Sexe: Masculin
Age: 130 ans
Race: Elfe noir
Carrière: Maitre d'armes
Lieu/ville de départ: Remas
Fréquence de jeu: Quand vient l'inspiration
Profil: FOR 8 / END 7 / HAB 9 / CHA 9 / INT 8 / INI 11 / ATT 10 / PAR 10 / TIR 9 / MAG / NA 1 / PV 50/50 (aucun bonus/malus de compétences ou venant de mon équipement ne s'y trouve, uniquement les PC gratuits)
La première chose que ses congénères remarquent chez Korgoth, c’est qu’il fait parti d’une génération encore jeune, ne dépassant même pas encore les 150 ans. Encore un enfant, pour certains. Mesurant 1M86, la moyenne pour les elfes, il a une carrure et une stature passe-partout qui lui permet de se faufiler assez aisément dans les foules. Agile et flexible semblent être des mots qui définissent déjà bien Korgoth et certains ont déjà fait les preuves de sa flexibilité vraiment déroutante. Capable de se déboiter les os pour les remboiter derrière, il faisait ça comme passe-temps dans son enfance pour ensuite s’en servir pour se libérer de certaines entraves.
Également doué pour le combat, c’est ce penchant pour la bagarre qui lui a donné quelques débouchés avec la garde de sa ville natale, mais il est rarement resté sur place pour laisser la justice faire son office. Il tient beaucoup trop à ses mains pour se les laisser couper, sans oublier que certaines dames seraient désappointées de cette perte, presque dramatique. Sans avoir un corps athlétique ni même musclé, il n’en a pas moins mis au sol de plus grands et plus lourds que lui, et dans le pire des cas il est un excellent coureur.
Désormais, Korgoth a arrêté de courir car courir reviendrait à se faire flécher à vue par les singes. Capable de se défaire de ses entraves, il n’en a rien fait même quand ses geôliers l’ont frappé et fait saigner. Mais avec le sourire, car après tout il est déjà dans une situation de merde, pas la peine de faire la gueule en plus. Car malgré les situations dans lesquelles il se trouve, que ce soit la pire ou la meilleure, Korgoth ne se départit jamais de son sourire.
Quand il se trouve dans une situation avantageuse, son sourire est carnassier, ses dents blanches ressemblant au sourire d’un diable. Quand il se trouve en mauvaise posture, son sourire se fait joyeux, presque même heureux car il prouvera soit qu’il est le meilleur de sa race, soit qu’il a rencontré la fin que les dieux lui ont tracés, soit qu’il survivra à cette fin planifiée. Ce qui ne peux que le rendre plus heureux et plus audacieux encore.
Korgoth est un elfe noir audacieux. Jamais il n’a hésité à faire quelque chose, même si la chose est dangereuse, risquée ou franchement idiote. Cette audace l’a souvent mis dans de sales draps, mais lui a aussi souvent sauvé la vie. Qui aurait eu l’idée absolument stupide de soulager un milicien de quelques affaires, se faire courser par le dit milicien et ses camarades, pour arriver dans les enclos à monstres des dompteurs pour finalement réussir à filer avec aucun butin si ce n’est la vision hilarante des miliciens se faisant rosser par leur supérieur pour leur inaptitude alors que Korgoth avait les menottes aux poignets. Quand, quelques jours plus tard, le milicien et Korgoth se recroisèrent, le milicien lui demanda pourquoi il avait fait ça alors qu’il n’avait rien gagné, Korgoth lui répondit que c’était purement pour s’amuser et avoir une montée d’adrénaline. La nuit suivante se fit également derrière les barreaux, étrangement.
Mais cette audace n’est pas toujours sans intelligence. Se lancer dans le vol à la tire n’est pas une activité qui l’intéresse vraiment, et même s’il lui est arrivé de faire connaissance avec la milice, ce ne fut jamais pour de vrais délits, juste quelques frayeurs et petits vols quand il se faisait prendre. Korgoth a tout de même l’intelligence de ne pas se risquer dans des actes totalement inutiles ou perdus d’avance. Mais il suffit qu’il voie une possibilité de réussite, aussi démentielle soit-elle, pour qu’il pense à un plan pour s’en sortir. Que ce soit de se faire passer pour de la main d’œuvre, courir dans l’enclos à monstres ou même entrer dans une chambre privée d’un établissement de plaisir dans laquelle un noble était en pleine action avec ce qui semblait être sa maitresse pour lui-même fuir une femme jalouse de l’attention qu’il portait à sa sœur. C’est sous la menace d’une mise à mort douloureuse et la promesse de ne jamais parler de tout ça que Korgoth pu finalement s’en sortir vivant, après avoir quelque peu échangé avec le noble concernant les femmes un peu trop possessives.
Korgoth porte également toujours le sourire sur son visage. Tantôt mystérieux, tantôt carnassier au point d’en retrousser ses lèvres, le sourire est la marque de fabrique de Korgoth. Il ne se laisse jamais atteindre par le désespoir ni n’accepte d’être accablé. Ce refus d’arrêter de sourire lui a valu, et lui vaut encore, de nombreux soucis. Mais comme il le dit si bien : « Je suis déjà dans une merde aussi noire que mon cœur. Pas la peine que je me présente aux dieux avec une tronche de cent pieds de long. Ça fait mauvais genre. »
Ceci a fais que Korgoth a développé une façon de se battre audacieuse, presque insouciante pour sa vie, mais particulièrement efficace, préférant les coups les plus inattendus et les plus bas comme sauter en l’air, bouclier en avant et lame derrière le bouclier pour que la lame transperce le bouclier et ainsi l’adversaire. Ou encore se contenter d’esquiver ou d’encaisser les assauts derrière un bon bouclier en attendant que son adversaire se fatigue. Korgoth a des yeux vifs qui lui permettent de rapidement et distinctement voir son espace de combat et d’utiliser ce dernier au mieux. Une caisse n'est qu’une marche pour donner un coup sur la tête. Un tapis, juste une glissade plus simple.
Alignement : Loyal Mauvais
Korgoth est né dans la cité de Clar Karond, dans les terres de Naggaroth, au milieu des hurlements d’agonie des esclaves, des rugissements des bêtes et des bruits des coups de fouet. Ainsi que les cris de joie de ses parents, masqués par tout ce bruit. Korgoth n’est pas né de parents que l’on pourrait qualifier de dignes même selon les normes des elfes noirs, dans le sens où ils n’avaient pas de maison. C’étaient des mendiants, des sans le sou et des rebuts de la société Elfe noir. La raison à cela était bien simple en vérité car ils faisaient partis d’une délégation envoyée auprès de leurs autres cousins, les Asraïs. La famille de Korgoth, pour ce qu’il en savait, donnait dans la protection de petites personnalités, que ce soit des marchands, des individus un peu riches et même quelques officiels. Sa famille éloignée, le noyau dur de sa famille donc car lui n’est que l’engeance d’une ramification de la famille, donnait bien plus dans la diplomatie ainsi que dans l’art de tordre les lois des Elfes noirs pour qu’elles leur soit plus profitables. Ses parents avaient eu le privilège et l’honneur de servir d’escorte à l’ambassadeur de la famille principale auprès des Asrais dans le but d’améliorer les relations entre eux et les Elfes noirs. Malheureusement tout tourna assez vite au vinaigre et les parents ne rentrèrent qu’avec la moitié de l’équipage, un navire en piteux état, et sans le cadavre de l’ambassadeur. Le déshonneur était total, aussi fussent-ils retirés de la famille, faisant d’eux ce qu’ils sont devenus. Désormais ils sont réduits à être de la main d’œuvre pour les maitres des bêtes de la ville. Leur tâche était la plus dangereuse : Ouvrir et refermer les cages quand il le fallait. Mais cet avenir ne plaisait vraiment pas au jeune elfe, aussi il pris rapidement la poudre d’escampette de ses parents, mais resta dans sa ville natale. Un élan de patriotisme ? Non. Une vision d’opportunité. La ville en offrait mille et une, et seuls des crétins sans cervelles ne les voyaient pas. Débordant d’énergie il fit de nombreux travaux assez secondaires au sein de la ville : coursier, homme de chambre, gros bras, débardeur et bien d’autre. Il ne se faisait jamais d’amis car qui peux parlait d’amitié entre elfes noirs ? Mais il commençait à être connu pour certaines œuvres, et quelques opportunités lui apparaissait. Ainsi il finit par se faire enrôler dans les forces armées terrestres lorsqu’une série de bataille entre nobles elfes noirs se profila. Mais après avoir eu droit à un aperçu des combats, et son service militaire accomplis, il ne se représenta pas lors des batailles suivantes trouvant ces batailles assez peu excitantes et plutôt idiotes. Quel intérêt de se combattre entre nous quand on peux allez saluer les cousins ?
Et donc pendant une bonne soixantaine d’années, Korgoth vécu dans les rues, continuant à faire ses petits boulots, à se faire un peu mieux rémunérer et à se faire courser par la milice, dont le capitaine lui reversait une petite somme pour qu’il continue à « Maintenir ses hommes en forme ». Au fil de ces années, il avait passé quelques arrangements avec certaines personnes qui finirent par devenir ceux vers qui il se tournait, ou en tout cas qui l’avait marqué.
Il y avait d’abord eu le fameux capitaine de la garde, Kankek. Un elfe noir bien bâti dont l’armure était toujours immaculée ainsi que l’emblème de la cité sur son bouclier. Un elfe noir avec qui Korgoth avait l’arrangement de continuer à maintenir les soldats en forme avec ses bêtises, et en échange il n’inscrivait pas Korgoth dans le registre des criminels de son secteur et lui reversait une paie assez modique, mais qui lui permettait d’acheter de quoi manger un peu. Korgoth s’entendait plutôt bien Kankek, notamment grâce à la simplicité de leurs interactions. Simple, direct, sans fioriture et tout le monde était gagnant. Sauf les miliciens, mais bon.
Ensuite il y a eu le fameux incident avec le noble et sa maitresse dans un établissement de plaisir. Tout avait commençait avec une elfe noire que Korgoth avait réussis à séduire par Atharti seule sait quel moyen. Mais quand elle compris que Korgoth avait plus d’intention envers sa sœur, elle se transforma en l’équivalent d’une furie et pourchassa le pauvre elfe noir avec une lame bien aiguisée à travers de nombreuses ruelles jusqu’à ce qu’il trouve refuge dans une chambre déjà occupée dans une maison de plaisir. Le noble se nommait Unek Nastyros et avait l’art de se faire comprendre et respecter à la façon des elfes noirs. C’est-à-dire en plaquant une lame sous la gorge de Korgoth tout en gardant une voix calme et un langage plus élevé que celui de notre elfe coureur. Korgoth discuta à la façon des elfes noirs avec son hôte, qui compris immédiatement le problème de son invité surprise et lui dit qu’en gage de bonne volonté il ne le tuerait pas s’il partait par la fenêtre et qu’il gardait le silence sur ce qu’il avait vu. Korgoth appréciait beaucoup ce gentleman, presque autant que le corps nu de la maitresse dudit gentleman qui n’arrêtait pas de se déhancher devant ses yeux et derrière le dos du noble. Une femme agréable donc.
Il y eut également une fois où Korgoth ne s’en serait pas sortis vivant seul. Il fut une fois où Korgoth dut la vie à un autre que lui-même. Ce jour-là il avait finis dans les enclos des monstres, plus précisément dans l’enclos d’hommes-bêtes. Sans l’intervention d’un jeune dompteur, il ne s’en serait pas sorti. Korgoth était là pour simplement faire son travail de maitre purineur (autrement dit fouetter les esclaves pour qu’ils fassent le travail et superviser) quand une cage céda sous la force d’un homme-bête particulièrement concentré sur la tâche de l’encorné. Mais grâce à Dorvith, le jeune dompteur, et à sa maitrise incroyable du fouet, il réussis à tenir la créature le temps que d’autres arrivent pour totalement maitriser le monstre. Quand ils se retrouvèrent lors du soir dans une taverne afin de régler cette dette, Dorvith lui répondit qu’il n’avait aucun intérêt envers un simple mendiant et que s’il voulait régler sa dette, il allait devoir commencer par devenir quelqu’un qui puisse réellement faire quelque chose. Korgoth le considère depuis comme un dompteur qui aurait plus eut sa place dans la politique, un elfe aussi perfide et dangereux que les bêtes qu’ils renferment bien que cela ne se voit pas au premier abord. Quelqu’un de véritablement dangereux. C’est pour ça qu’il l’aimait bien.
Et évidemment il n’y a pas que des hommes dans la vie de Korgoth. Des femmes sont aussi présentes, et nombreuses ont surement jurés de lui arracher ses parties les plus précieuses mais deux ont marqués notre jeune elfe. La première était une jeune elfe noire, fille de cousin de noble donc très loin dans la succession dont la famille avait un petit commerce de soieries et autres délicatesses que les nobles appréciés grandement portés. Korgoth et Mekha eurent une idylle pleine de montée d’adrénaline, jouant à des jeux dangereux et de nombreuses fois Korgoth fut presque attrapé sur le fait mais a toujours réussis à disparaitre corps et biens par une fenêtre ou à passer dans une armoire, ne laissant aux parents que l’image de leur fille en sueur et les pupilles encore dilatés. Malheureusement cette idylle s’arrêta quand Korgoth fit une erreur tonitruante : l’appeler par le prénom d’une autre. Plus précisément par le prénom de la deuxième elfe noire qui l’a marqué, une dénommée Nilrish. Celle-ci l’a plongée dans un cercle aussi vicieux qu’abyssal car il s’agissait d’une jeune femme à tendance veuve noire. Les seuls qu’elle ne tuait pas été ceux qui l’énervaient dans la vie de tous les jours, et savoir que celui avec qui elle passait ses nuits avait le cœur à une autre l’énervait au plus haut point. Mais cela gardait Korgoth en vie. Sa relation avec Nilrish pris fin en même temps que celle avec Mekha et histoire d’être sûr que les deux ne le retrouvent pas pour le tuer lentement de toutes les manières elfiquement possible, il fit la seule chose qui lui semblait logique. Embarquer sur un vaisseau corsaire en tant qu’engagé très volontaire.
Le vaisseau, son équipage et son capitaine ne retinrent absolument pas l’attention de Korgoth, mais la vie de corsaire elle… Elle lui plaisait. Elle lui plaisait même énormément. Rapidement il s’était fait une place parmi les mousses du bateau et participait à la vie du navire. Il faisait son travail, il riait, il jouait, il vivait pleinement. Il avait trouvé sa voix. Mieux. Il existait enfin, pour la première fois de sa courte vie. Lors d’une partie de cartes avec un corsaire la mise était la suivante : S’il gagnait, il remportait le sabre du corsaire. S’il perdait, il irait saluer Mathlann (autrement dit, ses pieds seraient attachés à une corde et il serait balancé à la mer, à la merci des requins et autres monstres de la mer pendant quelques temps et devrait survivre). Contre toute attente, il réussit à remporter le sabre et le corsaire abandonna même son jeu de cartes (qui finis rapidement dans les poches de Korgoth). Autant dire qu’après un affront pareil, le corsaire avait la vie très dure, mais pas autant que Korgoth qui n’avait pas seulement offensé un corsaire, mais avait mis une gifle à tous les corsaires par la même occasion. Il avait dérangé l’ordre du navire. Et les corsaires lui ont fait payés en lui donnant plus de travail, le logeant moins bien et en lui donnant les restes des repas. Mais Korgoth en riait à gorge déployée.
Le voyage du navire se finis dans les mers tiléennes, lors du raid contre la ville de Remas. La bataille avait été merveilleuse. Les meurtres, les canonnades, les cris, les hurlements, le sang, les esclaves, les trésors, les incendies… Tout cela était d’une splendeur telle que Korgoth n’en avait jamais vu. Ce jour-là il se jura de devenir le capitaine d’une flotte entière. La plus terrible que le monde ait jamais connu, la plus perfide que les mers aient jamais portée. Mais c’est lors du retour que le drame arriva. Alors qu’ils manœuvraient pour sortir de la baie, deux vaisseaux tiléens ouvrirent le feu sur son navire. Déjà abimé par les batailles de la semaine précédente, le navire sombra corps et biens. Korgoth, qui portait encore son gilet de cuir sur lui, eu le temps d’attraper son cimeterre avant de sauter à l’eau et se mit à nager en direction de la plage. Ce qu’il y a de bien avec les corsaires elfes noirs c’est qu’ils t’apprennent vite à nager. Ils attachent une corde à ton torse et t’envoie dans l’eau pour que tu rejoignes le navire. Si vous aviez de la chance, vous êtes votre seul professeur. Si vous n’en aviez pas, les requins devenaient vos professeurs. Et si vous en aviez vraiment pas, c’est autre chose que les requins qui vous sers de professeur. Korgoth avait manqué de chance ce jour-là, mais il avait appris très vite.
Il finit par arriver sur la plage ravagée avec la vision du navire en train de couler et commença à ramasser les premières choses qui arrivaient, une cape, des haillons et d’autres choses encore dont il ne savait pas l’utilité qu’il en aurait, mais dans un endroit qu’on ne connait pas il valait mieux avoir le plus de choses possibles. Les quelques pièces qu'il trouva il les pris également et les mit dans une doublure de son gilet, les elfes noirs aiment énormément les poches. Malheureusement cela ne lui fut d’aucune utilité quand on vint l’assommer par derrière. Sa dernière vision était le navire en train de sombrer, et quelques silhouettes de corsaires en train de nager dans l’eau.
Compétences :
• Esquive (carrière)
• Désarmement (carrière)
• Acuité visuelle (raciale)
• Vision nocturne (raciale)
• Contorsionnnisme (gratuite)
• Natation (gratuite)
• Course à pied (gratuite)
Bourse: 3 Couronnes d'or || Autres :
Inventaire:
(gratuit) Cimeterre de corsaire
(gratuit) Gilet de cuir clouté
(gratuit) Haillons
(gratuit) Cape longue
(gratuit) Tatouage commun
(gratuit) Paquet de cartes
(gratuit) Luth
Autres:
Quelques cicatrices sur le visage ; Tatouage du blason de Clar Karond sur l'épaule droite ; Paquet de cartes façon elfe noir
Personnage de chroniques de Vladmir.
Moment de la chronique : 1 487 selon le CI, en Tilée.
Mathlann : 10
Atharti : 5
Khaine : 5
Code : Tout sélectionner
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Informations générales sur le personnage :<html></p><center></html>
|< 50em >|
| **Nom et Prénom:** | Korgoth | <html><img src="https://i.pinimg.com/564x/b6/38/79/b6387914b4ad2000740b7f452af893f3.jpg" /></html> |
| **Age:** | 130 ans | ::: |
| **Sexe: ** | Masculin | ::: |
| **Race: ** | Elfe noir | ::: |
| **Carrière: ** | Esclave | ::: |
| **Lieu/ville de départ:** | Rema | ::: |
| **Fréquence de jeu:** | Quand vient l'inspiration | ::: |
| **MJ:** | **à compléter** | ::: |
<html><br></html>
<html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre1.jpg" align="center" /></html>
^ Nom de la ligne ^ FOR ^ END ^ HAB ^ CHA ^ INT ^ INI ^ ATT ^ PAR ^ TIR ^ MAG ^ NA ^ PV ^
| Profil de départ (+4 PC initiaux) | 8 | 7 | 9 | 9 | 8 | 11 | 10 | 10 | 9 | | 1 | 50/50 |
| Profil actuel | 8 | 7 | 9 | 9 | 8 | 11 | 10 | 10 | 9 | | 1 | 50/50 |
| Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) | A remplir par le MJ |||||||||||||
<html><br></html>
| **XP disponible:** | 0 |
| **PC dépensés:** | 4 |
<html><br></center></html>
----
<html><br></html>
<html><img align="right" src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre2.jpg" style="padding-left:10px;padding-bottom:10px;" /></html>
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description physique :<html></p></html>
La première chose que ses congénères remarquent chez Korgoth, c’est qu’il fait parti d’une génération encore jeune, ne dépassant même pas encore les 150 ans. Encore un enfant, pour certains. Mesurant 1M86, la moyenne pour les elfes, il a une carrure et une stature passe-partout qui lui permet de se faufiler assez aisément dans les foules. Agile et flexible semblent être des mots qui définissent déjà bien Korgoth et certains ont déjà fait les preuves de sa flexibilité vraiment déroutante. Capable de se déboiter les os pour les remboiter derrière, il faisait ça comme passe-temps dans son enfance pour ensuite s’en servir pour se libérer de certaines entraves.
Également doué pour le combat, c’est ce penchant pour la bagarre qui lui a donné quelques débouchés avec la garde de sa ville natale, mais il est rarement resté sur place pour laisser la justice faire son office. Il tient beaucoup trop à ses mains pour se les laisser couper, sans oublier que certaines dames seraient désappointées de cette perte, presque dramatique. Sans avoir un corps athlétique ni même musclé, il n’en a pas moins mis au sol de plus grands et plus lourds que lui, et dans le pire des cas il est un excellent coureur.
Désormais, Korgoth a arrêté de courir car courir reviendrait à se faire flécher à vue par les singes. Capable de se défaire de ses entraves, il n’en a rien fait même quand ses geôliers l’ont frappé et fait saigner. Mais avec le sourire, car après tout il est déjà dans une situation de merde, pas la peine de faire la gueule en plus. Car malgré les situations dans lesquelles il se trouve, que ce soit la pire ou la meilleure, Korgoth ne se départit jamais de son sourire.
Quand il se trouve dans une situation avantageuse, son sourire est carnassier, ses dents blanches ressemblant au sourire d’un diable. Quand il se trouve en mauvaise posture, son sourire se fait joyeux, presque même heureux car il prouvera soit qu’il est le meilleur de sa race, soit qu’il a rencontré la fin que les dieux lui ont tracés, soit qu’il survivra à cette fin planifiée. Ce qui ne peux que le rendre plus heureux et plus audacieux encore.
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description psychologique :<html></p></html>
Korgoth est un elfe noir audacieux. Jamais il n’a hésité à faire quelque chose, même si la chose est dangereuse, risquée ou franchement idiote. Cette audace l’a souvent mis dans de sales draps, mais lui a aussi souvent sauvé la vie. Qui aurait eu l’idée absolument stupide de soulager un milicien de quelques affaires, se faire courser par le dit milicien et ses camarades, pour arriver dans les enclos à monstres des dompteurs pour finalement réussir à filer avec aucun butin si ce n’est la vision hilarante des miliciens se faisant rosser par leur supérieur pour leur inaptitude alors que Korgoth avait les menottes aux poignets. Quand, quelques jours plus tard, le milicien et Korgoth se recroisèrent, le milicien lui demanda pourquoi il avait fait ça alors qu’il n’avait rien gagné, Korgoth lui répondit que c’était purement pour s’amuser et avoir une montée d’adrénaline. La nuit suivante se fit également derrière les barreaux, étrangement.
Mais cette audace n’est pas toujours sans intelligence. Se lancer dans le vol à la tire n’est pas une activité qui l’intéresse vraiment, et même s’il lui est arrivé de faire connaissance avec la milice, ce ne fut jamais pour de vrais délits, juste quelques frayeurs et petits vols quand il se faisait prendre. Korgoth a tout de même l’intelligence de ne pas se risquer dans des actes totalement inutiles ou perdus d’avance. Mais il suffit qu’il voie une possibilité de réussite, aussi démentielle soit-elle, pour qu’il pense à un plan pour s’en sortir. Que ce soit de se faire passer pour de la main d’œuvre, courir dans l’enclos à monstres ou même entrer dans une chambre privée d’un établissement de plaisir dans laquelle un noble était en pleine action avec ce qui semblait être sa maitresse pour lui-même fuir une femme jalouse de l’attention qu’il portait à sa sœur. C’est sous la menace d’une mise à mort douloureuse et la promesse de ne jamais parler de tout ça que Korgoth pu finalement s’en sortir vivant, après avoir quelque peu échangé avec le noble concernant les femmes un peu trop possessives.
Korgoth porte également toujours le sourire sur son visage. Tantôt mystérieux, tantôt carnassier au point d’en retrousser ses lèvres, le sourire est la marque de fabrique de Korgoth. Il ne se laisse jamais atteindre par le désespoir ni n’accepte d’être accablé. Ce refus d’arrêter de sourire lui a valu, et lui vaut encore, de nombreux soucis. Mais comme il le dit si bien : « Je suis déjà dans une merde aussi noire que mon cœur. Pas la peine que je me présente aux dieux avec une tronche de cent pieds de long. Ça fait mauvais genre. »
Ceci a fais que Korgoth a développé une façon de se battre audacieuse, presque insouciante pour sa vie, mais particulièrement efficace, préférant les coups les plus inattendus et les plus bas comme sauter en l’air, bouclier en avant et lame derrière le bouclier pour que la lame transperce le bouclier et ainsi l’adversaire. Ou encore se contenter d’esquiver ou d’encaisser les assauts derrière un bon bouclier en attendant que son adversaire se fatigue. Korgoth a des yeux vifs qui lui permettent de rapidement et distinctement voir son espace de combat et d’utiliser ce dernier au mieux. Une caisse n'est qu’une marche pour donner un coup sur la tête. Un tapis, juste une glissade plus simple.
__Alignement :__ Loyal Mauvais
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Historique du personnage :<html></p></html>
Korgoth est né dans la cité de Clar Karond, dans les terres de Naggaroth, au milieu des hurlements d’agonie des esclaves, des rugissements des bêtes et des bruits des coups de fouet. Ainsi que les cris de joie de ses parents, masqués par tout ce bruit. Korgoth n’est pas né de parents que l’on pourrait qualifier de dignes même selon les normes des elfes noirs, dans le sens où ils n’avaient pas de maison. C’était des mendiants, des sans le sou, et pas assez d’intelligence pour garder l’argent qu’ils gagnaient en tant que main d’œuvre pour les maitres des bêtes de la ville. Leur tâche était la plus dangereuse : Ouvrir et refermer les cages quand il le fallait. Mais cet avenir ne plaisait vraiment pas au jeune elfe, aussi il pris rapidement la poudre d’escampette de ses parents, mais resta dans sa ville natale. Un élan de patriotisme ? Non. Une vision d’opportunité. La ville en offrait mille et une, et seuls des crétins sans cervelles ne les voyaient pas. Débordant d’énergie il fit de nombreux travaux assez secondaires au sein de la ville : coursier, homme de chambre, gros bras, débardeur et bien d’autre. Il ne se faisait jamais d’amis car qui peux parlait d’amitié entre elfes noirs ? Mais il commençait à être connu pour certaines œuvres, et quelques opportunités lui apparaissait. Ainsi il finit par se faire enrôler dans les forces armées terrestres mais finit par se rétracter en disant que c’était trop barbant pour lui.
Et donc pendant une bonne soixantaine d’années, Korgoth vécu dans les rues, continuant à faire ses petits boulots, à se faire un peu mieux rémunérer et à se faire courser par la milice, dont le capitaine lui reversait une petite somme pour qu’il continue à « Maintenir ses hommes en forme ». Au fil de ces années, il avait passé quelques arrangements avec certaines personnes qui finirent par devenir ceux vers qui il se tournait, ou en tout cas qui l’avait marqué.
Il y avait d’abord eu le fameux capitaine de la garde, Kankek. Un elfe noir bien bâti dont l’armure était toujours immaculée ainsi que l’emblème de la cité sur son bouclier. Un elfe noir avec qui Korgoth avait l’arrangement de continuer à maintenir les soldats en forme avec ses bêtises, et en échange il n’inscrivait pas Korgoth dans le registre des criminels de son secteur et lui reversait une paie assez modique, mais qui lui permettait d’acheter de quoi manger un peu. Korgoth s’entendait plutôt bien Kankek, notamment grâce à la simplicité de leurs interactions. Simple, direct, sans fioriture et tout le monde était gagnant. Sauf les miliciens, mais bon.
Ensuite il y a eu le fameux incident avec le noble et sa maitresse dans un établissement de plaisir. Tout avait commençait avec une elfe noire que Korgoth avait réussis à séduire par Atharti seule sait quel moyen. Mais quand elle compris que Korgoth avait plus d’intention envers sa sœur, elle se transforma en l’équivalent d’une furie et pourchassa le pauvre elfe noir avec une lame bien aiguisée à travers de nombreuses ruelles jusqu’à ce qu’il trouve refuge dans une chambre déjà occupée dans une maison de plaisir. Le noble se nommait Unek Nastyros et avait l’art de se faire comprendre et respecter à la façon des elfes noirs. C’est-à-dire en plaquant une lame sous la gorge de Korgoth tout en gardant une voix calme et un langage plus élevé que celui de notre elfe coureur. Korgoth discuta à la façon des elfes noirs avec son hôte, qui compris immédiatement le problème de son invité surprise et lui dit qu’en gage de bonne volonté il ne le tuerait pas s’il partait par la fenêtre et qu’il gardait le silence sur ce qu’il avait vu. Korgoth appréciait beaucoup ce gentleman, presque autant que le corps nu de la maitresse dudit gentleman qui n’arrêtait pas de se déhancher devant ses yeux et derrière le dos du noble. Une femme agréable donc.
Il y eut également une fois où Korgoth ne s’en serait pas sortis vivant seul. Il fut une fois où Korgoth dut la vie à un autre que lui-même. Ce jour-là il avait finis dans les enclos des monstres, plus précisément dans l’enclos d’hommes-bêtes. Sans l’intervention d’un jeune dompteur, il ne s’en serait pas sorti. Korgoth était là pour simplement faire son travail de maitre purineur (autrement dit fouetter les esclaves pour qu’ils fassent le travail et superviser) quand une cage céda sous la force d’un homme-bête particulièrement concentré sur la tâche de l’encorné. Mais grâce à Dorvith, le jeune dompteur, et à sa maitrise incroyable du fouet, il réussis à tenir la créature le temps que d’autres arrivent pour totalement maitriser le monstre. Quand ils se retrouvèrent lors du soir dans une taverne afin de régler cette dette, Dorvith lui répondit qu’il n’avait aucun intérêt envers un simple mendiant et que s’il voulait régler sa dette, il allait devoir commencer par devenir quelqu’un qui puisse réellement faire quelque chose. Korgoth le considère depuis comme un dompteur qui aurait plus eut sa place dans la politique, un elfe aussi perfide et dangereux que les bêtes qu’ils renferment bien que cela ne se voit pas au premier abord. Quelqu’un de véritablement dangereux. C’est pour ça qu’il l’aimait bien.
Et évidemment il n’y a pas que des hommes dans la vie de Korgoth. Des femmes sont aussi présentes, et nombreuses ont surement jurés de lui arracher ses parties les plus précieuses mais deux ont marqués notre jeune elfe. La première était une jeune elfe noire, fille de cousin de noble donc très loin dans la succession dont la famille avait un petit commerce de soieries et autres délicatesses que les nobles appréciés grandement portés. Korgoth et Mekha eurent une idylle pleine de montée d’adrénaline, jouant à des jeux dangereux et de nombreuses fois Korgoth fut presque attrapé sur le fait mais a toujours réussis à disparaitre corps et biens par une fenêtre ou à passer dans une armoire, ne laissant aux parents que l’image de leur fille en sueur et les pupilles encore dilatés. Malheureusement cette idylle s’arrêta quand Korgoth fit une erreur tonitruante : l’appeler par le prénom d’une autre. Plus précisément par le prénom de la deuxième elfe noire qui l’a marqué, une dénommée Nilrish. Celle-ci l’a plongée dans un cercle aussi vicieux qu’abyssal car il s’agissait d’une jeune femme à tendance veuve noire. Les seuls qu’elle ne tuait pas été ceux qui l’énervaient dans la vie de tous les jours, et savoir que celui avec qui elle passait ses nuits avait le cœur à une autre l’énervait au plus haut point. Mais cela gardait Korgoth en vie. Sa relation avec Nilrish pris fin en même temps que celle avec Mekha et histoire d’être sûr que les deux ne le retrouvent pas pour le tuer lentement de toutes les manières elfiquement possible, il fit la seule chose qui lui semblait logique. Embarquer sur un vaisseau corsaire en tant qu’engagé très volontaire.
Le vaisseau, son équipage et son capitaine ne retinrent absolument pas l’attention de Korgoth, mais la vie de corsaire elle… Elle lui plaisait. Elle lui plaisait même énormément. Rapidement il s’était fait une place parmi les mousses du bateau et participait à la vie du navire. Il faisait son travail, il riait, il jouait, il vivait pleinement. Il avait trouvé sa voix. Mieux. Il existait enfin, pour la première fois de sa courte vie. Lors d’une partie de cartes avec un corsaire la mise était la suivante : S’il gagnait, il remportait le sabre du corsaire. S’il perdait, il irait saluer Mathlann (autrement dit, ses pieds seraient attachés à une corde et il serait balancé à la mer, à la merci des requins et autres monstres de la mer pendant quelques temps et devrait survivre). Contre toute attente, il réussit à remporter le sabre et le corsaire abandonna même son jeu de cartes (qui finis rapidement dans les poches de Korgoth). Autant dire qu’après un affront pareil, le corsaire avait la vie très dure, mais pas autant que Korgoth qui n’avait pas seulement offensé un corsaire, mais avait mis une gifle à tous les corsaires par la même occasion. Il avait dérangé l’ordre du navire. Et les corsaires lui ont fait payés en lui donnant plus de travail, le logeant moins bien et en lui donnant les restes des repas. Mais Korgoth en riait à gorge déployée.
Le voyage du navire se finis dans les mers tiléennes, lors du raid contre la ville de Remas. La bataille avait été merveilleuse. Les meurtres, les canonnades, les cris, les hurlements, le sang, les esclaves, les trésors, les incendies… Tout cela était d’une splendeur telle que Korgoth n’en avait jamais vu. Ce jour-là il se jura de devenir le capitaine d’une flotte entière. La plus terrible que le monde ait jamais connu, la plus perfide que les mers aient jamais portée. Mais c’est lors du retour que le drame arriva. Alors qu’ils manœuvraient pour sortir de la baie, deux vaisseaux tiléens ouvrirent le feu sur son navire. Déjà abimé par les batailles de la semaine précédentes, le navire sombra corps et biens. Korgoth réussis à nager jusqu’à la plage avec quelques affaires sur lui. Il était épuisé, il n’avait plus aucune force, il avait bu assez d’eau de mer pour remplir une barrique et avait trimballer des armes et une armure. Il était affalé sur la plage, le soleil brulant son visage, l’un aussi rayonnant que l’autre. Et il se mit à rire quand des ombres vinrent lui couvrirent le ciel.
Il riait encore quand il fut passé à tabac par les mêmes singes qu’il venait de tuer depuis une semaine. Il souriait encore quand ils arrêtèrent et le transportèrent quelque part.
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<html><img align="left" src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre4.jpg" style="padding-right:10px;" /></html> <html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Compétences :<html></p></html>
• **Bagarre (carrière)** : Votre personnage est expérimenté dans l'art de se battre sans arme conventionnelle en se servant de toutes les parties de son corps ainsi que des objets présents dans son environnement. Grâce à sa technique, on considère qu’il utilise une arme de profil « dégâts 1D10, points de parade 1D6 » lorsqu’il se bat sans armes.
• **Résistance accrue pugilat (carrière)** : Votre personnage est particulièrement résistant et robuste. Il peut ajouter un bonus de +1 sur tous ses tests d'endurance. Cette compétence peut faire l’objet d’une ou plusieurs spécialisations parmi les suivantes : à la chaleur, à l’alcool, à la fatigue, au froid, aux drogues, à la torture.
• **Acuité visuelle (raciale)** : Votre personnage est doué d'une vision exceptionnelle. Il peut ajouter un bonus de +1 pour voir des choses à une distance largement supérieure à la normale ou, au contraire, des choses infiniment petites (Selon le libre jugement du MJ). Cela n'affecte pas la compétence «vision nocturne» (S'il ne possède pas cette dernière, il ne pourra pas profiter de son acuité visuelle dans l'obscurité, par contre, cela modifiera ce qu'il est possible de voir avec une source de lumière, etc.)
• **Vision nocturne (raciale)** : Votre personnage est doué de cette faculté de voir dans l'obscurité. Cependant cette obscurité ne devra pas être totale, comme celle des profondeurs de la terre ou les des souterrains d'un château etc. (Il doit au moins exister une source de luminosité : Astres lunaires, bougie etc., Votre personnage n'est pas capable de voir dans une obscurité totale.)
• **Contorsionnnisme (gratuite)** : Votre personnage possède cette faculté de contrôler son corps au-delà des limites d'une personne normale, déplaçant les os hors des articulations ou disloquant son corps de façon «extraordinaire». Il arrive à se débarrasser de cordes, chaînes et autres liens qui l'entravent avec un bonus de +1 sur ses tests d'évasion (le MJ pourra tenir compte de l'adresse et de l'expérience la personne qui a fait les liens et y appliquer les modificateurs adaptés). Il peut aussi se faufiler à travers des passages ridiculement étroits tels que des barreaux de cellules ou des conduits d’aérations selon des mesures raisonnables (laissés à la libre considération du MJ.)
• **Esquive (gratuite)** : Votre personnage, particulièrement vif et agile, est spécialement entraîné à éviter les coups en combat au corps à corps. Pour faire une esquive, vous devez spécifier, avant la résolution du round, que votre personnage va tenter une esquive. Référez-vous aux règles d’esquive pour connaitre les effets de cette compétence.
• **Parade (gratuite)** : Votre personnage a appris comment se servir d'une arme à son plein potentiel pour réussir à parer une attaque rendant les parades bien plus efficaces. La valeur de parade des armes (bouclier compris) est ainsi doublée. Par exemple, une épée ayant une parade à 12 aura dès lors une parade à 24.
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<html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre3.jpg" /></html>
<html><p style="font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Inventaires et biens du personnage:<html></p></html>
| **Bourse:** | 0 Couronnes d'or |
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|< 50em >|
^ Inventaire ^^^^
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(gratuit) Cimeterre de corsaire** | 18+1D8 dégâts 10 parade | Rapide |
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(gratuit) Gilet de cuir clouté** | 7 Torse et Dos, Bras | Autres |
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(acheté) Lance druchii** | 16+1D8 dégâts 6 parade | Long. Peut être utilisée à 2 mains (voir profil lance à 2 mains). |
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(acheté) Bouclier noir** | 8+1D6 dégâts 15 parade | Déstabilisant |
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(gratuit) Haillons** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(gratuit) Cape longue** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(gratuit) Tatouage commun** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(gratuit) Paquet de cartes** |||
| <html><img src="https://warforum-jdr.com/images/imgfiches/icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **(gratuit) Luth** |||
<html><br></html>
|< 50em >|
^ Grimoire ^^
<html></center></html>
<html><br></html>
===== Parcours =====
===Quêtes accomplies===
Nom + lien + récompenses obtenues
=== Classes acquises ===
=== Carrière et classe en cours d'apprentissage===
**Carrière :** Maitre d'armes
<html><br></html>
**Classe actuelle :** Bretteur
=== Dévotion religieuse ===
^ Dieu ^ Points de dévotions disponibles ^ Points de dévotions dépensés ^
| **Mathlann** | 10 | 0 |
| **Atharti** | 5 | 0 |
| **Khaine** | 5 | 0 |
==== Autres ====
Quelques cicatrices sur le visage ; Tatouage du blason de Clar Karond sur l'épaule droite ; Paquet de cartes pour le tarot avec uniquement les arcanes majeures
Personnage de chroniques de Vladmir.
Moment de la chronique : 1 487 selon le CI, en Tilée.