Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Magnus Alandorf
Age: 17 ans
Sexe: Masculin
Race: Humain
Carrière: Prêtre-guerrier
Lieu/ville de départ: Nuln
Fréquence de jeu: Selon de MJ
MJ: Fredagan Plantechoux


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 8 8 8 9 9 9 8 8 - 65/65
Profil actuel 8 8 8 8 9 9 9 8 8 - 65/65
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) A remplir par le MJ


XP disponible: 0
PC dépensés: 4
PC disponibles: 0




Description physique :

Magnus est un homme de taille moyenne, 1m74 des pieds au sommet de son crane rasé. Une musculature forgée par des années de pratique ecclésiastique ont fait de lui quelqu'un de mince et aux doigts agiles, mais n'ayant clairement pas la carrure d'un guerrier vétéran. Un regard gris passé, un nez cassé après une bagarre et une mâchoire légèrement prognathe éloignent franchement Magnus des canons de beauté de l'Empire, mais qu'importe : seuls comptent Sigmar, l'Empire et la voie. Pour ce qui est de ses goûts vestimentaires, Magnus ne s'habille qu'en fonction des exigences de l'ordre. Vêtu pour sa protection d'une cotte de maille passée sur une tenue de cuir confortable, il la dissimule sous son habit monacal : une robe noire aux bordures gris-argent, avec le symbole du marteau de Sigmar dans le dos et sur le torse. Une besace pendant à son coté, sa bourse à la ceinture et son imposant marteau accroché dans son dos complètent son habit classique de prêtre de Sigmar. Par dessus tout ça, un manteau de voyage tout simple suffit à le protéger des intempéries.

Description psychologique :

Entrant à peine dans l'age d'homme, Magnus est touché par un cynisme à la limite de la paranoïa. La peur ressentie lors de l'attaque de la bête l'année de ses 7 ans persista bien après son entrée au temple, et durant sa première année, chaque minute de chaque jour le regard de Magnus cherchait dans les coins d'ombre les monstres imaginaires de ses cauchemars. Cette peur constante de se faire attaquer fit de Magnus quelqu'un de solitaire, refusant que qui que ce soit l'approche par peur que ce soit pour lui faire du mal, ou que la personne en question finisse comme Wulfar, son ami d'enfance. Cette peur finira par s’atténuer pour se transformer en simple méfiance, et l'incapacité de Magnus à accorder sa confiance s’atténuera de même sans jamais s'effacer complètement. Toute cette méfiance sera exacerbée pendant son noviciat à Nuln. Pour le guérir de sa solitude, un des bedeaux l'assigna au service des messagers du temple, afin qu'il découvre la ville et le monde extérieur au temple ou à son petit village de campagne. Il fut surtout frappé par la décadence de la ville, la souffrance dans les quartiers pauvres et la vie aisée des riches marchands prêts à tout pour gagner plus d'or. Même les prêtres du temple n'étaient pas épargnés par cette corruption insidieuse : lorsqu'il eu affaire à eux, il constata que les hauts-dirigeants du temple ne sortaient quasiment jamais de leurs quartiers, préférant se vautrer dans le confort de leurs riches atours, festoyant à l'excès et se rengorgeant de leur influence plutôt que de vénérer comme il se doit le dieu de leur foi. Ainsi au fil des années, la vision que Magnus avait du monde fut en quelque sorte pervertie : malgré toutes les beautés du monde, Magnus se mit de plus en plus à rechercher les signes de corruption chez les autres, en découvrant parfois là où il n'y avait rien à voir. Il se considère lui même comme quelqu'un de parfait. Pas dans le sens divin où il serait exempt de défauts, mais au sens où en temps qu'humain, il est naturellement imparfait, mais paradoxalement plus parfait chaque jour, puisqu'à chaque tare qu'il découvre chez l'autre, il se remet en question pour corriger ce même défaut s'il le retrouve en lui. et ce n'est que comme ça qu'il atteindra un jour la pureté nécessaire pour devenir un véritable serviteur de Dieu.

Magnus est donc quelqu'un de méfiant, qui n'accorde pas facilement sa confiance à quelqu'un, rapide à noter les défauts des autres, et acceptant toute remontrance envers lui-même. Calme, patient et sensé, Magnus sait faire preuve d'un peu d'humour, mais un humour noir en accord avec sa perception du monde.

Alignement : Bon

Historique du personnage :

Son père, Alarich Alandorf, était un riche fermier du sud de l'Empire. Sa mère s’appelait Silvia, et c'était d'après son père la plus belle femme de l'empire. Magnus n'en garde malheureusement que de vagues souvenirs, une impression de chaleur et de sécurité, mais pas de visage. Elle est morte alors que Magnus était encore très jeune, après qu'elle se soit blessé sur un vieux clou rouillé. La blessure s’infectât et, la fièvre aidant, elle mourut avant que le prêtre de Shallya, tombé malade en même temps, ne puisse tenter quoi que ce soit. Il fut donc élevé par ses 5 grandes sœurs, et par un érudit, le sieur Dalfur, que son père payait pour qu'il apprenne à lire, écrire et compter, afin que plus tard, il puisse aider son père à gérer la ferme. C'est l'année de ses 7 ans que l'attaque eu lieu…

Journal de Magnus. Cher journal, aujourd'hui le village a été attaqué. Je jouais sur la grand-place avec mes amis quand on a entendu l'alerte. Mon professeur nous surveillait, alors je n'avais pas peur au début, mais après j'ai vu tous les gardes aller vers la porte sud et ils avaient l'air d'avoir peur, alors j'ai eu peur aussi, un peu. Après je me suis rappelé que mon papa il m'a dit que monsieur Dalfur, c'est mon professeur de lecture, il s’occuperait de moi pendant la journée, alors j'ai été le voir et il a dit à tout le monde qu'on ne devait pas s'inquiéter et qu'on pouvait continuer à jouer, sauf que nous on avait plus envie. On s'est tous assis à coté de la fontaine et on a joué à deviner ce qu'il se passait. Rudolf a dit que c'était surement des ours ou des loups, mais monsieur Dalfur il dit que des loups et des ours il n'y en a pas par ici alors Wulmar il a dit que c'était surement des peaux vertes. Il est bête Wulmar, il viens du nord et là-bas il y en a plein des orques et des gobelins, mais ici dans le sud il n'y a que des lapins et des nains dans les montagnes, alors Éloïse elle a commencé à pleurer. J'ai fait comme mes sœurs quand j'ai peur ou que mon papa me gronde, je l'ai prise dans mes bras parce que moi ça me rassure tout le temps. Après elle a crié et tous les autres aussi, même Wulmar alors qu'il a jamais peur, et son papa monsieur Dalfur il a crié aussi alors j'ai eu très peur. En fait c'est parce que à coté du magasin de madame verrue il y avait une grosse bête moche. On l'appelle madame verrue parce qu'elle est vieille et qu'elle a une verrue sur le menton avec des poils. Et la bête moche elle a fait un bruit comme un chien qui grogne, et Wulmar il s'est levé et il a pris un caillou et il a essayé de taper la bête moche et

Magnus s'interrompt dans son écriture et se tourne vers l'homme. “je dois vraiment écrire tout ce qu'il s'est passé monsieur?” “Oui petit, tu verra, ça t'aidera à moins avoir peur.”

Et la grosse bête moche elle a tapé Wulmar et il a décollé à travers la fenêtre de madame verrue et ça a fait un grand crac mais c'était pas la fenêtre. Après la bête elle a montré des dents et elle a couru vers nous, et Éloïse elle a crié très fort et elle m'a accroché les bras très fort aussi et j'ai crié aussi parce que j'avais très peur, et j'ai fermé les yeux. Après il y a eu une grande lumière alors j'ai ouvert les yeux

“Monsieur, vous allez lire après?” “Non petit, ce journal que je t'offre n'est que pour toi, et ceux qui le liront seront ceux à qui tu auras donné ton autorisation. Continue, et n'oublie rien.”

et j'ai vu un héros, un vrai de vrai avec une armure et un marteau et un grand livre et son marteau il a brillé. Après le héros il a crié le nom de Sigmar et il a couru sur la bête et il l'a frappée avec son marteau brillant et il lui a écrabouillé la tête mais j'ai pas vu parce que j'avais fermé les yeux encore.

“Voilà monsieur, j'ai fini”, dit Magnus en refermant le petit livre. “Bien. Maintenant je veux que tu fasses une chose : à chaque fois que tu feras un cauchemar à cause de la méchante bête, je veux que tu ouvres ce journal, que tu le lises, et que tu te souvienne que tout ça est terminé. La bête est morte et ne reviendra jamais. Quant au petit Wulmar, il a été très brave et il est désormais heureux auprès de Sigmar. C'est compris?” Un signe de tête fut tout ce que Théodéric, prêtre-guerrier de l'ordre du marteau d'argent, put obtenir du jeune garçon à qui il venait de sauver la vie quelques heures plus tôt. Il se rendait à Nuln pour son rapport annuel sur ses activités à la frontière sud, et il ne passait par Olärburg que pour se ravitailler pour les derniers kilomètres de son voyage. Le maire du village fortifié lui fit part des rapports de quelques chasseurs qui avaient trouvé des traces d'hommes-bêtes dans la région, et Théodéric décida de rester quelques jours en ville, juste au cas où. Une décision qui se révéla avisée lorsque les hommes-bêtes, enragés par Sigmar seul savait quoi, attaquèrent le village. Il put ainsi sauver les enfants de la place de la seule bête qui avait réussi à passer le cordon défensif de la porte sud.

Cher journal. Aujourd'hui j'ai dis à mon papa que je voulais devenir prêtre de Sigmar, comme le héros de l'autre jour. Il s'appelle Théodéric au fait. Mais mon papa il a pas voulu parce que je dois devenir fermier comme lui et hériter de toutes ses terres. Sauf que moi, je veux faire comme mon héros, ça fait très peur mais j'ai envie de tuer toutes les bêtes moches pour que personne d'autre n'ait peur. Demain matin, je vais rejoindre la caravane du père de Rudolf, et je me cacherai au milieu des barriques de vin. Et quand je serai à Nuln, j'irai à la cathédrale pour devenir prêtre-guerrier avec un marteau qui brille, et je ne reviendrai jamais pour devenir fermier.

Le lendemain matin, Magnus se cacha au milieu des chariots de Bertram le marchand de vin, et ne fut découvert que pendant la pause de midi. Ne pouvant faire demi-tour, le marchand décida de garder l'enfant avec lui jusqu'à Nuln et de le ramener avec lui quand il aurait vendu sa cargaison. Théodéric faisait partie de la caravane, et Magnus passa son temps à discuter avec lui, de tout ce que Magnus voulait faire plus tard, de ses peurs, des hommes-bêtes, de Sigmar et de l'Empire. Au moment du départ de Nuln pour retourner vers Olärburg, Théodéric insista pour garder Magnus avec lui afin de le remettre aux bons soins du temple, laissant à Bertram le soin d'expliquer au père de l'enfant où et pourquoi celui-ci avait disparu. La semaine suivante, un message arrivant de sa ville natale annonça à Magnus que son père le reniait, lui interdisant de jamais revenir à la ferme familiale. A cette nouvelle, Magnus se réfugiera dans les livres de la grande bibliothèque du temple, endroit dont le confort et la ressemblance avec la maison de Dalfur, son ancien professeur, le rassurait. Il y passera une grande partie de son noviciat, étudiant sans relâche les textes sacrés, passant tout son temps libre dans la bibliothèque du temple, cherchant la voie de Sigmar dans les prières et les dogmes de l'ordre du marteau d'argent, ne sortant jamais de cet environnement protégé par crainte de se faire attaquer, la peur de l'homme-bête ne l'ayant jamais tout à fait quitté. Même lorsque le bedeau l'assigna aux messagers du temple, sous la tutelle d'un vieux scribe rabougri, il ne put sortir en ville qu'en la présence d'un autre messager. Heureusement, sa peur irrationnelle diminua peu à peu au fil du temps, et, après 8 ans de noviciat au sein du temple, aussi guéri de sa peur que possible, Magnus du choisir de quelle manière il consacrerai son existence à Sigmar. Il demanda évidement la tutelle d'un prêtre de l'ordre du marteau d'argent, suivant les pas de son héros d'enfance Théodéric. Son nouveau mentor l'initiera pendant deux longues années au combat au marteau, au pourfendage de peaux vertes, et surtout aux rites de l'ordre. A 17 ans, et par la volonté de Sigmar, son tuteur envoie l'initié Magnus sur les routes de l'Empire. Ne reviendra à Nuln qu'un prêtre-guerrier, ou ne reviendra pas.




Compétences :

Théologie - niveau 1 : connaissance générale de la plupart des pratiques religieuses. Sur un test réussi, il peut reconnaître et comprendre de brèves citations des écrits sacrés des religions étrangères à la sienne.

Erudition - niveau 1 : bonus de +1/niveau de la compétence sur tous les tests mettant en jeu l'intelligence, la logique et autres, excepté le lancer de sort. De plus, il peut acquérir ou améliorer des compétences du domaine des Lettres en ne déboursant que 40Xps à la place des 50XPs normaux.1 PM supplémentaire/niveau de la compétence dans des cas précis tels que la lecture d’un grimoire ou l’apprentissage auprès d’un maitre.

Esquive - niveau 1 : Peut esquiver une attaque

Incantation (sigmar) - niveau 1 : accès aux sorts de l'eglise sigmarite

Coup précis - niveau 1 : Peut frapper avec précision une partie du corps, bénéficie de bonus lors d'une frappe précise

Alphabetisation - niveau 1 : Sait lire et ecrire




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 50 Pistoles


Inventaire (Encombrement: 5 )
Cotte de maille protec 9, enc 4 protège torse, bras, dos, jambes
Marteau à 2 mains dmg 12, enc 2 PAR -1
Besace
Boite d'amadou
Outre d'eau (1L)
Corde (8m)
Amulette de Sigmar


Grimoire
Esprit de Sigmar (1) +1atk/+1par ou +2/+1 si marteau(+2/+2 si consacré) pendant int/3 tours


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Prêtre-guerrier
Classe actuelle : Initié

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Sigmar 0 20

Autres


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