Le Fer et le Feu [Jeu de Succession]

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Edmond
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Re: Le Fer et le Feu [Jeu de Succession]

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Nom : Bertram Egino
Année de naissance : Année 330, durant l'hiver
Année de succession : A atteint le pouvoir après le roi Sven en 355, à l'âge de 25 ans.


Historique :

Bertram est né durant l'hiver 270, un hiver plus doux que les autres grâce aux provisions, aux récoltes et au soin que le grand roi Sven prodiguait à son peuple. Né dans une famille composée de trois sœurs dont il est le seul enfant mâle, beaucoup de responsabilités pesaient sur ses épaules. Mais très tôt, il lui fut découvert une faiblesse corporelle qui l'empêcha d'entrer dans le service militaire. Son affliction le fatiguait rapidement, aussi, il n'a jamais fait énormément d'efforts physiques et a conservé toute sa vie une carrure plus frêle que les autres Teutorges. Cependant, ce n'est pas dans les arts militaires ou la force physique que Bertram allait se distinguer. C'est par son esprit et par son héritage. De fait, Bertram avait reçu la capacité de faire de la magie. Il était un mage.

Sachant qu'il ne serait jamais un militaire ni voué à travailler dans une activité demandant du physique, il fut délaissé par son père, ce dernier ne s'occupant pas de lui. Et, bien qu'il gardera cette peine toute sa vie, le jeune garçon persévéra dans d'autres domaines comme les sciences, la culture et surtout les arts magiques avec lesquels il était né. Évidemment cela ne se fit pas sans problèmes, des erreurs, des tensions et des préjugés contre les mages sont encore présents malgré les nombreuses avancées sous le règne du roi Sven. L'accession aux livres, à la culture et à la science n'en fut que plus difficile pour Bertram, mais le prestige qu'il reçut lorsque ses années d'études furent finies était plus grand encore. Passant de jeune homme lambda à l'un des hommes de lettres les plus cultivés, connaissant l'histoire, la stratégie, l'économie et un grand nombre d'autres domaines, le nom de Bertram Egino n'était plus inconnu au conseil.

Conseil d'ailleurs auprès duquel il déposera une candidature pour siéger à l'une des places. Malheureusement, son ascension ainsi que son don ésotérique inquiétèrent les membres du conseil, qui refusèrent sa demande. Bertram pris un peu mal ce refus, désormais habitué à obtenir ce qu'il voulait grâce à ses connaissances aussi bien académiques que sociales. Mais il accepta ce refus malgré tout et concentra ses efforts sur un unique objectif. Devenir tellement utile que les membres du conseil ne pourraient plus se passer de lui. Et, quelques mois plus tard, le plus grand des désastres se produisit pour la nation. Le roi Sven avait rejoint les Ancêtres.

Le deuil fut très lourd à porter pour le peuple Teutorge, si lourd qu'il a fallu un mois entier avant qu'on ne soumette les noms des candidats au conseil. Les fils de Sven étaient également les premiers en tête, avec leur géniteur comme roi, leur règne ne pourrait que bien se passer. Mais à la surprise générale du conseil, les membres de la famille de Sven se désistaient les uns après les autres. Certains par chagrin, d'autre par refus d'assumer la charge, et les derniers n'étaient pas les meilleurs du lot. Il n'en restait finalement qu'un. Bertram Egino. Un roturier, même pas militaire, pire encore un mage. Mais devant le refus des membres des enfants de Sven, et les candidats moins appropriés, le conseil décréta "Ça ne peut pas être pire qu'élire une nouvelle femme !".


Description physique :

Bertram Egino est un jeune homme de 1M78, dont la carrure n'a rien de militaire ni de musclée. A cause d'une anomalie physique qui l'essouffle rapidement quand il fait un effort physique, Bertram ressemble à un individu des plus normaux, loin du cliché Teutorge tout en muscle, en cicatrices de guerre et autre. Même si quelques cicatrices se trouvent par-ci par-là, il n'en reste pas moins gringalet. En tout cas pour un Teutorge.


Description psychologique :

Bertramn Egino est un homme intelligent, qui prône l'intellect, la réflexion, la culture, la recherche et la science avant tout. Ne s'arrêtant pas sur un domaine précis, toute forme de recherche est, à ses yeux, bénéfiques. Que ce soit la prochaine innovation agricole, ou bien une découverte ésotérique. Il est également déterminé, et l'est encore plus quand on lui oppose une résistance. Il n'en est pas moins privé de défauts, et son plus grand est d'être concupiscent.

------------------------------------------------------------------------------------------ Programme :
Se battre c'est bien. Se cultiver, c'est mieux : La culture, et par extension l'éducation, sont des éléments sans lesquels le roi Bertram n'aurait jamais pu devenir membre de la royauté. Ses connaissances l'ont hissé jusqu'au plus haut rang possible. Il est la preuve vivante que les arts militaires, toujours dominants en Teutorgie, ne sont plus le seul moyen d'obtenir un siège prestigieux. Aussi, Bertram Egino mettra en place un système éducationnel plus performant, en accordant des bourses plus importantes aux études académiques, mais celles-ci resteront moins importantes que celles accordées aux militaires. Car même si l'éducation permet d'obtenir une place plus prestigieuse, la Teutorgie se doit de rester une force militaire implacable.

Magie : Un roi mage. Voilà qui a eu le mérite de soulever la question des mages à un point encore jamais vu. Et avec le roi Bertram Egino, les mages ont enfin trouvé une voix et un visage pour se faire entendre et connaitre. Sous les instructions du roi mage, les arts ésotériques se verront accordés un plus grand intérêt, et des recherches seront menées afin d'en étudier les domaines. Dans le but de réglementer cette infrastructure naissante, des postes seront assignés aux membres les plus prestigieux parmi les mages, avec le titre de "Über-Magister" dont la fonction sera d'entrainer les jeunes mages, ou effectuer des recherches ésotériques.

Funérailles de Sven : Sven Argeg fut le roi le plus apprécié, respecté et glorifié par le peuple. Ses funérailles se devaient d'être les plus grandes qui n'aient jamais été faites pour un roi Teutorge. Aussi le nouveau roi ne regarda pas à la dépense pour la construction de la dernière maison du défunt. De même pour sa statue. Les plus grands prêtres furent tenus de venir offrir les derniers sacrements et d'établir le roi Sven parmi les Anciens les plus glorieux du panthéon. Bertram Egino chuchota également l'idée aux hauts prêtres d'écrire que Sven ne pouvait qu'être qu'un demi-dieu, au moins, pour avoir su régner avec autant de sagesse.

Folie d'Uthric : La question concernant la Folie d'Uthric resta un moment en suspens dans les cours du conseil, mais il fallait bien que quelqu'un s'en charge. Bertram accorda une attention plus personnelle, et une grande curiosité, pour cette terre. Au dela des ressources minérales et agricoles de l'endroit, de nombreuses rumeurs de malédiction se répandaient sur l'endroit. Des expéditions de reconquêtes furent lancées, mais celles-ci avaient également pour objectif d'étudier les lieux en compagnie de quelques mages de confiance.

Alliance Arsienne : La ligue d'Ars et la Teutorgie sont, depuis de très nombreuses années déjà, des alliés. Peut-être, pourrait-on devenir plus que cela. Des émissaires diplomatiques seront envoyés à la ligue d'Ars afin de négocier une alliance plus forte que celle qui nous lie déjà et, qui sait, peut être une fusion grâce à un mariage politique.
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Martin
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Re: Le Fer et le Feu [Jeu de Succession]

Message par Martin »


355 à 392 AD

Bertram ''le Gentil'' Egino


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Haut Roi de Teutorgie

66 RNG + 5 (RP) + 5 (Objectifs détaillés) – 5 – (pas militaire) = 71
La succession de Sven dit Le Grand fut une affaire difficile, car pour toute candidature il était difficile de trouver un homme à la mesure du défunt qui soit capable de porter son habit plutôt que d'être porté par celui ci. Et quel souverain que celui à qui l'on succédait ! Il eut été étonnant que quiconque vienne après lui puisse être remémoré dans les livres d'histoire autrement que par ''le roi après Sven''. Surtout au vu du panel relativement médiocre parmi lequel le Grand Conseil eut à faire son choix. Désistement après désistement, abandon, tergiversations, au moins en Teutorgie l'élite était dotée de cet honneur que de savoir quand se désister. Finalement l'on choisit un civil, mage, frêle et peu connu du peuple pour succéder à Sven. C'était ça, une femme ou un descendant d'étrangers.

Couronné devant le peuple, l'habituelle conjonction de festins publics, jours de fêtes et bardes au service du Grand Conseil fit que le mage fut relativement bien accueilli par le peuple lorsque présenté à l'agora.

Dans le même temps, les rites et processions en l'honneur du défunt, le respect grandiloquent pour celui ci témoigné par Bertram furent très bien reçus tant par la famille, le conseil et le peuple. Les traditionnels combats rituels furent répétés plusieurs jours de suite, des pièces de théâtre illustrant certains aspects de son règne furent jouées et un impressionnant complexe mortuaire fut mis en place. Sa construction prendrait des années mais en attendant, les restes du corp de Sven le Grand furent conservés, à l'aide de techniques alchimico-magiques, avant d'être placé dans le sous-sol d'un temple.

Durant les années suivantes, de longs travaux d'excavations furent entamés dans la périphérie de la capitales. Des volutes de terre faisaient leur apparition afin de bâtir de solides fondations à un mausolée. Des marbres blancs et des calcaires tout aussi pâles furent importés de tout le pays, afin d'ériger les murs du lieu. Les sols étaient recouverts d'un marbre au couleurs rose et rouge, tandis que d'impressionnantes fresques venaient décorer l'intérieur du mausolée. Celles ci mettaient en valeur l'histoire de la Teutorgie, depuis son mythe fondateur, jusqu'au règne de Sven Argeg. Des plus augustes familles de Teutorgie des tapisseries avaient été cousues et offertes, afin que les actions et gloires passées puisse décorer pour l'éternité les accomplissements de Sven en ce lieu. Une immense plaque de plomb venait surplomber le sarcophage du défunt, récitant ses titres et accomplissements. Le sarcophage lui même était fait de bronze sculpté avec soin, scellé par une plaque de cuivre, recouvert d'une couche d'argent. Sur ladite plaque une représentation aussi fidèle que possible avait été gravée, reprenant les traits et proportions du corps du défunt tandis que son épée était scellée sur le gravure.
Lorsqu'après dix ans de travaux l'ensemble architectural fut complété, une procession extraordinaire déplaça le corps momifié de Sven Argeg du temple à sa nouvelle demeure. Un superbe mausolée fermé par un dôme gigantesque, scintillant comme s'il était été d'or, en réalité le toit recouvert de tuiles d'un certain type de cuivre.

Au long de son règne, Bretram Egino sût sagement s'entourer pour le conseiller et l'assister dans le gouvernement de la Teutorgie. Il maintint en place la plupart des conseiller de feu Sven, uniquement pour remplacer ceux par d'autres, lorsque rattrapés par l'âge. Tout juste eut il à purger une partie de l'aristocratie militaire teutorge en facilitant des départs en retraite et accélérant certaines promotions. Il était désormais loin le temps où l'armée interférait avec le gouvernement.

Tourné vers les études mystiques, il passa le plus clair de son temps principalement au développement de celles ci, délégant le reste et n'accordant de l'attention au reste que lorsque les questions de gouvernement touchaient à ses projets personnels. Heureusement pour lui qu'il était correctement entouré. Ainsi son système de bourse, malgré quelques scandales par ci par là à l'occasion, se révéla être correctement appliqué.

Par ailleurs, les expéditions diligentées dans les terres auparavant connues comme étant la ''Folie d'Uhtric'' révélèrent que ces vastes zones abandonnées par les populations humaines étaient dotées de terres arables et que le gibier y était abondant, si ce n'était qu'aux alentours de l'ancienne capitale, celle ci dégageant une aura malsaine qui semblait se répercuter sur les terres alentours, donnant un aspect maladif ou dégénéré aux plantes, et les quelques animaux de la zone semblaient souffrir de mutations surnaturelles. Il était clair qu'il y avait quelque chose de malsain dans les ruines, mais qui ne semblait guère se répercuter outre que sur les terres alentours.
Pour le reste, les puits et rivières qui avaient été empoisonnées durant la guerre avaient largement eut le temps d'être purgées du venin. Déjà quelques bandes de teutorges aventureux avaient commencés à coloniser ces vastes bandes de terre, mais un effort coordonné serait nécessaire, si les teutorges souhaitaient mettre en valeur et tirer pleinement parti des richesses inexploitées de ces vastes hauts plateaux.

La politique amicale à l'égard de la Ligue d'Ars dans le but d'unir celle ci pacifiquement à la Teutorgie connu des hauts et des bas. Du fait de la structure fédérale de la ligue et l'absence d'un centre de décision fort, il fallu approcher une à une les cités le composant. Une tâche lourde et fastidieuse, surtout avec la très hautes opinions qu'avaient les confédérés de leurs libertés et leurs valeurs. Ce n'est qu'après plus de trente ans d'efforts diplomatiques constants que le Haut Roi Bertram réussi à ''intégrer'' la Ligue d'Ars dans le Royaume Teutorge, et ce au prix de nombreuses concessions et une puissante autonomie accordée aux cités, celles ci continuant à user de leur langue en parallèle du teutorge, leurs traditions, leurs lois tant que celles ci ne contredisent pas celles de la Teutorgie et ne s'appliquent qu'en Ars, leur monnaie, ont un droit de sécession en temps de paix avec préavis de cinq ans, déclaré par votation aux deux tiers... En échange de quoi les cités de la ligue reconnaissent le souverain de la Teutorgie comme justiciaire suprême et chef de leurs armées, et contribuent à hauteur de un dixième de leur trésor à la richesse du royaume. Par ailleurs, chaque cité dispose de un représentant au sein du Grand Conseil.
C'est plus qu'une alliance militaire mais ça n'est pas tout à fait une vassalisation. Les successeurs de Bertram auront à manœuvrer habilement s'ils souhaitent pousser le degré d'intégration de la ligue au sein du royaume...

Grand praticien des arts mystiques, Bertram passa les dernières années de son règne plongé davantage dans ceux ci plutôt que le gouvernement du pays. Cela permit certes de nouvelles avancées majeures dans l'étude des arts invisibles au commun des mortels, mais eut un prix. Toujours davantage exposé aux puissances mystérieuses qu'il maniait, son corps s'affaissait sans que les physiciens ne puissent l'aider. Du fait, également, de son style de vie, il se mis à souffrir de la goutte, affectant davantage sa santé déjà fragile.
Le fil de trop constitua une tentative d'assassinat en 391, alors qu'il menait une procession civique durant l'un de ses séjours dans les territoires de la Ligues d'Ars. Alors qu'il participait à une collation avec divers membres du Grand Conseil et les notables de plusieurs cités, un jeune homme d'Ars lui présenta un superbe poisson. S'approchant pour mieux le lui présenter, il saisit alors un couteau qui avait été dissimulé dans la bouche de l'écailleux et se jeta sur Bertram pour essayer de le tuer. Paniqué, le roi teutorge tomba à la reverse de son fauteuil, sauvant ainsi sa vie de peu.
L'assassin fut prestement capturé, mais fut tué quelques heures après, en essayant de fuir. L'enquête révéla que cette tête brûlée était un citoyen d'Ars originaire de la frontière avec Situvar, dont la famille avait été massacrée au cours d'un raid.

Bertram retourna quelques jours après en Teutorgie. Las, les estafilades légères qu'il avait récolté au genou et aux avants bras durant cette tentative d'assassinat s'infectèrent. Il fut maintenu en vie pendant plusieurs mois avec un grand renfort de médecins et mages, mais jamais au point de se rétablir. Trop tourmenté par la douleur, il demanda à son plus fidèle ami de lui préparer un poison, avec lequel il mi fin à ses jours.

Pleuré par ses apprentis, le Haut Roi Bertram laisse derrière lui un pays renforcé, enrichi, avec une armée à nouveau opérante, mais la négligence de ses devoirs dans ses dernières années laisse à son successeur plusieurs problèmes à résoudre dans les meilleurs délais.
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Les interférences militaires dans la gouvernance du Royaume prennent fin.

Le modificateur "Autocratie du Conseil" est présent.


Indicateurs :

Ordre social : Rétabli. Deux générations se sont succédé depuis que Sven a prit le pouvoir, et les plus jeunes n'ont pas connus les désastres des deux règnes précédents. Il semble loin le temps où ne rien attendre de la vie sinon que le pire était la norme. Notre jeunesse rêve d'aventures et de gloires passées, déchaînant cette soif dans les arts tant militaires que civils.

Prospérité : Renouveau. Enfin. La trésorerie teutorge respire à nouveau. Le départ du regretté Sven laisse celle ci avec une confortable réserve financière, et toutes les obligations envers la ligue de Ars ont été réglées.

Puissance militaire : Spectaculaire. Notre armée n'a sans doute guère connue de conflit majeur depuis plus d'une génération, mais il n'empêche que nous avons dans nos rangs des jeunes hommes valeureux dont le courage et l'habilité des armes ne peut être remise en doute. Les concours martiaux, les manœuvres et l'étude de nos campagnes passées garantissent, à défaut de troupes expérimentées, des soldats valeureux et des officiers sagaces.

Intégrité territoriale : Solide. L'habilité politique du Haut Roi et le Grand Conseil ont constitués un solide tandem. Le peuple est heureux, les notables provinciaux satisfaits et notre population d'une manière générale est satisfaite. Il n'a jamais été aussi bon et aussi doux que d'être teutorge. Néanmoins l'intégration de la ligue d'Ars reste fragile...

Pouvoir du Conseil : Inégalé. Le Grand Conseil reste l'institution principale de la Teutorgie et son premier espace de discussion politique. Ce rôle n'a pas été remis en question par Sven Argeg. La noblesse du caractère du Conseil demeure, surtout avec la transparence de ses délibérations et le règne paisible qui vient de s'écouler.

Corruption : Anecdotique. La corruption, ou du moins la tentative de l'usage de celle ci est plus souvent du fait des étrangers que des teutorges en eux même. En dehors des échanges de cadeaux et faveurs traditionnelles, les bons salaires et les exigences de haute intégrité morale demandées chez les plus hauts serviteurs du Royaume se retrouvent jusque chez le plus insignifiant milicien provincial.

Mages : Familier. Une certaine structuration des arts mystiques sous le règne de Bertram permit une meilleure compréhension de ceux ci et leurs pratiquants. L'on trouve des mages dans chaque cité du royaume, et leurs services sont recherchés dans l'armée tout comme certaines administrations.

Culture et éducation : En essor Les règnes des précédents souverains laissent peut être à désirer du côté moral de la chose, mais nul ne peut nier qu'ils contribuèrent au développement d'idées politiques bien vivantes. L'application politiques de principes philosophiques a contribué à l'épanouissement de l'étude de celle ci. L'art de gouverner ''à la teutorge'' est imité chez notre vassal mandanite. Le foisonnement des arts dans nos cités donne également lieu à l'apparition d'artistes de talent.


Modificateurs :

Autocratie du Conseil: C'est un système où le roi exerce une part centrale du gouvernement avec le Grand Conseil pour l'assister et limiter ses errements.
Malus variables si le roi est un complet inconnu du Grand Conseil (jamais auditionné en commission, cité en séance du conseil ou au service d'un des ministères). Bonus mineur si issu d'une famille noble ou s'il justifie une parenté avec la famille des Viridomaros).


Désastres :

Épidémie majeure (1-10) = 50
Catastrophe naturelle (1-3) = 84
Grande sécheresse (1-5) = 46
Saisons froides (1-8) = 46
Migrations septentrionales (1-3) = 40
Invasions Sanguines (1-3) = 21
Expéditions Occidentales (1-2) = 29
Expéditions Méridionales (1-2) = 19


Sujets :

Folie d'Uhtric : Le ''Royaume Divin de Manda'', ou ce qu'il en reste, est devenu un État vassal de la Teutorgie. Celui ci demande à ce que la Teutorgie, héritière de celui ci, le restaure pleinement dans ses frontières, en reprenant aux Chattis, Roxi et Situvar les terre qu'ils ont volés.
Il va par ailleurs falloir repeupler les terres frappées par la Folie d'Uhtric, ces terres étant fertiles et riches en minéraux.

Influence Vaex : avec l'annexion partielle, à nouveau, de l'Otrergie, une vague de migrants s'est abattue sur notre frontière occidentale, fuyant les persécutions religieuses et culturelles des Vaex. Dans leur sillon de nombreux marchands Vaex, suspicieusement curieux sur l'état de notre frontière et nos forces armées. L'expansionnisme de l'Empire Vaex devient préoccupant. Sera-t-il aussi agressif lorsqu'il arrivera aux portes de la Teutorgie ?

Séparatisme Ars : il existe une tendance discrète dans certains cercles dirigeants de la Ligue d'Ars, déclarant que le traité entre celle ci et la Teutorgie est un affront aux libertés et à la supériorité naturelle de leurs citoyens. Ces populistes démagogues ne constituent pour le moment qu'une minorité, mais il serait avisé de les garder à l’œil...

Raids Situvar : l'allégeance de la ligue d'Ars à la Teutorgie inquiète Situvar. Leurs dirigeants voient en la Teutorgie une menace sur leurs revendications et ont commencées à lancer des raids frontaliers, de plus en plus violents, profonds et dévastateurs, afin de tester notre détermination et capacité à protéger nos nouveaux concitoyens. Ces razzias renforcent par ailleurs les intrigues des séparatistes au sein de la Ligue. La situation devient urgente, notamment après la tentative d'assassinat sur notre défunt souverain.


Et tout autre sujet qui viendrait à l'esprit du joueur !

Gamin, un jour ou l'autre tes plans foireux feront de nous des morues salées. Et tu sais quoi ? Je regretterais même pas car je me serais sans doute amusé comme un fou avant d'y passer.
35 — « Quand la langue fourchue et l’œil de chouette se rencontrent, Morrslieb sourit. »
Martin, Voie de la chasse
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