Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Nekhesh
Age: 35 ans
Sexe: Masculin
Race: Nécrarque
Carrière: Voie des Arts Noirs
Lieu/ville de départ: L'Empire
Fréquence de jeu: Variable
MJ: [MJ] Ombre de la Mort


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 9 10 10 8 12 9 9 10 8 1 85/85
Profil actuel 9 10 10 8 12 9 9 10 8 1 85/85
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/1 0/1 0/1 - 0/1 0/1 0/1 0/1 0/1 - 0/3


XP disponible: 0
PC dépensés: 4




Description physique :

Nekhesh est un Nécrarque dans toute sa splendeur cadavérique. Si l'on est certain qu'il soit un vampire lorsque l'on perçoit son aura, la chose est encore plus sûre quand on pose son regard sur ses chairs décrépies et son visage qui suppure la mort. Il a perdu l'entierté de sa pilosité, ce qui signifie ses poils, mais également ses cheveux, ses sourcils, etc… Cela renforce cruellement son apparence mortifère et l'effroi qu'il renvoie aux mortels ayant le malheur de faire face à lui. Ses yeux sont enfoncés dans deux orbites noires, et font l'effet de deux billes aux pupilles rouge sang luisant dans l'obscurité. Si il est d'une taille tout à fait normale pour un “homme” de son âge, Nekhesh est d'une maigreur terrifiante, dévoilant le moindre de ses os sur lesquels sa peau se dépose comme une fine feuille de papier. Il porte quelques boucles d'oreilles à ses oreilles pointues rappelant celles des chauve-souris. Ce n'est pas un vampire qui accorde extrêmement d'importance à son apparence physique, ainsi, il est très souvent vêtu de haillons, ou reste tout simplement torse nu, ne portant qu'un pantalon de cuir assez moulant facilitant ses déplacements.

Description psychologique :

Voici un Nécrarque qui éprouve un certain mépris pour tout ce qui se rapproche de l'humanité. Il ressent comme une sorte de dégoût pour les créatures épousant volontairement ou non une forme “vivante”, ainsi, même si il ne les déteste pas pour autant, il ne supporte pas voir les seigneurs des morts-vivants garder une forme d'être vivant, comme une sorte de fierté, alors qu'il n'y voit que de la lâcheté et de l'égocentrisme de mortel, la chair, pour lui, n'étant d'une illusion de la vie qui éloigne de l'état d'esprit divin, esprit dont il pense que seul les Nécrarques sont porteurs. D'ailleurs, il considère, comme nombre de ses congénères, les Nécrarques comme les seuls vampires pouvant prétendre au trône de la non-vie. Mais, malgré cette petite révulsion envers la vie, Nekhesh reste un être très peu porté sur le monde extérieur, préférant, tout comme son maître, se concentrer sur ses recherches. Tout comme le seigneur des Nécrarques, il souhaite lui aussi découvrir comment guérir de la soif de sang qui reste la dernière entrave face à l'immortalité des vampires, mais il souhaite également découvrir bien plus que cela, notamment comment guérir les faiblesses inhérentes à sa race, afin que plus personne ne puisse les arrêter. Il semble également très intéressé par tout ce qui dépasse le monde matériel, déjà de son vivant, ce qu'il aimait appeler “l'illumination”, la “salvation” ou la “vérité absolue” l'obsède toujours autant, voir bien plus qu'auparavant, ainsi, il questionne régulièrement ses osselets de divination pour avoir quelques réponses à ses questions emplies de folie. La folie semble d'ailleurs prendre une place importante dans son esprit, comme tout ses frères, une folie qui tient d'ailleurs bien plus de son état vampirique que de ses obsessions métaphysiques.

Alignement : Neutre Mauvais

Historique du personnage :

“Sombres sont les voies qui mènent vers la mort éternelle… Mais la mort éternelle n'est que la plus belle des couronnes pour les plus grands des dieux. J'ai plongé à corps perdu dans les ténèbres les plus noires et les plus froides, j'ai accepté le Baiser, j'ai donné ma chair si imparfaite en offrande pour atteindre ce que je cherchais. J'ai longtemps erré dans l'inconnu, dans l'ignorance et dans l'erreur, j'ai longtemps marché sur des sentiers qui n'étaient que des culs-de-sac. Ma soif de pouvoir s'était dirigée vers des dieux qui n'avaient que faire de ma pauvre carcasse de mortel, des dieux qui ne voulaient pas perdre leur temps avec les humains, des ingrats qui se vautraient comme des gloutons dans le pouvoir que leurs fidèles leur donnaient, sans en faire quoi que se soit de respectable. Une bande d'incapables qui prenaient l'humanité comme un goitre de satisfaction dans lequel ils allaient plonger leur répugnante aura lorsqu'ils désiraient qu'on flatte leur ego divin et surdimensionné. Je les aient rejetés, tous. Je n'avais que faire de leurs “problèmes” de dieux qu'ils n'étaient pas fichus de résoudre par eux-mêmes sans que leurs chiens de gardes ne leur prêtent assistance. Mes recherches vers la Vérité Absolue m'amenèrent vers les essences les plus sacrées de la mort. Comment ai-je pût, pendant tant d'années, rechercher la transcendance suprême de l'être, sans penser un seul instant à la mort ? La seule chose qui défie les lois les plus fondamentales de l'univers, contre laquelle on ne peut rien, si ce n'est courber l'échine et baisser la tête en signe de soumission, cette entité impalpable qui est partout et nulle part à la fois, et qui pourtant constitue la racine même de ce qui existe. L'erreur était de chercher la réponse dans ce qui appartient à la vie, alors que mes réponses se trouvaient en réalité dans la mort.”

“L'odeur de putréfaction, la chair en décomposition, les crânes et les os comme seul compagnie, c'est ainsi que je me suis intimement lié à la mort, et rapproché d'elle. J'ai apprit à apprécier ce qui semblait être repoussant pour le commun des mortels, mais qui devint à mes yeux un cadeau de la Providence pour ceux qui seraient capable de le voir ainsi. Bientôt, la seule compagnie dont je pût disposer fût celle des rats, des vers, et de toutes les autres vermines attirées par les effluves de la décrépitude des corps des animaux que je ramassais pour observer. Durant mes nombreuses années de recherche occultes vers l'Illumination, je m'étais volontairement écarté de la plupart des femmes et des hommes qui constituaient il y a longtemps, mon cercle “d'amis”. La mort fût le pas décisif pour moi, pour ne plus fréquenter que ce qui était ce que je cherchais. Les vivants n'avaient plus rien à m'apprendre, je n'avais plus besoin d'eux, et eux, de toute façon, ne voudraient bientôt plus de moi. Qu'importe, j'avais trouvé la clé de la porte de la vérité. Chaque jour et chaque nuit me rapprochait un peu plus mentalement de mon but. Mais ma propre humanité m'empêchait de saisir les véritables mystères de la mort, de comprendre son essence et ainsi, de m'élever spirituellement. J'avais, il y a fort longtemps, entendu parler des morts-vivants et me souviens, même si à l'époque, c'est surtout la peur qui me traversait le corps, avoir éprouvé un grand intérêt et une grande curiosité vis-à-vis de ces étranges créatures. Morts, mais pourtant bien vivants… Comment cela pouvait-il être possible ? N'était-ce pas là un signe ? Je pensais que c'était en devenant l'un d'eux que je pourrais avancer, et ce de façon considérable, dans mes recherches.”

“Je faisais mon possible pour me tenir à l'écart des foules et des ignorants, et surtout, des répurgateurs, qui m'auraient fait brûler sur le bûché comme n'importe quel autre blasphémateur. Je ne pouvais me permettre de mourir maintenant sans avoir des réponses à mes questions. Mais j'ai rapidement découvert que l'on m'espionnait, surprenant par moments des personnes non loin de l'entrée de ma cachette, dissimulés dans les buissons ou dans les hautes herbes. Je savais pertinemment ce qu'ils cherchaient et ce qu'ils avaient en tête. Je n'avais peut-être aucune idée de comment ils avaient prit connaissance de mes pratiques, mais ils étaient au courant, et ce n'était plus qu'une question de temps avant que des fanatiques religieux ne viennent me chercher. Je devais désormais partir sans me retourner. Dans le fond, je n'avais pas prit cela comme autre chose qu'une épreuve du destin qui devait me renforcer pour les choses à venir. Ainsi, attendant la nuit tombée, là ou elle est la plus noire, je décidais de partir vers l'horizon, dans l'inconnu total, laissant faire le hasard. Ma précipitation quant à mon départ fût la cause de problèmes majeurs pour un simple humain comme moi. J'avais prit l'habitude de réduire ma consommation de nourriture et d'eau afin de me rapprocher, encore une fois, le plus possible d'un état de transcendance proche de la mort. Mais mon corps, lui, ne possédait plus la vigueur nécessaire pour braver l'impossible. J'étais faible, famélique, et dans un état de fatigue mentale qui me procurait des hallucinations. J'avais marché pendant plusieurs jours et plusieurs nuits sans jamais m'arrêter, repoussant même les limites de mon corps, m'aidant d'une solide branche trouvée sur le sol pour me soutenir, mes jambes ne pouvant plus supporter le poids de leur propre corps, aussi léger celui-ci avait-il pût devenir. Mais ce qui devait arriver, arriva. Avant même que je ne réalise ce qui était en train de se passer, mon corps commença à s'engourdir, mes paupières se fermer contre ma volonté, et mes yeux se révulser. Dans la nuit glaciale et menaçante, je tombais au sol, dépourvu de toute force. Mes yeux commencèrent à se fermer, et la dernière chose qui se présenta sous mon regard halluciné fût la silouhète d'un homme, penché sur moi, dont les yeux semblables à deux braises sortant des feux de l'enfer, m'observaient, sans jamais cligner. Je perdis rapidement connaissance suite à cette vision. Je me réveillais dans un tout autre décors. Je n'étais plus dans cette nature sauvage et dangereuse, mais dans une demeure somptueuse, à l'architecture mystérieuse et sombre mais cependant, très distinguée. Je n'avais aucune idée de ce que je faisais ici, ni même de comment j'avais pût arriver dans cet endroit. J'étais allongé dans un grand lit qui n'avait probablement pas été occupé depuis bien des années, et à ma droite, sur une petite table, se trouvait de quoi boire et manger. Bien que le “repas” donné ne fût composé que de nourriture basique et d'eau, il était amplement suffisant en terme de quantité pour remplir l'estomac de l'affamé que j'étais. Un peu plus loin dans la pièce, assis sur un fauteuil magnifique, se trouvait la personne qu'il m'avait semblé distinguer avant de m'évanouir. Je pouvais parfaitement discerner ses traits, même si la seule lumière présente n'était que celle de bougies parsemées un peu partout dans la salle. J'eu tout d'abord un haut le coeur, je dois l'admettre, devant la vision de cet homme qui portait la mort sur son visage. Je n'avais jamais vu quelque chose de semblable, ni sentit une aura aussi terrifiante de toute ma vie. Il était encore plus maigre que moi, sa peau semblait sèche comme celle d'un corps vidé de toute l'eau qu'il comporte, ses yeux, enfoncés dans deux orbites noircies, luisaient comme des flammes, ses mains jointes respectivement et placées devant sa bouche, comportaient une paire de cinq doigts squelettiques dont la peau était si fine que l'on aurait pût croire voir de véritables phalanges. Ses ongles étaient longs et également noircis, et semblaient tranchants comme des lames de rasoirs. Son crâne était chauve et ses oreilles pointues. Il m'observait dans un silence absolu, sentant la terreur en moi, mais ne montrant aucun signe distinctif. Après quelques secondes à rester ainsi, s'observant mutuellement, il prit la parole, dévoilant sa voix pincée et sinistre.

“La nourriture, c'est pour toi. Même si je ne le suis plus depuis longtemps, je me souviens quel sont les besoins fondamentaux des mortels. Manges.”

Sans lui répondre, je m'exécuta, n'écoutant que l'appel de mon estomac et surtout, mon instinct de survie. Il aurait très bien pût empoisonner la nourriture, mais je n'étais plus dans un état ou je pouvais réfléchir et prendre de telles précautions, je ne pouvais plus qu'écouter ce qui me ramenait à l'état d'animal. Il posa ses mains sur les accoudoirs de son fauteuil, dévoilant dans sa bouche entre-ouverte, deux longues dents acérées. Un vampire ? M'avait-il attiré pour se nourrir de mon sang ? Face à cela, je resta un moment immobile, n'osant même plus mâcher le morceau de pain se trouvant dans ma bouche.

“N'aies pas peur. Si j'avais voulu me nourrir de toi, je l'aurais fait dans cette forêt ou je t'ai trouvé. Si tu es là, c'est pour une tout autre raison. J'ai sentit ce qui sommeil en toi. J'ai entendu l'appel de ton âme. Tu devrais t'estimer heureux.”

Il savait ce que je désirais, et ce que je pensais, et c'était pour cela qu'il m'avait secouru. J'étais particulièrement surpris de voir cela, les vampires, jusqu'à présent, n'ayant été pour moi que des phantasmes que l'on m'avait raconté, des monstres assoiffés de sang, et destructeurs de ce monde. Il se mit à m'expliquer ce qu'il était, et ce qu'il attendait de moi, et je fus surpris de la personnalité de cette créature de la nuit, si éloignée de ce que l'on m'avait dit. Un Nécrarque, un vampire si rare que l'on les prenaient pour des légendes. Ma dévotion, mon intérêt pour la mort, c'est ce qui l'avait attiré vers moi et pas un autre. Il voulait un apprenti, celui qui pourrait l'aider à sa tâche de vampire et de nécromant. Si je l'aidais à tout cela, il me dévoilerait les clés de la nécromancie, et les secrets de la mort. Dans le cas contraire, je savais très bien qu'il me donnerait le coup final, même si je n'avais pas l'intention de refuser son offre en aucun cas. La Providence m'avait entendu.”

“J'ai passé des années auprès de mon maître, lui procurant du sang frais lorsqu'il en avait besoin, l'aidant dans ses recherches, le servant de mon mieux pour qu'il soit fier de moi, et qu'il m'apprenne plus sur le savoir que je souhaitais acquérir. Je ne voyais plus le temps défiler auprès de lui, et au fur et à mesure qu'il me transmettait de nouveaux savoirs nécromantiques, je pouvais sentir mon esprit humain se fissurer, et se réduire en miette. J'avais également changé physiquement, ma barbe et mes cheveux avaient poussé considérablement, ma peau était d'une pâleur presque aussi pure que celle de mon maître, et ont pouvait lire dans mes yeux illuminés que c'est la mort qui m'animait. Alors que je pensais avoir atteint le paroxysme de ma dévotion et de ce que pouvait m'apprendre mon maître, il me fit une proposition qu'il précisa rare et lourde de sens. Il souhaitait faire de moi l'un des siens, disant que la seule chose me manquant pour être un Nécrarque était de recevoir le Baiser Obscur. Je ne pouvais évidemment être qu'honoré d'une telle révélation, et accepta son offre avec une grande joie, ou tout du moins, quelque chose de semblable à de la joie, le temps m'ayant rendu imperméable à ce genres d'émotions. C'est durant la pleine lune suivant sa proposition que je quitta définitivement le monde des vivants pour renaître dans celui des morts. C'est avec un sentiment inexplicable que je vécu mes premières minutes en temps que vampire. Cette absence de douleur, de plaisir, de vitalité, ou de faiblesse… C'était quelque chose que je pouvais pas décrire avec des termes humains. Une jouissance nécropsique. A ce moment là, mon maître m'appela “fils”, et instinctivement, je lui donna le titre de “père”. Un nouveau monde s'ouvrait à moi. Je me sentais comme un nouveau-né, étonné de chaque découverte que je faisais sur ma nouvelle condition. Si dans les premiers jours de ma conversion, je gardais encore mon apparence humaine, je ne tarda pas à littéralement pourrir sur place, perdant mes cheveux et mes poils de barbe, perdant tout d'abord ma graisse, puis mes muscles, ma peau prenant pour de bon un ton livide, laissant entrevoir à certains endroits sur mon corps, d'épaisses veines bleues dans lesquelles le sang ne semblait plus s'agiter. J'observa ma mutation avec intérêt et curiosité, me voyant rester en vie, mais la mort investir mon corps. Je n'avais plus rien d'humain, et encore moins de vivant. J'étais un mort-vivant. J'avais atteint mon but, du moins, en partie, il me restait encore beaucoup à faire pour atteindre la salvation ultime, mais j'avais déjà atteint un statut proche, si ce n'est égal au divin. Le monde n'était plus qu'un terrain de jeu pour moi. Les préoccupations des humains qui étaient en moi avaient disparues en même temps que ma vie. Désormais, mon esprit était obsédé par des questions que jamais en tant qu'humain je n'aurais pû me poser.”

“Ma bouche est sèche. Mon corps le réclame. Désormais, il me faut du sang.”




Compétences :

Incantation - niveau 1 : Votre personnage est capable d'incanter des sorts d'une magie particulière (nécromancie)

Vision Nocturne - niveau 1 : Votre personnage est doué de cette faculté de voir dans l'obscurité. Cependant cette obscurité ne devra pas être totale, comme celle des profondeurs de la terre ou les des souterrains d'un château etc. (Il doit au moins exister une source de luminosité : Astres lunaires, bougie etc., Votre personnage n'est pas capable de voir dans une obscurité totale)

Sens Accrus - niveau 1 : Vous voyez dans le noir total jusqu'à une distance de 30 mètres comme le ferait une chauve-souris ordinaire. L’utilisation de ce trait s’accompagne de couinement causé par le vampire et qui peuvent être perçu avec un jet de perception. A noter que les chauves-souris ne “voient” pas à proprement parler ( elles ont une très mauvaise vue ) : elles émettent des ultrasons qui sont renvoyées vers elles lorsqu'elles touchent un objet, ce qui leur permet de “voir”, de se déplacer, ect… Ceci est à prendre en compte dans votre rp comme une faculté qui peut être couplée à votre vue normale.

Astrologie - niveau 1 : Votre personnage a développé cette faculté à deviner, en observant les astres, la destinée à plus ou moins grande échéance d'un individu. Cette science étudie l'influence réelle ou supposée des astres sur le comportement des hommes, et c'est ce qui la différencie de la compétence «divination» qui elle nécessite un focus particulier. Un test réussi peut révéler des informations concernant l'avenir d'une personne et certains évènements liés à son futur. (Selon le degré d'échec ou de réussite du test, le MJ révèlera des informations plus ou moins précises, voire erronées, à votre personnage. Cependant ces informations ne doivent pas être trop claires et limpides mais plutôt équivoques en laissant place à de nombreuses interprétations et à des ambiguïtés.)

Language Hermétique : Magikane Nécromantique - niveau 1 : Votre personnage sait parler, écrire et lire le magikane nécromantique. A partir du magikane, les passionnés de la mort-vie créèrent leur propre langage magique : le magikane nécromantique. Le magikane nécromantique est un langage créée à partir du magikane et du langage des morts. Comme aucun être vivant ne peut réellement contrôler le langage des morts, ceux-ci l'ont assemblé à leur propre langage magique pour pouvoir les invoquer, les utiliser et les gouverner.

Erudition - niveau 1 : Votre personnage est particulièrement doué pour assimiler des informations et peut atteindre un plus haut niveau d'expérience dans des domaines intellectuels que d'autres personnes. En terme de jeu, votre personnage peut ajouter un bonus de +1/niveau de la compétence sur tous les tests mettant en jeu l'intelligence, la logique et autres, excepté le lancer de sort. De plus, il peut acquérir ou améliorer des compétences du domaine des Lettres en ne déboursant que 40Xps à la place des 50XPs normaux. Enfin, s’il le personnage suit une carrière magique, il gagnera 1 PM supplémentaire/niveau de la compétence dans des cas précis tels que la lecture d’un grimoire ou l’apprentissage auprès d’un maitre. A nouveau, lancer un sort ou un rituel ne se voient pas appliquer ce gain supplémentaire. Dans le cas d’un auto-apprentissage de sort, le sorcier érudit se voit attribuer un -1 au résultat de son jet d’INT d’auto-apprentissage.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 6 Couronnes d'or


Inventaire
Rapière 14+1d8 dégâts 12 parade
Veste de Cuir Torse, dos et bras 5 protection
Chaperon en cuir Tête 3 protection
Bottes
Sac (petit) Vide
Boucles d'oreilles
Gants


Grimoire
Réanimation Le sort crée 1D3 morts-vivants. Ceux-ci sont soit des squelettes, soit des zombies, en fonction de l’état des corps. Les morts-vivants ainsi créés sont sous le contrôle nécromantique du sorcier. Le sort ne peut pas créer plus de morts-vivants qu’il n’y a de corps disponibles.
Télékinésie (INT+2) Le sorcier peut déplacer un objet pesant jusqu'à 1 kg pendant un temps en seconde égal à son intelligence multipliée par niveau de magie du sorcier.
Flammèche (INT+4) le sorcier génère une petite flamme capable d’allumer une bougie ou d’enflammer un morceau de parchemin, voire même de faire exploser de la poudre noire. Cependant, la chaleur dégagée n’est pas suffisante pour permettre de mettre le feu à des objets plus difficilement inflammables, même constitués de bois.
Son (INT+3) Un son au choix du Sorcier (mais pas une voix) apparait autour du sorcier (rayon de 30 mètres). Le son dure un maximum de INT*niveau du sorcier secondes.


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie des Arts Noirs
Classe actuelle : Apprenti de l'Occulte

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés

Autres

  • Dons de sang : Nécromancien Né, Malédiction des vampires et Vampirisme
  • Faiblesses vampiriques (tous inconnus du personnage pour le moment) :
    • Miroirs : La vanité des vampires est telle qu'elle conduit certains d'entre eux à considérer cette malédiction comme l'une des plus cruelles. Fort heureusement, en dehors de la Grande galerie des Miroirs du Palais Impérial d'Altdorf ou des loges des plus importants théâtres, les miroirs de bonne qualité ou de grande taille sont très rares dans l'Empire. Les nobles dames elles-mêmes ne possèdent généralement qu'un petit miroir à main: ce sont des servantes qui les maquillent et pour avoir une idée de leur prestance et de leur beauté, elles ont généralement recours à de grands portraits. Les vampires utilisent eux aussi des peintures dans ce but, mais ceux qui ne sont pas nés dans la noblesse n'ont souvent aucune notion de ce qui leur manque. Le plus gênant pour un vampire, quelle que soit son origine sociale, peut être l'absence de son reflet dans les objets ordinaires, tels que la surface d'un tonneau d'eau, une flaque de pluie ou un cuivre poli. Cependant, comme la plupart des gens s'attendent à voir un reflet dans ce genre de surlace, c'est une idée si bien enracinée dans les esprits que tout le monde part du principe qu'il y est et que son absence passe le plus souvent inaperçue. C'est ainsi que cette malédiction est beaucoup moins utile aux chasseurs de vampires qu'on ne pourrait le supposer, excepté pour les plus zélés d'entre eux, qui ne cessent d'observer la moindre surface réfléchissante d'un œil de lynx et qui ne vont nulle part sans leur miroir à main. Les vampires qui ne disposent pas de reflet n'ont en général pas d'ombre non plus, qu'ils soient éclairés par une chandelle, une torche ou par le soleil. À l'inverse, on a pu constater que ceux d'entre eux qui étaient capables de se déplacer en plein jour possédaient presque toujours à la fois une ombre et un reflet. Les érudits vampires pensent que ces deux afflictions viennent une fois encore du fait que le soleil a renié leur espèce et leur refuse tout ce qui se rattache à sa lumière et à sa présence. D'autres laissent entendre qu'il s'agirait la d'une manifestation de l'ironie étemelle qui régit l'univers car les plus belles créatures du monde se voient refuser l'émerveillement de pouvoir se contempler elles-mêmes, ne serait-ce qu'en silhouette.
    • Larmes : Quelques vampires ne supportent pas les larmes de mortels vertueux et ne se nourrissent pas des innocents, leur préférant les criminelles, les brutes et les misérables. Ces vampires posent habituellement des questions à leurs victimes pour se faire une idée de leur morale avant de les attaquer.
    • Soleil : C'est la plus impitoyable de toutes les malédictions. Sa menace est omniprésente et sa brûlure d'une redoutable intensité. Les vampires qui sont sensibles à sa lumière se trouvent instantanément affaibEs par ses rayons et voient leur non-vie se consumer de minute en minute tant que dure l'exposition. C'est une expérience atrocement douloureuse et une manière de mourir absolument effroyable. Parmi les vampires qui ont connu la mort véritable, presque tous ceux qui n'ont pas été tués par l'épée ont été victimes de la terrifiante fureur du soleil. Cependant, il existe des moyens de se protéger. Un vampire ne risque rien s'il se couvre des pieds à la tête d'un long manteau à capuchon, bien que le risque de perdre ce manteau reste assez élevé. Pour cette raison, certains préfèrent les bandages et les vêtements ligaturés. De nombreux vampires, en particulier les Von Carstein, ont le pouvoir d'appeler la tempête à volonté et il semblerait qu'une épaisse couverture nuageuse leur procure une protection suffisante. Ensuite, il y a la logistique: ce n'est pas un hasard si la Sylvanie est de très loin la plus pluvieuse de toutes les provinces de l'Empire. Les domaines favoris des vampires sont souvent de ténébreux massifs montagneux ou d'épaisses forêts. Il n'est pas inhabituel pour un noble de rester à l'intérieur durant le jour, particulièrement si l'on pense que la plupart des châteaux de Sylvanie sont absolument gigantesques et que les pluies diluviennes y justifient tout à fait la présence de passages couverts et d'épais volets. Les serviteurs sont la pour veiller à l'approvisionnement nécessaire et, pour favoriser la détente de l'esprit et du caps, les châteaux sont dotés de jardins intérieurs, de salles de jeu de paume et même de lices de joute installées dans d'immenses salles. Dans la plupart des cas, les vampires n'ont même pas besoin de sortir pour chasser. Leurs laquais s'en chargent pour eux et, parfois, des victimes consentantes se pressent avec enthousiasme pour venir offrir leur sang à leurs maîtres. Il n'est pas rare, dans une telle situation, que les vampires finissent par devenir des reclus, confinés dans leurs demeures, incapables de quitter le confort et la sécurité de leurs appartements familiers. On raconte que le comte von Sangster n'aurait pas mis les pieds hors de sa grande bibliothèque depuis plus de sept cents ans.
    • Pieux : Se voir plonger un pieu dans le cœur peut causer de graves dommages à un vampire ayant cette faiblesse. Se voir plonger un pieu dans le cœur est certes traumatisant, mais lorsqu'on se sert d'une telle arme contre un vampire ayant cette faiblesse, l'attaque suffit pour repousser le monstre. Le pieu doit cependant être taillé dans un bois spécial, comme le frêne, l'aubépine ou le bois de rose.
    • Barrière : Cette faiblesse fait que le vampire ne peut rentrer dans un édifice sans y avoir été invité, une fois invité il peut y entrer librement. Les nécrarques ont bien souvent cette vulnérabilité.
    • Sciure : Quelques vampires sont repoussés par les attirails de ceux qui s’occupent des cadavre comme la sciure de bois et les fluides d’embaumement. Un vampire évitera donc soigneusement ces endroits.

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