Attention, ce texte comporte un contenu violent et particulièrement pervers pouvant choquer la sensibilité des plus jeunes qui le liront à leurs risques et périls. L'auteur de ce texte décline toute responsabilité en cas de traumatismes, incitation à des pratiques sexuelles déviantes, agressivité sexiste, libération précoce ou impuissance persistante. Merci de votre attention et bonne lecture.
Lorsque les gardes skavens empoignèrent l'elfe et commencèrent à la trainer vers la cage, l'elfe n'avait toujours pas compris ce qui allait lui arriver et interpella le prophète, osant même aller jusqu'à le menacer. Tranchkol lui retourna un regard où on aurait pu lire ce qui approchait de la pitié. La punition était cruelle mais nécessaire car les menaces de la jeune femme prouvaient qu'elle n'avait toujours pas compris quelle était sa place et que si elle voulait vivre, elle devrait s'y tenir.
Il ne dit donc rien et alla à la place s'installer sur l'une des deux chaises mises à disposition par le marchant en saluant son initiative d'un signe de tête. Si quelqu'un savait bien en tout temps quelle était sa place et comment s'y tenir, c'était bien les skavens, qui vivaient dans un monde ou le moindre faux-pas pouvait s'avérer fatal. Un monde que l'humain avait commencé à connaitre mais dont l'esclave elfe ignorait tout. Mais aujourd'hui, elle apprendrait, elle le haïrait sans doute, mais elle apprendrait et vivrait donc jusqu'à sa remise en liberté.
Alors que son esclave tentait de se débattre, peine perdue contre les homme-rats qui l'encerclaient, le marchand amena devant le prophète plusieurs esclaves elfes et humains dont l'une en particulier retint son attention, comme le remarqua l'habile marchand qui la présenta particulièrement en détail. Être marchant était tout un métier, se concentrer sur ce qui attirait le client et potentiellement ensuite mettre en avant le reste, et les skavens étaient passés maitres dans cet art.
Cependant, Tranchkol se retint de la toucher, tant le contact de cette peau glabre et lisse le répugnait. Beurk, on aurait dit un poisson sans écailles, et avec seulement deux mamelles... C'était vraiment à se demander ce que les autres races pouvaient bien trouver à ces femmes.
Le fait est que selon les critères de ces races, l'elfe était effectivement magnifique, tenant du divin.
Le prophète regarda un instant sa propre esclave qui se débattait devant la cage et se dit qu'elle serait bientôt trop souillée et brisée pour lui être utile, contrairement à la créature qu'on lui présentait à présent.
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Ton présent-cadeau est apprécié à sa juste valeur-prix, je m'en souviendrais-rappellerais si je ramène des esclaves d'au-dessus. Je ferais alors affaire-affaire avec toi en premier et cette esclave chose-elfe te sera largement remboursée-rémunérée."
Il fit ensuite signe à l'elfe de rejoindre son esclave humain qui se trouvait avec ses autres possession, humain qui vint ensuite lui toucher deux mots au sujet du sort que l'elfe allait subir. Le skaven lui retourna un regard presque compatissant mais comportant aussi une certaine dureté.
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Je vous avais prévenu-averti que je ne tolèrerais pas l'indiscipline-désobéissance parmi mes esclaves-objets. En me désobéissant, elle a mérité son sort-punition. Eh puis, c'est ta faute-faute, tu as passé beaucoup de temps-heure avec elle, tu aurais du lui apprendre-enseigner à obéir, elle n'en serais pas là. Tâche de faire mieux avec cette esclave chose-elfe et commence par lui trouver-chercher des habits-vêtements".
Quoi, il n'allait pas endosser la responsabilité de ses actes tout de même, lui avait été misécordieux, c'était ses stupides esclaves qui le testaient, faisaient tout pour le pousser à bout. Ce n'était pas tolérable, c'était eux eux l'avaient poussés à prendre de telles mesures. Quel ennui, à part l'intérêt scientifique, il ne tirait aucun amusement ni aucun intérêt de la situation.
Il lui signifia clairement que la conversation était terminée en se tournant vers un autre marchand qui venait de l'aborder pour lui proposer un pistolet à malepierre du clan Skryre. Cela intéressa le prophète au plus haut point et c'est tout juste si il n'arracha pas l'arme des mains de son propriétaire pour l'observer. Son homologue, saisissant sa chance, commença à marchander.
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C'est une arme de qualité-prix, ô plus puissant des prophètes, vous serez crains-redouté par tous avec une telle arme-objet, combinée à votre puissance-pouvoir. Normalement, elle coûte-vaut 100 pistoles, mais pour vous, je vous la cède à 50, puissant sorcier"
Tranchkol ne chercha même pas à négocier. Il était clair que le skaven n'y connaissait rien, cette arme valait bien plus de 100 pistoles, car le clan Skryre rechignait à vendre sa technologie pour moins d'une vrai fortune. Le prophète s'empressa donc de payer l'arme et de congédier le marchand, glissant le pistolet dans ses robes. Il n'avait à présent plus une pièce, mais cela n'avait que peu d'importance, ce pistolet valait bien plus.
Le second marchand, avide de récupérer l'attention de son puissant client, fit signe à ses gardes de jeter l'elfe dans la cage et ses cris ramenèrent Tranchkol à la réalité alors qu'il reportait son attention vers le "spectacle".
L'elfe avait été acculée dans un coin de la cage et les humains s'approchaient maintenant, d'elle, avides. C'est alors que l'orgie commença.
Celui qui semblait être le chef des humains s'approcha d'elle en premier et pendant que deux autres la maitrisaient au sol, il lui arracha ses habits et la prit sans aucune douceur.
Intrigué, le prophète se leva et se rapprocha pour observer l'accouplement. L'elfe ne se debattait plus et poussait de petits cris au rythme des pénétrations de l'homme, et le prophète pu constater que leurs méthodes d'accouplement n'étaient pas si différentes de celles des skavens, exceptés pour la position. Il pu ainsi constater qu'il fallait quelques minutes avant que le mâle ne cède et ne féconde la femelle. Il la laissa alors et c'est un autre humain qui s'avança après une brève lutte contre ses camarades.
Imaginant qu'il allait procéder comme le premier, Tranchkol commença à se détourner, mais il agit de manière curieuse: Au lieu de prendre l'elfe comme son congénère, il la retourna à quatre pattes comme un animal et commença à la prendre dans cette curieuse position, buste applati au sol et sceant relevé.
Intrigué, le prophète pencha la tête de côté. Pourquoi ce changement ? Etait-ce plus efficace ? Plus facile ? Plus rapide ? Le fait est que comme ceci, ils étaient bien plus proches des skavens qu'ils ne voulaient bien l'admettre. Tranchkol s'intéressa ensuite à leurs expressions faciales, tout à fait différentes. En effet, alors que le visage de l'homme était rouge, marqué par l'effort et le plaisir, celui de son esclave était crispé de douleur et d'autre chose que le prophète ne pu identifier.
Le skaven retourna ensuite vers sa chaise et passa une bonne heure à observer et analyser les pratiques des humains, chacun forniquant avec l'elfe d'une manière différentes. Il vit ainsi que certains préféraient debout contre les grillages, d'autre au sol, d'autre sous d'autres postures curieuses, leurs méthodes d'accouplement étaient aussi diverses que variées, contrairement aux skavens qui n'agissaient que par simple instinct de reproduction. Quelle curieuses races... Il vit même à certains moment plusieurs humains se mettre ensemble sur l'elfe ce qui lui sembla tout à fait étonnant. Les elfes pouvaient-ils faire naitre des enfants par plusieurs endroits ? Si oui, pourquoi n'étaient-ils pas plus nombreux ?
Décidément, ces deux races étaient pleines de curiosités et il aurait volontiers passé plus de temps à les observer, mais l'agent skaven devait avoir à présent terminé ses taches et il était temps de rentré.
Le skaven se leva et se tourna vers son esclave humain dont l'attitude devant ce spectacle était douteux et difficilement analysable.
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Attends qu'ils aient terminés-achevés et aide-assiste la du mieux que tu pourras. Veille-agis ensuite à ce que ma nouvelle esclave chose-elfe soit vêtue. je t'autorise à faire valoir-avancer mon nom-désignation et mon rang. Rejoins moi ensuite à ma tanière-maison avant le couvre-feu et ne me désobéis-insurge pas, tu sais-comprend à présent de quoi je suis capable."
Il rentra ensuite chez lui pour entendre le rapport de l'agent.