Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Zkit
Age: 25 ans
Sexe: Masculin
Race: Homme lézard, Saurus
Carrière: Voie de l'esclavage
Lieu/ville de départ: Près de son maître (Marienburg)
Fréquence de jeu: 1/2 fois par semaine
MJ: Bonnepierre


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 11 11 8 8 7 4 9 9 7 1 70/70
Profil actuel 12 11 8 8 7 4 10 9 7 1 70/70
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 1/1 -0/1---1/1---0/5


XP disponible: 0
PC dépensés: 5




Description physique :

La Lustrie à une tendance à fournir des Individus robuste et résistant à un climat plutôt étrange. Zkit fait partit de ces individus. Il est grand de deux mètres, et large comme une monture caparaçonné. Sa langue rouge et fine lèche ses dents larges et tranchantes. La nuit ses yeux peuvent briller d’un jaune acre. Une créature pour le moins intimidante. Ses écailles sont de plusieurs couleur différente comme si sont organisme ne savait pas quel position adopté. La moitié de sa figure est rouge alors que son dos est vert poison, et son ventre bleu marine. Un mélange qui pour prêter à l’amusement loufoque, mais qui sur lui donne l’aspect d’une créature maudit par quelque entité maléfique. Il a quelque coupure sur les mains dût à des coups trop bien porté. Et des lacérations sur le reste du corps : punition pour les coups trop bien porté. Ses poignets sont irrités mais nul ne le voit sous ses chaines. Malgré les années de servitude il a toujours une allure démoniaque. Ses maîtres lui ont donné un pagne, mais il ne sait plus très bien le quel et il s’en moque. Si jamais celui-ci ce casse il en aura un autre. Idem pour le collier qu’il a autour du coup. Signe de sa servitude presque animal. Voilà les seuls possessions de Zkit. Celui-ci n’en pâtit pas pour autant.

Description psychologique :

Zkit ne réfléchit pas à proprement parlé. Il est esclaves. Il agit ou il n’agit pas, en fonction de ce que lui dit son maître. Malgré son aspect intimidant et rebutant il est loyal envers son maître, tant qu’il le croit apte à être son maître. Il ne se mêle pas des affaires de ses maîtres, même quand il comprend quelque chose que le maître ne comprend pas. Il parle peu, il n’en voit pas l’intérêt. Parler c’est « un truc d’humain », de la même manière que réfléchir. Il reste loyal et fidèle tant qu’il juge que son maître est « bien » : C'est-à-dire qu’on le nourrit bien et que les punitions et l’attitude du maitre ne trahit aucune impuissance. Par-dessus tout, Il considère qu’il est libre. Si il n’est pas content de son maitre Zkit peut le tuer et en prendre un nouveau. Les maîtres, eux, ne peuvent pas tuer les maîtres des maîtres. Ce qu’il aime : Les « bons » maîtres ; Les armes vieille et fragile (Celle qui peuvent se briser lors du premier combat ou même lors de la première attaque) (preuve de son manque d’attachement au chose matériel) ; Le feu (pour une raison qu’il ne se l’explique pas); Ce qu’il n’aime pas : Les punitions sans raison (signe d’impuissance humaine) ; Les pommes (résultat de son traitement chez les moines); L’océan; et les maîtres qui hurlent ou qui parlent fort, alors qu’il est juste à côté d’eux (Hurler c’est un « truc d’homme lézard » Zkit peut crier plus fort qu’un humain. Alors quand un humain cri c’est soit parce qu’il est trop vieux soit parce qu’il est trop bête pour qu’on le respecte autrement) Ses hobbies : Quand son maître dort il fabrique un petit monticule de sable, quand il le juge suffisamment haut il enfonce son doigt griffu au milieu, pour faire un trou. Il garnit ce trou de brindille et de feuille. Puis il les fait bruler. Ce n’est ni impressionnant ni bruyant. Mais il regarde ce petit feu pendant des heures jusqu'à ce qu’il se consume. A chaque fois il a l’impression de touché un souvenir des doigts qui s’enfuit comme de l’eau. Mais un jour il comprendre. Oui il comprendra.

Alignement : Loyal neutre

Historique du personnage :

La Lustrie est une grande contrée mais Zkit n’en a pas beaucoup de souvenir. Son souvenir le plus vieux remonte lors de sa traversé dans la cale d’un bateau.

 Le bruit du tonnerre résonnait dans le fond de la calle. Ils n’étaient pas nombreux mais rester collé les uns aux autres. Le temps ne faisait plus de différence, des jours ? Des semaines ? Sans voir le soleil ni la lune. La chaleur tropicale était loin maintenant. Il ne restait qu’un souvenir vague et lointain de ces contrées vertes et luxuriantes. Ils étaient dans une calle humide en direction d’un port inconnu. Mais que pouvaient-ils bien y faire. Leurs griffes étaient cramponnées au bois humide. Le froid leur tirailler les entrailles. La chaleur corporelle, qu’ils n’avaient pas, ne les aidait pas à supporter le froid. Le sol tangué sous leur pied. Ils entendaient les humains crier « tempête » « tempête ». À Chaque cri d’humain ils se serraient un peu plus les uns aux autres. Ils n’arrivaient pas avoir plus loin que leurs pattes. Mais Zkit avait entendu un craquement. Il le reconnaissait, c’était comme quand les arbres ployaient sous le vent ou les coups. La coque était percée. Un petit trou surement. Mais aucun humain ne viendrait dans la calle pour vérifier. Zkit s’éloigna de ses camarades en rampant à quatre pattes. Ses écailles, affaiblit par le manque de nourriture et l’humidité froide, s’effritaient. Il sentit un peu de sang coulé sur ses genoux et ses mains. Il grogna de douleur quand il sentit l’eau salé s’engouffré dans ses petites blessures. Il plaqua ses mains contre ce qu’il distinguer comme être le trou. L’eau de mer éclaboussa sa figure, il secoua la tête pour chasser quelques gouttelettes de ses yeux. L’eau était plus forte que lui. Il avait mal aux mains et n’arrivait pas à tout contenir. Il grogna, appela à l’aide mais les humains étaient sourds quand un homme lézard appelle. 
 Il s’affala contre le trou les avant bras contre le bois. L’eau s’engouffra alors dans sa bouche. Ses membres, tremblant de froid et de douleur, ne tiendraient pas longtemps. Et un gout amer dans la bouche lui donna envie de boire. Une soif interminable et démonique. Il appela de nouveau. Encore vainement. Un coup brutal du bateau l’envoya à plusieurs mètres plus loin. Le choc lui coupa le souffle, un instant. Il se retourna de nouveau sur quatre pattes. Il entendit l’appelle de ses frères qui l’imploraient de revenir près d’eux. Mais il se devait de tenir. Il chercha le trou à nouveau à tâtons. Mais il n’entendit que le fond de la calle de briser en mille morceau. Et ses frères broyés contre le bois et la roche. Puis l’eau qui l’engloutie. Il avait cinq ans.
 Le feu de joie montée haut dans le ciel. Alimenté par d’épais morceau de bois. L’un des hommes agiter un drap devant le feu à la fois pour l’attisait et éloigner la fumée de son gosier. Du haut de la corniche on aurait put croire que la colonne de fumée atteignait le ciel dans la nuit. L’autre homme était penché sur le bord de la corniche. Il regardait l’océan. Le sourire aux lèvres. Il voyait un bateau arrivait.
 Ces deux brigands n’aimaient pas prendre de risque. Les grands chemins et les montes en l’air étaient trop périlleux pour eux. Il préférer une combine facile qui avait fait ces preuve plus d’une fois : le faux phare. Avec un feu de joie sur cette corniche il faisaient croire qu’un port était proche. Alors qu’en réalité il n’y avait qu’une corniche abrupte et des récifs si mortels que la baignade n’était pas conseillée. Une combine simple Qui rapporter beaucoup, sans trop de risque. Bien sûr s’il s’agissait d’un navire militaire ou pirate ils éteignaient le feu et décamper avant d’avoir put le remarquer. Mais les navires marchands n’étaient pas équipés de beaucoup de garde. Si jamais des survivant pointer le bout de leur nez, ils pouvaient leur couper la gorge. Le plus mauvais des résultats, c’était les denrées pourrit par l’eau de l’océan. Ce jour là, la pêche avait était bonne. Un petit bateau. Un capitaine pas trop autoritaire. Les fous. Ils se jetaient par-dessus bord. A la place de plonger dans l’eau ils s’empalaient sur les récifs. Les brigands rirent devant le spectacle de ces fourmis agité incapable de penser correctement. La coque de ce bateau avait cédé, mais quel dommage : pas de tonneau. Ils attendirent que tous s’enfuit ou décide de se tuer. Les Brigands étaient surpris, tous ces hommes semblaient avoir fait un long voyage. Il était maigre et faible. Ils n’allaient pas opposé de résistance.
 Un fit signe à l’autre. Ils descendirent la falaise. Dans le sable se promenait des planches de bois épaisses. L’écume ramenait du sang et l’eau. Ils avancèrent dans l’eau jusqu'à    l’avoir à la taille. Le plus grand cria de frustration. Rien dans ce bateau. L’autre fouiller les cadavres échouer sur le sable. Ils étaient bien pauvres.
 « Un navire d’esclave, récent. Ils devaient croire qu’un voyage les rendrait riche. »
 Le plus grand pénétra dans la calle coupé en deux. Il vit un bras décrocher de son tronc. Ce bras était remplit d’écailles. Il fit un pas en arrière. Puis s’enfuit.
 « Des esclaves homme-lézard, fait attention. C’est idiot ces bêtes là. Ça attaque même quand ça n’a aucune chance de survie. »
 Quand ils se rejoignirent ils virent sur le sable un corps respiré. Un corps nu sur le sable. Avec une queue…
 « On aurait put finir pénard. Il faut que le seul survivant soit cette bête. Gaibe, Tue-le.
 Gaibe n’était pas rassurer par cette option.
 « C’est un esclave ? Il vaut de l’argent. Si on le tue il vaudra plus rien.
 - De quoi ? C’est tout ce que t’as trouvé pour ne pas obéir. Allez tue-le. »
 Gaibe grogna. Mais il avança quand même, à pas feutré dans l’eau. Il se pencha au dessus de la créature. Elle était blessée, elle ne lui ferait surement pas beaucoup de mal. Il réfléchit à la logique de son acte. Mais son manque d’éducation l’empêcha de comprendre la raison pour laquelle il réfléchissait. Le temps qu’il s’en rende compte, le lézard se réveilla. Gaibe n’avait pas encore sortit son couteau, et n’était toujours pas décidé sur le sort de cette créature. Il détacha sa ceinture et sangla le cou écailleux. Quand Zkit se rendit compte qu’on essayer de l’étrangler il se leva sur ses deux pattes. Hurla tellement que les loups eux même s’éloignèrent du cri. Ses griffes essayèrent de lacérer la ceinture qui le retenait prisonnier. Sa mâchoire claqua à plusieurs reprises. Il tirait de toutes ses forces mais malgré sa constitution il était jeune et ne pouvait pas faire le poids contre les deux hommes agrippé sur le collier improvisé. La douleur de ses membres et la faim le tiraillaient bien plus que la poigne des hommes.
 Il se retourna et sauta sur un des hommes, essayant de mordre dans tout les sens. Ils le lâchèrent. Profitant de ce cours instant. Zkit sauta en arrière. Il aurait dû fuir mais ses jambes étaient fatiguées. Lui-même tenait à peine debout. Il vit le bateau brisé, écrasé, comme dans un rêve. Il se sentait si loin, si loin de chez lui. Si loin des siens. Mais il articula l’un des rares mots qu’il comprenait dans la langue des humains :
 « Manger, à manger »
 Les deux hommes se regardèrent. Ils étaient en train de se demandait si il n’allait pas essayer de les dévorer. Mais avant que cette idée ne se soit logée dans le cerveau de Gaibe, celui-ci tendit une tranche de viande sèche et salé. Zkit se jeta littéralement dessus. Ses dents tranchantes découpèrent la viande sans difficulté. Les brigands le regardèrent déchiqueter cette pièce de viande, en remerciant tout les dieux à leur connaissance de ne pas être cette viande.
 Zkit fut emmené dans une grange. Visiblement les brigands n’étaient en réalité que de simples paysans qui essayaient de gagner leur vie avec un petit supplément. L’homme lézard fut enfermé dans une grange remplit d’animaux domestique. Il n’en était pas offusqué : il avait de l’eau et de la nourriture. On le forçait à faire des travaux manuels. Il acceptait volontiers. En remerciement pour la nourriture. Les souvenir de cette ferme était vague dans son esprit. Il se souvenait surtout d’Iffia : la mère des deux brigands. Zkit la voyait souvent.
 Durant les premier mois. Les deux brigands Gaibe et Galn essayer d’inculquer à Zkit le principe de l’esclavagisme :
 « Nous sommes tes maîtres, tu dois obéir » hurla Galn.
 Zkit ne savait pas bien parler la langue des humains. Mais il comprenait dans les grandes lignes ce qu’on essayer de lui faire comprendre. En guise de réponse il hochait la tête signe qu’il comprenait. Ils répétaient cette phrase assez souvent. Trop souvent pour les prendre au sérieux.
 « Tu ne dois pas désobéir, quand on te dit ne pas manger les cochon tu ne les mange pas »
 Zkit, les babines recouvertes de sang frais, hocha la tête. Puis continua à manger. Maintenant que cette horrible bête était morte il n’allait pas gaspiller. Il comprit vite que la chasse, et se nourrit soi même était inutile. Les maîtres avaient pour fonction de lui donné à manger. Des morceaux de viande cuite, ou des racines certaine fois. Et malgré ses instincts carnivores il se résigna souvent aux légumes quand il n’y avait que ça.
 En été la chaleur et le travail des champs était éprouvant. Les hommes lézard était habitué aux chaleurs humides, pas cette chaleur sèche et rêche. Et de toute évidence les hommes aussi.  Gaibe et Galn abriter à l’ombre d’un arbre crier les instructions à leur esclave. Le champ n’était pas immense à trois il était capable de s’en occupé. Lorsqu’il faisait ça, Iffia la mère des deux fainéants s’élança tel un partisan de Khorne :
 « Alors ! Allez aider la chose dans les champs, exécution !
 - Mais…
 - Quoi « mais » ?! Vous croyez que c’est grâce au bateau échoué sur la berge que l’on va se nourrir ? Bougez-vous ! »
 Les deux compères baissèrent la tête d’un air penaud et rejoignirent Zkit au milieu du champ. Puis le dos tourner ils rallèrent tout deux. C’est à ce moment que Zkit comprit une leçon, la leçon la plus importante de sa vie. Les maîtres ont aussi des maîtres.

Il passa plusieurs années (environ trois ou quatre), dans la grange, sortant pour faire ses travaux et recevant à manger pour sa pénitence. Le soir parfois il entendait les frères maîtres sortir de la maison. Il s’était toujours demandait ce qu’ils pouvaient bien faire. Mais il resta prudent au milieu des cochons.

 Un jour des chevaliers était passé par la maisonnette. Seul jour de congé qu’il est eu. De toute évidence les chevaliers était des grands maîtres. Les brigands n’étaient pas très fiers. De son enclos Zkit pouvaient les entendre :
 « Manant, il y a un cimetière de navire à une lieu et demi d’ici. N’avez vous point vu un groupe de détrousseur.
 - Euh… C’est que… bégaya Galn d’une voie hésitante et peu rassurer. Y a pas mal de gens par ici. Z’aurait pas une description plus…
 - Ecoutez, notre temps est précieux et les criminelles de l’Empire ne peuvent rester impunies longtemps. Votre cabane n’est elle pas harceler par quelques brigands.
 - Brigand, brigand, répéta Galn sans se départir de son air penaud. C’est vague, les brigands… ça peut être n’importe qui…
 - Effectivement. Mais là n’est pas la question. Il y a des forbans qui pillent les épaves des bateaux. Nous les cherchons.
 - Simple curiosité, Messires. Vous allez quoi leur faire à ces Phorpans ?
 - La pendaison est le châtiment le plus juste. Mais nous ne sommes pas aptes à décider. Si notre Seigneur décide l’écartèlement ou la roue. »
 Le silence s’installa. Zkit se souvenait de quelque chose d’analogue. Lorsque le bateau qui l’amenait dans ce pays s’était échoué sur un endroit avec beaucoup d’autre truc en bois qui flotter. Il comprit à ce moment que les maîtres avaient tué ses frères. La colère monta en lui. Il grogna, trop fort.
 « Qu’est ce que ce bruit ?
 - Oh, vous savez il y a des bêtes dans les bois.
 - Des bêtes ! Mais c’était le cri d’un terrifiant dragon ! »
 Zkit se cacha dans le fond de la grange. Mais la lumière du soleil le toucha directement sur le crane. Il grogna de plus belle. Les chevaliers étaient couverts de décoration en fer. Et reflétait les rayons du soleil. Il était surpris de voir une créature comme lui. Mais ce qui les gêner le plus c’était La présence d’un esclave pareil chez de simples paysans.
 « A qui l’avez vous acheté ?
 - Un marchand du coin…
 - Du coin !? Ne vous moquer pas des serviteurs de l’empire !
 Zkit sourit et pesta :
 «  Vous aussi avoir des maître.
 - Silence, monstrueuse bête ! »
 En une après midi la maison fut bruler. On leur mit le cimetière de bateau sur le dos et un attenta contre l’empereur. Ils furent tous pendu. Mais les chevaliers ne voulaient pas perdre une pièce rare. Ils attachèrent son cou à une corde comme les autres mais lui était tirer par un cheval plutôt qu’un arbre.
 Les chevaliers étaient eux même pauvres pour des puissants maîtres. Zkit fut vendu à un marchand d’esclave. Puis il fut vendu à un bateleur ambulant. Il servait alors d’attraction.
 Zkit vivait dans une cage. Ces maîtres étaient de mauvais maîtres, Ils ne lui donnaient pas à manger et il distinguait mal qui était vraiment son maître. Il ne fit que grogner pendant cinq années. Devant les yeux ébahis des paysans. Sauf d’une personne, une femme qui semblait sortit tout droit des bois, elle venait souvent juste pour le regarder. Pour une raison qui échappait à Zkit. Il entendait le cliquetis des ronds d’argent et d’or qui tombé dans le chapeau de ses maîtres. La faim le tiraillait. Il participé à un jeu étrange, Zkit devait se battre contre un ours. Au départ il ne comprit pas le manège. On le privée de nourriture avant de le lancé dans le combat. Il arrivait à tenir tête à l’ours même si ce n’était pas toujours évident. Les griffes lui faisait mal et même après le combat on ne lui donnait pas à manger. Il comprit alors qu’il devait se nourrir de l’ours. Il trouvait ce manège complètement ridicule. À quoi bon avoir un maître si c’est pour chasser sa nourriture. Etre libre revenait au même. Mais il ne trouva pas de moyen de s’échappé pendant près de cinq ans. Jusqu'à ce que :
 Un enfant, surement un enfant d’un maître, s’approcha de lui. Il avait fait un pari avec ses camarades. Il devait toucher l’homme lézard. Les enfants ne pensaient pas qu’il comprenait ce qu’il disait. Alors quand le garçon tendit la main, il la croqua à pleine dent. Il lui arracha deux doigts. L’enfant cria de peur et de douleur les maîtres vinrent, hurlèrent sur l’homme lézard le menaçant de châtiment exemplaire. Zkit s’accrocha au barreau et hurla :
 « Vous mauvais maîtres. Pas donner à manger. Pourquoi être esclave si maître pas bon maitre ?
 - Tu… Tu sais parler ?
 - Vous bête.
 - On ne peu pas te donner à manger, nous avons à peine d’argent pour nous nourrir nous même.
 - Vous bête et pauvre. Pourquoi faire tuer ours alors ?
 - Pour ne pas avoir à le nourrir.
 - Vous très bête et mauvais donneur de pièce. »
 Dans la pénombre la femme qui venait des bois, sortit. Elle s’intéressa de près à l’agitation ambiante et ne manqua rien de la discutions des forains et de la créature dans la cage.
 « Je vous l’achète »déclara t-elle sans détour.
 Les forains avait besoin d’argent, alors ils ne firent pas les difficiles. Ils acceptèrent le premier prix de la femme.
 Enfin il avait l’impression d’avoir un vrai maître, enfin une maîtresse. Cette femme vivait dans la forêt dans une petite cabane entre la frontière de l’empire et la Bretonie. Elle disait qu’elle était sorcière. Les travaux de Zkit étaient plutôt simples à son goût, il devait ramasser du bois, des fleurs, Il devait parfois éloigner les animaux le soir, et utilisé sa langue ou ses doigts pour toucher une parties de l’anatomie de cette femme (l’intérêt de cette entreprise échapper un peut à la compréhension de l’homme lézard). Cette maîtresse était étrange elle parlait beaucoup, dans un langage que Zkit ne comprenait pas :
 « Pourquoi me rejettes-tu ?
 - Si toi accrocher à mon bras, moi pas pouvoir soulever arbre.
 - Tu vois ! Tu me rejette consciemment. Mais qu’ai je fais pour mériter que tu maltraite mon cœur ainsi.
 - Moi ne pas toucher au cœur, moi manger les muscles.
 - Je rentre. Toi, fait ce que tu veux, peu être que tu seras plus heureux sans moi. »
 Et comme d’habitude il rentra à la cabane les bras chargeaient de bois. Sa maîtresse devant le feu à pleurer et à lui jetait un regard dédaigneux. Elle n’était pas méchante avec lui, juste difficile à cerné pour l’esprit de Zkit. Parfois des hommes venaient pour acheter des choses à sa maîtresse, en le voyant il baissait le regard en murmurant « Démon ». Quand il chassait un intrus plutôt fort ou un loup, sa maîtresse était très contente. Tellement qu’elle continuer à parler dans son langage bizarre.
 « Tu es si fort, mon doux chevalier.
 - Moi pas chevalier, chevalier être maitre.
 - Heureusement que je t’ai avec moi je serais perdu sinon.
 - Comment vous avoir fait avant, Alors ?
 - Je suis sûr que je vais pouvoir ouvrir mes draps pour toi ce soir.
 - Vous pas écouter ce que moi dire. »
 Il resta esclave de cette femme pendant deux ans Jusqu’au jour ou quand il revint de la coupe du bois, la maison de la sorcière était en feu. Des inquisiteurs ou des chevaliers. Il ne savait pas mais il voyait la femme qui le gardait chez lui bruler vive dans sa maison. Zkit poussait pas une loyauté sans faille se jeta dans les flammes. Essaya d’ouvrir la porte. Mais rien n’y fut. Il brisa le bois pour faire sortir la fumée. Les chevaliers se jetèrent à leur tour sur la créature. Il se débâtit et brisa plusieurs planche, mais il était incapable de tenir tête à des hommes aux carapaces de fer. Il se rappela alors ce qui était arrivait au paysans et cria :
 « Pourquoi ? Pourquoi tuer les maîtres, pourquoi ? »
 Il ne reçut comme réponse qu’un coup de pommeau sur le crane. Il comprit alors : les hommes en armure de fer son plus maître que ses maîtres.
 Pendant tout le reste de sa vie il servit les membres de la haute société. Car un homme lézard c’est très pratique, surtout quand celui-ci est aussi loyal qu’un chien. D’ailleurs dans quelque chasse organisé, il avait était dégradé au rang de chien. Parmi les autres chiens de la chasse. Il devait courir et chasser. D’ailleurs il pensait au départ qu’il devait chasser les autres chiens. Mais quelques coups de fouet le ramenèrent sur le droit chemin. Il fut échangé à plusieurs reprises, souvent par un troc. Tous le trouvaient utile et loyal, mais nul ne le gardait.
 « Je crois qu’il essaye de me tuer »
 « Je l’ai obtenu contre un sac de patate, son ancien propriétaire n’était pas pressé de le garder. »
 « Les hommes lézard c’est comme les skavens, on les garde pas plus de deux mois »
 Les hommes étaient des créatures illogiques. Ils pensaient être libre, juste parce qu’il avait des esclaves. Pourtant c’est justement parce qu’ils ont des esclaves qu’ils ne sont pas libre. Beaucoup menacer Zkit de mort. Mais aucun d’eux n’avait les moyen de tuer un Saurus, sans perdre plus d’argent qu’en le vendant. Il avait parfois participé à des œuvres collectives. Un seul maître et des centaines d’esclaves. Zkit n’aimait pas les travaux collectifs, les maîtres semblaient trop loin. Il avait tendance à soulevait une révolte juste pour être sûr que les maîtres étaient de bon maître. Il échappa à de nombreuse reprise à la peine de mort, souvent parce que on félicitait son courage et très souvent par une chance incomparable :
 « Le tuer, vous êtes malade ! Il fait le travail de dix hommes »
 « Le tuer, vous êtes malade ! On a déjà perdu trop d’esclave »
 « Le tuer, vous êtes malade ! Je viens de me marier aujourd’hui je ne peu pas faire ça un jour pareil »
 « Le tuer… Je n’ai pas le temps fouetter le un peu et remettait les au travail. »
 Les humains n’arrivaient pas s’en prendre à leur maître. Alors que Zkit attaquer ses maîtres tout le temps. Il était loyal et attaquer ses maîtres. Une incohérence qu’il trouvait tout à fait logique. Il est normal de testé les maîtres pour les servir. Le pire maître à sa connaissance était un ecclésiastique :
 « Tu vois Zkit, Dieu est une idée…
 - Hein ? Votre maître, une idée.
 - Ce n’est pas une idée c’est un concept fin et transcendant… tu ne comprends pas ?
 - Non, Je trouver bizarre. Si votre maître être une idée, vous êtes libre quand vous n’y pensé plus… C’est ça ?
 - Enfin Zkit, tu ne comprends rien ! Nous devons écouter les paroles de dieu sans discernement.
 - Dieu quoi vous donner à manger ?
 - L’espoir, et la foi d’un monde meilleur.
 - C’est nourrissant ? »
 Vu le rire qui suivit, ça ne devait pas être nourrissant. Durant tout son séjour avec son ecclésiaste, sa nourriture principale était les pommes. La bâtisse était proche d’une pommeraie alors c’était la nourriture la plus répandu. C’était dégelasse.

Son denier maître en date était un noble de l’Empire. Il cherchait des pièces d’argent et d’or dans toutes les mains. Il avait une grande maison avec beaucoup de domestique et d’esclave. Mais pas pour bien longtemps. Ce fut la première fois qu’il forgea un lien avec un autre esclave. Une femme, encore, Dalia, mais celle-ci parlait normalement : « Tu l’aimes bien, le maître ? - Lui être idiot. Quand lui prend les pièces dans les mains des gens, les gens viennent vers lui pour les récupérer. Les ronds d’or lui glissent entre les doigts. - Oui, tu as bien raison, ria t-elle. Tu étais où avant ? - Plein de maître, pas beaucoup de bon maître. Seulement un bon maître femelle. - Oh ! Moi je n’ai pas eu beaucoup de maître. Que des hommes. Mais le maitre veut me vendre. Il n’a plus d’argent » Pour la première fois de sa vie il sentit comme un déchirement dans son être. Il était triste de savoir qu’elle était sur le point de partir. Quelques jours plus tard, Zkit cassa une chaine au couleur du soleil. Il avait eu pour mission de prendre toutes les parures de la femme du noble pour les vendre. Il brisa la chaine d’or sans le faire exprès (du moins consciemment). Dalia était avec lui. Et dans un élan effréné elle s’accusa de la casse à sa place. Elle fut punit. Et Zkit l’enguela : - Toi idiote ! - Arrête de dire ça ! - Moi plus résistant, toi corps chétif. Idiote d’avoir fait ça. - J’ai pas réfléchit. - Toi être bête, comme le maître. Toi souffrir pour rien. - C’est bon j’ai comprit… ça t’a fait plaisir ? » Ça y était, elle parlait à nouveau bizarrement. « Pourquoi moi heureux de voir toi souffrir ? - Pas la punition, le geste… - Moi aussi pouvoir faire des gestes. - Par pitié… ne m’oublie pas. - Toi pas écouter. - Non, je ne t’écoute pas mais je m’en fous ! Ne m’oublie pas, et si tu deviens libre un jour (et tu deviendras libre), libère moi aussi. » Les humains sont vraiment étranges.

Puis le jour fatidique arriva. Il était le dernier esclave de du noble. Sa femme avait été capturée pour le forcer à payer ses dettes. Il avait vendu ses esclaves, et tous ses meubles. Il n’avait même plus de fouet pour punir Zkit. Mais il se refuser à le vendre : il était plus fort que des chiens de garde pour le protéger. Il crier beaucoup sur Zkit. Celui-ci ne dit rien. Il attendit. Puis un jour de rage et de folie, le noble mit un poteau dans le sol et y attacha Zkit. « Ça t’apprendra » répéter le noble sans discontinuer. Il n’avait même plus de marteau, pour enfoncer le poteau alors il le taper avec les mains. Le noble gifla à plusieurs reprises le Saurus. Il ne l’aimait pas… pas du tout.

La nuit tombée. Un bruit de terre modelé. Les chaines grincèrent sur le sol. Dans la bâtisse le noble compter combien d’argent il lui rester, combien d’ami il avait, compter combien de jour il lui rester à vivre. Devant le feu de sa cheminer. Il n’entendit pas le plancher grincer ni les chaine s’enrouler autour de sa gorge. Il prit à peine le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Il ne pouvait pas crier. Il tira sur la chaine. Mais dernière lui la personne était plus forte. Quand il le lâcha, le noble tomba à la renverse la gorge écrasé incapable de parler. Il tomba à moitié supérieur dans le feu. Ses cheveux et sa figure brulèrent.

Les gardes arrivèrent près de la maison en feu. Incapable de faire quoique ce soit. Alors ils regardèrent le feu monté dans le ciel. Nul ne le regrettera. Mais son esclave homme lézard était toujours là « Eh, tu le vois le lézard accroché au pieu ? - Ouais… - Je crois qu’il sourit.

Irrisus était un marchand respectable ne fournissant que des articles de qualité… du moins c’est ce qu’il affirmait. Il récupérait les esclaves où il les trouvait. Et de toute évidence ce client ne semblait pas satisfait. « Je peux vous aidez monsieur ? Le choix est difficile mais indispensable. Le maître est l’esclave c’est comme choisir une courtisane, une relation de couple. - Je suis tenté par votre Homme lézard, mais ils sont un peu cher en général, non ? - Bien sûr que non, c’est un prix abordable. Et les hommes lézard sont forts et vigoureux. Et leur manque de fertilité les gâte en temps qu’esclave. Pas de rejeton à tuer. - Je me suis approcher de lui… il m’a dit « Toi bon maître ? ». Vous comprenez ce qu’il voulait dire. - Ils ont aussi des coutumes étranges vous savez. » Irrisus savait que ce n’était pas la première fois que ce Saurus faisait fuir les clients. Le client parti, le marchand d’esclave jeta un regard mauvais sur l’homme lézard : « Zkit, Si tu continu a faire peur au client je vais t’attacher à un arbre sur le bord de la route » Il ne le ferrait pas. Il avait trop peur que l’esclave maudit ne vienne le tuer plus tard dans son sommeil.




Compétences :

Milieux hostile - niveau 1 : Votre personnage, habitué à évoluer dans des milieux hostiles, a appris à connaître les principaux dangers susceptibles d'être rencontrés dans une région concernée. Il n’ignore pas les effets du climat mais sait ce qu’il convient de faire pour les minimiser. Il est également capable de trouver de la nourriture (de base, pas forcément appétissante) alors que rien ne semble disponible, ce qui lui permet d’échapper à la faim. Il sait éviter les dangers etc., Il peut ajouter un bonus de +1/niveau sur tous ses tests lorsqu'il se retrouve dans un tel environnement.

Résistance - niveau 1 : Votre personnage est particulièrement résistant et robuste. Il peut ajouter un bonus de +1/niveau sur tous ses test d'endurance.

Bagarre - niveau 1 : Votre personnage est expérimenté dans l'art de se battre sans arme conventionnelle en se servant de toutes les parties de son corps ainsi que des objets présents dans son environnement. Grâce à sa technique, il ne subit pas de malus sur son ATT et sa PAR (contrairement aux personnes combattantes sans arme)et ses dégâts sont évalués par un jet de 1D12 points de dégâts.

Evasion - niveau 1 : Votre personnage a appris à se libérer et à se défaire de ses liens et ce, même s'il est encordé ou enchaîné. Il ajoute un bonus de +1/niveau pour les test visant à déterminer s'il arrive à se défaire de son entrave

Sang froid - niveau 1 : Votre personnage a ce qu'on appelle des «nerfs d'acier». Il sait rester maître de lui-même dans les situations les plus dangereuses. Il bénéficie d'un bonus de +1/niveau sur n'importe laquelle de ses caractéristiques lors de la réalisation d'une action dans un climat de stress et de tension mentale

Force accrue - niveau 1 : Votre personnage a su développer une force bien supérieure à la normale. Il obtient un bonus de +1 lors de tous ses test sous la caractéristique FOR (Attention, ce bonus ne tient pas compte du niveau de la compétence ! Ce bonus ne peut être supérieur à +1)

Pyrophilie - niveau 1 : Votre personnage a appris à éteindre des bâtonnets enflammés en les mettant dans sa bouche, jongler avec des objets enflammés et même cracher du feu. Il est habitué à côtoyer cet élément et des blessures occasionnées par le feu ne lui causent que la moitié des points de dégât qu'il aurait normalement dû subir. Il sait également allumer des feux dans les conditions les plus défavorables. Votre personnage, s'il possède l'alcool approprié, peut cracher des flammes. La préparation (récupérer la fiole d'alcool et en placer dans sa bouche) nécessite un round entier. Les flammes doivent être crachées sur une cible unique, et l'on résoudra cette situation comme un tir. La portée est de 2 mètres au maximum et l'attaque réussie peut causer 1D4 points de dégâts et 1D4 pts supplémentaires sur des cibles inflammables. Enfin, sur un test réussi, cela peut lui permettre de gagner un peu d'argent lorsqu'il exerce son talent en public. Plus pratiquement, il ajoute un bonus de +1 à ses tests quand il cherche à divertir et retenir l'attention d'une ou un groupe de personnes




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 0 Couronnes d'or


Inventaire
Pagne Simple tissu de lin porté autour de la taille pour protéger les hanches.
Collier Chaîne lourd assemblage de maillons
Briquet amadou Ne reste de l'amadou que pour 3 ou 4 allumages.


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie de l'esclavage
Classe actuelle : Main d'oeuvre

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés

Autres


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