wiki:fiche_morgoroth - Warforum JDR - Wiki de règles et de fiches personnages

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Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom:	Morgoroth
Age:	130 ans
Sexe:	Masculin
Race:	Elfe noir
Carrière:	Voie du Cavalier de Naggaroth
Lieu/ville de départ:	Clar Karond
Fréquence de jeu:	1 post par semaine
MJ:	~

Nom de la ligne	FOR	END	HAB	CHA	INT	INI	ATT	PAR	TIR	MAG	NA	PV
Profil de départ (+4 PC initiaux)	8	7	10	9	9	9	10	10	9	\	1	50/50
Profil actuel	8	7	10	9	9	9	10	10	9	\	1	50/50
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir)	-	-	0/1	-	-	0/1	0/1	0/1	0/1	\	-	0/5

XP disponible:	0
PC dépensés:	4

Description physique :

Morgoroth est un elfe noir dans ses jeunes années, à peine son premier siècle passé et déjà son corps dit deux trois petites choses sur la vie qu’il a dû mener. Bien qu’il apprécie avoir les cheveux attachés, il les laissent détachés quand il est au repos, laissant ses fils d’argent au vent ou dans les doigts de quelques amantes qui vante leur douceur. Mais la douceur de ses cheveux est surement la seule douceur trouvable dans le physique de Morgoroth, car son visage est marqué d’une vilaine balafre au niveau des lèvres sur le côté droit de son visage. Une balafre qu’il doit à une lame qui a effleuré son visage d’un peu trop près, qui aide à le rendre plus intimidant mais qui démontre aussi qu’à un moment dans sa vie, peut-être, a-t-il été trop confiant dans ses capacités.

Dans le regard des elfes noirs, on trouve de la vantardise, de l’envie égoïste, un narcissisme décomplexé et tout leur corps suinte d’une violence exquise. Tout cela peut être retrouvé dans les yeux de Morgoroth, mais son regard en dis long également sur ceux qui remettraient son autorité en question. Pour tout autre qu’un elfe noir, le noir des yeux de l’elfe noir signifie un abîme de souffrance et de torture, avec une mort à peine hypothétique. Et croiser son regard signifie regarder sa cicatrice, une chose qu’il n’apprécie pas du tout et le fait savoir en appliquant de sévères châtiments aux esclaves qui le dévisagent de trop.

Malgré la pâleur de sa peau, presque cadavérique, Morgoroth a quelques rides au niveau du visage. Des rides que les combattants connaissent bien, des rides de concentration. Les sourcils qui se froncent, les yeux qui se plissent… Tout cela, Morgoroth connais, et son visage dans sa globalité indique qu’il est un guerrier jusque dans son âme, prêt à en découdre avec n’importe qui aussi bien sur sa monture que sur le plancher des vaches. Une fois son Kheitan, ses atours retirés et que ses amantes le voient approcher, elles peuvent admirer les bras fins mais aux muscles ciselés si caractéristiques des lanciers. Certaines cependant n’apprécient pas beaucoup un elfe noir si mince que Morgoroth et préfèrent les brutes en muscles, car il faut avouer que celui-ci est grand du haut de ses 1M86 et que son corps, bien que taillé pour le combat, n’est pas aussi massif que les autres. Mais ces amantes ne savent pas apprécier les plaisirs. Bien que cet elfe balafré n’ait pas la masse de nombre de ses congénères, son habitude à user de sa lance lui a donné une poigne que beaucoup lui envierait, et des réflexes rapides et précis. Réflexes qui, d’après la mosaïque de son corps, sont venus à force de combats acharnés et de nombreuses heures d’entrainements.

Que ce soit au repos ou durant un combat, sa voix étonne toujours ceux qui ne l’ont jamais entendu. En effet on pourrait penser qu’un elfe aussi malingre aurait une voix fluette, presque difficile à entendre, mais dans le feu de l’action il est très facile d’entendre les rugissements combatifs de Morgoroth ou bien ses invectives envers sa monture. Quand cette voix n’est pas occupée à hurler au combat, elle devient plus calme, comme le grondement sourd d’une bête qui attends qu’on la provoque.

Comme tout un chacun, il aime saisir chaque opportunité pour améliorer son rang et sa condition. Et de temps à autre, il n’hésite pas à provoquer lui-même son adversaire. Guerrier dans l’âme, il a certaines difficultés avec la diplomatie toute elfe noir et préfère les approches plus directes. Cependant cela ne l’empêche pas d’être fourbe dans les combats. Si son adversaire le défi de le combattre sans son bouclier, il acceptera et ira en chercher un dès le début du combat en affirmant haut et fort l’imbécilité de son adversaire qui a oublié de préciser pendant combien de temps il devrait être séparé d’un bouclier. Des manœuvres dignes d’un enfant, mais les enfants apprennent vite.

Description psychologique :

Les pensées de Morgoroth ne sont pas des pensées de grands stratèges, de diplomates ou de dynastes. Étant de basse extraction et n’ayant connu que la vie à la dure, il n’est pas aussi planificateur que ses congénères, ce qui le fait passer le plus souvent pour simplet. Cependant la simplicité de ses pensées a quelques fois menées à des coups d’éclats surprenants. Capable de déployer des trésors de compréhensions et de sournoiserie, il ne laisse cependant jamais rien transparaitre. Les rares émotions lisibles sur le visage de Morgoroth sont dans des moments de colère ou d’extase, aussi bien guerrière qu’intimes.

Le comportement de Morgoroth n’est cependant pas dépourvu de raisons ou d’une envie précise comme la totalité de ses congénères. Ses pensées et ses actions ne servent qu’un but : Devenir un puissant dynaste capable de siéger à la cour du Roi-Sorcier, et pourquoi pas devenir un Drachau. Pour cela, il sait qu’il doit réaliser de grands exploits aussi bien militaires que tactiques, et développer ses capacités mentales. Il sait que le chemin est long. Mais plus il sera long, plus il sera recouvert du sang de ses ennemis, et des obstacles sur sa route il ne restera que des gravats.

Des nombreuses sortes d’esclaves qu’il a vu passer, certains représentants ont attirés son attention. Les Humains, car malgré leur faiblesse générale ils arrivent à repousser depuis des siècles une fin inévitable qui démontre une force de caractère remarquable. Les Orcs et les Hommes-Bêtes ne font certes pas de bons esclaves à cause de leur tempérament à toujours frapper tout ce qu’ils voient, mais un combat contre un chef de leurs chefs serait intéressant et démontrerait sa supériorité sur ces races. Les Homes-lézards, évidemment, figurent sur sa liste d’ennemis à abattre. Mais un adversaire qui lui tarde d’affronter serait un commandeur des lions blancs de Chrace, ces Hauts-Elfes imbus d’eux-mêmes et prétentieux qui pensent valoir mieux que les autres…

Quel plaisir cela sera d’ôter la vie de chacun de ces êtres pour les offrir à Khaine, ou Anath Raema. Il n’offrira les âmes que de ceux qui méritent d’être envoyés à ses dieux, les autres iront pourrir ailleurs dans les immensités du monde sous la houlette d’Ereth Khial. Morgoroth sais, ou plutôt refuse, de demander quoi ce soit aux dieux. De son point de vue nul mortel en dehors de rares et uniques élus n’a le droit de demander une chose aux dieux, car cela reviendrait à faire preuve de faiblesse envers de entités qui ne tolèrent pas ce genre de forfait. Ainsi, il espère attirer leur attention afin mériter ses cadeaux et ses dons. Et, évidemment, que serait la vie sans les délices des plaisirs d’après les batailles que procure Atharti. Le lit n’est qu’un autre champ de bataille, aussi plaisant et dangereux qu’un autre.

Alignement : Loyal Mauvais

Historique du personnage :

Morgoroth est né dans la grande cité de Clar Karond, cité aux milles merveilles et plus d’esclaves qu’il n’y a d’étoiles dans le ciel, sans même compter les bêtes et les monstres enfermés dans les cages. C’est entouré de rugissements, de cris et d’encore plus d’hurlement que le jeune elfe noir a grandis. Inutile de raconter ses premières années, elles se ressemble à beaucoup d’autres de son rang, ceux qui font partis du peuple Elfe noir, même pas de la noblesse.

Son père, Kavrauc, n’a jamais réussis à se distinguer comme un véritable guerrier, ni comme sachant utiliser son cerveau de manière aussi efficace que sa femme. Cependant son fils a hérité de la force de son père, seule qualité de ce dernier d’après la mère de Morgoroth, ce qui fais que Kavrauc n’a trouvé de travail qu’aux débarcadères de Clar Karond. Et à la surprise de quelques-uns, le travail abattu par le père vaux celui de 5 elfes noirs. Il est rapide, fort et endurant dans son travail, et vu le travail en question, est en relation avec beaucoup de gens bien mieux placés que lui, mais son manque d’intellect fais qu’il a manqué tellement de possibilité qu’il ne fais que stagner sans réussir à s’élever.

C’est sa mère, Liraca, qui lui a le plus appris. Cette dernière est une elfe noire bien plus accomplis que son idiot de mari et a réussis à finir garde de l’un des innombrables enclos de Clar Karond, et sous sa surveillance, très peu de disparitions se sont passées. Elle a appris à son fils les bases de tout ce qu’un Elfe noir est sensé savoir, de la façon de tenir une lance à la cruauté dont ils doivent abreuver leurs adversaires, autant que le fait de la fermer et de ne parler que quand on a quelque chose à dire. Ces enseignements furent sévères, injustes, durs et chaque soir pendant plusieurs décennies, son fils était couvert de bleu, d’hématomes et avait de nombreux os fêlés ou brisés.

En grandissant, Morgoroth a plusieurs fois vu ses parents partir sur des navires corsaires afin de partir en guerre sous les ordres de telle ou telle maisonnée, le laissant seul au milieu de la jungle qu’tait Clar Karond. Mais il ne resta pas vraiment seul longtemps. Alors qu’il cherchait un emploi pour simplement pouvoir manger, il rejoignit une petite troupe formait rapidement sur l’ordre d’une petite maisonnée afin de chasser et, si possible, ramener des esclaves en fuite. Ils n’en ont ramenés que des cadavres, et Morgoroth avait eu sa première expérience avec un cheval et, même s’il en avait très mal aux fesses, une idée commença à germer dans son jeune esprit. Ainsi, et à chaque fois que ses parents sont mobilisés pour partir en guerre, le jeune elfe noir est devenu un habitué des « Rabattages » comme ils appellent ces chasses aux esclaves.

C’est lors de l’un de ces rabattages qu’il fis la rencontre d’une noble. La noble en question était la matriarche de cette famille, se nommait Thirisi Fouet-d’épine, et était donc celle qui payait. Ce rabattage fut particulier car il s’agit d’esclaves avec un intellect plus grand que la plupart, et leurs pertes serait fortement regrettable, aussi elle se joignit aux recherches. Cette excursion dans les bois aux alentours de la cité pris plusieurs jours, les fugitifs avaient effectivement fait preuve d’intelligence et passés par les fleuves, faisaient de fausses pistes et ne faisaient aucuns feux. Après une autre journée de pistage difficile, la noble décida de passer ses nerfs sur quelqu’un, et désigna Morgoroth et ce dernier compris, après les faits, que la noble n’avait dû perdre aucun esclave, et après avoir vu un tatouage d’Atharti sur son buste il compris qu’il allait passer une superbe nuit.

Après cet épisode Morgoroth avait toujours une place en plus pour lui dans les troupes de la maisonnée Fouet-d’épine pour rabattre des esclaves, même imaginaires et éloigna les nouveaux arrivants plus jeunes que lui quand la rumeur selon laquelle Thirisi aimait la fougue de la jeunesse.

Après son premier enrôlement chez les rabatteurs, Morgoroth se rendit dans le quartier des enclos que sa mère gardait, pendant qu’elle était en faction, pour satisfaire sa curiosité et aider à faire germer son idée. Mais tout ne s’est pas vraiment passé comme prévu, notamment à cause d’un autre elfe noir. Celui-ci se nommait Guvoth, fils d’un trsitelame qui commençait à se faire un nom et, comme son père, débordait, dégueulait même d’arrogance et de témérité. Celui-ci n’arrêtait pas de parler de son avenir prometteur chez les tristelames et de son avenir radieux dans la noblesse de Clar Karond, et plus Morgoroth gardait la bouche fermée, plus Guvoth se polissait la lame. Jusqu’au moment du point de rupture de Morgoroth qui lui lança « Tu n’es rien d’autre qu’une épée brisée. » Il avait tellement appréciait le silence, l’humiliation et le regard haineux de son vis-à-vis, au moins autant qu’il fut terrifié quand le cadenas de la cage d’un sang-froid fut brisé par la lame de Guvoth. Le sang-froid avait immédiatement pris Morgoroth pour cible et ainsi débuta un balai monstrueux.

Le sang-froid donnait des coups de griffes, chargeait, essayait de dévorer Morgoroth. L’animal était bien plus rapide que tous les chevaux qu’il avait connu, ou même plus que les autres elfes noirs. Les griffes comme les crocs ne se refermaient jamais vraiment sur lui, mais les griffes traçaient de sinistres sillons sanglants sur ses bras et son torse. Mais arriva le terrible moment où l’elfe noir percuta un mur et la créature se rapprochée. Elle bondit sur lui, toutes griffes et crocs dehors, la gueule grande ouverte prête à la dévorer. Mais alors résonna le claquement puissant d’un fouet qui s’enroula dans la gueule même du monstre, et avec une force inouïe le maitre des bêtes arrêta la créature en vol et la fit tomber au sol. Mais dans ce mouvement, une griffe avait fendu les lèvres de Morgoroth. Une seule griffe et à peine le bout de cette dernière avait suffis à lui infliger une cicatrice à vie. Le sang-froid fut maitrisé par pas moins de 10 gardes et 2 maitres des bêtes. Terrorisé, il fallut plusieurs instants pour que Morgoroth ne comprenne qu’il n’était plus en danger de mort. Il entendait au loin les ordres hurlés par les maitres des bêtes juste devant lui, il voyait un elfe noir pleurait de rire un peu plus loin, mais son regard était tourné vers le sang-froid, cette tornade de rage, de carnage et les promesses de tueries que la créature promettait. Et un sinistre sourire s’étira sur les lèvres de Morgoroth, qui avait décidé sur quel genre de monstre il aimerait aller au combat.

Maintenant qu’il a l’âge de s’enrôler dans une armée sous la supervision d’une maison noble, il a attendu la bonne opportunité. Il y a des nobles qui recrutaient à tours de bras, mais ils ne s’agissaient que de Trsitelames ou de Sombretraits, quand ce n’était pas des Affrelances. Lui attendait avec impatience le recrutement des régiments de cavaliers noirs. Il avait travaillé avec trois fois plus d’ardeurs que d’autres, avait participé à autant de rabattage que la maisonnée Fouet-d’épine proposé, aussi fut-il récompensé par un membre de la famille Fouet-d’épine. Sirnith était son prénom, mais elle n’avait pas encore gagné le droit de porter le nom familial.

Elle se présenta à Morgoroth, les rennes d’un poney noir en main, elle-même perché sur un vrai destrier tout aussi noir, une lance dans une main et un port qui démontrait qu’elle était une cavalière au même titre que celui en face d’elle. Elle le toisait comme pour voir s’il était digne de ce cheval, et après inspection elle lui dis ceci : « Reste hors de mon chemin, et tu seras récompensé. Ce serait dommage de priver Thirisi Fouet-d’épine de son petit joujou. » en lâchant les rennes du poney et repartit sur son destrier.

Compétences :

• Acuité visuelle (B) : Votre personnage est doué d'une vision exceptionnelle. Il peut ajouter un bonus de +1 pour voir des choses à une distance largement supérieure à la normale ou, au contraire, des choses infiniment petites (Selon le libre jugement du MJ). Cela n'affecte pas la compétence “vision nocturne”.

• Vision nocturne (E) : Votre personnage est doué de cette faculté de voir dans l'obscurité. Cependant cette obscurité ne devra pas être totale, comme celle des profondeurs de la terre ou les des souterrains d'un château etc. (Il doit au moins exister une source de luminosité : Astres lunaires, bougie etc., Votre personnage n'est pas capable de voir dans une obscurité totale.)

• Lutte (B) : Votre personnage est rompu aux techniques de combat au corps au corps. Lorsqu’il se bat sans armes, au lieu de faire des dégâts, il peut choisir d’immobiliser son adversaire au sol pour la fin du round et le prochain round. (Il devra réussir un test de FOR comparé à chaque round pour réussir à le maintenir toujours immobilisé). Si le lutteur dispose de plusieurs actions offensives, il peut attaquer la personne immobilisée et donc tenter de lui infliger des dégâts normaux à mains nues sans pour autant le libérer de son immobilisation.

• Réflexes éclairs (B) : Votre personnage est très réactif, il possède des réflexes développés. Il bénéficie d'un bonus de +1 à ses tests d'INI en réaction aux situations de surprise.

• Parade (A) : Votre personnage a appris comment se servir d'une arme à son plein potentiel pour réussir à parer une attaque rendant les parades bien plus efficaces. La valeur de parade des armes (bouclier compris) est ainsi doublée. Par exemple, une épée ayant une parade à 12 aura dès lors une parade à 24.

• Monte (A) : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.

• Acrobatie équestre (A) : Votre personnage est capable d'effectuer toutes sortes d'acrobaties à cheval comme tenir en équilibre, bondir sur son dos, etc., En pratique, lorsqu'il monte à cheval il peut ajouter un bonus de +1 sur les tests visant à déterminer s'il parvient à garder son équilibre lorsque sa monture s'emballe. En outre, comme pour la compétence «tir en mouvement» il ne subit aucun malus lorsqu'il utilise une arme de tir et de jet sur un cheval en déplacement.

• Pistage (A) : Votre personnage a cette faculté de pouvoir suivre les traces laissées par des animaux ou des voyageurs. Il ajoute un bonus de +1 lors des tests visant à déterminer s'il arrive à suivre une trace (selon les circonstances et la précaution de ceux qui sont suivis, le MJ peut décider de modifier le test par des modificateurs). Toujours sur un test réussi, d'après des traces de pas, les cendres d'un feu et d'autres indices, il peut arriver à estimer le nombre, la race la distance entre lui et ses proies (en temps et en distance).

• Intimidation (B) : Votre personnage n'a pas son pareil pour faire valoir son rang et son appartenance à la noblesse. Il ajoute un bonus de +1 sur ses tests d'intimidation. Si le test est réussi, il arrive à obliger des personnes du commun à obéir à ses exigences. (Paysans, serfs, menu peuple etc.,) (Si la réussite au test est importante il peut arriver à obtenir des faveurs considérables et même à les persuader de le suivre dans toutes sortes de situations périlleuses. Cependant, le MJ peut tenir compte de modificateurs selon la sympathie, la respectabilité etc., de votre personnage.)

• Bravade (B) : Votre personnage sait trouver le mot ou la phrase qui “blesse” lors d'un combat. Il peut ainsi lancer une remarque ou une insulte qui, sur un test réussi, troublera et déconcentrera son adversaire, lui donnant un malus de -1 sur ses caractéristiques ATT, PAR et esquive durant 1D3 rounds, le temps pour lui de se ressaisir. La bravade ne peut être tentée qu'une seule fois par adversaire, et nécessite que ce dernier parle la même langue que votre personnage.

Inventaires et biens du personnage:

Bourse:

0 Couronnes d'or


Lance druchii (1 main)	16+1D8 dégât, 6 pts de parade, Long ; Peut être maniée à deux mains.	La lance est un terme générique désignant une arme d'hast dotée d'un fer emmanché sur une hampe ou long bois.
Bouclier noir	8+1D6 dégât, 15 pts de parade ; Déstabilisant	Un bouclier gravé du sigle de la maison à laquelle son porteur, ou à défaut par un signe quelconque.
Kheitan	9 pts protection sur Torse/Dos et Bras ; -1 INI, ATT et PAR	Le kheitan léger est l'armure traditionnelle portés pendant les voyages, les déplacements en mer ou encore dans les milieux mondains. Il est composé à la fois de cuir épais, d'étoffe et de maille.
Coursier elfe noir	FOR 8 ; END 8 ; SAU 10 ; RAP 10 ; INT 8 ; DOC 9 ; ATT 6	Tous les guerriers montés n'ont pas les moyens de s'offrir un destrier et se tournent donc vers une monture plus légère. Bien que moins imposants, les chevaux de guerre sont aussi convenablement dressés que les destriers et ne prennent donc pas la fuite face à l'odeur du sang ou de la poudre.
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Harnachement complet de monture