Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Malik Sir'Hu
Age: 30 ans
Sexe: Masculin
Race: Humain
Carrière: Voie du meurtre
Lieu/ville de départ: Arabie
Fréquence de jeu: Souvent
MJ: Le Djinn [MJ]


Nom de la ligne FOR END HAB CHA INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 8 10 8 8 8 9 8 9 1 60/60
Profil actuel 9 8 11 8 8 9 10 9 9 1 65/65
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 1/1 0/1 1/2 0/1 0/1 1/2 1/2 1/2 0/1 - 5/15


XP disponible: 0
PC dépensés: 4




Description physique :

D’un gabarit athlétique après de longues années à être formé par Alm Mualim dans l’art du meurtre, de l’escalade et du combat, Malik est ainsi devenu un homme bien plus imposant que l’homme qu’il fut à l’époque où il n’était qu’un simple éleveur de chèvre tout comme le fut son père. Mesurant un mètre quatre vingt pour environ soixante quinze kilos, il arbore une chevelure noir et courte en adéquation avec le teint foncé de sa peau, caractéristique commune aux Arabéens et plus particulièrement aux nomades à force de se confronter à la rudesse du climat au sein du désert. Arrivant sur ses trente ans alors qu’une barbe décore son visage aux premières rides apparentes, Malik est ainsi un homme d’âge mure, plutôt bel homme, tandis que le style vestimentaire qu’il arbore en temps que Hashishin n’est autre qu’une longue cape de voyage à capuche avec en dessous, une chemise rouge carmin, le tout étant relié par un turban de soie rougeâtre, accessoire assez commun en Arabie. Quoiqu’il en soit, maître du déguisement et des apparences, il saura devenir qui il voudra en fonction de la mission qui lui est confié par Al Mualim, de fait il lui arrive bien souvent de changer d’accoutrement en permanence, en fonction des besoins du groupe des Assassins. Par sécurité et pour ne pas être reconnu par un ennemi, tatouages où bijoux sont formellement interdits, étant des signes reconnaissables aisément par celui qui sait que, à chaque instant, peut recevoir la visite d’un Hashishin une fois la nuit tombée…

Description psychologique :

Autrefois homme bon et généreux ayant été élevé dans les traditions du clan Al’Rahem, Malik a drastiquement changé de caractère et de vie après son entrée dans le groupe des Hashishin suite à la perte de l’amour de sa vie : Yasmina. Formé dans l’art du déguisement et du meurtre par son mentor Al Mualim pour qui il éprouve un grand respect, ce choix de vie au sein des Assassins d’Arabie n’est que le fruit d’un enchaînement de circonstances dramatiques, l’ayant poussé à accepter l’idée que cette vie nouvelle était le seul moyen pour lui d’échapper à ses tourments. Bien que ne prenant aucun plaisir à tuer, avoir la possibilité d’être à la fois tout le monde et personne en même temps, lui donne alors la sensation d’échapper à son passé, et notamment à la culpabilité qui le ronge suite à la mort de celle qu’il aimait dont il se sent encore responsable.

Méthodique et efficace, son apprentissage au sein du groupuscule dirigé par «Celui qu’on ne voit» l’a notamment formé à adapter son comportement en fonction de ses interlocuteurs : Homme ou femme, civil ou soldat, riche ou pauvre… Tant de paramètres faisant qu’il ne se comportera jamais de la même manière en fonction de qui il a en face de lui. Dans le même temps, il en devient difficile même pour lui de se souvenir de l’homme qu’il fut tant le monde dans lequel il a été plongé est aussi dangereux que faux. En effet, si l’Hashishin est bien souvent le chasseur, il peut aussi être la proie dans un pays où, si vous n’êtes pas sur vos gardes, vous pourriez bien être le suivant à recevoir une dague dans le dos. Quoiqu’il en soit, l’endoctrinement et l’éducation qu’il a reçu l’on totalement convaincu du juste combat qu’il mène avec les Hashishin pour le bien de l’Arabie. Et si il ne voue aucun fanatisme à l’encontre de «Celui qu’on ne voit», il respecte méticuleusement les préceptes et le credo qu’il impose aux Assassins. Chose singulière, dans un pays où les esclaves sont monnaies courantes, il est tout de même de ceux répugnant la traite humaine et voue une haine sans commune mesure aux esclavagistes.

Alignement : Neutre

Historique du personnage :

Les premières lueurs du jour percèrent le voile obscurs, se réfléchissant au loin sur la cime des dunes ressemblant à s'y méprendre à un océan dont les rafales de vent s'engouffrant entre celles ci, donnaient vie ici à une marée montante et descendante, comme si le désert lui même était une entité vivante et en constante évolution. De la même manière que les marins étaient les maîtres des océans, ceux capable de dompter la mer de sable étaient dans ce pays surnommés les nomades, véritables hommes des sables, parcourant de long en large l'immense désert composant l'Arabie, y chassant et y commerçant tout en respectant nombre de traditions qui leurs étaient propres, autrefois partagées par l'ensemble du pays, du temps où, quelques millénaires en arrière, se déroulèrent des événements qui donneraient naissance au pays qu'ils connaissaient aujourd'hui. De même, au fil des siècles nombre de ces voyageurs du désert lassent d'une vie difficile et pleine de dangers, cherchèrent alors à se sédentariser, se regroupant en d'immenses tributs pour finalement laisser sortir du sable de grandes villes aujourd'hui nombreuses à travers toute l'Arabie. Sous la coupe de puissants dirigeants eux même ayant prêté allégeance au Grand Sultan dont le pouvoir était concentré dans la ville de Al-Haikk, les différentes villes s'étaient vu se développer grâce au commerce mais aussi aux guerres qui avaient rongé la région durant de sombres périodes, dont peu encore en vie aujourd'hui arrivaient à se souvenir.

Le royaume de Dimashque était l'un de ceux ci, se trouvant non loin de la frontière séparant l'Arabie de la Terre des morts, sa position, à la fois particulière et stratégique dans la région du Golfe de Medes avait ainsi fait grandir sa renommée à travers l'Arabie toute entière, la ville étant connu pour être le berceau des artistes, des philosophes et des scientifiques, ainsi que pour les armes de qualités que ces forgerons savaient fabriquer, leur procédés de fabrication étant jalousement gardés, même si la ville aimait à propager la rumeur disant que, le métal des lames de Dimashque n'était tout simplement pas refroidi dans l'eau comme il en était coutume, mais plutôt dans du sang et de l'urine, ingrédients expliquant la solidité des cimeterres qui en découlaient et n'ayant nul équivalant dans le vieux monde. Vrai ou non, Dimashque était ainsi un royaume important d'Arabie, bien que le développement grandissant de celle ci, masquait aussi une situation politique compliqué, voir explosif alors que son dirigeant, le roi Ab’sam ibn Aqmar, était particulièrement critiqué par son peuple mais aussi par ces plus proches ministres quand à la gestion du Royaume et à ces idées novatrices concernant l'accueil de tous en son sein, étrangers compris. Royaume cosmopolite, cela ne participa que plus encore aux avancées technologiques de celui ci, tout en développant un commerce dépassant les frontières de l'Arabie, amenant marchands et commerçants étrangers à y séjourner tout en augmentant dans le même temps, la méfiance et la haine entre différents peuples aux coutumes et aux croyances bien différentes. Sans compter que les trésors de la cité attisaient aussi nombre de convoitise, parfois de locaux ou d'étrangers aux idéaux peu scrupuleux, ne dégradant que plus encore l’image de ceux n’étant pas des fils du désert..

Ainsi, ce fut dans ce Royaume que débuta cette histoire… Une histoire de sang, un combat mené dans l'ombre mais dont les impactes se refléteraient à travers toute l'Arabie … l'Histoire de Malik Sir'Hu… l'Histoire d'un Hashishin…

Le soleil brillait haut dans le ciel, ces rayons brûlant la terre alors que la ville de Dimashque subissait l'accablante chaleur des dernières semaines, pareil température n'ayant plus été vu ici depuis des décennies, les vents marins du Golfe de Medes offrant d'ordinaire un climat plus vivable que celui de l'intérieur des terres. Perché sur le toit de l'édifice tenant en son sein le Hall des Poètes, deux hommes encapuchonnés arborant une tunique noire ornée d'un turban rouge carmin autour de la taille, contemplait silencieusement les vas et viens des habitants empruntant les portes du Hall, édifice autrefois transformé en temple dédié à l'Unique durant les croisades, jusqu'à ce qu'il redevienne une fois la paix retrouvé, l'un des points de rencontre et de partage d'idées des plus grands intellectuels de la région. Des deux hommes, l'un était plus jeune que l'autre, le nom dont il avait joui à la naissance étant celui de Malik Sir'Hu… Même si ces dernières années, plus personne ne l'avait nommé ainsi. A ses cotés, se tenait silencieusement un homme à la barbe grisonnante, et son mentor : Al Mualim…

Ne partageant aucun mot, silencieux comme des ombres alors que le soleil dévorait leur peau, ils restaient tous les deux à l'affût, scrutant depuis leur perchoir les nombreux visages défilant au rythme du temps. “Hashishin”… Dans la langue du vieux monde cela se traduisait par “Assassin”. Dans toute l'Arabie, nombre d'organisations, de sectes et de groupe d'individus jouissaient d'une certaine réputation. Celle des Hashishin en était une des plus célèbres, connu pour sa dangerosité car composée d'hommes et de femmes à l'agilité et aux capacités de combat exceptionnels, les légendes entourant le groupuscule ayant fini par le rendre craint de l'Arabie toute entière, même si certains réfutaient encore l'existence de ceux ci, tant leurs actions étaient aussi efficaces que silencieuses. Si les rumeurs aimaient à rependre que ces assassins n'étaient autres que des opportunistes vendant leurs lames aux plus offrant comme saurait le faire n'importe quel mercenaire, la réalité de leurs actions était tout autre, agissant non pas seulement pour l'or et les pierres précieuses, mais obéissant aux règles et coutumes régissant leur groupuscule, dont l'autorité était représenté par une personne, dont même certains Hashishin réfutaient l’existence : “Celui qu'on ne voit pas”.

Mythe où légende, un nombre de cinq Hashishin de renommés et d'exceptions composaient ainsi les cinq doigts de la main de “Celui qu'on ne voit pas”, distribuant ces ordres et désignant au reste du groupe, les cibles qui se devaient de mourir, pour le bien des plus faibles et de l'Arabie tout entière. Car c'était à cela qu'aspirait, tout du moins aux origines de sa création, le groupe des Hashishin : la défense de l'Arabie toute entière contre les dangers intérieurs ou extérieurs pouvant la menacer. D'une sélection implacable couplé à une formation dangereuse et mortel, les rares initiés y survivant rejoignaient leur rang, recevant l'arme qui les caractérisaient tous : un brassard en cuir d'où sortait, à l'aide d'un mécanisme ingénieux, une lame dissimulée pour abattre les ennemis de l'Arabie. Idiot celui qui pourrait penser qu'être un assassin ne consistait qu'à apprendre à tuer à travers différentes techniques tout en utilisant toutes sortes d'armes et poisons atroces. En réalité, la traque d'une cible nécessitait une préparation minutieuse et une patience à toute épreuve. Ainsi en plus de l'art de l'assassinat, les Hashishin apprenaient à lire et à écrire, développant leur sens culturel à travers diverses matières : les sciences, l'art, la philosophie… le but ? Être capable de devenir tout le monde et personne en même temps… Porter non pas un masque mais des centaines différents : Un jour marchand, l'autre esclavagiste, puis soldat ou encore prince… C'était cela la force des Hashishin : Pouvoir devenir qui ils souhaitaient pour atteindre une cible, une capacité ne rendant personne à l'abri d'un coup de couteau dans le dos… Mais pareil éducation avait un prix : Celui de vivre toujours dans l'ombre, et d'oublier son passé, jusqu'à son nom, pour la sécurité de l'assassin mais aussi du reste du groupe.

Ainsi, c'était par deux qu'agissaient les Hashishin, l'élève et le mentor, tout comme l'était Malik Sir'Hu et Al Mualim, et aujourd’hui après une formation longue et rigoureuse, le moment était venu pour l’élève de faire ses preuves devant le maître. Jaffar Admeramane… Intellectuel mais également membre du cercle restreint des plus grande fortune de la ville était aujourd’hui la cible qui avait été désigné par «Celui qu’on ne voit pas». De l’enquête et des infos qu’il avait pu glaner, Malik avait finalement appris que sa cible, corrompu par la soif du pouvoir et l’appât du gain, s’était vu à se rallier aux différents ministres opposés au régent actuel de Dimashque : Ab’sam ibn Aqmar, dans le but de fomenter un coup d’état et d’y installer un nouveau roi susceptible d’apposé un régime plus stricte au contraire de la politique du dirigeant actuel concernant l’immigration dans la cité. Mais Jaffar, tel le serpent, avait également d’autres projets plus sombres encore… N’ayant nul confiance dans les ministres qui se disaient être ses alliés, avait aussi fomenté un autre plan susceptible de lui offrir une position plus confortable à l’avenir, en plus des nombreuses richesses qu’il saurait acquérir dans son entreprise. Ainsi, ce fut auprès de Bretonniens, avec qui il fut mit en contact par quelques réseaux obscurs, qu’il se retrouva à comploter avec les chevaliers du vieux monde, sous les ordres d’un seigneur masquant son nom, et qui était selon les rumeurs, à la recherche d’artefacts d’un autre âge et en lien avec leur culture archaïque. Des chevaliers étant aveuglés par une foi aussi dangereuse que répugnante, comme le furent leurs ancêtres durant les croisades qui avaient frappé l’Arabie des décennies en arrière. En échange d’informations et de services, Jaffar s’assurait ainsi une place dans le nouveau monde que la troupe de Bretonnien cherchait à installer : Un monde gouverné par un Ordre nouveau alors que l’Arabie n’était à leurs yeux, qu’une contrée impie et en pleine décadence. Comment les chevaliers pourraient ils tenir pareil promesse ? Étaient ils même en mesure ne serait ce que de fouler les terres du désert sans être remarqué ? Et qu’attendaient ils précisément des artefacts qu’ils convoitaient si leur existence était légitime bien entendu ? Nul réponse à fournir… Nul importance, les Hashishin ne s’arrêtant pas au contexte flou des légendes et de la magie, seul comptait pour eux la seule et unique vérité : Celle de «Celui qu’on ne voit pas»

Désormais le soleil était à son zénith, le moment était arrivé, celui où la chasse saurait débuter, le moment où l’intellectuel Jaffar Admeramane allait quitter le Hall des poètes pour se rediriger vers sa demeure en compagnie des trois gardes assurant sa protection. Malik se releva, et offrit alors son bras à son mentor, celui ci l’agrippant pour finalement lui dire :

« Que celui qu’on ne voit pas guide ton bras… » Dit il presque religieusement avant de recevoir pour réponse de Al Mualim : « Et que ton bras frappe juste… »

Les deux hommes acquiescèrent mutuellement, et Malik fut le premier à s’élancer, commençant sa rapide descente du bâtiment du Hall des Poètes, allant même jusqu’à se laisser glisser sur les tuiles en composant la toiture, pour à terme marcher en équilibre le long du rebord de celle ci, la moindre erreur pouvant le projeter une vingtaine de mètres en contrebas. D’un pas de félin et d’une dextérité à toute épreuve, il se retrouva alors sur les toits des riches maisons bordant les rues bondées menant au Hall, sa cible en sortant en compagnie de sa garde rapprochée, alors qu’ils s’enfoncèrent ensemble à travers Dimashque.

Ne le quittant désormais plus des yeux, il suivit alors son objectif à travers un parcours aérien qu’il semblait avoir reconnu nombre de fois avant cet instant, usant du décor urbain pour se déplacer avec aisance sur les toits, sautant de balcons en balcons, où encore en usant des cordes suspendus entre les habitations par la population pour faire sécher le linge qu’ils avaient su faire nettoyer. Par intermittence, il lui arrivait de quitter les hauteurs, retrouvant la sécurité du sol en usant des différentes échoppes sur son itinéraire pour se réceptionner, et ainsi se retrouver dans les rues principales, se faufilant à travers la foule dont la densité servait à couvrir ses traces. A la manière d’un prédateur, il avançait ainsi, pourtant en plein jour, dans l’ombre, nul ne semblant s’interroger sur sa présence, car après tout… Aux yeux du commun des mortels, il pouvait être n’importe qui… Il pouvait être tout le monde et personne en même temps. L’objectif se rapprochait au fil des minutes… Patience et précision saurait être les qualités qui ne pouvaient lui faire défaut au moment opportun, suivant et observant Jaffar depuis quelques semaines déjà, il savait précisément quand frapper : Ce moment où, à l’intersection de l’artère principal, il s’engouffrerait lui et ces hommes, dans une ruelle plus petite et plus tranquille… A cet instant, Malik pourrait agir… Accélérant sa filature pour prendre en avance la position qu’il avait choisi, il se retrouva à devancer sa prochaine victime, quittant les rues bondés pour retrouver la sécurité des toits, s’installant sur le rebord de l’un deux, alors qu’à quelques mètres en dessous, se trouvait la ruelle qui accueillerai le crime qu’il allait commettre. Jaffar arriva, comme il l’avait envisagé. La fenêtre d’action du Hashishin serait courte, et nul erreur ne pouvait être faîte en cet instant. Sa respiration se fit plus forte et plus lente, le rythme de son cœur s’emballa, et alors qu’il termina d’enrouler un foulard jusqu’au niveau de ses yeux pour masquer pleinement son identité, l’un des garde de l’intellectuel passa sous sa position et… Malik sauta, le mécanisme du brassard autour de son bras s’armant alors qu’une lame se dévoila, le poids du corps de l’assassin s’écrasant sur le garde tendit qu’il sectionna ces chairs au niveau du cou, une gerbe de sang virevoltant dans l’air pour s’écraser au sol, tandis que les deux autres gardes et Jaffar n’avaient pas même encore compris ce qui était en train d’arriver. De sa main faible, Malik extirpa de sa tunique un couteau de lancée qu’il projeta dans la gorge d’un autre garde, celui ci se projetant au sol avec le choc de l’impact, alors que le dernier garde, commençant tout juste à se saisir de la garde de son cimeterre, n’eut que le temps de voir l’assassin combler d’un bond la distance les séparant, une lame se figeant dans son cœur, ces yeux s’écarquillant et que la dernière lueur de vie lui restant vint à quitter son corps. Dès lors ne restait plus que Jaffar, voulant crier et s’enfuir, mais qui se retrouva bien vite à être saisi par le col, tout en se retrouvant projeté par terre, Malik au dessus de lui, tandis qu’il leva son bras pour faire appliquer la sentence de « Celui qu’on ne voit pas »… Tout avait été précis et rapide, et tout saurait se terminer dans l’instant…

Mais… L’improbable arriva, un détail que l’Hashishin n’avait ni anticipé, ni calculé… Un millième de seconde qui en cet instant fatidique, renversa des semaines de travail à l’encontre de l’intellectuel. Dans sa chute, celui ci avait en effet laissé s’échapper de son cou, un pendentif dorée avec en son centre, une pierre précieuse d’un vert rayonnant… Un bijou ? En soit rien d’exceptionnel ou de troublant dans les faits et pourtant… Ce pendentif… Il le connaissait… Il était celui qui l’avait trouvé et qui l’avait offert voila des années en arrière… Émergèrent alors de son esprit endoctriné par les Hashishin, quelques fragments d’un passé oublié, celui de Malik Sir'Hu, autrefois jeune nomade du désert, et d’une femme… Une amie d’enfance… Celle a qui le pendentif avait été autrefois destiné.

« Où as tu eu ça ?! »

Pour la première fois depuis qu’il avait rejoint les assassins, il avait ici commis une erreur, s’adresser à une cible au moment de la tuer, acte dangereux car offrant une opportunité à celle ci de le reconnaître alors que son âme aurait dû rejoindre l’Unique depuis longtemps déjà.

Jaffar s’interrogea en cet instant, n’offrant nul réponse car tétanisé par la peur de mourir, et ce qui devait arriver, arriva… Cet instant d’hésitation laissa le hasard et la chance, deux choses qu’un assassin ne pouvait maîtriser, s’inviter à la situation. L’un des soldat, celui qui avait reçu le couteau de lancée, se jeta alors sur lui, le coup qu’il lui avait porté plus tôt ne l’ayant qu’effleuré, le garde du corps se tenant maintenant au dessus de son agresseur, laissait tomber son poids sur lui, dague en main, Malik lui opposant une résistance acharné alors qu’il voyait la dague de son ennemi se rapprocher petit à petit de son œil… Dans un duel de force loin d’être à son avantage, Malik se débattait ici pour échapper à la mort, perdant inlassablement son combat alors que son opposant, en position de force car se tenant sur lui commençait petit à petit à grappiller la distance séparant l’acier de son arme de la chair de son ennemi. Pendant ce temps, profitant de sa chance, l’intellectuel Jaffar, jusque là tétanisé sur place, comprit alors qu’il était temps pour lui de déguerpir et de retrouver au plus vite la sécurité de sa demeure si il voulait voir à nouveau le soleil se coucher sur Dimashque. Ainsi, la cible du Hashishin commença à s’éloigner, quittant peu à peu son champ de vision, obligeant Malik a réagir si il voulait honorer le contrat qui était le sien.

Usant de la force et de la férocité de son adversaire, Malik n’opposa alors plus aucune résistance, surprenant ici le soldat qui s’écroula sur lui, l’Hashishin décalant son visage au dernier moment alors que la dague percuta le sol. Profitant de cette ouverture, l’élève de Al Mualim s’empara des cervicales du soldat, et d’un geste rapide et puissant, les brisa dans un craquement abominable, le corps de l’Arabéen s’écroulant, alors qu’il le dégagea d’un geste pour se relever. Sans perte de temps, il s’élança à la poursuite de Jaffar, se refusant à perdre sa trace alors qu’il resta perturbé par le pendentif qu’il avait aperçu sur le riche érudit… Comment était ce possible ? Désormais à nouveau plongé dans les rues bondées de la ville, il localisa alors sa cible, fuyant tel un rat se retournant sans cesse pour vérifier si il était suivi, n’hésitant pas à pousser violemment quiconque se tiendrai devant lui. Dans une course poursuite infernale, circulant à travers la populace, les échoppes et les écuries, l’Hashishin de par son agilité, rattrapa peu à peu sa cible jusqu’à le voir s’engouffrer dans une riche maison qui pourtant n’était pas la sienne, ce fut alors dans une cour pavé, décorée d’un jardin luxuriant avec en son centre une fontaine de marbre, que Malik fut plongé, Jaffar se retournant face à lui pour le montrer du doigt et hurler la voix tremblotant :

« Ass … Assassin !!! Tuez le !!! »

Ces instructions, elles furent données à la dizaine hommes se trouvant également dans la cour, au teint moins foncé que les locaux et aux mines plus bourrus, ils échangèrent des regards circonspects, avant que l’un d’eux n’ordonne quelque chose aux autres, dans une langue que Malik n’était pas en mesure de traduire mais reconnu : Du Bretonnien. A qui était cette demeure ? Comment des croisées du Vieux Monde avaient pu entrer sans être remarqués au sein même de Dimashque ? Était ce les fameux chasseurs d’artefacts travaillant en lien avec Jaffar ? Tant de questions, et nuls réponses à fournir alors qu’une erreur avait suffit à transformer le chasseur en proie, l’Hashishin se retrouva maintenant cerné, alors que déjà les chevaliers se jetèrent sur lui, l’épée à la main. S’en suivit non pas un combat mais plutôt une fuite mouvementé, le point d’entrée qu’il avait emprunté étant maintenant bloqué par ces nouveaux ennemis. Les lames fondirent sur lui, l’assassin esquivant alors qu’il usa du terrain pour tenter de se retrouver contre deux ennemis en même temps au maximum, les armes qu’il maniait ici ne pouvant rivaliser avec la puissance des claymores Bretoniennes qui dansaient autour de lui. L’acier claqua à de nombreuses reprises, le vent crée par les joueurs d’épées se faisant ressentir sur la chair de l’Hashishin, qui peu à peu se retrouva submergé, au point de subir les premières lacérations que son armure de cuir ne pouvait encaisser. Jaffar étant maintenant à l’abri et hors de portée, l’échec de Malik était ici total, et l’échec pour un Hashishin ne se caractérisait que d’une seule façon: La mort…

Pour autant, la redécouverte d’un objet appartenant à son passé avait éveillé en lui, un désir de vie qu’il ne se connaissait plus, refusant de voir aujourd’hui sa tête jonché le sol de la somptueuse demeure lui servant à l’instant T de piège mortel, et poussé dans ses ultimes retranchements, il vint à extirper d’une de ses poches une petite fiole en verre, qu’il projeta au sol, celle ci libérant un nuage de fumée destiné à le masquer, tout en dégageant une odeur abominable contre quiconque viendrait à la respirer. A travers les quintes de toux des Bretonniens, usant du temps qui lui était accordé, Malik commença alors à grimper le long d’un pilier composant la cour de l’édifice, dans le but de gagner le toit de celui ci et de peut être obtenir une porte de sortie. Les chevaliers, commençant à se dégager du nuage, hurlèrent alors qu’ils voyaient le responsable de l’assassinat manqué contre leur employeur leur glisser entre les doigts, celui ci rejoignant le toit du bâtiment, avec une facilité presque déconcertante. S’élançant dans une ultime course, le bruit des tuiles se répercutant dans l’air à chacun de ses pas, ce ne fut maintenant plus l’acier des épées mais plutôt les pointes des flèches qu’il devait craindre, les projectiles fondant l’air et fusant autour de lui, alors qu’il continua à courir dans le but de s’élancer d’ici quelques secondes dans le vide, de manière à se retrouver sur le toit d’un autre bâtiment de la ville.

Il y était presque, plus que quelques mètres… Un dernier effort et… Au moment de se projeter et de décrocher ses pieds du sol pour bondir, il sentit une flèche se figer dans sa cuisse, la douleur aussi foudroyante que soudaine venant à perturber sa concentration, alors qu’il bascula dans le vide, son corps traversant le toit d’une échoppe composé de soie et de bois, s’écrasant avec violence et brutalité sur le sol de la rue en contrebas d’où les derniers sons qu’il entendit furent ceux des cris de panique de la population et des hurlements des chevaliers sur ces traces…

Plongé dans l’obscurité et les méandres de ses souvenirs, Malik se remémora alors des jours meilleurs, d’une époque oubliée où, avant d’être un Hashishin, n’était rien d’autre qu’un éleveur de chèvre vivant à la manière des anciennes traditions, propre à ceux qu’on surnommait les « enfants du désert ». Né et élevé par un père et une mère aimants au sein d’une petite tribut du clan Al’Rahem, il avait ainsi été élevé dans un milieu hostile et où pourtant, l’entraide et l’honneur étaient des valeurs partagées par tous, la tribut représentant un grand tout, une famille assez conséquente et à la structure social bien défini, gouverné par un chef et où chacun connaissait son rôle et sa place pour faire avancer et se développer le groupe, les initiatives collectives primant sur l’individualité. Des nombreux clans parcourant le désert, celui de Al’Rahem était sans aucun doute l’un des plus discret, ne se mélangeant que très peu aux autres nomades, ce trait qui leur était propre, n’étant nullement le fruit de quelques méfiances ou rancœurs anciennes, ils avaient tout bonnement choisi de vivre loin des autres, échappant ainsi au tracas du monde moderne, sans pour autant rejeter les nécessiteux ou les étrangers, qu’il soit Arabéen ou non, pouvant croiser leur longue et éternel exode dans le désert. Pacifique dans l’âme, les nomades Al’Rahem étaient tout de même élevés dans une tradition martial très ritualisé, s’adonnant comme passe temps à des duels sous forme de danse où hommes et femmes venaient à démontrer leur dextérité en hommage aux anciens qui avaient fondé leur civilisation voila des millénaires en arrière.

Bercé dans ce milieu traditionnel, le jeune Malik avait donc développé son esprit tout en écoutant lors des nuits de pleine lune sous la voûte étoilée au coin du feu, les histoires des anciens, relatant d’anciens combats pour leur survie, où les vivants affrontaient les morts dans une guerre qui dura des siècles. Ainsi en grandissant, loin d’être un rêveur avec des envies de voyage et de liberté, c’était par devoir envers le clan et ses parents, qu’il se fit une place au sein de sa communauté, apprenant les domaines de l’agriculture et l’art de monter à cheval, comme il en était de tradition chez les « enfants du désert ». A la mort de ceux qui l’avait élevé, il se retrouva donc à hériter du peu de bien qu’ils avaient, la mort chez les nomades étant une notion vu d’une manière bien différente de ceux vivant sur le Vieux continent, celle ci était en effet accueillit avec dignité et sans fracas, comme une étape crucial du cycle de la vie : Les nomades naissant du désert et retournant dans la terre une fois le sablier du temps qu’il leur était allouer écoulé… Ainsi en avait il été décidé, et tenter de rejeter cette notion était aussi puérile qu’une perte de temps certaine.

Ainsi dans ce milieu si particulier et pourtant si cher à Malik alors qu’il en était en cet instant nostalgique, la vision du pendentif porté par la cible qu’il avait tenté d’éliminer à savoir Jaffar Admeramane, avait fait remonter en lui les traits d’un visage qu’il avait tenté d’oublier, une blessure au cœur à jamais ouverte, alors qu’à l’époque de son ancienne vie, c’était l’Amour qui avait aiguillé toute son existence…

Elle se dessina devant lui, le nuage de fumée brouillant ses souvenirs se dissipant, pour laisser apparaître une créature à la chevelure longue et noir, semblable à la crinière des plus majestueux pure sang galopant dans les plaines d’Arabie, son teint de peau bronzé était en adéquation parfaite avec ces yeux d’émeraudes qu’on disait être aussi brillant que les plus beaux rubis du grand Sultan. Une silhouette si fine et si gracieuse, qu’elle envoûtait le cœur des hommes d’une simple danse, comme savait le faire le cobra du désert lorsqu’il était confronté aux autres êtres vivants parcourant les dunes de sables. Yasmina Naki’ha… Partageant le même âge, ayant vécu une enfance commune à travers une amitié sincère et forte pour devenir au fil des années, un amour passionnel et partagé mais également interdit, elle étant une fille de chef de clan alors que Malik n’était en ce temps qu’un fils d’éleveur. Loin du cliché de la femme domestiqué dont les hommes du Vieux monde aimaient à dénigrer quand ils parlaient des relations hommes femmes dans l’Arabie… Yasmina avait toujours été une femme forte et indépendante, indomptable alors qu’elle aimait s’adonner, contre les recommandation de son père à des chevauchées à travers le désert, seuls instants où elle se sentait aussi libre que le vent. Ces moments d’égarements, elle en usa bien souvent pour retrouver son amant, le prince de ces nuits : Malik Sir'Hu alors qu’ils s’adonnaient ensemble avec les étoiles pour seules témoins à faire vivre leur amour, chaque moment partagé se devant d’être savouré comme si il pouvait être le dernier. Lui vivant dans la tradition, elle cherchant à s’en émancipé, c’était dans leur opposition qu’ils parvenaient toujours à se rassembler… Ainsi, Malik vivait pour elle, et elle pour lui…

Mais le visage de l’amour de sa vie amena aussi son lot de souffrance… Des traumatismes qu’il pensait avoir surmonté, alors que Al Mualim, son mentor, avait été celui qui l’avait aidé à se reforger, à se reconstruire… Sauvé par celui ci alors qu’il vadrouillait à travers les dunes tel un mort en sursis, ce fut l’entraînement couplé à l’endoctrinement des valeurs de «Celui qu’on ne voit pas» facilité par la consommation de Hashish qui le reforgea… Et pourtant… il se remémora… Les sabots des esclavagistes s’enfonçant dans le sable… les coups de fouet lui lacérant les chairs… et cette vision… de ces ordures abusant de Yasmina alors qu’il se souvenait de ses appels à l’aide… Mais il n’avait rien pu faire… omis regarder et ainsi voir son esprit se briser…

Tout ça à cause de… Tout ça pour…

Mais l’obscurité s’épaissit à nouveau, et Malik ré-émergea dans la réalité.

Lorsqu’il ouvrit les yeux, ce fut dans la pénombre qu’il fut plongé, son corps posé contre un lit de fortune constitué d’une paille desséché, alors que ses narines étaient emplit d’une odeur nauséabonde, semblable à celle d’excrément, amplifiée par l’humidité qui semblait omniprésente dans la pièce… Des égouts… il était dans les égouts… Ressentant la douleur dans sa hanche, alors que le tir de flèche qu’il avait subi couplé à sa chute du toit refirent peu à peu surface, il observa également qu’une attelle avait été apposé à son bras, sans aucun doute fracturé après avoir percuté le sol de la cité. Dans l’ombre d’un coin de la pièce, un homme l’observait en silence, se dévoilant à la lueur d’une bougie, Al Mualim semblait soucieux, alors qu’il avait une dague en main, sur lequel le regard de Malik se figea… L’échec de l’ Hashishin était ici absolu, et comme le voulait le credo du groupuscule, l’échec signifiait la mort… Une vie pour une vie… c’était ainsi le prix de l’existence qu’il menait désormais. Pour autant, il respirait encore, et son mentor fut le premier à s’exprimer :

« Peut être était ce trop tôt… Peut être t’ai je mal formé… Ton échec est aussi le mien. Ta mort signifie aussi la mienne… Ainsi est faîte la destinée du mentor et de son élève. »

L’homme à la barde grisonnante s’approcha de lui, posant un genou au sol, alors qu’il examina plus en détail les blessures de son protégé.

« Tu devrais être mort… Ainsi est la loi de «Celui qu’on ne voit pas »… Jaffar est toujours en vie, et avec lui, ces secrets vivent encore, pour autant… le contrat n’est pas fermé, il n’est juste plus exclusif… D’autres Hashishin ou peut être même la Crimashin tenteront leur chance… Soit plus rapide qu’eux, et peut être retrouveras tu grâce auprès des cinq doigts de « Celui qu’on ne voit pas ».

Il donna à Malik la dague qu’il maintenait fermement dans sa main gauche et rajouta ces mots, juste avant de le laisser à sa lente convalescence :

« Mais celui qui a échoué une fois, doit être marqué de la honte pour se souvenir de ne plus jamais échouer…»

Tout était question de prix, Malik en était conscient alors qu’en cet instant, mille questions lui traversaient l’esprit : Quel était le lien entre Jaffar et les Bretonniens ? Pourquoi des croisées avaient pu infiltrer Dimashque sans être inquiétés ? Comment Jaffar avait il pu se retrouver avec un pendentif similaire à celui qu’il avait offert à Yasmina des années en arrière… Et Yasmina… Le prix de la découverte de son sort était celui dont Al Mualim avait du s’acquitter pour que Malik accepte de rejoindre les Hashishin… et la réponse de son mentor avait été sans équivoque à l’époque : Après milles souffrances, elle avait fini par être tué par les esclavagistes qui s’en étaient prit à eux.

Où était la vérité ? Ou était le mensonge ? La vérité était elle plus importante que le sens du devoir ? Ce fut alors sans l’ombre d’une hésitation qu’il sectionna avec la dague de Al Mualim l’auriculaire de sa main gauche, retenant le moindre cri de douleur, alors que cette blessure éternel serait le fruit de son échec, et de la honte qu’il avait porté à l’encontre de son mentor… Ainsi était la loi… Celle des Assassins…




Compétences :

Bagarre (B) : Votre personnage est expérimenté dans l'art de se battre sans arme conventionnelle en se servant de toutes les parties de son corps ainsi que des objets présents dans son environnement. Grâce à sa technique, on considère qu’il utilise une arme de profil « dégâts 1D10, points de parade 1D6 » lorsqu’il se bat sans armes.

Filature (B) : Votre personnage peut suivre quelqu'un sans être repéré. Il est gratifié d'un bonus de +1 à ses tests de discrétion lorsqu'il essaye de suivre une personne en tachant de passer inaperçu.

Esquive (A): : Votre personnage, particulièrement vif et agile, est spécialement entraîné à éviter les coups en combat au corps à corps. Pour faire une esquive, vous devez spécifier, avant la résolution du round, que votre personnage va tenter une esquive. Référez-vous aux règles d’esquive pour connaitre les effets de cette compétence (voir Wiki règles, section Règles concernant le combat au corps à corps).

Acrobatie (B) : Votre personnage est capable d'exécuter des chutes, roulades, bonds, rebonds, sauts, réceptions, équilibres, etc., en ajoutant un bonus de +1 sur ses tests d’acrobatie. Il peut aussi retrancher -1D6 dégâts à tous les dommages dus aux chutes et aux sauts ratés. (Cette compétence, a contrario de «acrobatie en combat», ne s'applique pas aux situations de combat).

Bas fond (B) : : Votre personnage, à force d'évoluer dans des quartiers mal famés, en connait ses règles et ses codes. Il sait aussi où s’adresser pour obtenir des produits illicites, où trouver qui, etc., dans les quartiers pauvres de n'importe quelle ville. Il bénéficie d'un bonus de +1 lors des tests régissant ce genre d'action dans ce genre d'endroit.

Déguisement (B): : Votre personnage sait confectionner et utiliser des déguisements. Il ajoute un bonus de +1 lors des tests visant à déterminer s'il réussit à berner un personnage ou un groupe d'individus et passé inaperçu aux yeux de personnes peu soupçonneuses (Attention, un examen attentif révélera toujours un déguisement !)(Compte tenu de la qualité du déguisement mis en lumière par la qualité du RP, des efforts qui ont été fait pour sa réalisation et la crédulité des personnes visant à être bernés, le MJ peut faire intervenir des modificateurs sur le test.)

Déplacement silencieux (B): : Votre personnage, ajoute un bonus de +1 lorsqu'il cherche à se déplacer et réaliser des actions silencieusement. Cette compétence peut faire l’objet d’une ou plusieurs spécialisations parmi les suivantes : rural (c'est-à-dire dans la campagne), urbain, forestier (y compris la jungle), désertique (chauds et froids), souterrain, montagnard.

Escalade (B): : Votre personnage peut grimper sur quasiment tous les murs ou autres surfaces verticales, à la seule restriction qu'il doit avoir mains et pieds libres. Il ajoute un bonus de +1 sur ses tests d'escalade. (Le MJ doit estimer les modificateurs en fonction des circonstances et du type de surface - lisse ou particulièrement glissante-.) Cette compétence peut faire l’objet d’une ou plusieurs spécialisations parmi les suivantes : urbaine (c’est-à-dire sur toutes les constructions humaines), forestière (c’est-à-dire sur les arbres, lianes, etc…), montagnarde (c’est-a-dire sur les reliefs naturels).

Coups précis (1) : Votre personnage peut localiser avec précision la partie du corps qu'il désire frapper et se voit attribuer un bonus lors de son attaque précise. Le malus pour viser une partie précise du corps est diminué de 1 si on prend une fois cette compétence. Si on la paye une seconde fois, « coup précis » devient « coup précis (2) » et diminue le malus de 2. Si on la paye une troisième fois, « coup précis (2) » devient « coup précis (3) » et diminue le malus de 4. Dans tous les cas, cette compétence ne permet pas d’augmenter l’ATT du personnage au-delà de celle qu’il aurait été sans viser une partie particulière du corps.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 5 Couronnes d'or, 9 pistoles, 6 sous.


Inventaire
Dague 1 main ; 12+1D6 dégâts ; 6 parade ; Rapide. Peut être utilisé comme arme de jet. Très discret, idéal comme arme à porter sur soi pour se sentir en sécurité ou pour des actions plus mystérieuses…
Dague de jet 12+1D6 dégâts ; Malus de -2 TIR tous les 6 mètres Très discret, idéal comme arme à porter sur soi pour se sentir en sécurité ou pour des actions plus mystérieuses…
Cape courte
Masque
Chaussures
Caresse de vipère
Un sujet blessé par une arme enduite de ce venin doit réussir un jet d'END-4 sous peine de mourir dans END minutes. Chaque minute avant sa mort, le sujet subit 5 points de dégâts non sauvegardables, et un malus cumulable de -2 à ses caractéristiques.
Directement extrait des crochets de la vipère tigrée, cet infâme liquide brûle la peau au moindre contact et ses émanations irritent les yeux.
Potion de soin Une potion de soins guérit automatiquement 20 PVs lorsqu'un personnage est Légèrement blessé. Elle n'a aucun effet sur un personnage Gravement blessé. Elle ne permet pas d'augmenter votre nombre de PVs au-delà de leur valeur maximale. Une potion de soins qui permets de soigner quelqu'un de légèrement blessé.



Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Spadassin

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie du meurtre
Classe actuelle : Tueur à gage

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
l'Unique 20 0

Autres


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