin un vrai repos et également se renseigner sur l’époque de l’année. Il s’approcha, méfiant. Ce devait être le matin car les commerçants ouvraient tout juste leurs boutiques. Le village était petit mais avait l’air de présenter toutes les commodités nécessaires. Il sentait le bon pain chaud venant d’une maison et s’en approcha. Il devait avoir piètre allure avec son teint blafard et ses habits sales et déchirées. “- Hola mon pauv’ gars ! T’as l’air tout débiné ! Ramène don’ ta trogne ici, j’vais t’filer de la bectance ! - Heu… Oui, merci beaucoup. - Fais don’ voir tes louches, tiens.” Le vieux boulanger lui donna une miche de pain encore chaude et un broc d’eau. Wilhelm, affamé, s’assit par terre et mangea avec appétit. Il n’avait strictement rien compris au palabre du vieil homme mais qu’importe. Il l’avait sans doute pris pour une personne du petit peuple et il s’était adressé à lui dans leur langage horrible. “- Si t’as qu’ces vieilles frusques sur le dos tu vas attraper du mal avec l’hiver qui vient. J’m’en va t’chercher une de mes vieilles pelures.” L’homme rentra dans sa maison pendant que Wilhelm finissait son repas improvisé. Il reparu un moment après avec un vieux gilet de laine puant mais très épais. Le boulanger avait dit que l’hiver arrivait, il avait donc erré presque trois mois dans cette forêt puisqu’il était partit au début de l’automne. “- Brave homme, on est bien en 2525, non ? - Ah non mon gars tu te gourres d’une année, ça va êt’ l’hiver de 2526 !” Wilhelm tomba de haut. Un an qu’il vagabondait sous les arbres ! Comment était-ce possible qu’il ne s’en soit pas rendu compte ? “- Toi ! C’est toi ! Qu’est-ce que t’es venu faire ici ?!” Wilhelm fut surpris par une femme qui lui sauta dessus pour l’étrangler. Un homme, sans doute son mari, accouru pour la retenir. Le jeune homme eu du mal à la reconnaître. Son visage lui était familier mais ses mèches de cheveux blanc et l'expression de haine sur son visage l’avaient induit en erreur. “- Sigrid ! S’écria le noble. - Oui c’est moi ! Et je vais te faire payer ce que t’as fait !” Elle qui était autrefois la douceur incarnée, n’était maintenant plus qu’une femme qui n’avait rien à perdre. “- Ecoutez tous ! C’est à cause de lui si mes pauvres petites ont été tuées ! Cria-t-elle en haranguant la foule, des larmes de colère lui coulant le long des joues.” C’est vrai que Wilhelm aurait pu agir, mais il n’était pas responsable ! Le choc émotionnel devait être trop important, et elle l’a alors associé à la mort de ses filles. Mais il n’avait plus le temps de penser, il allait encore devoir fuir. Il couru vers la forêt encore une fois, poursuivi par Sigrid, son mari et les quelques badauds présents à ce moment là. Il trébucha plusieurs fois mais maintenait son allure tant bien que mal. Une pensée malsaine traversa son esprit : avec l’aide du livre il pourrait sans aucun doute les tuer tous en un rien de temps. Non ! il ne fallait pas. Un morceau de bois vint heurter sa tête et ce fut suffisant pour lui faire perdre son équilibre et tomber. Il voulait se relever mais trop tard, ils seraient sur lui dans la seconde.

Soudain, les villageois s’arrêtèrent, interloqués. Wilhelm était mal à l’aise. Les vents de magie étaient très oppressants, étouffants. Des vents de magie gris tournoyaient autour de lui. Tout à coup il disparu dans une brume sombre pour réapparaître devant Sigrid et lui transperça le thorax avec sa main. Les villageois prirent leurs jambes à leur cou et fuirent en criant. Seul restait le mari de la pauvre femme. Fou de rage, il tenta d’assener un coup à l’inconnu mais le malheureux eut la tête tranchée instantanément. L’homme jeta la paysanne à terre et se dirigea vers Wilhelm. Il tendit une main griffue. “- Le livre, donne-le moi. - Qu… qu… quel livre ? Bégaya le jeune homme, apeuré. - Tu sais très bien de quoi je parle, c’est moi qui l’ai fait tombé en trébuchant sur le toit cette nuit là. Donne le moi avant que je perde patience, je ne te tuerais pas. Tu seras même content de ce que je vais te proposer. Dit-il d’un ton appuyé, le regard insistant. - Ou… oui, je vois de quoi vous voulez parler…” Il tendit le livre avec un instant d'hésitation mais l’homme s’en saisit avec une rapidité surnaturelle. “- Ce livre a une influence plutôt néfaste sur un esprit normal. Tu dois être quelqu’un d’exceptionnel et c’est ce que je voulais vérifier en te le laissant. Désires-tu savoir ce qu’il est en réalité ?” Wilhelm hocha la tête, n’osant rien dire. “- Ceci est une relique que m’a légué le seigneur Mannfred von Carstein. Il a rassemblé les quelques pages de l’antique livre de Nagash qu’il a réussi à se procurer et a créé une enveloppe de magie afin de les protéger. C’est ce livre. Observe.” L’homme mystérieux canalisa les vents du livre et Wilhelm pu voir par transparence les fameuses pages. Elles étaient écrites en lettres de sang sur une sorte de parchemin étrange. On aurait dit de la peau, pâle et très fine. Puis il arrêta et le livre repris sa forme d’origine. “- Je sais que tu veux apprendre la magie. Que désires-tu en faire ? - Je… je veux ramener quelqu’un à la vie. - Ha ! La vie ! Tellement facile à dire ! Ricana-t-il. Viens avec moi et je t’apprendrai à transcender la mort plutôt que donner la vie ! Vois !” Il tendit la main vers le couple mort. Des volutes de magie violette s'engouffrèrent dans leurs corps meurtris. Au bout d’un moment, les cadavres se relevèrent et attendirent là, sagement, l’un sans tête et l’autre avec un trou béant au milieu de la poitrine. “- Ce ne sont que des enveloppes sans âme, sans conscience, mais je peux t’aider à trouver ce que tu cherches. Suis-moi et tu ne seras plus jamais triste.” Ce n’est pas comme s’il avait le choix. “- Très bien. Je vous accompagne. Puis-je connaître votre nom ? - A la bonne heure. Répondit-il avec un rictus malsain. Je m’appelle Frederik. Dépêche-toi, j’ai à faire au nord.”

Wilhelmle suivit jusqu’à un carrosse à l’aspect lugubre. Il pris place à côté d’un homme aux cheveux blancs qui avait l’air jeune cependant. Ce dernier regardait négligemment à la fenêtre et ne leur jeta pas un seul regard. Ils voyageaient vers le nord à vive allure, pourtant la voiture n’était pas du tout cahotée. Le but du voyage était apparemment la frontière kislévite.




Compétences :

Incantation - niveau 1 : Votre personnage est capable d'incanter des sorts d'une magie particulière.

Langue Hermétique - Magikane nécromantique - niveau 1 : Votre personnage sait parler, écrire et lire le magikane nécromantique. A partir du magikane, les passionnés de la mort-vie créèrent leur propre langage magique : le magikane nécromantique. Le magikane nécromantique est un langage créée à partir du magikane et du langage des morts. Comme aucun être vivant ne peut réellement contrôler le langage des morts, ceux-ci l'ont assemblé à leur propre langage magique pour pouvoir les invoquer, les utiliser et les gouverner.

Conscience de la magie - niveau 1 : Votre personnage est sensible aux courants de magie et est capable de prendre conscience de la présence et de la situation approximative de toute personne ou créature enchanteresse et plus globalement de toute source de magie dans ses environs proches. (La distance est laissée libre à l'approximation du MJ qui, pour en juger, peut tenir compte du degré de réussite du test ainsi que de modificateurs). Cependant l'utilisation de cette compétence nécessite une concentration absolue : parler, se déplacer, combattre ou essayer de faire autre chose altérerait sa sensibilité(Cette compétence est réservée aux enchanteurs)

Alphabétisation - niveau 1 : Votre personnage est capable de lire et écrire les langages utilisant l'alphabet du Vieux Monde.

Sens de la Magie - niveau 1 : Votre personnage sait reconnaitre, au toucher, si un objet émet de la magie ou s'il a été affecté par elle. Un sorcier est capable de sentir qu'un autre personnage à des facultés magiques simplement en lui serrant la main.

Erudition - niveau 1 : En terme de jeu, votre personnage peut ajouter un bonus de +1/niveau sur tous les test mettant en jeu d'intelligence, la logique ect. Enfin, il peut acquérir ou améliorer des compétences basées sur la connaissance en ne déboursant que 40 XPs à la place de 50 XPs normaux.

Langue Hermétique - Nehekharien- niveau 1 : Votre personnage sait parler, écrire et lire une langue hermétique, en l’occurrence le Nehekharien antique. Sa connaissance reste basique: il n'en comprend pas toutes les subtilités, et ne peut être ultra performant lors de tests linguistiques.

Vision nocturne - niveau 1 : Votre personnage est doué de cette faculté de voir dans l'obscurité. Cependant cette obscurité ne devra pas être totale, comme celle des profondeurs de la terre ou les des souterrains d'un château etc. (Il doit au moins exister une source de luminosité : Astres lunaires, bougie etc., Votre personnage n'est pas capable de voir dans une obscurité totale)

Sens accrus - niveau 1 : Vous voyez dans le noir total jusqu'à une distance de 30 mètres comme le ferait une chauve-souris ordinaire. L’utilisation de ce trait s’accompagne de couinement causé par le vampire et qui peuvent être perçu avec un jet de perception.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 4 co 8 pa 0 s


Inventaire
Rapière Ouvragée 14+1d8 dégâts ; 12 parade Rapide
Tenue en lin 1 protection Tout sauf tête
Fiole Vide
Boite d'amadou
Allumettes
Encrier
Plume
Couteau de cuisine
Fiole de sang x3
Bourse Contient encore 3 Co 2 Pa


Grimoire
Réanimation Le sort crée 1D3 morts-vivants. Ceux-ci sont soit des squelettes, soit des zombies, en fonction de l’état des corps. Les morts-vivants ainsi créés sont sous le contrôle nécromantique du sorcier. Le sort ne peut pas créer plus de morts-vivants qu’il n’y a de corps disponibles.
Son Un son au choix du Sorcier (mais pas une voix) apparait autour du sorcier (rayon de 30 mètres). Le son dure un maximum de INT*niveau du sorcier secondes.
Courant d'air Un courant d’air léger, pouvant faire se déplacer des feuilles de papier (mais leur mouvement n’est pas contrôlé par le sorcier) apparait. Ce sort peut aussi servir à évacuer la fumée d’une pièce non aéré, ou à rafraichir les environs en cas de fortes chaleurs.
Décharge magique Le sorcier lance une décharge de magie pure touchant aussi bien les créatures physiques qu’éthérées, inflige 1d10 points de dégâts


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie des Arts Noirs
Classe actuelle : Apprenti de l'Occulte

Autres

Faiblesses vampiriques

- Miroir (connu)

- Pieux (inconnu)

- Barrière (connu; inhérent à la lignée)

- Larmes (inconnu)

- Soleil (pressentiment)

- Gromril (inconnu)

Dons vampiriques

- Nécromancien Né

- Malédiction des vampires

- Vampirisme


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