Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Aristelle de Lancustre
Age: 19 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine
Carrière: Noble
Lieu/ville de départ: Ostermark
Fréquence de jeu: Bi-hebdomadaire
MJ: RP libre


Nom de la ligne FOR END HAB CHA INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 10 10 8 8 8 8 8 8 8 1 60/60
Profil actuel 10 10 8 8 8 8 9 8 8 1 60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) - - - - - 0/1 1/1 0/1 0/1 - 0/10


XP disponible: 6
PC dépensés: 4




Description physique :

Aristelle de Lancustre déborde d’une sorte d’arrogante lumière, comme si tout dans son être réclamait d’attirer l’attention. Sa peau blanche est lumineuse, ses cheveux rutilants comme du métal lustré et son maintien droit ainsi que sa posture arrogante complètent une image toute de brillance comme un blanc castel bretonnien. Si l’on cherche une ombre sur sa personne, c’est dans ses yeux qu’il faudra la chercher. Alors que leur bleu pâle et luisant laisserait présager un regard aussi translucide que léger, c’est en vérité l’exacte contraire qui se produit. Aristelle a en permanence un regard où point une goutte de mesquinerie, et peut-être une ombre de malice sous sa forme la plus opaque. Ces yeux ne sont pas un miroir de son âme, ils en sont plutôt la porte farouchement gardée par des lansquenets sadiques. Croiser son regard donne immédiatement la sensation d’avoir été refoulé, comme jugé indigne de voir ce qui se cachait au-delà. Que ce soit un jugement juste ou arbitraire importe peu.

Si Aristelle de Lancustre est naturellement une jeune femme brillante qui attire l’attention, pas nécessairement par sa beauté mais bien par ses couleurs ostentatoires, elle complète cette image par sa façon d’être et son accoutrement. Chacun de ses gestes est exagéré à sa manière, tantôt empreint d’ironie, d’une exquise douceur, ou d’une immense brutalité sous jacente. Le plus souvent engoncée dans son armure à l’acier si rutilant qu’il en paraitrait presque d’un blanc de marbre, elle adopte toujours les postures et les démarches qui mettent le mieux en avant ses parures et décoration, mais ne se dépare pas non plus de tout ce qui peut être qualifié « d’efféminé ». En effet, ce qui était à la base une obligation est devenu pour elle un choix, et Aristelle ne cherche jamais à cacher sa féminité d’aucune façon, que ce soit dans sa façon d’agir ou par le fait qu’elle garde ses cheveux aussi longs que possible. C’est à la fois une totale négligence de la question qu’une manière de narguer la justice et les règles de conduite bretonnienne.

Ainsi elle ne devrait pas se faire passer pour un homme ? Qu’à cela ne tienne, elle ne se coupera pas les cheveux et les laissera toujours aussi visibles que possible pour qu’on puisse bien voir au premier coup d’œil que c’est une femme. Tant pis si les hommes bretonniens sont choqués de voir une dame les cheveux nus, sans coiffe ni couvre chef. Tant pis s’ils estiment cela indécent, puisqu’elle prétend obligée de faire les choses ainsi. Bien sûr elle pourrait porter une coiffe, mais impossible de combattre avec, donc elle s’y refuse tout aussi naturellement.

De la même manière, Aristelle de Lancustre se considère comme étant hors des obligations d’étiquette de la noblesse puisqu’on l’a forcée à une condition de quasi hors la loi, et se permet régulièrement des choses à l’encontre de cette étiquette. Que ce soit ponctuer ses phrases avec des mots vulgaires, moquer une personne ouvertement, éclater de rire sans retenue ou user de ses poings sitôt qu’elle ne peut pas se faire comprendre.

Sa voix suave est toujours marquée par un fond plus dur dont la nature varie selon la situation. Tantôt caustique, tantôt passionné, et parfois seulement borné, son ton donne souvent un double sens à ses paroles, et si elle choisit toujours bien ses mots, c’est souvent pour pouvoir mieux poignarder verbalement son interlocuteur.

Description psychologique :

Au premier abord, Aristelle de Lancustre peut sembler une personne avenante, et elle l’est, si l’on parvient à faire abstraction de ses armes et de son armure. Le plus souvent, la jeune noble se montrera souriante, joviale, et n’hésitera pas à faire de l’esprit avec un sens de l’humour des plus sadique. S’il est courant pour Aristelle de Lancustre de feindre l’insouciance, c’est, et on s’en aperçoit vite, par pure mesquinerie. Aristelle est par nature arrogante, ce qu’elle a tendu à corriger pour remplacer ce défaut par une personnalité rancunière. Sa manière favorite de se venger d’une injure est par le langage, par des sous entendus, des remarques cruelles, et quand c’est insuffisant le coup de poing dans le ventre est sa solution fétiche.

Aristelle est capable de passer en une fraction de seconde de la jeune personne joviale et pleine d’esprit à la brute béotienne qui ne pense qu’à frapper ou à tuer selon les circonstances. Hautement susceptible, elle estime comme son plus juste droit de manquer de respect à n’importe qui, autant en tant qu’aristocrate qu’en tant que criminelle condamnée à mort. Cet état d’esprit peut donner l’impression qu’elle est tout à fait imprévisible, mais en vérité ses humeurs varient comme celles d’une personne normale, elle a simplement tendance à agir en fonction de celles-ci sans se poser de question et sans faire d’effort pour se réfréner.

Si Aristelle était véritablement cruelle, rien ne l’empêcherait de faire vivre un enfer à son entourage. Heureusement pour ceux qui voyagent avec elle, elle a un sens de la morale et de l’honneur qui lui est propre. Elle méprise ceux qu’elle estime vils ou malhonnêtes, mais n’abordera jamais un inconnu avec méchanceté sans le connaître, ne serait-ce que pour pouvoir mieux attaquer là où ça fait mal. Elle retire toutefois plus de gratification à attirer l’attention et le respect qu’à se venger mesquinement. De toute manière, toutes les relations humaines sont pour elles secondaires. Elle focalise toutes ses pensées et tous ses actes sur un objectif bien plus élevé : tuer des monstres.

À l’approche d’un combat, Aristelle révèle sa vraie nature et laisse son excitation prendre le dessus. Elle devient alors une guerrière sans pitié mais aussi sans aucun plan. Pour elle, charger dans la masse et tout faire pour tuer le plus d’ennemis le plus vite possible est une tactique plus que suffisante. Elle se donne même parfois la peine de sonner du clairon pour s’annoncer avant de charger à cheval, pour essayer de frapper l’adversaire le plus fort avec le fer de sa lance, lancée à la plus grande vitesse possible. Jusqu’ici cette méthode lui a réussi à chaque fois, alors pourquoi en changer ?

Si sa façon de faire peut évidemment rappeler celle des chevalier bretonniens, il n’en est rien, du moins elle l’affirme elle même. Il faut dire qu’on lui interdit de se faire passer pour un chevalier, alors elle prend un malin plaisir à pousser jusqu’à la parodie tout ce qui exprime sa différence avec l’élite guerrière de bretonnie. Que ce soit dans ses manières ouvertement féminines ou son langage où elle laisse perler les pires vulgarité, elle ne cache pas qu’elle n’a pas eu droit à cette dignité de chevalier. De même, son style de combat n’est en fait pas le même que celui de ses compatriotes. Là où le chevalier bretonnien classique manie une lourde lance d’arçon et charge à la lance couchée, Aristelle pour sa part a opté pour un style plus acrobatique, avec une solide lance de guerre qu’elle peut utiliser pied à terre avec deux mains ou à cheval pour charger.

Quelle que soit la situation, Aristelle de Lancustre semblera toujours sûre d’elle à moins d’avoir subi de plein fouet un revers lui démontrant le contraire. Peu importe la taille de la créature, si elle est montée sur sa fidèle monture et tient une lance de bonne facture, elle tentera de la charger en visant la tête. Ce n’est que si la charge rate qu’elle songera à se reculer pour réfléchir à une meilleure stratégie.

Alignement : Neutre

Historique du personnage :

Aristelle de Lancustre peut se vanter d’appartenir à une lignée prestigieuse et tout à fait respectable, tout comme elle porte la honte d’avoir jeté l’opprobre sur cette famille par son comportement délinquant. Curieusement, ce second aspect ne l’affecte presque pas.

Issue de l’élite de la société couronnoise, c’est tout naturellement que la jeune Aristelle de Lancustre apprit à monter à cheval dès son plus jeune âge, et un peu moins naturellement qu’elle développa dès sa plus tendre enfance une réelle fascination pour la chevalerie et le combat équestre. Sans doute ses parents ne virent d’abord aucun mal aux habitudes excentriques de leur petite fille qui s’entrainait sans relâche à chevaucher et étudiait, tantôt au grand jour, tantôt en cachette, la théorie du combat chevaleresque.

Les choses prirent une autre tournure lorsque l’adolescente décida de donner à ses rêves une saveur de réel. Soudainement persuadée qu’elle pourrait aller très loin, et qu’elle valait mieux que tous les chevaliers qu’elle connaissait, elle extirpa à ses parents tout l’or qu’elle pouvait sur des prétextes divers et s’empressa de tout dépenser en achetant armes et armures. Après s’être entrainée pour s’habituer au maniement de ces engins, elle fugua de la demeure familiale et, caparaçonnée d’acier de la tête aux pieds pour ne pas être reconnue, elle se mit en route vers le plus proche tournoi avec la ferme intention d’y participer.

Dans son ardeur extatique, la jeune impudente se mit en tête de défier tous les chevaliers errants qu’elle rencontrerait sur sa route. Ils furent plusieurs à tomber par hasard sans rien comprendre sur ce chevalier qui voyageait armuré de pied en cap et se précipitait sur eux à vue pour les défier en duel. Ils furent plusieurs à être pris par surprise par ce mystérieux chevalier qui les jetait à bas de leurs montures puis poursuivait sa route avec un entrain insolent. L’arrogance d’Aristelle était telle, qu’elle avait été jusqu’à emprunter un écu au blason de sa famille et une fois arrivée au lieu du tournoi elle se présenta comme se nommant Aristide de Lancustre pour pouvoir participer.

Hélas pour elle, la supercherie ne prit pas longtemps. Innocemment, elle avait complètement omis toute préparation dans sa hâte de combattre lance contre lance et sa joie extatique lui avait fait perdre tout bon sens. Si elle put briser quelques lances, les organisateurs du tournoi avaient vite compris que quelque chose clochait. La famille de Lancustre était relativement réputée, et un rapide coup d’œil dans les registres confirma qu’ils n’avaient pas de fils chevalier errant, mais qu’ils avaient une fille qui répondait au nom d’Aristelle. Il n’en fallait pas plus pour comprendre ce qui se passait, et à peine s’apprêtait-elle à abattre son premier adversaire sur le terrain du tournoi qu’elle était arrêtée et confondue.

Cette affaire aurait pu en rester là, s’il n’y avait pas eu plusieurs chevalier pour plaignants. Ceux qui avaient croisé le fer et perdu contre le soi-disant Aristide de Lancustre voulurent tous la peau de celle qui les avait ridiculisé de la sorte. On accusa Aristelle non seulement de s’être déguisée en homme pour tromper son prochain, mais pire encore, d’avoir usurpé une identité, de s’être faite passer pour chevalier sans l’être réellement et bien entendu d’avoir utilisé moult ruses et traitrises pour blesser l’honneur de plusieurs chevaliers en les défiant en duel sans en avoir le droit et en trichant pour triompher (car il était inenvisageable que ces chevaliers errants aient été tout bonnement vaincus par une femme). Après un long procès où l’insolence d’Aristelle ne joua pas en sa faveur, on lui laissa un choix. Soit payer une lourde indemnité à tous les chevaliers et à l’organisateur du tournoi tout en jurant de ne plus jamais porter d’habits d’hommes pour ensuite rentrer au château familial et ne plus en sortir jusqu’à être mariée, ou être tout bonnement condamnée à mort. Sachant ce que « condamné à mort » signifiait pour les membres de la noblesse bretonnienne, elle choisit évidemment cette deuxième option, au grand dam des plaignants.

On lui ordonna donc des quêtes théoriquement impossibles, pour une femme. Du moins les jurés le pensaient. Elle était supposée mourir en les accomplissant, mais elle revint de sa première quête intacte et triomphante. Seulement, ayant utilisé pour se faire une armure, on l’accusa derechef des mêmes crimes et on lui laissa le même choix qu’avant. Elle repartit donc en quête, et la chose se répéta, plusieurs fois. On l’accusa chaque fois de s’être faite aider par des chevaliers errants, accusations qui n’étaient pas toujours fausses d’ailleurs, car nombre de chevaliers ne pouvaient pas voir une dame aller au devant du danger sans insister pour au moins l’escorter et la protéger, ce qu’Aristelle acceptait avec nonchalance. Plusieurs de ces galants la servirent effectivement en encaissant une attaque à sa place, lui permettant d’asséner le coup mortel à la cible de sa quête.

Ce qui gênait le plus le juge toutefois, c’était l’idée que pendant tout ce temps, une dame continuait de se faire passer pour un chevalier. De plus, les plaignants se lassant de ce petit jeu réclamèrent une décision plus draconienne de la part du juge, lequel, espérant encore faire revenir la fille dans le droit chemin, imposa les conditions qui suivent : En premier, il ordonna qu’Aristelle ne se fasse plus passer pour un homme ou pour un chevalier. Il lui fut donc formellement interdit de porter un écu ou un quelconque blason.

On arracha la visière de son heaume afin que son visage féminin soit toujours visible. On lui ordonna de montrer à toutes les personnes qu’elle croiserait un parchemin dûment ratifié attestant de sa peine de mort afin de s’assurer qu’il n’y ait aucune confusion possible.

Enfin, afin de s’assurer de la bonne foi d’Aristelle, on lui affecta un agent de la loi, un huissier du nom de Lancelot Auguste Gidéon Laroussière. Un homme droit, borné, bourgeois issu d’une famille anciennement noble dégénérée, et qui serait chargé de suivre la noble Aristelle pour s’assurer d’une part qu’elle ne cherche pas à nouveau à mentir sur son identité, et d’autre part qu’elle se charge bien elle même de l’exécution de la créature ciblée par sa quête.

Aristelle se conforma à chacune de ces conditions sans discuter. À force, les années passaient, et elle s’habituait à sa condition d’errante forcée. La présence de Laroussière, toute agacante qu’elle soit, lui donna l’occasion de décharger sa frustration sur quelque chose, et à force de voyager les deux ont créé une relation de mépris réciproque dans lequel Laroussière a l’ascendant par son rôle d’homme de loi et Aristelle l’ascendant par son statut d’aristocrate.

Depuis lors, Aristelle est convaincue qu’elle ne sortira jamais de son cycle infernal de condamnations, s’est faite à l’idée que sa vie se résumerait à cela jusqu’à ce qu’elle trouve une mort brutale, mais elle sait aussi que pour chaque créature qu’elle tue, elle gagne un peu en expérience et améliore ses talents de combattante. Si les premières créatures qu’on l’a envoyée combattre étaient du menu fretin puisque l’on tentait plus de la faire renoncer et rentrer chez elle que de la tuer, la dernière fois qu’elle s’est présentée à son procès a donné lieu à des délibérations différentes.

Puisque les plaignants désirent simplement ne plus jamais la revoir, le juge a décidé de l’envoyer le plus loin possible. On se mit à évoquer une vague créature à moitié mythique qui vivrait dans une certaine forêt quelque part dans la province impériale de l’Ostermark et qui aurait un lien de sang avec un homme bête ayant sévi en Bretonnie il y a longtemps.

De cette façon, on estimait qu’Aristelle mettrait longtemps à voyager jusque là bas, et qu’avec de la chance la créature serait réellement dangereuse cette fois et tuerait cette insolente. À son grand désarroi, Lancelot Auguste Gidéon Laroussière fut envoyé pour l’accompagner, afin de s’assurer qu’elle ne profite pas d’être à l’étranger pour déserter et échapper à sa peine.

Après quelques déboires, le duo s’est relativement approché de son objectif. Aristelle, qui n’a aucune méthode pour régler les cas complexes comme celui là ne sait déjà plus comment faire pour mener à bien sa mission et débusquer la créature. Aussi, à contrecœur, elle devra sans doute négocier avec les locaux pour trouver un guide capable de dépister le monstre, étape nécessaire si elle veut pouvoir l’affronter et soit trouver la mort, soit rapporter sa tête en Bretonnie pour se voir condamnée à mort une nouvelle fois.




Compétences :

Monte (A) : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.,

Éloquence (E) : Votre personnage a cette faculté de savoir manipuler des assemblées ou des foules entières de personnes uniquement par la persuasion verbale. Contrairement à la compétence «baratin» (voir plus haut) le nombre de personnes affectées en est bien supérieur. Il peut ajouter un bonus de +1 sur ses tests pour arriver à ses fins (Le MJ doit tenir compte de la pertinence du RP, de l'humeur de la foule, de leur crédulité etc. Le degré de réussite du test peut servir à fixer le nombre de personnes subjuguées ou conquises par le discours et déterminer le degré de réaction de l'auditoire. Une réussite importante du test peut déclencher une adhésion totale et un enthousiasme général. Cependant la persuasion a ses limites et il sera très difficile, voire impossible, de manipuler des personnes dont les idées sont antagonistes à celles proposées par votre personnage et cela, quel que soit la qualité et la véracité de son discours.)

Alphabétisation (E) : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.

Coups puissants (B) : Votre personnage développe une puissance hors du commun lors des combats et augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 points de dégâts

Acrobatie équestre (A) : Votre personnage est capable d'effectuer toutes sortes d'acrobaties à cheval comme tenir en équilibre, bondir sur son dos, etc., En pratique, lorsqu'il monte à cheval il peut ajouter un bonus de +1 sur les tests visant à déterminer s'il parvient à garder son équilibre lorsque sa monture s'emballe. En outre, comme pour la compétence «tir en mouvement» il ne subit aucun malus lorsqu'il utilise une arme de tir et de jet sur un cheval en déplacement.

Bravade (B) : Votre personnage sait trouver le mot ou la phrase qui “blesse” lors d'un combat. Il peut ainsi lancer une remarque ou une insulte qui, sur un test réussi, troublera et déconcentrera son adversaire, lui donnant un malus de -1 sur ses caractéristiques ATT, PAR et esquive durant 1D3 rounds, le temps pour lui de se ressaisir. La bravade ne peut être tentée qu'une seule fois par adversaire, et nécessite que ce dernier parle la même langue que votre personnage.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 0,8 Couronnes d'or


Inventaire
Lance
16+1d8 dégâts, 6 parade ; Long. Peut être utilisée à 2 mains (voir profil lance à 2 mains)
La lance est un terme générique désignant une arme d'hast dotée d'un fer emmanché sur une hampe ou long bois.
Casque ouvert
Tête ; 12 pts de protection ; -1 INI
Le chapel de fer, les salades ou les morions sont différents types de casques d’acier qui sont répandus dans la plupart des rangs des armées du Vieux Monde. Ils sont coûteux, mais il y a peu de choses aussi importantes à protéger que la tête.
Haubert
Torse/Dos, Bras ; 9 pts de protection ; -1 HAB, ATT et PAR
Le haubert est une chemise de maille qui protège la totalité du haut du corps. C’est un équipement légèrement encombrant, qui demande un peu d’entraînement à celui qui le porte.
Braies épaissies
Jambes ; 6 pts de protection
Un pantalon renforcé de suède, qui résiste aux éraflures. Il donne un très mauvais genre et est parfaitement visible en ville ou lors d'un bal, mais les mineurs et les bûcherons en portent souvent pour protéger leurs membres inférieurs.
Cheval de selle
FOR 8 ; END 8 ; SAU 9 ; RAP 9 ; INT 7 ; DOC 9 ; ATT 6
On monte rarement un cheval de guerre pour voyager et la plupart des chevaliers ne s'en servent que pour se battre. Au quotidien, on se reporte donc sur les chevaux de selle.
Clairon (cor de cocher)
Tente (grande)
Brosse à cheveux
Selle
Torche traitée



Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Noble
Classe actuelle : Noble

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Dame du Lac 10 0
Shallya 6 0
Morr 4 0

Autres

Second personnage de Prestenent 40 xp hérités du défunt Théophile de Maledané dont 25 utilisés pour 1 point d'ATT.


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