[Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Les gens du Hochland sont célébres pour leurs talents de chasseurs et les denses forêts de leur province. Une bonne partie de leurs armées est composée d'habiles arquebusiers. Le Comte Ludenhof tient sa cour à Hergig.

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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par [MJ] Wargut »

Les combats:

Feers contre Jonas
Le nain contre Ernst
Le père de famille contre Wolfgang
Ordre d'action:

Pour tous le reste du combat (excepté le premier tour donc), l'ordre d'action sera défini selon l'INI des protagonistes, indépendamment du test du premier tour, et on se basera sur ce classement pour le reste du combat, sans lancer de dés supplémentaires. De la sorte, l'INI induit un ordre d'action, du plus rapide au moins rapide. Les premiers à agir seront ceux ayant une INI élevée, les derniers à agir seront ceux ayant une INI faible.

Jonas (INI10) > Wolfgang (INI9) > Feers (INI8) > Père de famille (INI8) > Ernst (INI8) > Le Nain (INI7)
Feers Vs Jonas
Jonas attaque en premier !

Attaque de Jonas > ratée (14)

Tir de Feers > réussi (2) -> -21 PV au bras gauche (1D20:3)
Le nain Vs Ernst
Ernst attaque en premier !

Attaque de Ernst > ratée (14... Sont nazes ces gars Oo)

Attaque du nain > réussi (10) non parée (15) -> -25 PV à la tête (1D20:2)
Le père de famille Vs Wolfgang
Wolfgang attaque en premier !

Attaque de Wolfgang > réussie (10) non parée (17) -> -15 PV à la tête (1D20:1)

Attaque du Père de famille > ratée (11)
Récapitulatif:

Feers: 47 / 60
Le nain: 90 / 90
Le père de famille: 45 / 60
Ernst: 15 / 65
Wolfgang: 28 / 60
Jonas: 13 / 55

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Herr Feers

Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par Herr Feers »

Deuxième round. Le combat est bien avancé. Chaque concurrent a frappé son adversaire avec leur arme. Il y a du tranchant, du transperçant. Ça saigne, sa cogne, ça fait des aïe, ouille, crève ! Certes dans toute sorte de situation, la communication est importante. Parole, son, regard, tous ces moyens sont des éléments qui permettent d'expliquer à son prochain ce qu'on pense. Enfin voilà. On pouvait lire sur le visage de chaque homme ici présent, dans ce combat, la douleur et un début de fatigue. Il faut dire que... Se prendre des coups, donner des coups... sa fatigue un peu. La concentration aussi. Il ne faut pas qu'avoir des bras pour combattre, mais aussi un peu de matière grise. Enfin voilà.

De mon côté, c'était la fête pour moi. L'idiot m'avait raté ! Ah ah ! Je ne sais pas comment il avait réussi à me rater. Il m'a fallu juste de me balancer vers sa gauche avant de tirer. Hélas mon tire en mouvement fit que je lui touchais son autre bras. Il avait ses deux bras de toucher par l'une de mes balles. Il faisait moins le malin là. Il grinçait des dents en plus de me montrer son plus dur regard. Comme s'il pouvait me faire peur. J'avais l'attention d'en finir avec tout ça le plus vite possible. Mon temps m'était précieux et je ne pouvais pas me permettre de rester ici trop longtemps. De plus, mes munitions y passaient, lentement mais surement. Tout de suite après mon attaque, je me positionnais en recule afin de garder une distance entre moi et mon adversaire. Alors qu'il était en train de gueuler sa souffrance et les petites chatouilles de ma « bille de plomb », je mettais la poudre et la balle dans mon arme. Tout ça dans le calme et la bonne humeur.

Sinon, le nain, lui comme d'habitude. L'expert, je ne sais pas comment il fait, mais il est très balèze. L'ennemi l'avait encore une fois raté. Tant mieux pour lui à vrai dire. Mais cela montrait bien le niveau de nos adversaires. En tout cas de certain. Enfin, que dire ? Le nain qui fait une roulade pour éviter le coup. Même pas, cela aurait été trop bonne cette affaire. Ce brave nain savait faire les choses proprement. Un coup raté, un coup gagné. Il est fort, j'avoue. Mais avant tout, cette personne ou plutôt ce nain, il maîtrisait parfaitement son terrain.

Bon, finissons avec le père. Le pauvre. Il avait la chance avant, mais maintenant, le vent avait tourné. Lui aussi a été blessé. La tête, il a été touché à la tête. Je pensais qu'il allait y passer. Mais le coup n'était pas mortel heureusement. Enfin, le coup à la tête l'avait surement perturbé. Il rata son attaque contre son adversaire qui montrait un petit sourire de satisfaction. Mais le père était loin d'être mort et le combat finit.

Chacun avait ses blessures, sauf le nain qui avait l'air d'être indestructible. Dans le choeur de chacun, ils pouvaient sentir une sensation de colère mais, aussi de peur. Surtout que c'était peut-être un combat à mort. Tout le monde ou presque était blessé, mais aucun avait l'idée de capituler, au contraire ! Alors que je fis mon habituel tentative de la tête, les autres se préparèrent à porter le coup de grâce peut être ! On ne pouvait pas se fier à l'apparence vous savez ? Le corps ne peut pas toujours suivre l'esprit. Le corps à ses limites comparées à l'esprit. Bien sûr je parle surtout pour les humains dit normale. Il y a des êtres exceptionnels dans ce monde. J'en suis sûr. Mais là, je pense que tout le monde était dit « normal ». Bien sûr normale ne veut pas dire faible hein ! Cela veut dire que nos caractéristiques sont mises en avance, mais on ne pourra pas aller plus que le commun des mortel pourra faire.
Modifié en dernier par [MJ] Wargut le 07 mai 2011, 11:32, modifié 1 fois.
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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par [MJ] Wargut »

Les combats:

Feers contre Jonas
Le nain contre Ernst
Le père de famille contre Wolfgang
Ordre d'action:

Pour tous le reste du combat (excepté le premier tour donc), l'ordre d'action sera défini selon l'INI des protagonistes, indépendamment du test du premier tour, et on se basera sur ce classement pour le reste du combat, sans lancer de dés supplémentaires. De la sorte, l'INI induit un ordre d'action, du plus rapide au moins rapide. Les premiers à agir seront ceux ayant une INI élevée, les derniers à agir seront ceux ayant une INI faible.

Jonas (INI10) > Wolfgang (INI9) > Feers (INI8) > Père de famille (INI8) > Ernst (INI8) > Le Nain (INI7)
Feers Vs Jonas
Jonas attaque en premier !

Attaque de Jonas > réussie (8) non parée -> -14 PV au bras gauche (1D20:3)

Tir de Feers > réussi (6) -> -21 PV à la tête (1D20:1) => Mort !
Récapitulatif:

Feers: 33 / 60
Le nain: 90 / 90
Le père de famille: 45 / 60
Ernst: 15 / 65
Wolfgang: 28 / 60
Jonas: -8 / 55
Arrivé à dix pas de Jonas, Von Herr Feers tira en pleine tête du fou. La détonation fut assourdissante et du sang, des fragments d’os et des morceaux de cervelle aspergèrent les autochtones ivres, qui restèrent figés sur place sous le choc. Les deux derniers hors-la-loi réagirent instantanément, toute velléité de combat s’étant soudain évaporée chez eux, il s’enfuir très rapidement.

Les villageois luttaient contre les flammes, bien qu’il fût impossible de déterminer s’ils avaient le dessus. Feers vit l’aubergiste se tordre les mains en sautillant d’un pied sur l’autre, ne faisant pas grand-chose d’utile.

ImageLe Nain :Bande d’imberbes, se moqua le nain d‘une voix étouffée par l‘épaisseur de métal de son casque intégral, en montrant les deux derniers incendiaires s‘enfuirent.
D’un commun accord, les trois sauveurs de l’auberge aidèrent les villageois. Herr Feers les organisa en équipes pour qu’ils étouffent plus efficacement l’incendie et quand les premières lueurs de l’aube éclairèrent le ciel, ils éteignaient les dernières flammes. Le feu avait ravagé la cuisine et une bonne partie de la salle commune, et l’extérieur était noircie, mais le bâtiment était plus ou moins intact, même s’il faudrait sans nul doute des mois pour le rénover.

Le visage de Feers était noir de suie, et celui-ci se reposait sur un gros rocher. Le père de famille lui avait déjà fait ses adieux, lui indiquant qu’il devait rejoindre sa précieuse famille. Le milicien vit le nain s’approcher de lui.

ImageLe Nain :C‘est-ce qui arrive avec les bâtiments en bois. La seule utilité du bois, c‘est pour faire du feu. Mais une bonne construction de pierre durera des générations. Je ne vous comprends pas, vous les humains, tu sais… Votre Empire est en guerre et votre peuple souffre de la famine et de la maladie. Et pourtant vous voilà occupés à vous battre entre vous. N’avez-vous donc pas d’honneur ?

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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par Herr Feers »

La lutte fut dure, épouvante, atroce ! Mais nous sommes arrivés à la fin de ces combats. Ces combats ? Eh oui, le combat contre ces brigands et celui contre le feu. Je peux vous dire que c'était plus que crevant. Je mis fin à tout cela grâce à la coopération et de tous. Sans eux jamais tout cela aurait pu être fait. En fait ce n'est pas grâce à moi, mais c'est grâce à tous ici présent. Je remercie aussi mon pistolet qui a été l'outil de la fin des hostilités par la mort de l'un de ces brigands. Hélas, j'aurais préféré épargner la vie de cet homme. Mais le sang a dû être coulé pour que la situation puisse s'améliorer, ainsi est la mentalité de l'empire. Nous impériaux savons prendre les décisions, des plus doux au plus dur pour le bien de tous. Même si cela est interprété pour de la brutalité chez certain, cela est en fait une qualité des sens des responsabilités, courage et droiture. Bien sûr tant que ce n'est pas pour une raison égoïste où pour effacer des preuves gênante. L'homme est de nature mauvaise c'est vrai, mais en faisant des efforts, nous pouvons nous montrer solidaire et se serrer les coudes afin d'unir nos forces pour nous sauver. L'auberge en feu est un exemple de l'esprit fraternel qui existe en chaque impérial fidèle à la grande nation.

Enfin voilà. Me voilà allongé sur un rocher. Malgré que c'était dur, ça faisait un bien fou. Je puais la fumée et j'étais aussi noir que le charbon par endroit. Alors que je récupérais de toutes mes émotions vécues là, le nain qui m'a été d'un grand aide vint à moi. Il m'expliqua son point de vue sur les humains qui n'étaient pas faux hélas. Je restais allonger, sans rien dire avant de me mettre assit. Je me frottais légèrement mon visage en baillant. Je mis ma main quand même et je crois que j'ai failli me déboiter la mâchoire. Bon, je m'étirais de tout mon long avant de descendre de mon rocher afin de me tenir debout devant le nain. Je me frottais le menton avant de prendre la parole avec un petit sourire au coin des lèvres :


-Votre réflexion et votre question est bien travaillées et relève un bien triste vérité sur les humains. Voilà déjà un certain temps que l'empire est en train de s'effriter, se fragiliser. La mentalité d'autres fois à disparut. Autre fois l'empire était glorieux et unit. La joie comme la tristesse régner au sein de la nation. Mais l'équilibre était parfait. Cela faisait que malgré face à l'adversaire, l'esprit de fraternité à permit à tous à surmonter les problèmes et faire que l'empire soit la plus grande nation en ce monde.


Je fis une pause afin de réfléchir à mes futurs mots. J'étais loin d'être un spécialiste des discours vus que mon titre qui m'aurait permis de m'y former m'a été enlevé. Il n'y avait pas de vérité réconfortante en ces temps sombres. Je repris la parole serrent légèrement le poing gauche :

-Mais en ces jours, le mal de l'extérieur à réussi à pourrir l'empire. Une mentalité d'égoïsme, d'orgueil s'est rependue dans notre belle société. La misère s'est répandue. De plus en plus de personnes mettent leur devoir en avant, mais au contraire, ils mettent leur envie purement personnel à la tête de leur activité, même si cela signifie de faire du tort aux personnes autour de soi. Le plaisir personnel a prit le dessus sur le plaisir commun. Nos ennemis le savent très bien et en profite.

Bon sang, j'enfonce et j'enfonce l'empire là. Pas bon pour moi. Mais bon c'était un nain devant moi, cela allait. Ce n'est pas comme si je parlais à l'inquisition que je trouvais inefficace et incapable de prendre soin de notre glorieux empire. Enfin voilà, j'allais quand même mettre du positif dans tout cela. Je n'étais pas un pessimiste, je dirais que j'étais un réaliste :

-Mais malgré les apparences, l'empire tient le coup malgré tout cela. L'instabilité administrative et civile qui règne en ce moment ne suffit pas pour détruire l'empire. En réalité, seule une minorité à une salle mentalité. Mais comme ils ont une certaine influence, on pourrait croire qu'ils sont majoritaires. Mais n'oublions pas et que c'est les petits qui se font le plus entendre. Cela n'est qu'un, illusion. La minorité répand cette sale mentalité, mais il y a d'autre qui répande l'amitié, la fraternité, l'unité et la fidélité. A mes yeux, tous les membres du peuple ont leur importance, sans l'un et l'autre personne ne pourrait vivre dans une mode civilisé. Regarder l'échelle sociale. Ceux Qui sont en haut guide celui du bas. Mais s'il il n'y avait pas le gars d'en bas pour tenir l'échelle celui d'en haut tombe.

Je n'ai peut-être pas réussi à améliorer la situation sur l'empire dans mes mots ? Ou très peu. Mais j'allais finir ma façon de voir les choses par ces mots qui allaient donner de la positive attitude :

-Je ne partage pas cette mentalité, je suis au contraire contre. J'ai l'attention de faire autant de bruit et agir aussi efficacement que cette minorité. Répandre et appliquer cette ancienne idée. Réunir le peuple et les nobles afin que tous s'applique a leur devoir qu'ils ont l'un pour l'autre et pour l'empire. Le mal qui se répande au sein de notre empire doit être battu. Mais pour cela je dois aller reprendre ma marque de noblesse. Cela me permettra de répandre l'ordre, la sécurité, la justice que beaucoup ont abandonné.

Je me faisais surement passer pour un idéaliste. Mais mes mots ont été illustrés par des gestes, des regards que je faisais naturellement. Ces mots venaient de mon cœur, ce n'était pas des paroles vide, mais des paroles en quoi j'y croyais. Bien sûr, je ne dis pas que mon passé n'influence pas cette idée et que j'en tirerai une satisfaction purement personnel, mais cela arrangera beaucoup de monde, au fidèle. Mon combat est loin d'être terminé. Mes ennemis seront nombreux et mes alliés peu. Mais je m'y étais préparé. J'irais de l'avant pour le bien commun. L'empire et Sigmar guide ses fidèles. Que le chaos tremble et que les créatures de l'ombre se cache. Leur moment de gloire je le mettrais fin afin que l'empire et ses fidèles puissent vivre en paix et en sécurité. Aucun juste pourra dire : « je suis abandonné » Non !
Modifié en dernier par [MJ] Wargut le 07 mai 2011, 19:26, modifié 1 fois.
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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par [MJ] Wargut »

ImageLe Nain :Je ne vous comprends pas, non, dit le nain, et je ne crois pas que je vous comprendrai un jour. Et ça me convient.
Le nain s’assura que son paquetage était fermement sanglé. Avec un soin méticuleux, il tendit les liens de cuir qui maintenaient un long objet empaqueté dans du cuir huilé fixé à ses bagages, et il attacha son bouclier par-dessus pour mieux le protéger.
ImageLe Nain :Thorrik Lokrison, Barbe de Fer du clan des mineurs Barad de Karaz-a-Karak, gardien de l’Ungdrin, se présenta le nain. C’est le plus grands des forts des nains, le siège du pouvoir du Haut Roi en personne. Dans la langue des hommes, on le nomme le pic Éternel. Sur ordre du Haut Roi, on a levé une armée à Karaz-a-Karak il y a neuf ans de cela. Les guerriers du clan Barad ont répondu à l’appel et je faisais partie des conscrits. Sept ans durant, nous avons combattu dans le nord de votre Empire, renforçant vos défenses contre les hordes qui se rassemblent au septentrion.

Von Herr Feers remarqua que le casque de Thorrik comportait même une moustache de métal stylisée. À lui seul, il devait valoir une fortune, bordée qu’il était de fioritures de bronze doré, sans parler du reste de l’armure.

Thorrik commença à s’éloigner, chacun de ses pas pesants laissant une profonde empreinte dans le sol boueux. Il fit une dizaine de pas avant de se retourner vers le milicien.

ImageThorrik :Où iras-tu ensuite ? dit-il d‘un ton bourru. Je me rends au col du Feu Noir, tu veux venir avec moi ?

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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par Herr Feers »

Je ne pus me retenir de rire un peu quand il me répondu à mon petit discours. Enfin, il avait raison, les impériaux avaient une philosophie bien compliqué. En tout cas tout cela était bien terminé. Le nain se présenta. J'avoue, il y a eu trois secondes de réflexion. J'avais déjà entendu des noms à rallonge avec leur fonction et tout ça dans des familles de seigneurie, mais alors là. Je crois qu'il avait réussi à avoir la première place. En tout cas pour moi. Bon c'est vrai si on rajoute nom, prénom, clan et lieu d'où on est, c'est plutôt facile. Bref, j'avais déjà entendu parler qu'au conflit du nord, les nains portaient leur soutien dans la lutte. Un gros soutient à vrai dire. Aussi bien côté structure qu'homme. Ils avaient du mérite. L'empire a bien de la chance d'avoir des alliés aussi robuste que ces nains. Après tout c'est grâce à la coopération de tout ce que l'empire a pu avoir ça place dans le monde et cette puissance militaire et économique aujourd'hui. De plus les conflits contre le chaos et créature maléfique amène à l'unification, la coopération des différentes civilisations. Eh oui, un ennemi en commun permet de souder des alliances durables généralement. Mais il faut avouer quelque chose. Voir des nains, même une armée ça va. Ça veut dire qu'il y a quelque chose mais qu'on maitrise plus ou moins la situation. Mais le jour où vous voyez des elfes, posé des questions et si vous voyez une armée d'elfes, alors là, c'est la panique. C'est mauvais signe, ça veut dire qu'on a atteint un niveau critique. C'est pour ça, moi personnellement je n'ai rien contre les nains ni les elfes. Mais tant qu'on ne voit pas trop d'elfes c'est mieux.

Bon, revenons à nos moutons. Je ne puis que remarquer que les nains étaient de grand artiste. Derrière l'apparence de personne de petites tailles robustes à l'apparence brute se cachent un être très raffiné qui transforme le fer en or quand sa tombe entre leur main. Je fais référence a leur armure. J'aimerais bien une telle armure, mais plus léger, beaucoup plus léger. Je suis sûr qu'ils ont un matériau léger et bien résistant. Du fer léger ? Enfin bon, je verrai bien un jour. Chapeau quand même pour l'armure du nain.

La question qui tue presque. Où vais-je aller moi ? Question perspicace qui me demande réflexion. Mais quelle joie quand quelqu'un répond a votre question avant vous, ça vous empêche de rester planter là à réfléchir. C'est décidé, j'irai au col du feu noir ! Je ne sais pas où c'est, je ne sais pas ce qu'il y a là-bas. Mais j'irai même si je ne sais pas pourquoi spécialement. Le nain a proposé cette idée. Il connaissait surement la route dans ce cas. Donc direction le col avec le guide nain.

-Au col du Feu Noir ? Mmmmmh... Pourquoi pas. Il faut bien que j'aille quelque part de toute façon. Je vais vous accompagner mon cher Thorrik Lokrison.

Je vérifiais si j'avais bien tout. Poudre ? Ok. Balle de plomb ? Ok. Armure complète ? Ok. Reste de l'équipement ? C'est bon. C'est parti mon kiki. A l'aventure compagnon ! Je savais le nom du lieu, mais je ne connaissais pas du tout le coin. Mais ce n'est pas grave, de toute façon c'était prévu que je voyage, que je visite les autres régions. Que je me fasse des connaissances, etc. Je garde toujours en tête mon objectif principal, récupérer mon titre ! Et botter l'arrière train du chaos présent au sein de notre grande nation. Mais j'avais tout mon temps pour cela. Je m'étirais de tout mon long sentant quelque os de mon dos craqué par-ci par là avant de prendre une marche tranquille afin de rejoindre le nain. Lorsque j'arrivais à son niveau, je lui posais la question quand même en titre d'information personnelle :


-Qui a-t-il à ce fameux col ?

Ben oui, si déjà j'allais un minimum d'information en plus si le nain y allait c'est pour une raison bien précis je pense. De toute façon quoi qu'il me réponde, je partirais avec lui. J'attendis qu'il prend la marche afin de le suivre tout bêtement et aussi une petite réponse. En tout cas c'était vrai, mon vrai départ, le voilà. Ce n'est qu'un en revoir terre natale. Je reviendrais un jour en ces lieux, mort ou vif.
Modifié en dernier par [MJ] Wargut le 11 mai 2011, 18:39, modifié 1 fois.
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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par [MJ] Wargut »

ImageThorrik :Karz-a-Karak se trouve par-delà les montagnes du Bord du Monde et les montagnes Noires… Et je rentre chez moi, tu pourras découvrir une vrai cité, chose-homme.

  • Quelques kilomètres plus tard...
Von Herr Feers jura et grinça des dents tandis que derrière lui, la voix bourrue poursuivait sa chanson lente, régulière et mélancolique. Du moins, si on pouvait qualifier ce bruit de chanson. Bien sûr, Feers ne comprenait pas les paroles, mais la mélopée ressemblait à un requiem incessant, bourdonnement monotone et sans fin. Quand il lui arrivait de s’arrêter, Feers fermait les yeux et goûtait aux délices du silence. Cela ne durait jamais longtemps.

Ils avaient parcouru des dizaines de kilomètres à pied et il ne savait si son compagnon de voyage recommençait la chanson depuis le début après chacune de ces petites pauses ou si l’insupportable rengaine n’avait réellement pas de fin. Il n’aurait pas été surpris que ce soit effectivement le cas.

Ce n’était pas la seule chose qui tapait sur les nerfs de Feers. Son compagnon semblait incapable de bouger sans alerter la totalité des créatures vivantes dans un rayon de quinze kilomètres. Chacun des pas pesants était rythmé par le bruit sourd de ses bottes cloutées, le tintement du métal et le bruissement des boucles et de la cotte de mailles.

Thorrik mesurait un peu pus d’un mètre vingt, une taille respectable pour ceux de son espèce, et il était presque aussi large que haut. Il pesait probablement deux fois plus lourd qu’un homme adulte, et il fallait y ajouter le poids de sa lourde armure. Une armure de gromril: c’est sous ce nom que Thorrik avait désigné la métal dont elle était composée, et il ne ressemblait à aucune de ceux que le milicien avait déjà vus. Le nain affirmait qu’il était plus solide que l’acier, capable de dévier presque tous les coups, et qu’on l’appelait parfois rocargent ou brisemarteau.

On n’apercevait que les yeux brillants de Thorrik sous son casque intégral. Sa vraie barbe dépassait dessous, cette barbe qui faisait sa fierté et sa joie, masse de poils roux rassemblés en une douzaine de tresses grâce à de fins fils métalliques. Chacune était décorée d’une icône de métal circulaire représentant un visage de nain stylisée. Des divinités ancestrales, ainsi que Feers l’avait appris.

Il n’avait pas la moindre idée de la façon dont le nain arrivait à se déplacer avec une telle armure, sans parler de marcher et de combattre. Et ce n’était pas la seule charge que portait Thorrik: il avait un sac à l’allure pesante sur les épaules, ainsi que la forme mystérieuse enveloppée de cuir imperméabilisé. Son robuste bouclier de gromril était fixé à un de ses bras et il portait sa hache. Une telle masse aurait pesé lourd pour une mule, sans parler d’un homme, mais le nain la portait sans une plainte et semblait capable de marcher facilement toute la journée malgré ce fardeau.

Même si voyager avec ce nain n’était pas de tout repos, une chose était sûre, Thorrik était un très bon combattant et les bandits de grand chemin réfléchiraient à deux fois avant de les attaquer.

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Message par Herr Feers »

Pitié ! Il suffit ! J'en peu plus ! Pourquoi ? ! Pourquoi moi ? ! Qu'ai-je fais de mal ?! Sigmar si tu es là, fait quelque chose ! Enfin, je n'avais pas le choix. Je devais supporter tout cela. Ce bruit qui est un vacarme en fait. Vous savez, imaginez vous un bruit de métal qui grince, tape. En fait non vous prenais un forgeron qui tape sur le fer rouge et que juste à coté il y a un gars garde ivre qui gueule dans son casque des mots que vous ne comprenez pas. Tout cela avec un certain rythme. Essayez de supporter ça pendant... Dix minutes, vous allez voir que vous désirerez vous jetez par la première fenêtre que vous « rencontrerez ». Alors imaginez-moi, avec mon caractère qui supporte cette « mélodie » depuis mon départ, après dix kilomètres de marche. Bizarrement j'avais l'impression qu'on était encore loin. On va dire qu'il y avait, quoi ? Trois ou quatre heures de passé ? Si ce n'est pas plus, bien sûr. En tout cas, là je travaillais une qualité importante, la patience ... Mes nerfs étaient à vif. J'avais presque plus de force dans ma mâchoire pour grincer les dents.

Je marchais légèrement derrière lui et quelques fois, un regard montrant mon état mental, qui veut dire pas beau, se posa sur ce brave nain. Fier compagnon, efficace, pas cher, mais qu'est-ce qu'il était brouillant. Mon dieu. C'était sûr, les animaux sauvages se barrer en courant et notre position était connue de tous. Le côté positif c'était que le nain faisait quand même un peu peur dans son armure, surtout pour ceux qui voudraient lui faire du mal. Mais bon, vous n'imaginez même pas dans quelle condition j'étais. Chaque moment de silence était comme un miracle de Sigmar. Le bruit de pas et de fer cela allait, c'était la combinaison de bruit de marche en plus du chant à moitié étouffé par son casque. Le problème c'est que je ne savais pas si je pouvais me permettre de lui dire de se taire ! Vu l'aide qui m'a donné en plus du jeune père de famille. Je devais endurer cela... Pour l'empire !

J'avoue, j'étais un peu dans mon délire juste avant. Mais là, on peut dire que les impériaux... Ils sont braves, très braves. Il supporte leur allier et hais leur ennemi. Vive l'empire ! Bon, je ne pouvais que fermer les yeux par moment, me les masser doucement avant de prendre une grande respiration. Je devais faire quelque chose avant de cracker. Je le regardais et accélérais doucement mes pas afin de me mettre au même niveau que lui. Je regardais légèrement sur le côté levant mes yeux au ciel comment pour prendre une respiration de calme afin de parler normalement et caché l'état de mes nerfs et je lui dis tranquillement :


-Nous y sommes encore loin de chez vous ?

Je ne pouvais pas m'arrêter à cette simple question, sinon il allait me répondre et rechanter. J'attendis qu'il me répond à ma première question avant de poser la seconde :

-Comment c'est chez vous ? Je veux l'environnement et tout ? Je n'ai jamais quitté ma région ni ma ville en fait, donc je suis bien curieux de savoir où je vais.


Tactique simple mais efficace de commencer une conversation et éviter qu'il chante. Peut être que là-bas ils seront cent nains à chanter comme lui, mais j'y suis pas encore. En même temps, je ne préfère pas imaginer la scène. Bon, sinon je verrais bien ce qu'il me dira, on se partagera quelque information surement sauf s'il est de nature pas trop bavard. De toute façon je n'en savais pas quoi dire, quoi faire, je voulais juste éviter qu'il chante.
Modifié en dernier par [MJ] Wargut le 11 mai 2011, 18:41, modifié 1 fois.
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Message par [MJ] Wargut »

ImageThorrik :Karaz-a-Karak est la plus grande, la plus ancienne et la plus respectée des forteresses naines. Nommée "Pic Eternel" par les hommes, cette fière et vaste cité est la capitale de l'ancien empire de Karak Ankor, maintenant guère plus qu'un souvenir fugace. A l'intérieur des murs de Karaz-a-Karak se trouvent les temples des dieux Grungni, Valaya et Grimnir. Là-bas siège aussi Thorgrim le Rancuiner sur le Trône du Pouvoir, portant constamment sur lui l'ancien Dammaz Grom, ou Livre des Rancunes.
Von Herr Feers détourna son regard du nain et avança vers l’arête rocheuse d’un bon pas. Thorrik ne chantait plus, mais chacun de ses pas était rythmé par un cliquètement métallique. Au loin apparut la chaine de montagnes.

Les montagnes Noires, ces sommets escarpés et inhospitaliers aux falaises à pic, faites de roche dure comme de l’acier, avaient une sinistre réputation. Elles se dressaient, perçant les nuages, même si Feers savait que leurs hauteurs étourdissantes n’arrivaient pas à la cheville des immenses montagnes du Bord du Monde qui les jouxtaient au nord-est. La hauteur de ces montagnes était quasiment inconcevable pour lui.

L’Empire était bordé de montagne sur presque tous les côtés, et Feers savait que ces frontières défensives avaient permis à ses habitants de croître et de prospérer. Les ennemis de l’humanité étaient nombreux et puissants, et sans les immenses montagnes de l’Empire, l’histoire des hommes n’aurait été qu’une simple note de bas de page dans celle des nains, oubliée depuis longtemps.

Un mouvement attira son regard et il s’arrêta, plissant les yeux dans la lumière matinale qui avait finalement réussi à percer les nuages omniprésents.

ImageThorrik :Quoi encore, chose-homme ?
Sans un mot, Feers désigna l’horizon. On apercevait l’avant-garde de l’armée d’état de l’Empire encerclant une zone de bois et de taillis. Les bannières rouges et vertes de l’Hochland flottaient dans la brise fraîche et on entendait le son des tambours dans toute la plaine.

Les soldats marchaient en rythme parfait au son des tambours. Leur longue et mince colonne serpentait dans les taillis le long de la route qui venait de Middenheim. Les régiments des premiers rangs marchaient fièrement, la hallebarde sur l’épaule droite, et bien des soldats portaient de longues plumes noires à leurs casques et à leurs chapeaux, oscillant en rythme avec leur marche à l’unisson.

Le milicien estima qu’environ huit cents hommes étaient déjà en vue, et l’armée d’état continuait à émerger des bois. Aux côtés de la colonne se trouvaient plusieurs contingents de chevaliers sur leurs puissants destriers de guerres caparaçonnés d’armures laquées de noir et de bronze. Les heaumes des chevaliers en armure complète étaient coiffés d’élégants plumets, et au bout de leurs lances étaient suspendus des fanions.

Feers plissa les paupières pour distinguer les détails de leurs bannières: un soleil de bronze sur fond noir, encadré de complexes volutes. Les chevaliers du Soleil ! Il poussa un grognement et fronça les sourcils. C’était là une armée considérable qui semblait faire route vers le col du Feu Noir.

L’un des contingents de chevaliers s’écarta au petit galop de la route pour rejoindre Feers et Thorrik.

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Herr Feers

Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par Herr Feers »

Ahhhhhhhhhh, que dire ? Une journée ensoleillée. Les oiseaux chantaient. Je ne sais pas combien de temps ça fait que je marche. De plus ce n'était pas sur du plat. Ça monté, encore, toujours. Je me demandais quand cela allait arrêter de monter dit donc. Je ne savais pas vraiment où nous étions exactement, mais je savais où j'allais. Direction à une vieille forteresse naine. Il avait du vécu et une sacrée histoire. Bon quelque chose je fis réfléchir. Regardez juste le nom des personnes se trouvant là-bas. Thorgrim le Rancunier avec son livre des rancunes. Je ne sais pas pour vous, mais moi, mais est-ce que cela serait un très de son caractère ? Un nom comme ça, ça doit bien avoir un sens et toucher cette personne avec un quelconque rapport. Enfin voilà. Sacrée montagne quand même. Une frontière naturelle assez impressionnant par sa hauteur et son accès plus ou moins ... Difficile. Ça ne m'étonne pas que l'empire a su se développer. Déjà les ennemis devaient se payer la route et encore il fallait avoir le courage pour ça. Après, il fallait descendre des montagnes et en bas une armée de garde qui leur fonçait dessus. Ouais, très bonne position géographique dans notre monde. On a bien géré, il faut l'avouer.

Enfin, nous voilà non loin d'ici une... armée ? Bon rassurant, c'était le drapeau de chez moi, donc des bons gars de chez nous. Mais... Il y avait des éléments dans cette armée qui faisait que... Il y avait quelque chose qui clochait. Déjà le nombre, c'est une belle mobilisation j'avoue. Mais il y avait la présence de ces chevaliers. Les chevaliers du Soleil... Aïe, Aïe, Aïe ... Ceux-là, on ne les bougeait pas juste pour faire de l'exercice. De plus ils allaient dans la même direction que le nain et moi-même. Par pitié, ne me dites pas qu'il y a un problème sur ma route ! Eh ben s'il y avait surement un problème, sinon ces gars-là ne serait pas là. Alors que mon compagnon et moi-même étions en train de regarder ce « spectacle » un des chevaliers quitta les rangs et alla vers nous.

Je me frottais légèrement le visage. Je laissais échappé un petit soupire m'attendant à une bonne surprise. Une légère brise rafraichissante se glissa sur mon visage faisant lever légèrement mes cheveux. Le fier chevalier s'arrêta devant nous. On avait l'impression qu'il était un véritable colosse le gars avec un charme de fer si on peut dire. Enfin bon... faites le descendre de son cheval et enlever lui son armure et il était beaucoup moins impressionnant, en tout cas je pense. Je levais légèrement ma main droite jusqu'au niveau de ma tête comme salut. Je posais mon regard sur lui avant lui dire d'un ton, neutre :

-Salutation chevalier. Je me nomme Feers de la famille Von Herr et voici *montrant le nain* mon compagnon Thorrik Lokrison.

On se présente vite fait pour montrer qu'on est poli, gentil, etc. Bon je n'avais pas le courage de sortir le nom complet du nom avec ses fonctions, clan etc. Enfin, nous allons aller dans le vif du sujet. Je levais un sourcil vers le haut en gardant un regard sérieux mais légèrement interrogateur :

-Que fait donc les chevaliers du soleil et tous ces hommes ici ?

J'allais directe dans le but moi. J'étais un peu curieux, mais là, ils allaient quand même vers la même direction que moi. Il y avait surement quelque chose. Je gardais un oeil sur le nain. On ne sait jamais de sa réaction en voyant tous ces hommes allaient vers chez lui. J'attendis avec empressement la réponse de ce chevalier afin qui éclaire mes lanternes. J'espère juste qu'il ne me dira pas : « Circuler il n'y a rien à voir ». Puisque là... je ne sais pas encore j'allais réagir. Mais j'allais vers là-bas et j'irais vers là-bas.
Modifié en dernier par [MJ] Wargut le 14 mai 2011, 11:02, modifié 1 fois.
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