Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom:	Bolrok
Age:	26 ans
Sexe:	Masculin
Race:	Homme-Bête
Carrière:	Voie du Minotaure
Lieu/ville de départ:	Mont du milieu, Forêt de la Drakwald
Fréquence de jeu:	Fréquent
MJ:	RP libre

Nom de la ligne	FOR	END	HAB	CHAR	INT	INI	ATT	PAR	TIR	FOI	MAG	NA	PV
Profil de départ (+4 PC initiaux)	13*	12*	5	1*	3*	8	12*	7	5	\	\	1	120/120
Profil actuel	14*	12*	5	1*	3*	8	12*	7	5	\	\	1	120/120
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir)	1/1	0/1	-	-	-	-	0/1	0/1	-	\	\	-	0/10

XP disponible:	3
XP dépensé:	125

---

Description physique :

L'humain courrait depuis plusieurs minutes déjà, il fallait lui reconnaître que lui semblait capable de courir vite et longtemps avant de finalement ne plus pouvoir avancer. Il finit par ralentir, et ce fut dommage pour lui car un serpent vint rapidement s'enrouler autour de son cou, étouffant les sanglots, les pleurs, les suppliques et la fatigue. Il fut soulevé du sol par une force si puissante qu'il sentait les os de sa nuque prêts à exploser comme on explose des noix dans sa main. Il vit deux énormes cornes naturellement de couleur beige, désormais teintées de rouge, décorées de boyaux et de tripes. Il sentit l'odeur abominable de la gueule de la bête avant de sentir ses dents se refermer sur son torse pour le trancher en deux. Le monstre venait de terminer son repas. Un bon dessert au vu de la quantité du repas en question. Des humains rassemblés en si grand nombre, avec pour seules armes des fourches aux pointes arrondies et des pelles usées par le temps… Le carnage à venir avait décroché un sourire mauvais sur les lèvres presque invisibles de Bolrok. Il avait foncé dans le village, lorsque la nuit était là et que les humains s'en allèrent dormir. Il fonça, utilisant ses muscles, son élan et sa masse pour démolir la barricade de bois et défoncer un mur de bois d'une maison, dans laquelle se trouvait l'entrée de son repas. La folie et les cris qui trouvèrent leurs échos dans l'instant qui suivit rendirent Bolrok totalement fou, et les villageois virent enfin la créature sortir alors qu'elle avait un enfant embroché à l'une de ses cornes, et ce qui restait de l'un de ses parents encore en gueule. Un immense mastodonte de muscles et de graisse, dont la vue suffirait à rendre fou de terreur tous les villageois ici présents. Dont l'odeur faisait s'agiter les animaux depuis des heures entières, mais aucun des villageois n'y avaient prêté attention. Son cuir était tanné par le soleil, craquelé et constellé de cicatrices si fines qu'on aurait dit qu'elles n'étaient pas vraiment là. Aux yeux des villageois, Bolrok était ce qui se rapprochait le plus d'un démon ancien, avec sa peau craquelée, sa carrure imposante et intimidante, sa masse écrasante, sa dangerosité palpable et avec ses yeux emplis de haine, de malice et de folie. Pour Bolrok, ce qu'il voyait devant lui, c'était un bon repas et un carnage gratuit.

Description psychologique :

Les humains sont si faibles seuls, mais en groupe ils deviennent plus dangereux, voilà pourquoi Bolrok ne s'aventure pas dans les villes humaines, même petites, et se contente des villages ruraux. À chaque fois qu'il en voyait un, il enrageait car le fait de se rassembler pour devenir plus fort, c'est ce que les hommes-bêtes font, et les humains leur ont volé ça en plus du sol de sang ! C'est impardonnable ! Massacrez ! Massacrez ces humains, jusqu'au dernier !! Mais pour ça, il faut une harde avec des hommes-Bêtes forts. Mais pour avoir une harde d'hommes-bêtes forts, il faut un chef plus fort encore. Il doit être fort, malin et totalement dévoué aux maîtres de la ruine. Bolrok était fort et dévoué. Et vu qu'il était toujours en vie, il était surement plus malin que ces maudits humains ! Quand ils viennent dans la forêt, Bolrok les traque et les tue. Quand les humains courent dans tous les sens quand il les attaque, il les tue et se nourrit des plus forts. Et quand des humains en armure viennent pour le tuer, Bolrok se réfugie dans la forêt. Mais il ne s'enfuit pas, non… Les humains veulent tellement sa mort, qu'ils le suivent dans la forêt. Alors, Bolrok les tuent les uns après les autres, en les menant dans des pièges naturels, des escarpements ou des grottes. Bolrok n'en a pas l'air, mais il sait utiliser un peu sa tête. Généralement aussi simple d'esprit qu'un Minotaure peut l'être, mais quand un festin et un carnage gratuit et mérité se présente à lui, il sait faire montre de la plus noire des fourberies et de la plus grande des malices. Même si ce n'est pas son mode opératoire préféré… Rien ne vaut un champ de carnage, le rugissement d'un millier d'hommes-bêtes et les cris du carnage ambiant. Dans ces cas-là, Bolrok est toujours en première ligne, en fait il est même devant les premières lignes, à charger de toute sa masse et tout son corps pour éclater au sol ces maudits humains qui ont osé penser un instant que le sol de sang serait à eux ! Le premier à remettre en question cette volonté sera éclaté, son cadavre donné aux chiens et aux vautours, et son cœur sera donné aux vers !! Les maîtres ont offert aux Hommes-Bêtes le sol de sang ! Alors Bolrok l'arrosera à son tour, avec le sang des humains, des nains, des elfes et de toutes les races et créatures qui voudraient l'en empêcher !!

Alignement : Chaotique Mauvais

Historique du personnage :

Bolrok est né voilà maintenant plus de 26 saisons dans les terres sèches de l'Arabie. Comment il a fait pour se retrouver dans les monts du milieu ? Hahaha, question pertinente, l'ami, très pertinente. Cette histoire-là est pavée de sang, de violence, de fourberie et d'un brin de malice digne des Hommes-Bêtes. Si tu veux vraiment tout savoir, alors écoute bien car cette histoire, je n'aime pas la raconter à un public trop enthousiaste ou trop jeune.

Dans les terres lointaines de l'Arabie, dans un petit village de fermiers, vivait un couple heureux. Lui était meneur de bétail, elle confectionnait des paniers en osiers. Le village, au même titre que le couple, était charmant et paisible. De temps à autre, une bête disparaissait, voire deux, et jamais personne n'a voulu essayer de la retrouver, car ceux qui y sont allés sont rarement revenus, et ceux qui sont revenus racontaient des histoires de monstres terrifiants au corps d'hommes et à tête de lion, girafe, rhinocéros ou même de gazelle. Entre la folie, la mort ou la vie dans le village, tous avaient fait leur choix. Puis alors, le couple vit poindre un heureux événement, celui qui changera leurs vies à jamais : le don de la vie était offert à la femme. Pendant plusieurs mois, le couple était euphorique, enjoué et l'accueil pour leur nouvel arrivant était déjà prêt, dans leurs modestes moyens. Puis vint cette nuit fatidique.

En cette nuit, le ciel était enragé, la pluie tombait drue et le tonnerre éclatait au-dessus d'eux. Comme il était de coutume dans le village, le nom du nouveau-né devait être donné par la mère, et cette dernière décida de l'appeler “Bolrok”, ce qui voulait dire “Celui qui fait trembler”, car elle pensait que les cieux tremblaient d'excitation de le voir venir au monde. Dans un certain sens, elle n'avait pas tout à fait tort. L'accouchement se passa difficilement, et malheureusement pour l'homme, sa femme périt en donnant naissance à son deuxième malheur. La chose qu'il tenait dans ses mains n'était en rien humain. Il était aussi lourd qu'une grosse pierre, un corps inhumain et une petite trompe en plein milieu de son visage. L'homme fut totalement terrorisé et sortit de la maison pour crier sa rage aux cieux. Mais quand il sortit, il comprit que ce n'était pas les éclairs qui explosaient dans le ciel. Les monstres, que les fous décrivaient, étaient venus. Ils étaient des dizaines, leurs pas étaient aussi tonitruants que les éclairs, aussi assourdissants que le tonnerre, alors que des éclairs d'une couleur mauvaise dansaient pourtant dans l'air. L'homme fut découpé et dévoré dans la minute.

“Les Hommes-Bêtes d'Arabie sont bien différents de ceux que nous connaissons, du fait de leur environnement différent.” M'a dit un érudit, un jour, avant d'être mis sur le bûcher pour hérésie. Mais je pense qu'il n'a pas tort. Nous avons l'habitude des prairies, des forêts, des montagnes. Nos animaux et ceux d'Arabie sont différents, alors pourquoi pas leurs monstres ? Tout ça pour dire que ce qui est sorti du ventre de cette femme est un Homme-Bête d'Arabie, le fameux Bolrok, le Minotaure pachyderme, le tremble-monde. Il a été récupéré par la harde qui avait attaqué son village natal, mais cette harde était, comme les autres, vagabonde et n'est donc pas restée en place longtemps. Elle a parcouru l'Arabie quelques temps avant de vouloir tenter de franchir les montagnes et le col du feu noir. Et avant de rentrer dans les détails après cette traversée, laissez-moi vous dire rapidement ce qui est arrivé à Bolrok quand il était encore de l'autre côté des montagnes.

Quand Bolrok a réussi à franchir les montagnes, il avait 20 ans. Durant ces 20 années, il a démontré à sa harde qu'il était clairement le plus fort le plus puissant, et ce à une vitesse fulgurante. Les dieux du chaos avaient fait naître un Minotaure d'exception dans cette petite région d'Arabie. Et même s’il n'était pas plus intelligent qu'un autre Minotaure, la ruse et la malice de Bolrok ont surpris plus d'un gor. La ruse de Bolrok ne s'exprime pas à travers des plans de bataille, la tactique militaire ou ce genre de prévision. Non, Bolrok agit purement et presque uniquement à l'instinct. C'est quand il est dans une bataille que le danger qu'il représente prend une forme inattendue. Un Minotaure classique ne s'arrêtera pas de frapper tant qu'il n'aura pas tué tous ceux qui se trouvent sur son chemin. Bolrok est différent sur ce point car il a cet esprit aiguisé de plusieurs batailles, plusieurs champs de carnage, qui fait qu'il élabore des stratégies simples pendant ses combats. Par exemple, lors d'un assaut de la harde contre une force armée, Bolrok a fait semblant de prendre peur après avoir été repoussé par une dizaine de soldats, et a pris la fuite. Mais il savait que les humains le poursuivraient, il les a donc attirés dans un piège mortel, là où attendait des hommes-bêtes en embuscade. Cette fois-là, Bolrok fut tellement efficace au combat qu'il reçut de nombreuses prises, comme par exemple quatre mètres de chaîne en fer au bout desquels se trouve un crochet de boucher. Heureusement, il est très mauvais viseur. Malheureusement, il aime sa viande saignante. Après ce fameux assaut, le chaman de la harde eut une sombre vision, et indiqua à Bolrok un endroit où se rendre, afin de recevoir un cadeau de leurs maîtres. Bolrok n'hésita pas une seule seconde et partit sur l'instant, confiant en ses capacités d'orientation et aussi qu'il ne remet jamais en doute les propos d'un chaman. Il finit par trouver l'emplacement. C'était un petit tertre dédié au chaos, perdu dans les terres arides. Bolrok s'avança vers le tertre et voulut se saisir de ce qui dépassait du sol, quand d'un coup il ressenti une douleur immense dans sa jambe. Il se tourna, empreint d'une rage noire, et vit qu'il venait de se faire attaquer par un homme-bête léopard, sûrement le gardien du lieu. L'éléphant et le léopard s'affrontèrent donc pendant des heures, avant qu'un vainqueur définitif n'émerge, et ce fut Bolrok. Ce dernier était épuisé par son combat, et de nombreuses blessures étaient venues s'ajouter à son cuir, mais il était en vie, son adversaire non. Il saisit alors ce qui dépassait du sol et tira de toutes ses forces, pour sortir du sol une hache à deux mains. Ce genre d'arme est ce que Bolrok préfère. Pendant des années il a utilisé une hache à deux mains en fer, jusqu'à ce que cette dernière ne se brise, limitant ainsi le carnage qu'il pouvait faire. Mais celle-ci promettait d'être plus résistante. Le premier œuvre de cette hache fut de dépecer l'homme-bête léopard, dont Bolrok a gardé la peau comme trophée. Une fois de retour dans la harde, le chaman annonça que leurs maîtres avaient décidé que leur harde devait se diriger au-delà des montagnes du nord, dans la province de l'Empire des Hommes. Ils passèrent donc par le col du feu noir, mais rencontrèrent une force armée des principautés frontalières, qui décima leur petite harde, ne laissant que Bolrok encore en vie. Alors que les combats commençaient, le chaman pris Bolrok à part avant que ce dernier ne fonce dans le tas, et le chaman lui dit ceci :

“- Va dans le nord. Trouve la forêt que les Humains appellent la Drakwald, dans les monts du milieu. C'est là-bas que les sombres puissances veulent que tu ailles. Pars, maintenant.” Et Bolrok obéit, car Bolrok ne remet jamais en question l'avis d'un chaman, même si cela doit le mener loin d'une bataille.

Vous êtes toujours avec moi ? Bien, prenez une petite gorgée de boisson, parce qu'on n'a pas encore fini.

Une fois passé le col du feu noir, et son ancienne harde derrière lui, une haine viscérale des Hommes ayant été gagnée au passage, Bolrok se retrouva dans les vertes contrées de l'Empire et mis le cap plein nord, se laissant guider par son instinct, comme il l'avait toujours fait. La première chose qui frappa Bolrok était la quantité de forêt de la région, un dépaysement total. Lui qui était habitué à se cacher dans des escarpements et des grottes de pierre, voilà que dans cette région il y avait des forêts peu importe où se posait le regard, si bien que Bolrok fut un peu perdu pendant deux ans. Deux ans pendant lesquelles il visita un peu l'Averland et le Stirland. Il apprit rapidement comment se dissimuler dans les forêts de l'Empire et croisa même une ou deux hardes, qui le regardèrent avec un peu d'étonnement et beaucoup de défis lui furent offerts, qu'il accepta et remporta. Mais malgré sa force et sa malice, Bolrok n'osait pas beaucoup s'approchait des petites villes, préférant les villages pour se nourrir et satisfaire ses envies. Il ne connaissait pas beaucoup le coin, aussi il a préféré errer quelques temps avant de reprendre la route que le chaman lui avait intimé deux ans plus tôt. Il lui fallut quatre autres années pour arriver dans la Drakwald. Pourquoi si longtemps ? Très simplement car les patrouillent s'intensifiaient au fur et à mesure qu'il passait, sans le savoir, dans le cœur de l'Empire. D'autant que ses prises pouvaient se montrer encombrantes. En effet, durant ses attaques, il avait fait quelques prises, dont notamment un immense tonneau de quarante litres. L'utilité de ce tonneau ? Des réserves de nourriture à portée de main. Il avait également fait main basse sur un grand sac, dans lequel il met quelques trophées, des os généralement.

Mais désormais, Bolrok est arrivé dans la Drakwald, dans les monts du milieu. Et qui sais ce que cette force de la nature, venue d'ailleurs, va faire ?

---

Compétences :

• Survie en milieu hostile (B) : Votre personnage, habitué à évoluer dans des milieux hostiles, a appris à connaître les principaux dangers susceptibles d'être rencontrés dans une région concernée. Il n’ignore pas les effets du climat mais sait ce qu’il convient de faire pour les minimiser. Il est également capable de trouver de la nourriture (de base, pas forcément appétissante) alors que rien ne semble disponible, ce qui lui permet d’échapper à la faim. Il sait éviter les dangers etc., Il peut ajouter un bonus de +1 sur tous ses tests lorsqu'il se retrouve dans un tel environnement.

• Violence forcenée (B) : Votre personnage est mentalement instable et est enclin à des accès de violence aveugle quand il est en situation de combat, ce qui le rend sujet à la frénésie : Il ajoute un bonus de +1D10 points de dégâts supplémentaires lorsqu'il touche son adversaire, mais en contrepartie, ivre de fureur il ne prend plus la peine de se protéger (Il ne peut plus faire de parade ni d'esquive)

• Coups puissants (B) : Votre personnage développe une puissance hors du commun lors des combats et augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 points de dégâts.

• Force accrue (B) : Votre personnage a su développer une force bien supérieure à la normale. Il obtient un bonus de +1 lors de tous les tests sous la caractéristique FOR destinés à soulever, tirer ou pousser quelque chose.

• Orientation (E) : Votre personnage a développé un sens intuitif de l'orientation. Il est capable de trouver le nord dans n'importe quel environnement (à l'exception, peut-être, des souterrains) et peut voyager et naviguer en ayant très peu de chance de se perdre.

• Arme de prédilection - Hache à deux mains (B) : Votre personnage, grâce à la pratique continue d'une même arme (à déterminer à l'acquisition de la compétence), en a acquis une maîtrise technique telle qu'il peut ajouter un bonus de +1 en ATT lorsqu'il l'utilise en combat. (La durée durant laquelle le personnage doit manipuler cette arme avant de pouvoir acquérir cette compétence est laissée à l'appréciation du MJ, mais devrait se compter en années.). Cette compétence reflète le fait que votre personnage possède une arme “préférée” qu'il utilise avant toute autre, si possible. Par contre, lorsqu'il utilise une autre arme que son arme de prédilection, il reçoit un malus de -1 en ATT et en PAR pendant les 1D3 premiers combats qu'il livrera avec cette arme, le temps qu'il s'y adapte. (Cette compétence doit être acquise à nouveau si le personnage décide de changer d'arme de prédilection. La précédente compétence est en ce cas perdue.)

• Intimidation (B) : Votre personnage n'a pas son pareil pour faire valoir son rang et son appartenance à la noblesse. Il ajoute un bonus de +1 sur ses tests d'intimidation. Si le test est réussi, il arrive à obliger des personnes du commun à obéir à ses exigences. (Paysans, serfs, menu peuple etc.,) (Si la réussite au test est importante il peut arriver à obtenir des faveurs considérables et même à les persuader de le suivre dans toutes sortes de situations périlleuses. Cependant, le MJ peut tenir compte de modificateurs selon la sympathie, la respectabilité etc., de votre personnage.)

• Armure naturelle : 7 points de protection sur tout le corps.

• Acuité visuelle : Votre personnage est doué d'une vision exceptionnelle. Il peut ajouter un bonus de +1 pour voir des choses à une distance largement supérieure à la normale ou, au contraire, des choses infiniment petites (Selon le libre jugement du MJ). Cela n'affecte pas la compétence «vision nocturne» (S'il ne possède pas cette dernière, il ne pourra pas profiter de son acuité visuelle dans l'obscurité, par contre, cela modifiera ce qu'il est possible de voir avec une source de lumière, etc.)

• Autorité (B) : Votre personnage, en tant que homme d'arme, ajoute un bonus de +1 lorsque, confronté à des militaires, il essaye de faire prévaloir son autorité (même si il s'agit plus là de se faire respecter par des HB), ses ordres etc.…

• Bagarre (B) : Votre personnage est expérimenté dans l'art de se battre sans arme conventionnelle en se servant de toutes les parties de son corps ainsi que des objets présents dans son environnement. Grâce à sa technique, on considère qu’il utilise une arme de profil « dégâts 1D10, points de parade 1D6 » lorsqu’il se bat sans armes.

• Volonté de fer (B) : Votre personnage a une force morale bien au-dessus de la normale. Cette compétence lui permet d'augmenter sa résistance aux effets psychologiques (peur, terreur, etc.). Dans l'une de ces situations, il a un bonus de +1 sur ses tests de volonté.

---

Inventaires et biens du personnage:

Bourse:

0 Couronnes d'or

Inventaire
	Hache chaotique à deux mains	26+1d8 dégâts, 9 points de parade ; Percutante, Lente	Ces lames bénies par les dieux sombres sont utilisables comme armes normales, mais on prétend qu'elles peuvent conférer certains dons…
	Jambière Ensanglanté	4 d'armure aux jambes	Ce qui fut autrefois un accessoire à la mode humaine est désormais une ruine ensanglanté couverte d'excrément, soit le rêve de chaque homme-bête.
	Outils de boucher
	Crochet
	1 grand sac
	1 tonneau de quarante litres
	1 peau de léopard
	4 mètres de chaîne
	12 vin (demi-litre (6 litres de vin))

Parcours

Quêtes accomplies

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Dévotion religieuse

Autres