La triste réalité....

[MJ] Longrange · Message par **[MJ] Longrange** » 16 juil. 2010, 23:12

Le capitaine donna rapidement l'épée à Lael avant d'envoyer l'elfe dans le rang. Deja bien clairsemer par l'attaque des hommes-bêtes.

Sur les 16 gardes qui formaient l'escorte, il n'en restait que 8 en état de combattre, et encore, certains souffraient de blessures mineurs qu'ils épongeaient à coup de bandages.

"- Capitaine, nous avons des blessés. Certains ne sont plus en état de marcher ... "

"- La prochaine ville avant Nuln n'est plus trés loin, charger les dans les chariots et avancez "

La compagnie reprit donc péniblement sa route et tandis que le jeune érudit était plus malaise que jamais avec ces hommes mourant dans le chariot.

Une première pause fut prise, et alors que la nuit s'avançait comme les hommes sur ce chemin, tous fatigué en attendant la halte salvatrice. Mais le capitaine semblait déterminé à leur faire faire une marche forcé pour de bon .

Quoi qu'il en était. Il demeurait impossible pour Lael de suivre ce rythme beaucoup plus longtemps. Ils avaient marché tout le jour, et il sortait lui aussi de convalescence.

Pourtant ses sens l'alarmaient, il ne put s'empêcher de remarquer ces bruissements étranges dans les buissons, et ils étaient trop élève pour n'être que de simples animaux de la foret. Il le savait.

Message par **Laël** » 21 juil. 2010, 14:37

(Pensées) Hum... c'est bruit ne sont pas rassurent, je doit en parler au capitaine, mais me croira t-il? Bon de toute manière je doit le prévenir pour que la compagnie ne soit pas prise par surprise.

Capitaine! J'entend des mouvements dans les buissons, tout autour de nous, mais ce ne sont pas des animaux, j'en suis certain. Il faut être sur nos garde car ces bêtes pourrait bien revenir pour nous tendre une embuscade, car elle ne nous ont pas eu la première fois.
Laël ce mis sur ces gardes en empoigna bien fort son épée et en écoutant et observant tout mouvement pour être près à esquiver toute attaque surprises.

Mon capitaine! nous devrions, peut être, abandonner la charrette car elle fais du bruit et ralentir le pas car nous sommes facilement repérable par les habitant de ces bois. Laisons la ici et prenons ce que nous pouvons transporter et ce qui nous sera utile.
Laël en avait marre de marcher si vite, il aurez voulut s'arrêter un peu pour se reposer un peu, mais cela est impossible dans ces bois et il le sait bien.

[MJ] Longrange · Message par **[MJ] Longrange** » 25 juil. 2010, 14:18

Le capitaine réfléchit à sa proposition, la charrette transportait juste des objets pour l'université de nuln en plus de la cage qui contenait Lael. Il pourrait aisément prendre les vivres et laissé ce qui n'était pas nécessaire ici.

"- Oui bonne idée. Laissez ca, on avancera en marche forcé pour sortir de ce bois avant la nuit. et laissez les blessés derrière ! En avant ! "

Avec une voix autoritaire, le capitaine laissa ce qui ne pouvait plus marcher derrière eux. Des voix de protestations se levèrent, et l'érudit parut choqué, mais personne n'osait s'opposer au commandant, il était visiblement un homme respecté en toute circonstance.

Il avait laissez le reste de la compagnie depuis moins d'un heure, et deja le groupe se comptant sur les doigts d'une main courait pour atteindre la sortie des bois.
" Allez allez avancez ! Plus vite. !

Lael affaiblit par son état ainsi que l'érudit et deux blessés semblaient avoir du mal à suivre le rythme, mais Lael entendait des bruits provenant de derrière eux. Les bêtes seraient sur eux ...

Message par **Laël** » 25 juil. 2010, 20:28

Laël courait, mais il savait qu'il ne serait surement pas le plus endurant.
(Pensées) je me demande combien de bêtes sont derrière nous, si elles sont peu nombreuses ont pourraient s'arrêter et les attendre embusqué. Mais cela nous ferraient perdre du temps dans ces bois. je doit tenter de savoir combien ils sont au bruit qu'ils font dans leur mouvement.
Capitaine, les bêtes sont derrière nous. J'essaye de savoir combien ils sont a leur bruit. Une fois que j'aurai un nombre, ou rien du tout, je vous en ferrait par et si ils ne sont pas aussi nombreux que nous, nous devrions nous arrêter et les combattre. Cela nous laissera un peu de répit pour reprendre notre souffle, car l'érudit et les soldat on l'air épuisaient et si nous continuons comme ça, vous serait bientôt le seul à courir dans ces bois jusqu'au moment ou une harde de ces bête vous tomberas dessus. Mais si les bêtes sont trop nombreuse, nous devrions poursuivre notre course jusqu'à sortir de ces lieux. D'après vous, à quelle distance somme nous de la lisière?
Laël continu de courir, même a bout de souffle. Il repense a sa famille et cela lui redonne force et courage pour tenir un peu plus dans ce mouvement rapide.

Message par **[MJ] Sireus** » 27 juil. 2010, 18:01

"Tu n'as pas l'air de bien connaitre les hommes-bêtes, si ils nous suivent c'est qu'ils sont plus nombreux, il faut atteindre les montagnes, si on s'attarde ici, on est mort, nous ne sommes plus qu'a quelques kilomètres des contreforts !" vociféra le capitaine.
Ses troupes, même a bout de force se surpassèrent, tous semblaient être prêts a suivre cet homme jusqu'à la mort, il est vrai que le capitaine est impressionnant, mesurant plus de deux mètres et laissant apparaitre une impressionnante musculature, ses cheveux longs volant au vent, une imposante épée a la main. Il semblait ne ressentir nulle fatigue, il contrastait avec ses hommes, apparaissant comme un demi-dieux parmi ces simples soldats. Le "civil" au contraire semblait prêt a succomber a la fatigue, il était clair qu'il avait passer le gros de sa vie enfermer dans une bibliothèque a étudier, ses forces commençaient a l'abandonner.

Ils arrivèrent dans une sorte de clairière, de gigantesques troncs gisaient en travers. Une pluie de projectiles s'abattirent sur les hommes, désemparés, le supplice de l'érudit fut brutalement interrompu, son crane fendu en deux par une hache primitive, deux autres hommes furent touchés mais leurs chemises de maille les sauvèrent.
"A couvert !! Prenez position, on va se les faire ces ******** !! Arbalétriers feu ! Les autres préparez vous a tenir la position! Oreilles pointues, c'est le moment de prouver ce que tu vaux" Le capitaine semblait hors de lui et se jeta par dessus un tronc immédiatement imité par ses soldats et Lael.
Une vingtaine de créatures mi-hommes mi-bêtes sortirent des buissons et chargèrent a travers la clairière, deux carreaux fusèrent, le mécanisme de la troisième arbalète s'étant bloqué. Un ungor hurla frappé a la jambe, le second carreau se perdant dans la nature.
Il restait une trentaine de mètres a parcourir aux poursuivants.
"Cueillez les quand ils seront sur vous, que Sigmar nous garde ! L'Elfe, reste prêt de moi!"

Défenseurs défendent couvert, avantage initiative, les arbalétriers rechargent leurs armes, l'arbalète défectueuse est réparée. Des haches volent, les hommes se baissent et les évites.
15 m.....
Ils tirent, deux carreaux trouvent leurs cibles sans parvenir a les tuer. Les tireurs laissent tomber leurs arbalètes et sortent leurs épées.
5m.....

Le combat fut court et sanglant, les monstres se ruèrent en hurlant sur la mince ligne défensive impériale, ceux ci abaissèrent leurs hallebardes au dernier moment, empalant littéralement la première ligne des hommes-bêtes. Un hallebardier maladroit trébucha pour se ficher sur la lance d'un Ungor. Un violent corp-a-corp s'en suivit, la faiblesse au combat des Ungor compensée par la brutalité des Gors et du Chef de la troupe. Finalement le capitaine se trouva face au dirigeant des assaillants dans ce qui allait décider de l'issue, le combat était mal engager pour le capitaine qui laissa tomber son épée bâtarde dés le début de l'affrontement, il esquiva d'un geste rapide la massive hache de son adversaire et d'un geste trop rapide pour l'œil sortit son épée de garde de son fourreau et transperça son adversaire de part en part. Pendant ce temps Lael s'était retrouver face a un massif Gor qui para la frêle épée de l'Elfe aisément avant de décrire un grand cercle de sa hache, la vivacité de L'Elfe lui permit d'interposer son épée mais le coup était trop puissant et celle-ci se brisa, la hache entailla profondément le flanc droit de Lael qui fut projeté en arrière. Le gor bondit sur le tronc, se préparant a achever son adversaire impuissant quand il fut stoppé net dans sa course, une lame émergeant de son front dans une gerbe de sang qui éclaboussa l'Elfe blessé, devant a mort de la majorité de leurs effectifs, les hommes-bêtes détalèrent. Les soldats restants étaient tous plus ou moins bléssés.
"Pas le temps de feter la victoire" hurla le capitaine en relevant Lael.
D'autres cris se firent entendre dans la forêt.
"C'était la première vague !! On met les bouts, on y est presque !!"
Les survivants coururent vers les montagnes toutes proches.

Lael et les hommes coururent plus vite qu'ils ne l'auraient cru possible, couvrant les quelques centaines de mètres vers la sortie de la forêt en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, derrière eux des dizaines d'autres assaillants se massaient, les impériaux mentirent sur less flanc d'une montagne, les hommes bêtes se stoppèrent a la lisière, hurlant des cris de rage et des provocations.

Âpres une demi-douzaine d'heures de marche dans des montagnes de plus en plus hautes. Le capitaine donna enfin l'ordre de stopper la marche.
"Montons un bivouac et discutons de la suite des évènements, ce montagnes sont presque pires que les bois, vous connaissez les légendes aussi bien que moi, nous avons plusieurs solutions, soit on retourne dans l'empire par la forêt et on y reste tous, soit on affronte ces cols et on tente de rejoindre la Bretonnie, on pourra aller a Aldorf par un col sécurisé, mais ca va nous prendre des mois, de toute manière, officiellement on est tous mort . Toi l'Elfe, tu es libre, ton propriétaire est mort, tu as ton mot a dire, tu t'es bien battu mais il te reste encore deux trois trucs a apprendre sur la guerre. Alors messieurs, que faisons nous?"

Message par **Laël** » 30 juil. 2010, 21:30

Laël écouté ce que disait le capitaine et s'arrêta sur ce qui le concerné.
Quoi! On m'avait vendu tel un objet à quelqu'un! De toute manière je suis libre et c'est tous ce qui compte. Ces montagne on l'air inquiétante à parement, je vais essayer d'en apprendre un peu plus sur ces lieux.
Laël fit un signe de la tête en guise de remerciement, tout en disant ces mots:
Merci mon capitaine, de me laisser libre! J'ai quelques questions. D'abord, qui c'est a peu prêt donner des soin pour les blesser. car si nous sommes blesser nous ne survivrons guère longtemps dans ces lieux pour le moins hostile. Et ensuite, quel sont ces rumeur ou fait sur ces lieux?
Laël regarder tout ces interlocuteur pour savoir qui allait lui donner un réponse. On pouvait voir sur le vissage de ces homme qu'ils étaient soulager de ne plus être dans la forêt, poursuivit par les hommes bêtes, ils étaient fatiguer du combat et de la course a travers les bois. Pour finir ces yeux se posèrent sur sa plaie qui lui fessait tout de même mal.

Message par **[MJ] Sireus** » 08 août 2010, 19:02

Le capitaine pris quelques instants pour ordonner sa réponse puis répondit d'une voix calme : "Ces montagnes sont hantées selon la rumeur, sans parler des Orques et gobelins qui y rodent sans doute seul impossible de rester en vie, pour le médecin tu peux réver, Karl sait rafistoler vite fait mais ce n'est pas un médecin a proprement parler " il adressa un clin d'œil a un de ses hommes, petit et basané qui grogna "Moi et mes hommes on va aller de l'avant et rejoindre la Bretonnie, j'ai pas été soldat pendant quinze ans pour crever dans ces montagnes de merdes. Soldats ! Préparez vous a avancer, il y a une bonne dizaine de col a passer avant de quitter ces lieux, en avant, ca va nous prendre des jours, on a peu de nourriture et la discrétion sera notre ticket de sortie. L'Elfle tu fais ce que tu veux, mais si tu nous accompagne tu vas devoir te plier a nos règles et pas nous ralentir. En route !"
Le capitaine et ses troupes se mirent en route comme un seul homme.

Message par **Laël** » 15 août 2010, 19:56

Laël vit que ces soldats était lié à leur capitaine, et qu'il n'allait pas faire changé les choses.

Bien! je vous suivrai, car je ne connait pas ces montagnes et je n'est nullement envie d'y rester.
Laël esquissa un hochement de tête en prononçant ces paroles, ce leva et suivit le mouvement pour ne pas rester seul ici.

(Pensées) J'espère que l'on vas vite arriver en Bretonnie et que le voyage ne sera ni trop pénible ni trop agité par je ne sait quoi.
Pardonnez moi mon capitaine! Mais combien de temps pensez vous que notre voyage jusqu'en Bretonie vas prendre? Et aussi, tout à l'heure vous ne m'avait pas dit par quel mal ces montagnes était hantées.
(Pensées) J'espère juste que cela ne soit que des racontars et que cela ne soit pas si terrible que ça, comme j'espère aussi ne pas rencontrer d'orques ou de gobelins.

Message par **[MJ] Sireus** » 21 août 2010, 21:44

Le capitaine toisa Lael, il avait l'air inquiet, il toussa puis dit d'une voix grave"Hanté si tu veux, dangereuses c'est certain, sinon je ne sais pas, une ou deux semaines, dans le meilleur des cas, on a une dizaine de col a passer au bas mot, ca risque d'être long."

Le capitaine passa en revu ses troupes, les hommes s'occupaient du mieux qu'ils le pouvaient, les uns bandaient leurs blessures, d'autres affutaient leurs armes, chargeaient leurs arbalètes, quelques uns se reposaient.
"Mettons nous en route, soldat, il va falloir rejoindre cette montagne la bas, trouver a manger et a boire, on montera un bivouac pour la nuit, que Sigmar nous garde, nos chances de survie sont minces."
Le petit groupe se mis ainsi en route vers l'inconnu. Un magnifique panorama s'offrait a eux bien qu'aucun ne soit rassurer a la vue d'un pareil obstacle.

La montagne devait bien faire trois ou quatre mille mètres, peut être plus. Aucun n'avait de vêtements chaud, cette épreuve risquait d'être épouvantable.
Marchant des heures durant sur un terrain accidenté, Lael commençait a souffrir de ces conditions de vie, il faisait froid, il souffrait, il avait peur, l'ambiance était lugubre, terrifiante, il avait parfois l'impression de voir des silhouettes bouger dans la neige ou sur les parois. De temps en temps, il croyait entendre des hurlements résonner dans la vallée.

Au crépuscule ils arrivèrent devant l'immense parois rocheuse, l'ascension prendrait des heures, une grotte béante s'ouvrait, il était impossible de savoir ce qui s'y cachait, néanmoins, si elle donnait quelque part ca ferait peut être un très bon raccourcit. Le soir, le capitaine, Sigmund de son vrai nom hésitait, finalement il s'adressa a la troupe :" On fait quoi, je ne sais pas personnellement, je propose un vote, la grotte ou l'escalade, messieurs vous avez une heure"

Message par **Laël** » 22 août 2010, 09:43

(Pensées) Hum... bon je n'est pas beaucoup de temps pour réfléchir alors je m'y attèle tout de suite. Il est vrai que ce dilemme est assez embêtant. Pesons le pour et le contre: alors tout d'abord si nous escaladons, cela nous prendra beaucoup de temps et donc plus de chance de faire une mauvaise rencontre mais nous le faisons de jour donc les mauvais rencontre il n'y en aurai pas tellement, les condition de vie seront dure et nous serions tous affaiblie.Par la grotte maintenant, les condition de vie seront meilleure et ont prendrai moins de temps, mais nous pourrions faire une voir des mauvaise rencontre, et cette grotte ne se termine peut être pas donc cela prendrais en fin de compte autant de temps voir plus que l'escalade. On a ce stade un pour et deux contre l'escalade et, deux pour et deux contre la grotte. Il est vraie que le choix et dur mais la grotte et le choix le moins risquer pour notre santé et un choix ou nous pourrions allez vite. Il faut juste espérez a ne pas faire de mauvaise rencontre.
Pendant ce temps de réflexion, Laël avait eu un comportement étrange sans s'en rendre compte. Il s'était assis sur un rocher et s'en relever presque tout de suite après. et ça plusieurs fois. Il avait tourner en rond sans s'arrêter et il fessait des geste avec ses bras quelque peu bizarres. Il était très concentrer à choisir une décision, tellement concentré qu'il ne vit pas l'heure s'écouler.
Laël attendait maintenant que le capitaine demande a ces troupes le choix qu'elles ont faite, pour répondre à sont tour qu'il voulait passer par la grotte.

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