Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom:	Cared du Lac
Age:	21 ans
Sexe:	Masculin
Race:	Humain
Carrière:	Chevalier Bretonnien
Lieu/ville de départ:	Drakwald
Fréquence de jeu:	Ca peut varier pas mal avec le boulot, mais normalement j'assure au moins un passage par semaine. Par contre je bosse le WE alors il ne faut pas forcément compter sur le dimanche.
MJ:	[MJ] Kriegsherr

Nom de la ligne	FOR	END	HAB	CHAR	INT	INI	ATT	PAR	TIR	NA	PV
Profil de départ (+4 PC initiaux)	8	8	8	8	8	8	10	10	8	1	60/60
Profil actuel	8	8	8	8	8	8	10	10	8	1	60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir)	0/1	0/0	0/1	0/0	0/0	0/1	0/1	0/1	0/0	0/0	0/5

XP disponible:	0
PC dépensés:	4

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Description physique :

C'était un homme qui aimait cueillir les jolis coeurs que celui-là. Son rire était facile, et il l'adressait aussi bien aux jouvencelles qu'aux anciens. Ce sourire qu'il dédiait était franc, solaire : et il avait la voix riche des hommes au coeur pur. Grand et fort d'épaules, le métier des armes lui avait serré la taille, taillé la silhouette. Cared avait la poitrine vaste et les jambes solides, grâce au métier des armes. Les étés de Bretonnie avaient hâlé sa peau car il ne se complaisait pas dans la vie de château. Il était pourtant gentilhomme, avec un goût prononcé pour la chanson et les lectures. Lui-même s'adonnait à donner de la voix en quelques occasions, ne la refusant ni aux nobles ni aux roturiers. Ses cheveux de jais, légèrement frisés, s'accordaient à la tonalité glacée de ses yeux gris, auxquels il parvenait miraculeusement à conférer un éclat rieur. Un bouc d'ébène lui mangeait la mâchoire qu'il avait dure, quoique sa bouche eût des lèvres douces. On décelait dans son port le maintien altier des chevaliers, et les siens fondaient de grands espoirs en lui, car son bras était vif.

Description psychologique :

Cared est un homme de bien en ceci qu'il respecte les principes de la chevalerie et est de plus doté d'une personnalité avenante. C'est un compagnon chaleureux qui pousse son code personnel jusqu'à sacrifier son confort par altruisme et par orgueil : s'il veut montrer l'exemple c'est autant pour donner aux autres un modèle que parce qu'il ne supporterait pas lui-même de ne pas en être un. S'il est souriant et même drôle à l'occasion, Cared se laisse emporter par la vanité de la jeunesse et celle-ci peut prendre un tour orageux, car il y a au fond de lui la violence des hommes d'armes et la possible cruauté d'un guerrier victorieux. Il accorde à ses ennemis la pitié que la Dame exige, mais peut rapidement oublier cette exigeance s'il s'est senti humilié ou si une tierce personne de son entourage a été blessée. Sa miséricorde est une merci superficielle, bien fragile, et la colère le saisit si facilement au combat qu'il se reproche souvent d'être si éloigné de l'idéal serein auquel il aspire. Cared est comme une flamme qui se veut tranquille, mais qui n'a de cesse de dévorer pour briller encore plus fort et encore plus haut. Cela ne l'empêche pas de réchauffer le coeur de ceux qu'il côtoie, car ni son courage ni sa fidélité ne sauraient être remis en doute.

Alignement : Chaotique Bon

Historique du personnage :

Cared est né dans la région de Lyonesse, province particulière de la Bretonnie en ceci qu'elle a dépassé l'ancienne frontière du Moussillon pour s'étendre vers le coeur de la région maudite. C'est un royaume qui est de plus en plus marécageux à mesure qu'on avance vers le Sud-Est, le château de Rachard marquant la délimitation à ne pas franchir, au risque d'entrer sur le duché purulent de Moussillon. Cared est donc l'unique enfant d'un chevalier apauvri du nom de Gilibert du Lac, mais détenant un fief sous la forme d'un petit fort de campagne. Celui-ci est très estimé de ses habitants car il siège à côté non d'une tourbière, mais d'un beau lac à l'eau limpide, improbable joyau liquide au milieu de la fange. Les hommes du cru ont l'habitude de dire que tant qu'un chevalier vivra pour les défendre, l'étang perdurera. On les appelle les chevaliers du Lac.

Cared a grandi dans l'ombre du Moussillon, dans laquelle se terrent les habitants difformes et mauvais du duché perdu. Son père n'a eu de cesse de lui répéter qu'un jour ce serait à lui de prendre les rênes de Fort-le-Lac, et qu'il devrait alors garder cette frontière face à la main imprévisible du Sud. Mais qu'avant il devait apprendre ce qu'était un chevalier, ce que cela signifiait, et donc il l'ordonna aux préceptes de la chevalerie. Il lui apprit à monter un destrier et à user de l'épée et du bouclier, d'abord pour défendre, puis pour tuer. Cared se fit l'élève zêlé de son père, apprenant de sa maîtrise des armes sous l'oeil attentif de sa mère. Elle était impériale de naissance, mais son nom était Marianne, et il ne sonnait pas comme le parler barbare d'Altdorf, mais bien comme la langue fleurie de Bretonnie. Pour cette raison, nul hormis sa famille ne connaissait cette ascendance étrangère. On ne s'expliquait donc pas l'attrait de Cared pour la culture impériale, qu'il ne pouvait s'empêcher de mépriser mais qui le fascinait sans que là non plus il n'y puisse rien changer. Il était un homme fait, à vingt ans, lorsque son père le manda dans son étude. Cared y alla le coeur léger, car il savait de quoi on allait l'entretenir, et il ne s'était pas trompé. Son paternel le somma de partir en quête, de parcourir le monde autant qu'il le jugerait nécessaire, d'apporter son aide et le secours de son bras à qui il jugerait utile, et de gagner ses éperons de chevalier. “Va user de ton épée, ô mon fils, et va érafler ton bouclier ; ne reviens pas avant que tous deux soient marqués par ton périple. Ne reviens qu'avec le sourire, afin que je sache que tu es fier de toi. Et reviens avec ton cheval, car c'est une belle bête…” “Et que nous en avons peu” conclut Cared en éclatant de rire.

Le jour suivant il enfourchait sa monture, vêtu de mailles, portant lame et écu, et allant de villages en hameaux. La terre de Bretonnie lui était chère mais son intérêt allait à l'Empire, qu'il souhaitait découvrir au-delà des livres et de ce que sa mère lui en avait dit. Il franchit les montagnes grises, bravant le froid et les créatures en prêtant son assistance à une caravane en échange du couvert. Il arriva au Reikland, la plus puissante des provinces impériales, et se mit en route pour Altdorf dont il avait tant entendu vanter les merveilles et l'horreur. La capitale de l'Empire lui apparut incompréhensible, régie par des règles et des codes absurdes, où les êtres humains lui apparurent comme des marionnettes et où lui-même était considéré davantage comme un veau qu'un noble. Ébranlé mais non découragé, il décida d'aller plus au Nord, de s'éloigner du coeur du pays pour voir ce qu'il était vraiment, loin de la fumée des manufactures et des artifices de la cour. Il prit Talabheim pour point de repère mais se perdit, entrant au Middenland choisissant ainsi un chemin bien à l'Ouest de sa destination. Là, il affronta la misère et la racaille mais toujours avec frustration, car ceux qu'il souhaitait défendre pour sa fierté semblaient être les mêmes que ceux auxquels il faisait face (et qu'il avait perdu son cheval au cours des affrontements, ce qui était loin de le mettre dans de bonnes dispositions). Il se reposait avec ses dernières pièces dans un village qui avait le théâtre de singuliers évènements : mercenaires et révolutionnaires s'y étaient battus pour des raisons qui échappaient au chevalier, mais une force religieuse semblait avoir mis un terme à l'affrontement. Ce n'était pas là ses affaires et Cared se tenait à bonne distance des prisonniers quand un homme vint le trouver, un dévot de Sigmar du nom de Ponce. Ce culte l'intriguait et lui paraissait, comme bien des choses impériales, d'un rare barbarisme ; mais il était chevalier et écouta respectueusement le religieux. Celui-ci avait appris son désir de quête et l'enjoignait de rejoindre une personne, servant la même divinité, et qui s'en allait dans la Drakwald. Elle pouvait avoir besoin de son aide, ou du moins ne serait-elle pas superflue, car le mal se terrait dans l'ombre des arbres. Cared sentit son coeur se gonfler de joie, car il sentait que peut-être il tenait là sa véritable quête. Il remercia le prêtre et ne tarda pas à se préparer, prenant la route de la forêt maudite pour retrouver cette mystérieuse personne qu'il allait escorter…

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Compétences :

• Coups puissants : Votre personnage développe une puissance hors du commun lors des combats et augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 points de dégâts

• Sang-froid : Votre personnage a ce qu'on appelle des «nerfs d'acier». Il sait rester maître de lui-même dans les situations les plus dangereuses. Il bénéficie d'un bonus de +1 sur n'importe laquelle de ses caractéristiques lors de la réalisation d'une action dans un climat de stress et de tension mentale (En d'autres termes, ce bonus sert à réduire un malus généré par une situation stressante. Cette compétence ne peut s'appliquer que dans la mesure où un test est soumis à malus!)

• Monte : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.,

• Alphabétisation : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.

• Couverture au bouclier : Votre personnage est capable de défendre l'un de ses compagnons en exécutant une parade pour lui. Le compagnon devra se trouver aux cotés de votre personnage. La couverture est réussie sur un test de couverture concluant (Cette compétence ne peut être utilisée que si votre personnage n'a pas déjà réalisé une parade pour se protéger lui-même ou pour protéger un autre de ses compagnons durant ce round. Elle n'est utilisable qu'une seule fois par tour et compte comme une action de parade pour celui qui l'utilise, ce qui signifie qu'il ne peut se protéger lui-même. Par contre la personne qui jouit de la couverture de votre personnage peut toujours utiliser sa parade pour elle-même. Enfin, il est possible de protéger d'un tir si le tireur est vu au bon moment par le protecteur.

• Anticipation : Votre personnage, lorsqu'il est en situation de combat, arrive à prévoir les réactions d'un ennemi (Autant ses attaques que ses parades). Pour analyser le style de combat de son adversaire direct, il lui faudra 2 rounds entiers. A partir du 3ème round, cette compétence lui permet d'avoir un bonus de +1 en ATT et en PAR contre ce seul adversaire. (Pour bénéficier de ce bonus contre un autre adversaire, il lui faudra l'avoir combattu pendant au moins 2 rounds)

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Inventaires et biens du personnage:

Bourse:

1 Couronnes d'or

Inventaire
	Chemise de mailles	Torse, dos et bras / 9 / -1 HAB, ATT et PAR	Armure moyenne
	Jambières de mailles	Jambes / 9 / -1 HAB, ATT et PAR	Armure moyenne
	Epée (1 main)	16+1d8 dégâts / 12 parade
	Bouclier en acier	6+1d6 dégâts / 16 parade / Déstabilisant	Armure moyenne (pris en sacrifiant des couronnes d'or)
	Bannière du Lac (enroulée)
	Couchage portatif
	Outre
	Rations
	Boucles d'oreilles (argent)

Grimoire

Parcours

Quêtes accomplies

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Dévotion religieuse

Autres