Averheim, capitale de l'Averland
Modérateur : Equipe MJ
- Je crains que vous ne vous trompiez pas monsieur. A moins que l'on lui ai demandé d'infiltrer ces cultistes, je ne vous aucune raison de sa présence dans ce complot.
Dit Zeï malgré le fait que le Vétéran serait plus inclin à ne pas le croire
- De plus cet individu avait semblé devenir fou et sanguinaire lorsqu'il m'a affronté. Je ne suis guère un menteur, ce serait une honte pour moi. Je vous rapporte ce que j'ai vu et mes conclusions.
Dit Zeï malgré le fait que le Vétéran serait plus inclin à ne pas le croire
- De plus cet individu avait semblé devenir fou et sanguinaire lorsqu'il m'a affronté. Je ne suis guère un menteur, ce serait une honte pour moi. Je vous rapporte ce que j'ai vu et mes conclusions.
Le Vétéran Hildric Wilmer joignit ses mains:
Et bien. Si ces accusations sont fondées, ceci est un grave délit qui relève des répurgateurs. Mais nous n'avons pas de preuves tangibles, c'est pourquoi je ne peux rien faire pour vous, pour le moment bien sûr. Amenez moi des preuves, et nous démasquerons tout cela, même si je suis encore perplexe à l'idée que Jascha soit un cultiste...
Rompez milicien.
Il leur fit signe de partir, remettant ses lunettes et replongeant dans ses missives et autres recommandations...
Et bien. Si ces accusations sont fondées, ceci est un grave délit qui relève des répurgateurs. Mais nous n'avons pas de preuves tangibles, c'est pourquoi je ne peux rien faire pour vous, pour le moment bien sûr. Amenez moi des preuves, et nous démasquerons tout cela, même si je suis encore perplexe à l'idée que Jascha soit un cultiste...
Rompez milicien.
Il leur fit signe de partir, remettant ses lunettes et replongeant dans ses missives et autres recommandations...
Jimmy n'était sur de rien...il ne connaissait pas Streissen, cela pouvait-être une petite bourgade servant de quartier général aux cultistes. Mais cela encore ne l'inquiétait pas plus que cela, l'important était que Zeï avait déjà rencontré l'un d'eux et que ce dernier ne manquerait sans doute pas de le reconnaître. Mieux valait avoir avec soi des documents expliquant notre présence là-bas. Jimmy fit part de ses réflexions à Zeï. Il demanda au vétéran :
"Pourrions-nous éventuellement avoir des accréditation écrite de notre présence à Streissen? Nous ne voudrions pas attirer l'attention. Un ordre de mission, concernant n'importe quelle affaire mineure, signée par l'armée nous permettrais de justifier notre présence dans la ville et faciliterais la recherche de preuves."
"Pourrions-nous éventuellement avoir des accréditation écrite de notre présence à Streissen? Nous ne voudrions pas attirer l'attention. Un ordre de mission, concernant n'importe quelle affaire mineure, signée par l'armée nous permettrais de justifier notre présence dans la ville et faciliterais la recherche de preuves."
Le vétéran releva une nouvelle fois la tête pour répondre au petit homme:
Je vais vous signer un ordre de mission.
Il prit un papier et écrivit (en demandant au passage les fonctions et le nom de l'halfling), avant d'imposer son sceau.
Vous êtes en mission de surveillance à Streissen. Des hommes-bêtes ont été aperçus dans la forêt adjacente, d'où votre présence de défense.
Tenez.
Il tendit deux papiers, un pour chaque milicien:
Il les fit sortir et ferma la porte...
Je vais vous signer un ordre de mission.
Il prit un papier et écrivit (en demandant au passage les fonctions et le nom de l'halfling), avant d'imposer son sceau.
Vous êtes en mission de surveillance à Streissen. Des hommes-bêtes ont été aperçus dans la forêt adjacente, d'où votre présence de défense.
Tenez.
Il tendit deux papiers, un pour chaque milicien:
Rompez maintenant, j'ai du travail.Je, soussigné Vétéran Hildric Wilmer,
Envoie les deux miliciens possesseurs de ces lettres, Zeïp Shi Shang Ling Teïp et Jimmy R'gard de Braise, dans la localité de Streissen afin de surveiller la forêt ouest du village. Cas d'hommes-bêtes repérés, nous avons la situation en main, il n'y a pas de quoi paniquer.
Pour Sigmar
Vétéran Hildric Wilmer
Il les fit sortir et ferma la porte...
Ça y est, Jimmy était prêt à partir avec Zeï.... Il ne manquait juste que le nécessaire pour se rendre à Streissen. Mais Jimmy ignorait la route à prendre ni le temps nécessaire pour s'y rendre ou même le moyen de transport utilisable. Il aurait bien demandé au vétéran, mais c'était la deuxième fois qu'il se disait avoir du travail. Une demande de plus aurait pu l'exaspérer et Jimmy ne voulais pas se retrouver en mauvais termes avec le vétéran. Il demanda donc à Zeï suffisamment fort pour que le vétéran entende, espérant qu'il leur apporterait l'information sans avoir eu l'impression d'être dérangé volontairement.