Re: [Kieran] La vengeance d'un déchu
Posté : 24 mars 2015, 15:47
Le découpage de la tête se fit sans trop de problème bien que trancher les muscles puissants de la nuque ne fut pas aussi facile que prévu. Après tout, il n'y avait pas la vitesse d'un coup de tranche pour faciliter la chose. Une fois la tête tranchée, le nécromant put se concentrer pour donner ses ordres à ses esclaves. Ceux-ci y obéirent avec le flegme caractéristique des créatures sans conscience. Le squelette se plaça devant la porte en tenant son arme, la fixant de son regard vide en attendant que quelque chose se passe. Bien que le verrou en garantissait l'étanchéité total.
Les deux zombies qui devaient empêcher quoi que se soit de sortir de la chambre se placèrent à une certaine distance de celle-ci pour ne pas se prendre la porte comme la dernière fois. Tandis que les autres serviteurs décérébrés se mettaient en position autour du vieil homme assoupi. Ce dernier ronflant toujours comme un bien heureux, ne se doutant pas du drame qui se déroulait dans sa demeure.
Le nécromancien lança alors la tête sur les genoux de Griphine en même temps que deux de ses sbires lui agrippaient tant bien que mal, ne visant d'ailleurs pas forcément les bras, comme s'il avait oublié de quoi il s'agissait depuis le temps qu'ils étaient morts. L'un d'eux attrapa ainsi l'épaule tandis que l'autre manqua de lui tomber dessus en même temps qu'il lui attrapa la cuisse, montrant sa tête immonde aux yeux du pauvre homme qui se réveilla en sursaut.
Il regarda la créature, les yeux plus surpris qu'effrayé par ce qu'il voyait. Puis son regard se porta sur la personne qui venait de se décapuchonné et qu'il sembla reconnaître. On pouvait sentir dans ses yeux une colère sourde et il sembla être sur le point de bondir pour se jeter à la gorge du malotru qui osait rentrer chez lui avec des morts-vivants.
Il réussit d'abord à légèrement se soulever. Mais les zombies réussirent ensuite à le maintenir sur sa chaise. Après quoi, ils parvinrent à le garder bien assis, pour le moment en tout cas. Le vieux avait continuer à soutenir le regard de cette chose qui ne semblait pas avoir vieillie d'un poile depuis la dernière fois qu'il l'avait vu. Il lui parla alors d'une voix pleine de haine et de dégoût, lui crachant presque au visage s'il avait pu.
-TOI ! Créature de l'ombre ! J'aurais dû convaincre les villageois de te traquer pour pouvoir te briser les membres pour les attacher à une roue avant de t'faire dévaler la pente comme on l'a fait avec la catin qui t'servait de parent ! Votre famille a apporté l'malheure sur not'village ! T'aurais jamais du revenir !
Il continua ensuite à essayer de se débattre pour se dégager, toujours le même regard meurtrier dans les yeux. Ce même regard qu'il avait quand il avait mener la foule contre la Guérisseuse.
Les deux zombies qui devaient empêcher quoi que se soit de sortir de la chambre se placèrent à une certaine distance de celle-ci pour ne pas se prendre la porte comme la dernière fois. Tandis que les autres serviteurs décérébrés se mettaient en position autour du vieil homme assoupi. Ce dernier ronflant toujours comme un bien heureux, ne se doutant pas du drame qui se déroulait dans sa demeure.
Le nécromancien lança alors la tête sur les genoux de Griphine en même temps que deux de ses sbires lui agrippaient tant bien que mal, ne visant d'ailleurs pas forcément les bras, comme s'il avait oublié de quoi il s'agissait depuis le temps qu'ils étaient morts. L'un d'eux attrapa ainsi l'épaule tandis que l'autre manqua de lui tomber dessus en même temps qu'il lui attrapa la cuisse, montrant sa tête immonde aux yeux du pauvre homme qui se réveilla en sursaut.
Il réussit d'abord à légèrement se soulever. Mais les zombies réussirent ensuite à le maintenir sur sa chaise. Après quoi, ils parvinrent à le garder bien assis, pour le moment en tout cas. Le vieux avait continuer à soutenir le regard de cette chose qui ne semblait pas avoir vieillie d'un poile depuis la dernière fois qu'il l'avait vu. Il lui parla alors d'une voix pleine de haine et de dégoût, lui crachant presque au visage s'il avait pu.
-TOI ! Créature de l'ombre ! J'aurais dû convaincre les villageois de te traquer pour pouvoir te briser les membres pour les attacher à une roue avant de t'faire dévaler la pente comme on l'a fait avec la catin qui t'servait de parent ! Votre famille a apporté l'malheure sur not'village ! T'aurais jamais du revenir !
Il continua ensuite à essayer de se débattre pour se dégager, toujours le même regard meurtrier dans les yeux. Ce même regard qu'il avait quand il avait mener la foule contre la Guérisseuse.