Région actuelle : Montagnes grises
Situation du RP libre (expliquez brièvement) : Après s'être éclipsé avant que la foule de mineur ne se décide à lui régler son compte, Théophile descend en vitesse à l'infirmerie où les gens ne comprennet pas ce qui se passe et pensent que le fort est attaqué par les orques. Théophile cherche à voir Christian de Neuville, le chevalier blessé qu'il avait ramené au fort la veille, car il pense à juste titre que le gouverneur en partant a dû indiquer l'endroit précis où il allait chercher cette fameuse fleur merveilleuse à Christian, le seul chevalier auquel il devait faire pleinement confiance. Théophile veut surtout retrouver Fernand de Rovec pour assouvir son fantasme de le tuer. Il va donc essayer de berner Christian de Neuville en lui faisant croire que le fort a été attaqué par des orques qu'il aurait réussi à repousser et qu'il a besoin de savoir où est parti le gouverneur de Vallmont pour "s'assurer que les peaux vertes ne sont pas partis dans sa direction". Théophile fera tout pour obtenir cette information.
Nature de la demande de l’intervention (lancer de dés, résolution de combat, utilisation d'une compétence, etc.) :
Théophile va tenter d'obtenir une information de la part de Christian de Neuville. Je précise au cas où que Christian connait cette information (sinon mon scénario s'écroule totalement sans espoir de se relever.) notons aussi que:
- Christian est en bons termes avec Théophile qui lui a tout de même sauvé la vie pas plus tard que la veille.
- Christian est hébété, affaibli par ses blessures et bourré de drogues. En plus il a potentiellement une gueule de bois incroyable depuis le banquet d'hier soir.
- Théophile et Christian parlent dans une chambre où ils sont totalement seuls, mais il y a quelques infirmiers dans la salle d'à côté
- Théophile va d'abord tenter la carte de la séduction et du bluff. Si ça ne marche pas, il usera de l'intimidation.
- Quelle que soit l'issue de la conversation, Théophile finira en égorgeant Christian avec sa dague, mais je pense que pour égorger un jeune homme faible, blessé et sans défense il n'y a pas besoin de jets de dés.