Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Malvina Zum Brückengeld
Age: 25 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine
Carrière: Voie de la révolution
Lieu/ville de départ: Wissenland
Fréquence de jeu: Disponible
MJ: The Puppet Master


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 8 9 10 8 8 8 8 9 1 60/60
Profil actuel 8 8 9 10 8 8 8 8 9 1 60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) - - - 0/1 0/1 0/1 0/1 0/1 - - 0/5


XP disponible: 0
PC dépensés: 4




Description physique :

Le palefrenier au narrateur

Ah la Princesse, comment la décrire ? Je pourrais déjà commencer par vous dire qu’elle est belle, ce serait un bon début je crois… Je l’observe souvent sans qu’elle ne me voit, à la dérobée lorsqu’elle vient chercher un cheval pour partir au galop dans la montagne, et qu’elle ne me regarde pas. Elle a la peau claire et lisse et si par bonheur je pouvais la toucher je suis sûr qu’elle serait plus douce encore que les naseaux d’un cheval… Mon regard ne sait jamais où se poser quand je m’hasarde à le lever sur elle. Que choisir entre ces yeux verts si mobiles et brillants ces lèvres si roses et les boucles de son front qui semblent vouloir accrocher mon cœur ? Elle n’est pas très grande, 1m65 peut-être mais sa taille est bien prise et les longues chevauchées qu’elle fait lorsqu’il lui prend l’envie de chasser, et ça lui prend plutôt souvent croyez moi, l’ont rendue fine et nerveuse. Sa démarche est souple et rapide, comme le chat qu’elle imite lorsqu’elle approche d’une proie. Le plus souvent elle porte ses cheveux bruns et bouclés négligemment remontée sur la nuque, maintenus par une flèche qu’elle arbore comme une provocation envers tous les bourgeois et qui rappelle ses qualités d’archère. Sa manière de s’habiller est plutôt simple : Elle porte le plus souvent des tenues de chasse en cuir, pantalon et justaucorps sur une chemise blanche qui le reste rarement. Mais en certaines occasions elle porte parfois des robes magnifiques qui viennent paraît-il de l’empire. Par voie légale ou non nul ne le sait mais elles lui vont si bien que personne ne s’en soucie. Elle le sait, et bien qu’elle s’en défende, je crois que ce luxe ne lui déplait pas.

Description psychologique :

Le narrateur au lecteur :

Quant à son caractère, il est plus prudent que je vous en parle moi même. J’aurais trop peur d’exposer un autre malheureux personnage à son courroux si elle venait à apprendre ce que disent certains de sa personnalité qu’on pourrait sans se tromper qualifier d’assez forte…. Je tâcherai donc moi même, en toute objectivité, de me plier à ce dangereux exercice. Malvina est orgueilleuse, et ambitieuse… Habituée dans son jeune âge à voir tout le monde se plier à ses moindres désirs, elle a très mal vécu l’arrivée de sa belle-mère et la naissance de son demi frère qui n’ont eu de cesse, depuis, de s’opposer à ses desseins. Malvina en effet, est persuadée que son père a été victime d’un complot de ses pairs qui l’auraient fait tomber pour s’emparer de sa baronnie. C’est ce qu’il lui a juré, et Malvina a toujours eu une foi absolue en son père. Malvina rêve donc de reconquérir la baronnie de ses ancêtres, malgré le caractère quasi irréalisable de ce projet. Comme je vous l’ai dit, Malvina est têtue et il est difficile de lui sortir une idée de la tête une fois qu’elle s’y est logée. Son histoire, son éducation dans les montagnes au milieu des trappeurs et ses différents avec sa belle mère l’on conduite à mépriser ceux à qui la naissance a tout donné et qui se croient supérieurs à tous, alors qu’ils ne savent rien faire de leurs dix doigts. Mais elle n’estime pas beaucoup non plus ceux qui coulent une vie trop paisible dans une ferme au bord de l’eau et se complaisent dans une médiocrité tranquille. Si elle aime le luxe, pour elle tout se mérite, et il ne faut pas se laisser amollir par lui. Aussi est-elle toujours en mouvement et ne tient-elle que difficilement en place. Il lui faut du neuf et des projets : elle déteste la stagnation. Elle est assez franche et directe, mais pas stupide. Si elle peut être assez sèche, elle sait aussi se modérer quand il le faut, bien que cela lui en coute. Raison pour laquelle elle n’a que peu de respect pour les courtisans et autres faiseurs de courbettes qui s’aplatissent devant ces grands qui ne le méritent pas toujours. Malgré son éducation buissonnière, Malvina a reçu de son père qui ne voulait pas qu’elle reniât ses origines une instruction toute impériale. Il lui procura des livres qu’elle lut avidement au plus froid de l’hiver. Aussi respecte-t-elle le savoir et la sagesse là où elle la rencontre. Cette éducation, son demi-frère n’a pas eu le temps de la recevoir. Il est né après la conquête et n’a jamais été autre chose que prince, et son père est mort trop tôt pour lui transmettre les coutumes et l’histoire de son pays ainsi que celle de ses ancêtres. Laissé aux mains de sa mère, pur produit des principautés, Malvina a peu d’espoir qu’il devienne autre chose qu’un petit prince sans envergure qui se fera bien vite assimiler, annihilant tous les efforts de feu son père. Mais ce qui importe le plus, c’est que Malvina est une battante qui ne craint pas les coups du sort. Pensez-vous ! Quand on est passé comme elle du statut de fille de barron à celui de renégate élevée à la dure, puis qu’on a été à nouveau élevé au rang de princesse, tout cela pour se faire dépouiller de son héritage par sa belle mère et son demi-frère, on s’est comme qui dirait habitué aux retournements de situation.

Alignement : Neutre bon

Historique du personnage :

Le nouveau baron de Kroppenleben à une Demoiselle nouvelle à la cour, lors d’un bal à Nuln :

Comment suis-je devenu baron de Kroppenleben ? Oh non très chère, n’ayez crainte, ce n’est pas là une question indiscrète. Vous êtes nouvelle à la cour et il est tout naturel que vous ignoriez pareils détails. Peut être, toutefois, connaissez vous le nom de mes aïeux, les Von Eberhard, dont je descend par ma mère. Non ? L’expérience de la cour vous enseignera bientôt ce sur quoi votre précepteur semble malheureusement avoir passé bien vite. Sachez qu’il est important, lorsque l’on veut briller, de connaître le nom de toutes les familles qui comptent. Or il serait fâcheux, Mademoiselle, qu’une beauté telle que la vôtre restât dans l’ombre. Mais revenons à votre question. La famille dont je descends est une grande famille, tant par le nom que par la taille. Or ma mère n’étant que cadette fut mariée à un noble de province dont je ne suis que le second fils. Je ne devais donc hériter d’aucune terre mais la fortune me sourit. Je fus présenté à la cour par ma mère qui l’avait fréquentée lors de sa jeunesse. J’eus le bonheur d’y plaire et, par chance l’occasion se présenta un jour pour moi de m’illustrer par les armes. En récompense je reçu donc cette baronnie frontalière dont je porte aujourd’hui le nom. Comment se fat-il que je reçusse un tel cadeau ? Il est vrai qu’une baronnie vacante n’est pas chose commune. Mais l’incompétence et la vilénie de mon prédécesseur ne le sont pas non plus. Cette baronnie appartenait autrefois à la famille Brückengeld. Qui en a la propriété commande une partie de la route de Karak Hirn, là où elle traverse la rivière Aulen, et est chargé de l’entretien de la principale passe vers les principautés de la région. La route de Karak Hirn, arrivée au pied des montagnes noires, suit en effet le cours de la rivière Hornberg vers l’ouest tandis que la route des principautés bifurque à l’ouest où elle rencontre un col. Or l’ancien Baron décida un jour qu’il ne servait de rien d’entretenir cette passe et sa route puisque personne, précisément, n’y passait plus. Il affirmait que puisque seuls les nains en avaient l’utilité, ils n’avaient qu’à s’en charger. Cela n’était pas tout à fait faux et l’affaire aurait pu en rester là où elle était. Mais cet imbécile de Zum Brückengeld, passez-moi le mot, en décida autrement. Jugeant que sa demeure manquait d’éclat il conçu le projet de s’en donner une plus digne de sa personne, qu’un orgueil mal placé lui faisait croire fort considérable. C’était un de ces rustres mégalomanes que l’on croise souvent au sud de l’Empire, voyez vous. Passé Nuln l’on s’éloigne à chaque lieue un peu plus de la civilisation. Vous comprendrez donc que je passe le plus clair de mon temps à la cour, où l’on peut jouir de la compagnie de personnes aussi raffinées que vous. Toujours est il que Brückengeld, dont les forêts qu’il surexploitait déjà ne suffisaient plus à financer son projet et son train de vie, imagina une manière fort originale de tirer profit des autres ressources de ses terres. Comme je vous l’ai déjà dit, le Sudenland est peuplé de gueux et il se trouve de plus sur la route de Karak Hirn quelques gredins comme il en fleurit le long des routes commerciales, et qui méritent, avec les aubergistes des relais, l’appellation de voleurs de grand chemin. Zum Brückengeld leur proposa un marché qu’ils furent prompts à accepter : En échange d’une part de leur butin, il les laissait rançonner à leur guise les voyageurs, leur recommandant toutefois de limiter la violence de leur embuscades et de ne pas les tendres à un rythme trop rapproché, autant pour soulager sa conscience que pour éviter que l’affaire fit trop de bruit. Tout le monde y trouvait son compte à l’exception des nains qui finirent par s’en plaindre un jour à la Comtesse, laquelle envoya des fonds à Brückengeld pour qu’il mis fin à cette épidémie de grand banditisme. Il feignit de le faire, recommanda à ses bandits une modération qu’il rémunéra grâce à une partie de l’argent reçu et détourna le reste à son profit personnel. Pendant un temps, on n’entendit plus parler de l’affaire jusqu’au jour où les embuscades recommencèrent et où la Comtesse envoya des troupes pour y mettre un terme. Brückengeld, sentant le danger, coupa tout lien avec ses voleurs et les laissa se faire massacrer par les soldats de l’empire. Malheureusement pour lui, sa combine fut éventée par l’un d’eux qui parvint à fournir des preuves de sa félonie, suffisantes pour qu’il fût destitué et banni, mais pas assez semble-t-il pour qu’on l’exécutât. Ce qu’il est devenu ? Je ne sais guère, ceux qui déshonorent ainsi la noblesse ne méritent pas mon intérêt. Je crois toutefois savoir que lui et sa fille, qui devait avoir cinq ans à l’époque, ainsi que quelques serviteurs fidèles, sont partis pour les principautés où Brückengeld serait enfin devenu bandit pour de bon.

Hilde, épouse de Egbert, trappeur des montagnes noires, à un espion déguisé en voyageur venu l’interroger :

Malvina? Ah la petite ! Ca fait longtemps que je ne l’aperçois plus que de loin. Et pourtant je l’ai bien connue la princesse. Elle a même vécu son mon toit. ! Oh, ce n’est pas qu’elle soit ingrate, non pas, mais son père voyait loin. Il avait de l’ambition voyez-vous, et bien qu’exilé il n’était pas du genre à se faire bucheron. Ah ça non ! Il devait se dire qu’une fois qu’il serait devenu prince, sa fille devrait bien tenir son rang. Alors il a bien pris soin qu’elle ne s’attache pas trop la pauvre enfant. Et que les rudes manières qui sont les nôtres ne déteignent pas trop sur sa petite personne. C’est pour ça qu’il l’a ballotée de chaumière en chaumière. Enfin pas seulement. Il était finaud et il avait bien vu qu’un minois si mignon lui attirait les partisans. On n’a pas l’habitude nous, dans nos montagnes, de voir des enfants si beaux. Hein Egbert ! Vous vous moquiez de nous vous autres. Vous les hommes, vous nous disiez que c’était bien un truc de bonnes femmes de s’attendrir comme ça et vous vous défendiez de l’aimer la p’tite. Mais on voyait bien que ce n’était pas vrai. Et quand le vieux Egbert a commencé a lui apprendre a chasser vous auriez du vous voir. Pire que nous que vous étiez. M’enfin. Ca lui a bien réussi au Prince, puisqu’à force il a réussi a se rendre maître de cette région qui n’avait jamais été a personne d’autres qu’aux trappeurs et aux bucherons qui y vivent. Et depuis qu'il a épousé cette fille d’Aldium, on a plus eu d'ennui avec ces fichus accapareurs de terre. Il a remis ces paysans à leur place le Prince, et ça leur a fait du bien. J’ai presque eu du chagrin en apprenant qu’il venait de mourir. C’est lui qui nous a appris à nous unir pour ne plus nous laisser marcher sur les pieds. Et pour ça pour sûr on lui est reconnaissants. Pas vrai Egbert ?

Gudrun zum Brückengeld, seconde épouse de Ludwig Zum Brückengeld. A Gunter, chef de ses gardes.

Partie ? Mais pour aller où. Je savais bien qu’elle le prendrait mal cette peste mais de là à s’en aller. Vous auriez du mieux la surveiller Gunter. Que croyez vous qu’elle soit partie faire. Elle va nous causer du souci, pour sûr, elle ne sait que chercher les ennuis. Si on l’avait laissée comme régente à la tête de la principauté, ainsi que le voulait feu mon mari, mon fils n’aurait plus eu une once de terre à lui à sa majorité. Recouvrer la terre de ses ancêtres, elle en a de bonnes ! Et le pire c’est que ces sauvages des montagnes l’auraient suivie. Ils l’aiment, ça crève les yeux d’après vos espions. Et ça ne m’étonne pas : elle est aussi folle et indisciplinée qu’eux ! Par bonheur vous me soutenez Gunter. Avec vos hommes et l’appui de ma famille à Aldium nous ne craignons rien pour le moment, les montagnards sont trop peu nombreux. Mais il faudra nous tenir sur nos gardes, qui sait ce qu’elle ira inventer. Avec un peu de chance ses folies la feront tuer. Mais qui sait… Tachez de la retrouver et de la surveiller, il vaut mieux être trop prudent que pas assez. Mais non Gunter, pas vous en personne, vous savez que j’ai trop besoin de vous à mes côtés. Pourquoi vous enverrais-je au loin alors que nous n’avons enfin plus à nous cacher. Chargez de cela un de vos hommes et tachez de me faire oublier cette mauvaise nouvelle que vous venez de m’amener. Pourquoi prenez-vous cet air embarrassé, il y a quelque chose que vous ne m’avez pas dit c’est ça ? Si, je le vois, dites moi ce que vous me cachez. Comment ! Avec nos trois meilleurs chevaux, et mes bijoux ? La garce ! Mais quoi le palefrenier ? Mais je me fiche qu’elle soit partie avec le palefrenier. Elle m’a volé mes bijoux et vous n’avez pas su l’empêcher ! Gunter vous êtes un incompétent. Disparaissez de ma vue immédiatement!




Compétences :

Baratin - niveau 1 : Votre personnage est doué pour baratiner des individus parlant la même langue que lui. Cette compétence est utilisable dans la plupart des situations, lorsque, il veut gagner du temps ou décontenancer quelqu'un. Votre personnage invente alors un discours extravagant qui a pour 12 effet d'ébahir et plonger l'auditeur dans la confusion, à le subjuguer. Il ajoute un bonus de +1/niveau à ses tests chaque fois où il se retrouve dans ce genre de situation (Le MJ peut tenir compte de bonus ou malus selon la qualité du RP, la crédulité de l'auditoire etc.)

Charisme - niveau 1 : Votre personnage possède cette qualité indéfinissable qui lui permet d'avoir des rapports exceptionnellement bons avec les gens qui se montrent généralement amicaux envers lui. Il peut ajouter un bonus de +1/niveau (en fonction de la qualité du RP, de la crédulité de son auditoire et de la crédibilité de ses dires, le MJ peut y adjoindre des modificateurs) lorsqu'il essaye de persuader d'autres individus de pratiquement n'importe quoi, de les rallier à ses idées et a ses causes et d'intercéder en sa faveur (Cette compétence ne peut s'appliquer aux individus sujets à une animosité par rapport à la race de votre personnage ou à un présentant d'un alignement opposé ; par exemple : – chaos ou mauvais / bon -. Globalement, les personnes ayant des vues divergentes ou un certain parti-pris par rapport à votre personnage restent insensibles à cette compétence)

Monte - niveau 1 : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa 33 monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.,

Adresse au tir - niveau 1 : Votre personnage se révèle être particulièrement adroit au tir et gagne un bonus de +1/niveau à tous les tests de tir.

Seduction - niveau 1 : Votre personnage dégage une combinaison de charme naturel et d'attrait physique. Il peut ainsi ajouter un bonus de +1/niveau pour tous les tests mettant en jeu des personnes du sexe opposé (voire du même sexe)

Pistage - niveau 1 : Votre personnage a cette faculté de pouvoir suivre les traces laissées par des animaux ou des voyageurs. Il ajoute un bonus de +1/niveau lors des tests visant à déterminer s'il arrive à suivre une trace (selon les circonstances et la précaution de ceux qui sont suivis, le MJ peut décider de modifier le test par des modificateurs). Toujours sur un test réussi, d'après des traces de pas, les cendres d'un feu et d'autres indices, il peut arriver à estimer le nombre, la race la distance entre lui et ses proies (en temps et en distance).




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 6 Couronnes d'or


Inventaire
Veste de cuir 5 points de protection Autres
Arc court 26+1d8 dégâts Malus de -2 TIR tous les 16 mètres Autres
Cheval de selle Caractéristiques Autres
Jambières de cuir 4 de protection Autres
Selle
Carte géographique
Couchage portatif
nourriture pour 3 jours moyenne
Bottes
Gants
Robe élégante
Cape courte
Sac à dos


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie de la révolution
Classe actuelle : Agitateur

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Haleth 20 0

Autres


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