Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Æmilia von Carstein
Age: 20 ans
Sexe: Féminin
Race: Vampire
Carrière: Voie du von Carstein
Lieu/ville de départ: Sylvanie
Fréquence de jeu:
MJ: MJ Scipio


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 9 9 9 11 11 9 9 9 9 1 80/80
Profil actuel 9 9 9 11 11 9 9 9 9 1 80/80
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/1 0/1 0/1 0/1 0/1 0/1 0/1 0/1 0/1 0/15


XP disponible: 0
PC dépensés: 4




Description physique :

N'y allons pas par quatre chemins : vous allez m'adorer. Vous aimez les chevaux ? Imaginez un pur-sang fougueux, le port altier comme façonné par les mains d'un ambitieux zéphyr, à la robe sanguine aux milles nuances de sombre vermeil. Vous préférez les armes ? Qu'à cela ne tienne : songez à la lame fine et souple de bel acier estampillé, à la garde ouvragée et solide, à l'équilibre exemplaire. Je ne suis pas la perfection, je suis la perfection en devenir : ma peau a la pâleur douce d'un rayon de lune recouvré d'un voile de satin, au toucher glissant et frais. J'ai la stature svelte mais bien découpée, tel un oiseau de proie derrière un plumage domestique. Mes courbes ne souffrent ni du temps ni de l'excès, s'épanouissant dans la fermeté d'une jeunesse maintenue devant l'éternel. Une longue crinière de sang dévale sur ma nuque, jusqu'à mes omoplates, légèrement bouclée et légèrement huilée. J'ai, d'après mon père, le front large et dégagé de ma mère, signe d'intelligence, et ses yeux d'ambre opaline dont mes sourcils ténébreux exhaussent la clarté limpide. Un peu de fard assombrit mes paupières, dont le battement a la grâce qu'a le regard indolent d'une panthère. J'en ai aussi les griffes, lorsqu'il me plait de les révéler, et sachez bien qu'il n'y a pas de rose plus délicate qui ne cache pas d'épines si effilées. Je porte en moi la beauté mortelle, celle que j'avais de mon vivant, mais lorsque je me revois en peinture… je sais bien qu'il me manque encore la majestueuse aura des vampires, la joliesse sublimée par la mort. Cela viendra avec le temps.

Description psychologique :

Là, vous allez moins m'adorer. Ou peut-être que non, nous verrons bien. J'ai le caractère joueur et conciliant d'un chat de bonne humeur, l'esprit vif et même incisif : je supporte mal qu'on me cache des choses, mettant alors ma curiosité en butte au mystère. Ceci explique en partie mon attrait pour les arts noirs, intarissable source d'obscurité dont je lève l'opacité lambeau par lambeau au fil de mes études. J'ai pour les mortels un mélange de bienveillance indulgente et d'intransigeance cruelle : ils sont faibles, et stupides, aussi ne faut-il pas trop leur en demander… mais ne sont-ils pas nés pour me servir ? A quoi bon les laisser décider par eux-mêmes des choses importantes de leur vie, étant donné que nous autres vampires sommes là pour penser à leur place ? D'un autre côté, ils sont amusants. Il faut aussi leur laisser leur chance, leur rendre la vie plus facile lorsque la chose est possible, car cela aussi est le rôle d'un bon suzerain.

Mon ambition… mon ambition ne connaît pas de limites en ceci qu'elle ne se laisse arrêter à aucun domaine. Je veux le pouvoir, par la manipulation, la force ou la magie : je m'en nourris, car telle est ma nature. Mon ambition justifie mes moyens, au-delà de toute considération de morale. A quoi bon m'embarrasser d'éthique ? Quelle est cette chose incongrue, d'ailleurs ? Me laisser dicter ma conduite par des considérations autres que les miennes ? Non. Si j'aime une chose, je la préserve, si je la déteste je la détruis. A partir de cette simple logique, je déduis une infinie variation de réponses qui me permettent de faire face à toutes les questions de l'existence. J'apprécie les arts, de la musique et du chant surtout (je ne suis guère douée de mes mains pour la sculpture ou la peinture, étant trop impatiente d'après Tybald). Je ne me considère pas comme impatiente : je me jette simplement à corps perdu dans mes entreprises, animée par une passion dévorante. Le monde et ses trésors sont à moi ! Je n'ai qu'à me servir, et savourer, et pour cela je dois parfois braver la volonté d'autres vampires. C'est pour cela que j'ai besoin de plus de pouvoir…

On pourrait dire que la mort vous ôte le goût de la vie, mais ce n'est pas vrai. Mon monde est peut-être devenu un monde de ténèbres, mais j'aime ces ténèbres ! Je goûte la noirceur de la nuit comme d'autres goûteraient un bon vin, je me vautre dans les délices de la domination… je me sens plus vivante que du temps où mon cœur battait encore ! Je suis prête à affronter le monde, à soumettre mes pairs, faire plier les mortels, imposer mon nom dans un mélange de peur et d'admiration.

Alignement : Chaotique Neutre

Historique du personnage :

Avant que vous ne me posiez la question : non, je ne suis pas née dans une famille équilibrée. J'aime à considérer que j'ai deux existences. L'une est finie, l'autre non. Laissez-moi vous parler de la première, avant de vous expliquer la seconde.

Je suis née par un morne après-midi d'automne, après de longues heures de travail pour ma mère et tout autant de contorsions de ma part. Je suis venue au monde dans un bain de sang, dernière née d'une fratrie de quatre qui s'est vue alors agrandie jusqu'à cinq. Oh, il y a eu d'autres enfants encore avant moi, mais ils sont morts durant l'accouchement ou peu après. Quoiqu'il en soit, mon père n'en parlait jamais et la question avait peu d'intérêt à mes yeux.

A l'époque de notre vivant, nous ne nous appelions pas von Carstein : nous étions la famille Barenholf de la petite noblesse impériale, dirigeant un bourg du Stirland et ses environs. Charmant petit coin de pays, où l'on lave son linge en s'accroupissant dans la boue et où les hommes dorment avec les moutons qu'ils gardent. Oh, et j'ai oublié de préciser que ma mère est morte en me donnant le jour, mais franchement, ma famille y a gagné au change.

J'ai été élevée comme… et bien, à peu près comme toute petite fille de la campagne dont le père est un aristocrate, j'imagine. On m'a parlé en long, en large et en travers de toutes ces merveilles de la capitale que je ne verrais jamais, me vantant l'opulence des villes si proches et pourtant si éloignées… Enfin, si éloignées, c'était vite dit : certes, je n'y mettais jamais les pieds en étant gamine, mais je savais bien que mon rôle était de finir mariée à l'un des jeunes nobles des parages, et il y avait de fortes chances pour que je finisse par me retrouver derrière les murs de quelque bourgade un peu moins fangeuse que la nôtre, en définitive. Quand j'y repense, je m'aperçois que c'était une période… intéressante… de ma vie. Je portais mon attention sur de telles futilités que j'ai peine à croire qu'il s'agissait bien de moi : j'aimais tâter les étoffes des marchands et des colporteurs pour en admirer le toucher soyeux, qu'il se soit agi de beau lin ou de velours. Je regardais les garçons comme des bêtes étranges et peu compréhensibles, bien que les mystères de leur comportement me soient devenus moins hermétiques du fait que je sois devenue, avec la mort de notre mère, la seule main féminine de la famille (oui, grandir au milieu d'hommes vous aide à les comprendre, figurez-vous).

J'avais onze ans lorsqu'on m'a présenté mon futur mari. Oswald, du haut de ses quarante-et-un ans, ne payait vraiment pas de mine. Je me targuais souvent d'une certaine maturité, à l'époque, mais il faut bien avouer que je ne saisissais pas encore tous les tenants et aboutissants de l'affaire. Je jouais avec lui comme j'aurai pu le faire avec mon grand-père, raillant le début de sa calvitie, sa bedaine et ses doigts trop boudinés pour qu'on puisse en enlever les bagues. Il riait de bon coeur à mes taquineries, là où mon père se mortifiait et se confondait en bafouillis plein de repentir.

Le mariage devait être prononcé à mes dix-huit ans, ce qui était un peu tard par rapport aux autres filles, mais je m'en moquais bien sur l'instant. C'est avec la fuite des années que je me suis mise à éprouver de plus en plus d'appréhension en regard du jour fatidique. Devenue femme et non plus enfant (ou presque), je portais des yeux emplis d'aspirations, de projets et de liberté vers l'avenir ! Ce mariage m'apparaissait comme une négation de tout cela, et je le craignais pour cette raison.

Le jour de mon mariage… le jour de ma mort, de ma renaissance.

Je me rappelle si bien des chants du chœur et de la musique organique qui se réverbérait contre les murs du sanctuaire. Je revois le visage souriant du prêtre, celui émerveillé des badauds et de la populace qui s'était rassemblée pour assister à cet évènement et voir la cadette de leurs maîtres être unie à un autre noble. Il y avait un autre invité ce jour-là, un invité qui n'avait rien en commun avec tous ceux que j'ai cités.

Son nom était Ludwig von Carstein.

Au moment où j'allais prononcer mes vœux, il se leva de l'assistance et je me souviens qu'à ce moment, il m'avait paru plus grand qu'au moment où nous avions été présentés, plus tôt dans la journée. Il a levé une main aux anneaux sertis de rubis pour réclamer la parole, mais il n'a rien dit. Il a juste souri, et son sourire était plein de crocs.

Ça a été un véritable bain de sang comme on en raconte dans les histoires de vampire. On aurait pu croire que les murs et le plafond avaient été cimentés avec le liquide carmin et qu'une trop forte chaleur l'aurait fait fondre. En souvenir de cette époque, je ris des croyances populaires selon lesquelles la foi assure le salut face aux princes de la nuit : absolument ridicule, et le prêtre l'a appris à ses dépends.

Toute ma famille a été changée en vampires. Absolument toute.

Nous nous sommes réveillés dans des cercueils disposés en arc-de-cercle devant l'autel. Les corps démembrés de toute la bourgade, ou peu s'en fallait, formaient comme un champ de fleurs autour de nous, sur le parvis de l'église et même plus loin. Et au milieu de ce charnier… Ludwig, avec son sourire carnassier.

J'appris que mon père avait prêté serment au von Carstein et négocié cet accord en échange de la fidélité de toute une famille de vampires loyaux et doués. De fait, nous l'étions ! Ou… ou presque. Laissez-moi vous présenter ma famille, maintenant que vous savez ce qu'elle est.

Harrold Barenholf, devenu von Carstein, est mon paternel. Il cache sous sa bienveillance envers ses enfants un mépris total de la vie et une haine infinie des fidèles, ce qui me pousse à penser qu'il est faible face à la foi. Malgré sa nature de prédateur, il s'avère incapable de nous punir pour nos erreurs, se contentant d'un sermon de sa grosse voix et d'une secousse exaspérée de la tête. Tybald est notre aîné, et celui dont je me sens la plus proche. En fait, nous partageons une complicité rare chez les vampires, car nous avons la même excentricité périlleuse et le même goût pour les risques. Je n'en ai aucune preuve mais je le soupçonne de passer plus de temps que nécessaire avec les humains et même, plus particulièrement avec les prêtres voire les répurgateurs. Défi ou recherche d'armes contre notre paternel ? Le connaissant, je ne saurais dire avec certitude. Voici maintenant Boris, qui a de nordique tant le nom que la carrure. C'est le géant de la fratrie, une brute guère subtile au regard de nos critères exigeants et raffinés. Il aime la force, surtout la sienne, et aussi l'imposer au moindre prétexte tant à ses serviteurs qu'à nous autres. Il est l'avant-dernier dans l'ordre de naissance, car entre lui et Tybald se trouvent les jumeaux Jarod et Richard. Deux… et bien, comment dire ? Imaginez deux furets écervelés et sanguinaires, ajoutez-y le caractère joueur d'un chiot et la cruauté d'un chat plus sadique que la moyenne, et vous aurez un tableau à peu près fidèle de ce tandem incompréhensible. Ils ont leur propre logique, leurs propres ambitions, et semblent plus tournés que nous autres vers les arts obscurs. Peut-être que ça a fini par leur congeler la cervelle.

Et au-dessus de tout ça… plane l'ombre de Ludwig, vampire véritable de Sylvanie à qui nous devons allégeance. Je soupçonne sa suzeraineté de ne pas être liée qu'à un simple serment prêté dans les ténèbres par mon paternel. Il y a sûrement autre chose, sûrement un peu de magie dans l'air ; quel von Carstein, aussi puissant soit-il, transformerait pas moins de six nouveaux-nés sans s'assurer de près de leur obligatoire soumission ?

J'aime Ludwig. Il est majestueux, subtil et a son humour noir bien particulier ; mais un jour, je briserai cette chaîne qui nous lie à lui et je lui ouvrirai les veines. C'est à ça que je pense quand je lui retourne ses sourires, et je me demande si derrière les siens ne se cache pas la même pensée. L'avenir seul nous le dira.




Compétences :

Incantation - Magie nécromantique - niveau 1 :

Alphabétisation - niveau 1 :

Divination (flammes) - niveau 1 :




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 6 Couronnes d'or


Inventaire
Pistolet 30+1d8 dégâts - Malus de -2 TIR tous les 8 mètres Percutante ; Un pistolet ne tire qu’une fois par round. Vous pouvez utilise 2 pistolets en même temps, ce qui permet de faire deux tentatives de touches, mais le malus pour le tir de la mauvaise main est TIR-3. Le rechargement prend un round supplémentaire
Cheval de selle FOR 8 - END 8 - SAU 9 - RAP 9 - INT 7 - DOC 9 - ATT 6 Baptisé Noxeris
Bottes d'équitation
Chaperon en velours émeraude
Robe de soie noire
Longue-vue
Flûte à bec


Grimoire
Charisme surnaturel CHA+2 pendant 1 minute
Détection Le Sorcier, en se concentrant sur un objet métallique ou contenant suffisamment de métal que pour pouvoir être marqué (équivalent d’une pièce de monnaie) dans sa ligne de vue, y appose une marque qui lui permettra de toujours retrouver l’objet, même si celui-ci se trouve de l’autre côté du monde. Le seul moyen de détruire la marque est de détruire l’objet, ou que le Sorcier y renonce volontairement. La marque est autrement éternelle. Un sorcier ne peut avoir plus de cinq objets marqués au même moment, peu importe quand ils ont été marqués. Une marque ne peut être transmisse de sorcier à sorcier. Si l’objet est dissimulé par une magie bloquant ce genre de sort (pas une simple illusion donc), la marque est temporairement neutralisée (pour la durée du sort en question).
Feux follets Le Sorcier, fait apparaitre 1D10 petites lumières ayant la taille d’une luciole et de la couleur de son choix. Le sort n’a d’autres effets que décoratif (la lumière dégagée n’est pas suffisante que pour y voir clair) mais peut servir à impressionner ou effrayer les gens.
Réanimation Le sort crée 1D3 morts-vivants. Ceux-ci sont soit des squelettes, soit des zombies, en fonction de l’état des corps. Les morts-vivants ainsi créés sont sous le contrôle nécromantique du sorcier. Le sort ne peut pas créer plus de morts-vivants qu’il n’y a de corps disponibles.


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie du von Carstein
Classe actuelle : Page éternel

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés

Autres

Faiblesses

* Eau Courante : De même que le soleil s'est détourné des Vampires, ceux-ci ont également été reniés par les autres grands dispensateurs de vie que sont les rivières et les fleuves qui nourrissent les terres du Vieux Monde. En tant que tels, les Vampires subissent des brûlures et sont affaiblis s'ils tentent de traverser à gué un cours d'eau de plus d'un mètre de large et de trente centimètres de profondeur. Un vampire sujet à cette faiblesse et traversant un cours d'eau verra ses points de vie diminuer de 1D10 par round passé dans l'eau. Mais ils ne subissent aucun dégât en le traversant en volant ou en sautant par-dessus le courant, pas plus qu'en utilisant un pont, qu'il s'agisse d'un arbre tombé ou d'un immense viaduc de pierre. Ils ne courent pas non plus le moindre danger à naviguer sur un bateau, que celui-ci soit à rames ou à voiles, mais les risques en cas de naufrage sont évidemment très importants. L'eau de pluie n'aura aucun effet, pas plus que le fait de leur verser un seau d'eau sur la tête ou de l'éclabousser. Dans le pire des cas, le vampire s'en retrouvera simplement très irrité. Ceux qui désirent traverser de grandes étendues d'eau se plongent parfois dans un profond sommeil, enfermés dans leur cercueil, afin de rassembler leurs forces et d'éviter tous les accidents qui pourraient se produire à bord. Cest grâce à ce genre de précautions que Luthor Harkon est parvenu à atteindre les rivages de la Lustrie, bien loin de l'autre côté du Grand Océan Occidental.

* Pieux : Le pieux doit être taillé dans un bois spécial tel que l'aubépine, le frêne ou le bois de rose pour pouvoir être efficace contre les vampires ayant cette faiblesse. Un vampire empalé par l'une de ces armes est immobilisé tant que cette dernière n'est pas retirée, ce qui lui coûte une demi-action. Durant cette période, le vampire ne peut pas entreprendre d'action liée à un déplacement physique, mais peut continuer d'attaquer si la cible est à portée.

* Symboles Religieux : Les pouvoirs des prêtres, qui peuvent s'élever contre les créatures de la Magie et de l'Aethyr, semblent également agir sur les êtres contre nature que sont les vampires. Cependant, un symbole est parfaitement inutile dans la main d'un incroyant: il doit être accompagné d'une foi véritable. Plus cette foi est puissante, plus le détenteur du symbole peut exercer de pouvoir contre le vampire. De la même façon, seule la bénédiction d'un prêtre authentique et très pieux peut donner à une lame les mêmes propriétés que celles de l'argent et c'est seulement lorsqu'un temple ou un oratoire fait l'objet d'un culte dévoué de la part d'une pieuse congrégation qu'un vampire ne peut y pénétrer. Les jardins de Morr désaffectés sont plus souvent des repaires de vampires que des forteresses contre eux et on connaît plus d'un chasseur de vampires qui a trouvé son trépas une fausse relique en main.

* Barrière : Le vampire sujet à cette faiblesse ne peut pas entrer dans un bâtiment sans avoir été invité par une quelconque personne. En revanche, une fois qu'il l'aura été, il pourra y entrer et en sortir comme bon lui semblera.

* Gromril : Le contact d'une arme en Gromril inflige de véritables souffrances aux vampires le craignant, infligeant des dommages supplémentaires.

* Malepierre : La Malepierre peut être considérée comme une abomination par certains vampires qui doivent alors effectuer un test de peur sous peine de ne pouvoir s'en approcher dans un rayon de 6 mètres.

Dons du sang

Apparence Humaine

Vous êtes capable de rétracter vos griffes et d’adoucir vos traits pour passer pour un humain.

La transformation des deux sens se fait au prix d'un test d'INT.


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