Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom:	Jade Dahlia
Age:	22 ans
Sexe:	Féminin
Race:	Humaine
Carrière:	Voie du Répurgateur
Lieu/ville de départ:	Empire
Fréquence de jeu:	1 fois/semaine
MJ:	[MJ] Vivenef

Nom de la ligne	FOR	END	HAB	CHAR	INT	INI	ATT	PAR	TIR	NA	PV
Profil de départ (+4 PC initiaux)	8	8	8	9	8	9	9	9	8	1	60/60
Profil actuel	8	8	8	9	8	9	9	9	8	1	60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir)	/	0/1	/	0/1	0/1	/	0/1	0/1	/	/	5/5

XP disponible:	0
PC dépensés:	4

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Description physique :

S’il m’était donné l’occasion d’élaborer une description de moi-même, de la plus brève possible, je dirais simplement que je suis belle. Et ce n’est nullement mon égocentrisme qui me joue des tours en déclarant ceci. C’est un fait, une vérité indéniable. Il n’y a bien que les humains pour trouver un défaut là où d’autre y verraient une bénédiction. Il ne vous a certainement pas échappé que mes yeux ont la particularité d’être vairons. Estimez-vous chanceux, car pour m’éviter un destin de catin dépuceleuse de chevalier, je me dois de tricher et de porter en permanence un cache-œil, un foulard. J’en conviens, cela est très rudimentaire et pourrait être particulièrement suspicieux auprès de mon peuple si je ne possédais pas cette fine cicatrice sur mon sourcil droit, preuve indéniable qu’une lame était venue un jour lacérer ma chair. Ainsi, nombre d’entre vous n’aurons eu l’occasion, au cours de leur vie, de n’apercevoir que les reflets doré de mon œil gauche. Navrée de vous laisser imaginer les dégâts qu’une lame peut faire sur un globe oculaire sans jamais véritablement assouvir votre vile curiosité, mais ma survie au sein de l’Empire en dépend.

Assez parler de mes yeux. J’ai bien conscience qu’ils m’offrent une certaine singularité, mais ce n’est qu’un seul des nombreux attraits que mon corps possède. Je suis depuis longtemps l’objet de désir. J’ai appris à reconnaitre cette si délicieuse étincelle qui nait dans le regard d’autrui à la vue de mes courbes généreuses, de mes cheveux blonds, toujours attachés ou plus simplement ce sourire malicieux qu’affiche mon visage. Pour ce dernier, il n’est que façade. Du moins la plupart du temps. Ne cherchez pas à me demander pourquoi je garde cette petite mèche tressée plus longue que les autres. Je doute que cela ne vous regarde. Elle est là, fait partie intégrante de ma personne et le restera jusqu'à que j’en décide le contraire.

Concernant les informations au sujet de ma taille et de mon poids, je ne le porterais par écrit qu’une seule et unique fois. Vous savez très bien qu’il y a des questions qu’on ne pose jamais, que ce soit de manière explicites ou implicites, à une femme. Enfin j’espère. Ainsi je mesure près de trois coudées et 4 pouces (Soit environ 1m65) et pour mon poids… Enfaite non, allez donc voir ailleurs si j’y suis. Vous n’avez qu’à venir me soulevez pour tenter de déterminer ce que je pèse. N’ayez craintes, je ne suis pas bien lourde. Histoire de satisfaire cette curieuse envie qui vous prend de tout savoir à mon sujet, sachez que la cape que j’arbore a était cousue de mes propres mains et qu’il fut particulièrement long et difficile de donner autant de relief à ce tissu pour dessiner une multitude de rose sans qu’aucune en soit identique à l’autre. S’il y a bien un travail dont je suis fier, c’est sans aucun doute celui-ci. Je porte aussi régulièrement des corsets. Il est déjà rare qu’un regard ne dévit pas de mon visage pour venir un tout petit plus bas alors si ce type de vêtement peut en plus m’aider à ne pas attirer l’attention sur mon cache-œil, pourquoi se priver ? Il n’y a pas de mal à connaitre les atouts que l’on possède et à en profiter après tout, non ? Pour finir, le corset s’accompagne d’un pantalon noir couvrant le bas de mon corps.

Description psychologique :

Exercice difficile de se décrire sans trop dénombrer ses qualités et cacher au fond du placard les maigres défauts qui nous constitue. Surtout quand on se trouve dans mon cas. Vous ne me connaissez pas et, de toute manière, vous ne souhaitez nullement me connaître. Mon regard froid n’encourage à aucun moment à l’ouverture d’une quelconque discussion. Rare sont celles et ceux à qui j’accorde ma compagnie. Ne m’en voulez pas de vous envoyer paître comme de vulgaires chèvres. Je ne peux me permettre de laisser quoi que ce soit s’approcher de moi et m’affaiblir plus que je ne le suis déjà. Hautaine et méprisante, telle sera la façon dont vous me verrez, plébéiens. Je doute sincèrement que la présence d’un sourire sur mon visage ne soit de bons augures concernant votre sort. Mon petit côté sadique qui ressort, de temps en temps. N’osez même pas imaginer profiter de ma tendresse et de ma douceur, et soyez donc reconnaissant qu’un minimum de mon intérêt se porte sur votre personne. Je vous autorise à apercevoir mes divines courbes, n’en espérez pas plus. J’aurais peut-être du préciser que j’étais orgueilleuse, vaniteuse, vénale et particulièrement agaçante. Du moins avec la majorité d’entre vous.

Bienveillance, bonté, patience. Oui, oui, ce sont bien des traits de ma personnalité. Que vous ne verrez jamais, j’insiste. N’avez-vous donc jamais eu affaire au monde extérieur pour comprendre qu’à la moindre faiblesse, qu’au moindre petit écart, qu’une seule petite faille peut vous faire tomber sans plus jamais vous laisser l’occasion de vous relever ? Bienheureux les inconscients…

Entre le bien et le mal, j'oscille, ne choisissant jamais totalement l'un pour délaissé l'autre, menaçant mon cœur de s'engouffrer dans les ténèbres les plus obscures tout comme me libérer à jamais de ce poids pour me réchauffer auprès de cette vive lumière.

Alignement : Neutre

Historique du personnage :

L'on se plairait tant et plus à répéter à Jade qu'elle n'était que née de l'étreinte d'une catin avec un soudard qu'elle en viendrait à y croire elle-même. Pour ce qui est de la vérité, il n'en était rien, et si les échanges d'Ysla et Albrecht étaient aussi brefs que passionnés, la faute en revenait essentiellement à leurs obligations respectives. Ysla était la danseuse d'une troupe bien en vue, appelée à distraire les seigneurs du Middenland, tandis qu’Albrecht, le quatrième fils d'un baron de petite noblesse, avait gravi les échelons militaires jusqu'à devenir un commandant respecté.

Ayant trois frères aînés pour hériter du titre de son père, Albrecht ne fut jamais ennuyé quant à son union discutable. Il en alla autrement quant au sort de Jade, l'enfant qui en naquit. Le père d’Albrecht exigeait de son fils que Jade, toute bâtarde qu'elle fut, connut un destin plus élevé que celui d'appartenir à quelque troupe de théâtre à la suite de sa mère. Son sang, disait-il n'avait pas à se perdre avec les crève-la-faim et les va-nu-pieds. Albrecht freina des deux pieds tant qu'il le put mais finit par perdre contre d'odieux chantages et, ne désirant pas mettre en péril femme et enfant, en vint à céder.

Alors que la jeune fille n'avait que sept ans, elle fut arrachée à la protection de sa mère et à sa vie d'errance pour découvrir la rigueur des campements militaires. Les accusations à demi-mots d’Albrecht contre la vie instable menée par Ysla ruinèrent définitivement la confiance légère du couple. Ysla ne revint jamais le voir après qu'il lui eut retiré Jade.

La jeune fille, quant à elle, fut inconsolable. Son univers s'effondrait, elle ne pouvait aimer un père qu'elle ne connaissait pas. La vie des casernes étant peu convenable pour une si jeune enfant, Albrecht n'eut d'autre choix que de l'envoyer vivre en tant que jeune servante dans la demeure de son père.

~°~

L'ennui. Voilà ce qui gagna Jade à son arrivée. La baronnie de son grand-père suintait la monotonie. Jade n'était personne, tout juste une bâtarde à peine digne d'intérêt et c'est sûrement cela qui la sauva, lui attirant la sympathie bienveillante des petites gens du domaine. C'est là qu'elle vécut l'apprentissage le plus simple, le plus sain et le plus élémentaire de toute son existence. Elle ne rechignait pas aux corvées malgré son corps d'enfant et on l'en louait tout autant. Elle était trop jeune encore pour que l'on cherchât à se dérober à son regard, personne ne se souciait de pouvoir la choquer ou de ce qu'elle pourrait répéter.

Un soir, elle vit un homme que l'on disait son oncle prendre une femme qu'il n'avait pas épousée. Un cuisinier éméché lui déclara sans détour que le monde était ainsi fait qu'il n'y avait de place que pour des hommes puissants et des femmes faciles, preuve en était qu'elle était née ainsi.

~°~

Jade grandit hantée de ressentiment. Devenue assez lucide pour reconnaître qu'elle était chanceuse d'avoir un toit et des repas chauds contre de bien menus travaux, elle n'en était pas moins amère, déjà bien assez têtue pour reconnaître qu'elle aurait préféré gagner son pain sur les chemins, en suivant la voie de sa mère. Lors des premières années, elle se précipitait en hâte à chaque fois que des artistes ambulants se présentaient au domaine. A la longue, elle avait fini par comprendre que sa mère avait probablement été désignée comme indésirable en ces terres. Elle en eut la certitude quand elle s'aperçut que ses anciennes connaissances des chemins faisaient semblant de ne pas la reconnaître.

Le dépit et l'ennui l'engloutissaient un peu plus chaque jour quand réapparut son père. Avec autant de précaution que de maladresse, il s'enquit de sa santé et de son état. Jade était partagée entre la colère et le désespoir, voulant autant se venger de son père que fondre dans ses bras et avoir à nouveau, de par le vaste monde, quelqu'un qui tienne à elle.

Albrecht resta au domaine les quelques jours de sa permission et père et fille finirent par briser la glace. Chaque matin, le commandant se pliait à une routine bien établie d'échauffements réguliers. C'est à cet instant que germa dans l'esprit de Jade l'idée d'apprendre le maniement des armes. Albrecht fut plus que surpris de l'entendre déclarer qu'elle voulait choisir la voie des épées, elle qui avait grandi sur les planches du théâtre. La vérité, qu’Albrecht ne devait jamais saisir tout à fait, était que Jade ne désirait rien de plus que de se montrer digne de ses parents, et s'il ne lui était pas permis d'honorer l'enseignement de sa mère, alors elle se voudrait la fierté de son père.

Par chance, si les armes exigeaient une danse moins innocente que flûte et violes, Jade n'avait pas complètement perdu en adresse et en souplesse, et elle devint rapidement une élève capable et une recrue prometteuse. Albrecht avait encore assez de relations pour confier à un ancien ami le soin de sa formation, en cela qu'il s'en trouvait pour se moquer que Jade fut fille et non garçon.

~°~

Albrecht ne vécut pas assez longtemps pour voir sa fille intégrer les rangs de l'armée. Alors que Jade n'avait que quatorze ans, il périt dans une embuscade meurtrière. C'est à l'annonce de cette macabre nouvelle que Jade quitta le domaine familial pour gagner Middenheim et affronter le regard des recruteurs.

Jade n'eut pas de peine à mentir sur son âge. Elle avait déjà les formes d'une femme et plus d'aplomb qu'il n'en fallait pour attirer le regard. Sur le terrain d'entraînement, elle fit une démonstration plutôt modeste. La jeune fille manquait de pratique, elle n'avait guère connu d'autres adversaires que son maître, et les adolescents de Middenheim avaient bien moins de scrupules à taper sur une fille que son ancien mentor, d'autant que ceux-ci avaient tout à prouver sous le regard des lieutenants.

A la fin des tests, elle n'en sorti pas moins quatrième sur une trentaine. Le lieutenant reconnut sa compétence et la prit à part pour lui proposer un accord : il acceptait de lui laisser sa chance et de la compter comme la dernière des recrues, en hommage au souvenir de son défunt père. En échange de quoi, elle tairait avoir jamais battu qui que ce soit ce jour. Si elle survivait à sa première bataille, elle aurait tout droit de fanfaronner sur ses adversaires vaincus. En ce qui concernait ce jour, il était hors de question que la rumeur se répandit qu'au Middenheim, les hommes puissent être si faibles qu'une femme put leur faire mordre la poussière sur le terrain d'entraînement.

Jade était déjà passée maître dans l'art du mensonge nécessaire. Elle ne put qu'acquiescer et se vit affecter dans sa formation. C'est là que Jade apprit réellement le maniement des armes et la vie des soldats, consciente que l'ancien ami de son père l'avait plus encadré comme on cède à un caprice d'enfant que comme la guerrière qu'elle aspirait à devenir.

~°~

C'est à cette même période que Jade fit la connaissance de Dieter, un cavalier-éclaireur détaché à la défense de la cité. A en croire les rumeurs, il était mi-middenheimer, mi-kislévite du nord, mais il était communément dit mi-démon, en cela que son habileté redoutable au jeu ne cessait de faire jaser.

Jade avait déjà trop vécu pour porter sur ce monde un regard naïf. Dieter n'était pas la meilleure des fréquentations, mais il était d'une bonne humeur communicative et d'une compagnie rafraîchissante. A force de le connaître, Jade finit par comprendre que Dieter était également un prodige de fainéantise calculée : ses compétences l'eurent fait lieutenant ou commandant s'il n'avait pas jugé qu'il gagnerait meilleure solde à sa manière. Il n'hésitait pas à faire trafic de tout et de rien, à tel point que Jade acquit rapidement la quasi-certitude qu'il vendait également des informations aux multiples ennemis du Middenland.

Décidée à le confronter dans l'espoir d'en tirer la preuve d'un malentendu, Jade obtint les aveux de Dieter et alla directement s’en plaindre auprès de son supérieur. Quelle surprise d’apprendre que ce dernier était au courant des agissements de Dieter et fermait les yeux. Elle quitta le campement le lendemain après n’avoir prévenu personne. Montant à bord de la première caravane qui arrivait, Jade se lança donc plus ou moins aveuglément dans un voyage qui la mena devant le Temple du Saint Ordre des Templiers de Sigmar à Altdorf. Elle s’y engagea et se débarrassa de toute attache pour, peut-être, qui sait, espérer un monde meilleur.

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Compétences :

• Sixième sens : Votre personnage a développé cette faculté de savoir s'il est suivi ou observé. Il peut ajouter un bonus de +1 sur son test lorsqu'il cherche intentionnellement à déterminer cet état de fait. Le MJ peut également, lorsque la situation l'impose, effectuer un test en secret. Si le résultat est un succès, il peut alors informer le joueur que son personnage à l'étrange sensation d'être filé, ou observé.

• Mémoire : Votre personnage, grâce à l'utilisation de techniques mnémotechniques à su développer une mémoire bien supérieure à la moyenne et peut se souvenir d'infimes détails d'une situation, événement dont il a personnellement été témoin. Il ajoute un bonus de +1 aux tests visant à déterminer s'il parvient à se remémorer ces détails. (Le degré de précision est laissé à la discrétion du MJ selon si la réussite du test est importante ou pas.)

• Dégainer l'épée : Votre personnage a perfectionné ce geste et il bénéficie d'un bonus de +1 en INI lors du 1er round d'un combat. Cet art ne nécessite pas l'utilisation d'une arme spéciale. Toute arme tranchante fera l'affaire.

• Autorité : Votre personnage, en tant que homme d'arme, ajoute un bonus de +1 lorsque, confronté à des militaires, il essaye de faire prévaloir son autorité, ses ordres etc.…

• Alphabétisation : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.

• Séduction : Votre personnage dégage une combinaison de charme naturel et d'attrait physique. Il peut ainsi ajouter un bonus de +1 pour tous les tests mettant en jeu des personnes du sexe opposé (voire du même sexe).

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Inventaires et biens du personnage:

Bourse:

0 Couronnes d'or

Inventaire
	Épée sainte	16+1d8 dégâts	+4 dégâts si combat contre une créature du mal - chaotique, mort-vivant, etc..
	Veste de cuir	Torse, dos et bras	5 points de protection
	Bouclier en acier	16 parade	Déstabilisant
	Dague sainte	Dague sainte	5 parade
	Miroir
	Allumettes
	Lampe-tempête
	Accessoires de calligraphie
	Grimoire saint (Sigmar)
	Corde
	Ration
	Chapeau à larges bords

Grimoire

Parcours

Quêtes accomplies

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Dévotion religieuse

Autres