Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Jeanne de Fleurouge
Age: 17 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine
Carrière: Voie du chevalier bretonnien
Lieu/ville de départ: Principauté frontalière
Fréquence de jeu: Variable
MJ: [MJ assistant] Armand de Lyrie


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR FOI MAG NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 8 8 9 8 8 10 9 8 \ \ 1 60/60
Profil actuel 8 8 8 9 8 8 10 9 8 \ \ 1 60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/1 0/0 0/1 0/0 0/0 0/1 0/1 0/1 0/0 \ \ 0/0 0/5


XP disponible: 0
PC dépensés: 4




Description physique :

Malgré le sang estalien de ses ancêtres, Jeanne ressemble plus à une bretonnienne, montrant ainsi que la précédente lignée, les Cerdanya d’origine estalienne, ont été totalement assimilés par le sang des Fleurouge. De taille plutôt banale, elle possède une silhouette fine et athlétique qu’elle s’est forgée et qu’elle entretient quotidiennement soit par l’entraînement au combat, soit grâce à des exercices physiques, comme d'ennuyeux tours de cour. Aujourd'hui, c’est par l’aventure que son corps s’endurcit ; on n’a pas idée du nombre de kilomètres qu’une personne peut faire en une journée. Son visage navigue souvent entre une méditation sereine et un calme résolu, celui-ci serait même considéré comme charmant si elle n’avait pas des cheveux bruns coupés à la garçonne. Elle ne compte plus le nombre de fois où une personne qui ne faisait que la croiser ou l’apercevoir de loin l’a confondue avec un homme. Lorsqu’elle fixe quelqu’un de ses yeux couleur noisette, elle semble chercher à juger votre âme. Ce n’est pas vraiment le cas, elle observe plutôt les signes de richesse, souhaitant savoir s’il s’agit de simples signes ostentatoires ou des récompenses de bravoure. Dans le cas de simples roturiers, elle voudra également savoir s’ils sont honnêtes ou s’ils complotent quelque chose.

Préférant le côté pratique aux froufrous et autres vanités, sa tenue est loin de correspondre aux normes d'une noble dame. La chevaleresse porte ainsi des braies, des bottes, une tunique courte quand elle ne porte pas son armure et une pèlerine à capuche de couleur carmin dont le contour est brodé de fils blancs et qui lui arrive presque aux genoux. Sa cape ne possède que de rares déchirures, preuve de son jeune âge et de son inexpérience. Les seules parures qu’elle s’autorise sont sa chevalière qui est portée en baise-main sur son auriculaire droit, caché par une paire de gants, ainsi des roses gravées sur des ornements en bronzes soudés à son armure.

Description psychologique :

Jeanne est une jeune femme honnête et idéaliste comme il n’en existe que très peu sur le Vieux Continent, et certainement dans le monde. Elle est inspirée depuis son enfance par les histoires des héros de la Bretonnie dont sont originaires les Fleurouge, notamment Jeanne de Lyonesse, ainsi que par la légende de Myrmidia racontée par son précepteur, deux modèles qu’elle essaye de suivre au quotidien et qui l’inspirèrent à suivre la voie de la chevalerie. Les religions des autres déesses, Shallya et Véréna, étant également fortement présentes dans la baronnie, c’est tout naturellement que les valeurs que leurs cultes enseignent, la justice et la charité qu'elle lie aux vertus chevaleresque, influencèrent grandement la jeune femme.

Malgré cette éducation chevaleresque, la surprotection que la jeune chevaleresse reçut lors de ses escapades et patrouilles l’empêcha de réellement évaluer les dangers que peuvent représenter les bandits ou les hommes-bêtes, sans parler des peaux vertes qu’elle n’a jamais vus ; on peut soupçonner son courage d'être en fait de la témérité, ce qui pourrait se révéler fatal. C’est certes une chose de courir vers le danger avec des hommes disciplinés qui sont assez preux pour charger, mais c'est une toute autre si elle n’a que des paysans ou mercenaires comme camarades.

Le temps qu’elle a passé pour s’entraîner, partir à l’aventure ou aider au temple de Shallya l’a certainement endurcie et permis d'acquérir une bonne réputation auprès de la plèbe, mais cela a également éloigné la demoiselle de la cour et de ses intrigues. Ces lacunes sont tels que la jeune noble a des difficultés à cerner les sous-entendus, en voyant là où ils n'y en a pas ou inversement ne les remarquant pas lorsqu'il faudrait.

De part sa nature idéaliste et sa fierté, Jeanne s’est plusieurs fois retrouvée au cœur de problèmes qu’elle avait causés en découvrant une injustice ou un acte honteux. Si l’on ajoute à cela son tempérament fier et son obstination, il n’est pas surprenant qu’elle se soit fait plusieurs ennemies malgré son jeune âge. C’est d’ailleurs là qu’elle se différencie des bretonniens pur-sang, car bien qu’elle recherche la gloire, elle se souci davantage de la justice. C’est d’autant plus important puisqu’il est primordial selon elle, de part son rang supérieur, qu’elle montre l’exemple.

À cause de sa trop grande honnêteté et son entêtement, la chevaleresse ne reviendra jamais sur un serment qu’elle prêterai, et prendra donc grand soin à ne pas en faire à la légère.

Enfin, même si Jeanne considère le principe de pureté comme important, cela ne l’empêche pas d’avoir une curiosité pudique envers le sexe opposé et la sexualité, elle en a d’ailleurs une vision plutôt romancée, comme toutes les jeunes femmes de son âge.

Alignement : Loyal Bon

Historique du personnage :

Avant de raconter le récit de la chevaleresse Jeanne, il faut commencer par l’histoire de la baronnie de Fleurouge, un petit territoire se situant près du col des Crocs de l’Hiver et le long du Magnète, un affluent du Tana Dante. Avant l’ascension de la noble famille bretonnienne, la baronnie était à cette époque dirigée par une famille estalienne, les Cerdanya, qui avaient eux-mêmes conquis le pouvoir, le nom de la précédente famille régnante tombé dans l’oubli depuis longtemps maintenant. Les peaux vertes ont toujours été rares dans la région, à l’inverse des hommes-bêtes qui parcouraient les bois. Les défenses de la capitale surveillaient donc principalement les bois et furent prises par surprise lorsqu’une armée d’orcs et de gobelins attaquèrent la ville. Celle-ci aurait été perdue sans l’arrivée miraculeuse de chevaliers bretonniens. Les assiégés étaient d’ailleurs trop euphoriques pour se demander pourquoi une armée bretonnienne étaient arrivée peu de temps après des peaux vertes absentes de ses régions.

Malgré l’arrivée salvatrice des chevaliers, le mal était déjà fait et la famille Cerdanya était décimée à l’exception de la jeune héritière Isabella. Cette dernière que les ballades et histoires de la ville décrivent comme étant d’une grande beauté était de manière certaine d’une grande intelligence. En effet, elle savait très bien que l’état actuel de la ville la laissait vulnérable aux monstres des bois et qu’elle avait besoin de ces chevaliers qui recherchaient une gloire romancée. Elle décida de lancer une quête pour ses nobles invités et d’offrir sa main en récompense au chevalier qu’elle jugerait le plus digne. C’est ainsi que le chevalier de Fleurouge gagna ce droit en massacrant nombres de ces abominations, mais surtout en montrant ses talents de commandement. D’autres chevaliers choisirent également de rester et de former sa cour qui fut ainsi composée de nobles guerriers bretonniens et d’estalien tantôt duellistes, tantôt manipulateurs.

La cohabitation fut difficile durant une longue période, les idéaux de la chevalerie bretonnienne se heurtèrent souvent aux tendances ostentatoires des quelques nobles estaliens encore présents. Mais avec le temps et les tendances mutuelles des deux peuples à mettre en avant les principes de courage et d’honneur ils finirent par établir des relations cordiales, même s’il y a encore de nombreuses rivalités. Ces luttes de pouvoir finirent par créer un ensemble de lois hybrides entre celles d’inspiration estalienne et bretonnienne. C’est le cas notamment du servage qui est le plus souvent une punition réservée aux meurtriers, quand ils ne sont pas exécutés, ou aux voleurs et aux endettés, le temps que la dette soit remboursée. C’est aussi le cas sur le droit pour les femmes de porter les armes, sauf si elles sont des descendantes de chevaliers bretonniens. Toutefois, toute bretonnienne qui voudrait se libérer de cette loi, ce qui est fort rare, mettra en avant une ascendance estalienne et au vu des siècles de mixité, il ne reste que très peu de familles ayant encore le sang pur.

Aujourd’hui, la baronnie est composée de la ville des Trois-Marches qui fait office de capitale et qui compte environ deux mille cinq cent habitants, du village minier La Rocheuse, dont sont extrait le cuivre, l’étain et la malachite, peuplé de trois cents habitants et de quelques hameaux rassemblant plusieurs dizaines d’habitants, servant de domaine à des chevaliers. Ces hameaux sont souvent constitués de fermes ou de pâturages, certains font office d’exploitation forestière. Quelques seigneurs de ces domaines ont l’honneur de recevoir le titre de marquis. Les terres de ces seigneurs ne sont pas assez peuplées ou riches pour recruter de vastes armées, ce qui signifie qu’ils se contentent généralement d’engager des aventuriers pour des tâches dont la menace est identifiée et suicidaire.

Comme dans toutes les régions du vieux monde, chaque faction et groupe social possède sa propre déesse protectrice. Les nobles bretonniens vénèrent la Dame du Lac tandis que les nobles estaliens ne jurent que sur le nom de Myrmidia. Il ne faut pas oublier les classes bourgeoises composées des artisans, marchands et administrateurs qui eux s’en réfèrent à Véréna, sans oublier les miséreux ou les oubliés qui supplient Shallya de leur accorder Sa miséricorde. Toutefois, contrairement à leur homologue de Bretonnie, certains chevaliers de la principauté vénèrent également la Vierge Guerrière, en particulier ceux dont les domaines font office de marquisat. La présence des cultes de ces déesses fait qu’une certaine forme d’hérésie est progressivement en train d’apparaître, proclamant que chacune d’elles ne serait en réalité qu’une seule et même divinité qui choisirait son apparence en fonction de la situation. Cette croyance est marginale et est ignorée par les puissants, à l’exception des plus fanatiques et des prêtres les plus dévots qui cherchent l’origine d’une pensée aussi hérétique.

C'est dans cette ville particulière qu'est née Jeanne de Fleurouge, fille et deuxième enfant du baron Louis IV de Fleurouge et de Maria Castella, il y a de cela dix-sept années. Son frère ainé de cinq ans s'appelle Charles et semble surtout tenir du côté estalien de sa mère. Ils sont relativement proches, c'est d'ailleurs lui qui apprit le maniement des armes à sa jeune sœur. Leur relation s'est malheureusement un peu tendue à cause du comportement de son ainé, il passe en effet trop de temps à honorer les dames et le baron craint qu'un jour un bâtard n'apparaisse, ce que sa soeur lui reproche.

L’éducation de la jeune Jeanne étant principalement Bretonnienne, c’est tout naturellement qu’elle vénère la Dame et les idéaux de chevalerie. De toutes les histoires et fables épiques que la jeune fille adorait, c’est l’histoire de Jeanne de Lyonesse qui la touchait tout particulièrement puisque le secours qu’elle apporta à Couronne ressemblait à la courageuse charge qui sauva Trois-Marches. Mais c’est suite à sa découverte des mythes et légendes de Myrmidia et de ses compagnons qu’elle envisagea de porter arme et armure. Jeanne de Lyonesse n’était plus une exception, mais un des nombreux exemples héroïques qui montraient que les femmes pouvaient être l’égal des hommes.

À partir de ce moment, son adolescence commença à devenir compliquée. Ce que son père considérait d’abord comme étant de simples jeux finit par devenir une raison de vivre pour sa fille. La demoiselle participa aux patrouilles, rien de bien dangereux bien sûr, le seul risque était de tomber sur une bagarre d’ivrogne, mais il tenta à de nombreuses reprises de l’enfermer dans le château. Toutefois, le baron ignorait que la demoiselle recevait l’aide de certains membres de la cour qui espérait s’attirer les faveurs de l’adolescente afin de la fiancer à l’un de leur fils. Elle n’avait qu’un frère et était donc la seconde dans la ligne de succession, une occasion en or pour une personne ambitieuse.

Lorsque la chevaleresse entra dans sa quinzième année, ses escapades commencèrent à devenir plus dangereuses. Elle finit par rendre plusieurs fois visite aux prêtresses de Shallya qu’elle aidait en lavant du linge ou en s’occupant des blessés légers. La jeune noble finit par acquérir une certaine popularité auprès des plus démunis, bien qu’elle ignorait exactement pourquoi. Certes, elle en a soigné quelques-uns, mais son comportement autoritaire lui valut plusieurs reproches venant de la mère supérieure concernant son manque de compassion dans ses discours alors que ses paysans ont reçu l’immense honneur d’être soigné par une noble dame. Elle entra également souvent en conflit avec le baron à cause de ses prises de risques incessantes, mais il était maintenant trop tard pour qu’il puisse réellement réagir. Tout juste pouvait-il faire en sorte que son enfant ne se lance pas dans des situations trop dangereuses. C’est également à cette période que sa relation avec son frère commença à être tendue. La jeune fille commença à comprendre ce que signifiaient les relations entre les deux sexes et ne cessa de lui faire des remarques sur les principes de pureté, d’honnêteté et de courtoisie. Malheureusement, elle n’eut aucune chance concernant les amours que les jeunes filles de son âge sont en droit d’éprouver. Certainement à cause des nombreux prétendants qui lui faisaient la cour de manière insincère ou des critères trop élevés qu’elle imposait aux autres. Trop peu de jeunes nobles se comportaient dignement, oubliant leur devoir.

Toute la cour crut que le cœur du pauvre homme allait faire défaut lorsque, aux dix-sept ans de la jeune femme, elle déclara à son père lors d’une violente dispute qu’elle partirait en quête vers la Bretonnie afin de se rendre jusqu’à Couronne et le Lyonesse dans l’espoir de convaincre une véritable Demoiselle du Graal de venir ici et prouver sa valeur à la Dame. La seconde phase de son projet ne fit qu’empirer la situation puisqu’elle irait voyager jusqu'à Margritta afin de montrer son respect à la déesse Myrmidia et de parfaire son éducation militaire. Son voyage durera jusqu’à ses vingt-cinq ans, année lors de laquelle elle reviendra qu’elle ait réussi ou non. Il ne s’agissait pas là d’un acte impulsif, elle y réfléchissait depuis ses quinze ans et s’y préparer depuis quelques mois. Cela faisait un long moment que la baronnie était, au mieux, dans un état de stagnation. La capitale possédait deux mille cinq habitants alors qu’elle pouvait en théorie en abriter le double. Il était de son devoir de sauver la baronnie pour laquelle ses ancêtres avaient versé leur sang.

D’ailleurs, il était fort probable que le baron avait eu vent de l’affaire et que la dispute était le résultat d’une tentative visant à faire avorter son voyage. Dans un ultime effort, le vieil homme menaça sa fille qu'il la marierait dans la semaine si elle tentait de réaliser son projet. Elle ne tarda pas à lui répondre que s’il essayait de la marier sans son consentement, elle se ferait prêtresse de la vierge guerrière et qu’il faudra la tirer jusqu’à l’autel bâillonnée et enchaînée. Elle se retira dans ses appartements sous une audience des plus agitée.

Sachant pertinemment que dans le meilleur des cas, cela ne ferait que ralentir son père et qu’il était peu probable qu’elle obtienne le soutien du clergé de Myrmidia, elle décida d’avancer ses préparatifs et de partir dans la nuit. Elle n’avait pas eu le temps de se préparer totalement, mais cela ferait l’affaire. Elle n’avait pas le choix. C’est donc discrètement et comme une voleuse qu’elle quittera le château, à l’insu de tous. Tout se déroula bien, elle avait réussi à prendre son épée, son bouclier, son armure et quelques rations, il ne lui manquait plus qu’un cheval. Ce fut lorsqu’elle alla aux écuries qu’elle fut repérée par son frère Charles, ou il serait plus précis de dire que son frère l’attendait tenant les brides d’un cheval. Malgré leur dispute régulière, le frère avait toujours de l’affection pour sa sœur ou peut-être pensait-il que la quête aller aider la baronnie ? Bien que méfiante, elle prit le cheval et remercia son frère qui lui répondit par un simple « Que la Dame te guide ». Plus que toutes choses, cela affecta la jeune femme et raffermit sa détermination, son frère ne prononçant que rarement le nom de la Dame, uniquement dans les instants où il était sérieux. Cela était preuve non seulement de son affection, mais également de l’envie qu’elle réussisse et soit sauve. C’est ainsi qu’elle partit dans la nuit.




Compétences :

ALPHABETISATION (E) : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.

AUTORITE (B) : Votre personnage, en tant que homme d'arme, ajoute un bonus de +1 lorsque, confronté à des militaires, il essaye de faire prévaloir son autorité, ses ordres etc.…

COUPS PUISSANTS (B) : Votre personnage développe une puissance hors du commun lors des combats et augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 points de dégâts.

ETIQUETTE (B) : Votre personnage connait les conventions sociales et la façon adéquate de se comporter et de s'exprimer convenablement dans la plupart des situations que l'on peut rencontrer dans le «beau monde». Il a donc un bonus de + 1 sur tous les tests en rapport avec des personnes appartenant à la haute société.

MONTE (A) : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.

TRAUMATOLOGIE (A) : Votre personnage a appris à administrer des soins à tout individu blessé et ceci de deux manières : Sur le terrain : Il peut prodiguer des premiers soins. Les effets peuvent varier en fonction de la gravité de la blessure. (Les critères répondant à la gravité des blessures est laissé, en fonction du RP du combat, à la libre détermination du MJ) *Si le patient n'est que légèrement blessé et que votre personnage possède le matériel adéquat, avec un test réussi, le blessé peut récupérer 1D6 points de vie en lui bandant ces blessures etc. (Cette manoeuvre nécessite un round entier durant lequel votre personnage ne peut rien faire d'autre) *Si le patient est gravement blessé et que votre personnage possède le matériel adéquat, la réussite du test ne lui permettra que d'empêcher l'aggravation de son état en prévenant d'autres pertes de points de vie, lui évitant ainsi une mort possible. (Par exemple stopper une hémorragie dû à l'écoulement du sang ou tout autre type de complication). Cependant, le patient ne récupérera aucun point de vie tant qu'il n'aura pas été soigné par un praticien maitrisant la compétence «Chirurgie» A postériori : Grâce à un test réussi, la guérison naturelle peut voir son processus accéléré. Pourvu que votre personnage passe au moins une demi-heure par jour à prodiguer des soins au blessé, il lui permettra de récupérer un nombre de points de vie égal à son END/4 (une fois par jour seulement). Si le test échoue, le patient regagne quand même un nombre de points de vie quotidien égal à son END/8.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 1.6 Couronnes d'or


Inventaire
Plastron en plaques légères Torse / protection de 10 points ; -2 Hab, -1 ATT et PAR Ce plastron est fait en acier rassemblé en plaques maintenues ensembles. Il offre une bonne protection, mais reste un tantinet lourd à porter.
Rondache 4+1d6 dégâts / 14 parade ; Déstabilisant Une rondache est un bouclier de forme circulaire et généralement de petite taille et légère. Elle est utilisée dans les combats rapprochés.
Épée bâtarde Deux mains / 24 + 1d10 dégâts ; 12 parade Cette arme est difficilement maniable, compensant le malus de vitesse qu'elle procure avec un grand bonus de force. Seules les maîtres en escrime peuvent espérer manier convenablement une arme pareille…
Une chevalière avec les armoiries des Fleurouge
Une outre d'eau
nécessaire d'écriture
Journal de voyage
Sac à dos
3 rations



Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie du chevalier bretonnien
Classe actuelle : Chevalier errant

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Dame du Lac 10 0
Myrmidia 5 0
Shallya 3 0
Véréna 2 0

Autres


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