La triste réalité....
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Re: La triste réalité....
Une heure passa, finalement le capitaine se leva "J'espère que vos choix sont faits, ceux qui veulent grimper à ma droite, ceux qui sont pour la grotte, a gauche"
Les hommes hésitèrent, le temps se figea, un des hallebardiers fit un pas en avant, se racla la gorge puis se mit a la droite du capitaine. Un à un, chacun fit son choix, finalement ils firent tous leurs choix, il ne restait que Lael, il y avait deux groupes, le capitaine et trois de ses hommes étaient à droite, quatre autres à gauche. Le choix de l'Elfe serait déterminant, son choix serait celui de tous, il pouvait sentir tout les regards portés sur lui, celui du capitaine le transperça comme une dague. Il prit son courage a deux mains et se place a gauche.
"Bien, nous sommes d'accord, on prend la grotte, Hans, Karl ! Vous partez en éclaireurs! Vous revenez dans vingts minutes, au moindre obstacle, vous rebroussez chemin, ne prenez pas de risques", les deux hommes acquiescèrent. Allumant des torches, ils s'enfoncèrent dans les ténèbres. Vingts minutes passèrent, puis une heure, deux, le crépuscule approchait, les soldats ne revenaient pas. Un hurlement résonna dans les montagnes, repris en cœur par des centaines de voix. Dans la vallée, une véritable marée verte courrait, implacable, ils n'avaient aucune chances.
"Des orques chef, des centaines !!" bafouilla un arbalétrier paniqué.
"J'ai vu soldat, on n'a plus le choix désormais. Soldats !! Derrière moi, on avance vite, on ne perd pas de temps, ceci sera peut être notre dernière journée sur cette terre, trop tard pour les regrets, si nous devons mourir, faisons le avec gloire et honneur!"
Le capitaine était terrifiant, il ne montrait aucune marque de peur, il semblait prêt a se battre seul contre cette horde, il fit craquer sa nuque, pris une torche qu'il alluma en hâte avant de se lancer dans les ténèbres.
Lael suivit, terrifié, si la grotte était sans issue, ils seraient mis en pièces. Le groupe, amputé de deux membres s'enfonça dans l'obscure caverne, celle-ci semblait ne jamais se terminer, ils marchèrent longtemps, très longtemps. La paroi de roche brute faisant place à un formidable mur de pierre incrusté de symboles d'une langue désormais oubliée. Les hommes étaient mort de peurs, certains peinaient à avancer, ca ne devait être qu'une simple mission d'escorte et voila qu'ils pénétraient au cœur d'une montagne, traqués pas des hordes d'orques, plongeant dans l'inconnu. L'air se faisait de plus en plus sec, le froid intense, la respiration saccadée des hommes soulevant des nuages de brume.
Ils arrivent dans une vaste salle, des dizaines de piliers soutenaient un lourd plafond, toute la montagne se trouvait au dessus d'eux, un hurlement étouffé se fit entendre, les orques arrivaient... La salle était immense, on ne pouvait en apercevoir les murs. L'atmosphère était terrifiante, le groupe avança, une lueur s'éleva au fond de la pièce, peut être une sortie, un éspoir illuminant les lieux d'une pale et spectrale lumière. Un craquement sourd. Tout le monde tente de s'abriter, un mouvement sur la droite, un homme pousse un couinement de terreur. Une forme massive s'avance, sentinelle implacable de ces lieux oubliés, elle ressemble a un squelette, mais ses proportions sont absurdes, il mesure au moins trois mètres, manie d'une main un hachoir démesuré, son autre main est telle une serre, il toise les hommes de ses deux orbites mortes.
"On se disperse" hurla le capitaine, prenant Lael d'un bras et le trainant a l'abri d'un pilier lui glisse à l'oreille, "Petit, on ne peut pas lutter contre ca, on fonce vers la sortie, il retiendra peut être les orques"
Un soldat hurla, il courrait poursuivit par la bête, il l'attirait loin.
"Prêt petit? Tu me dis si tu veux tenter quelque chose de stupide."
Les hommes hésitèrent, le temps se figea, un des hallebardiers fit un pas en avant, se racla la gorge puis se mit a la droite du capitaine. Un à un, chacun fit son choix, finalement ils firent tous leurs choix, il ne restait que Lael, il y avait deux groupes, le capitaine et trois de ses hommes étaient à droite, quatre autres à gauche. Le choix de l'Elfe serait déterminant, son choix serait celui de tous, il pouvait sentir tout les regards portés sur lui, celui du capitaine le transperça comme une dague. Il prit son courage a deux mains et se place a gauche.
"Bien, nous sommes d'accord, on prend la grotte, Hans, Karl ! Vous partez en éclaireurs! Vous revenez dans vingts minutes, au moindre obstacle, vous rebroussez chemin, ne prenez pas de risques", les deux hommes acquiescèrent. Allumant des torches, ils s'enfoncèrent dans les ténèbres. Vingts minutes passèrent, puis une heure, deux, le crépuscule approchait, les soldats ne revenaient pas. Un hurlement résonna dans les montagnes, repris en cœur par des centaines de voix. Dans la vallée, une véritable marée verte courrait, implacable, ils n'avaient aucune chances.
"Des orques chef, des centaines !!" bafouilla un arbalétrier paniqué.
"J'ai vu soldat, on n'a plus le choix désormais. Soldats !! Derrière moi, on avance vite, on ne perd pas de temps, ceci sera peut être notre dernière journée sur cette terre, trop tard pour les regrets, si nous devons mourir, faisons le avec gloire et honneur!"
Le capitaine était terrifiant, il ne montrait aucune marque de peur, il semblait prêt a se battre seul contre cette horde, il fit craquer sa nuque, pris une torche qu'il alluma en hâte avant de se lancer dans les ténèbres.
Lael suivit, terrifié, si la grotte était sans issue, ils seraient mis en pièces. Le groupe, amputé de deux membres s'enfonça dans l'obscure caverne, celle-ci semblait ne jamais se terminer, ils marchèrent longtemps, très longtemps. La paroi de roche brute faisant place à un formidable mur de pierre incrusté de symboles d'une langue désormais oubliée. Les hommes étaient mort de peurs, certains peinaient à avancer, ca ne devait être qu'une simple mission d'escorte et voila qu'ils pénétraient au cœur d'une montagne, traqués pas des hordes d'orques, plongeant dans l'inconnu. L'air se faisait de plus en plus sec, le froid intense, la respiration saccadée des hommes soulevant des nuages de brume.
Ils arrivent dans une vaste salle, des dizaines de piliers soutenaient un lourd plafond, toute la montagne se trouvait au dessus d'eux, un hurlement étouffé se fit entendre, les orques arrivaient... La salle était immense, on ne pouvait en apercevoir les murs. L'atmosphère était terrifiante, le groupe avança, une lueur s'éleva au fond de la pièce, peut être une sortie, un éspoir illuminant les lieux d'une pale et spectrale lumière. Un craquement sourd. Tout le monde tente de s'abriter, un mouvement sur la droite, un homme pousse un couinement de terreur. Une forme massive s'avance, sentinelle implacable de ces lieux oubliés, elle ressemble a un squelette, mais ses proportions sont absurdes, il mesure au moins trois mètres, manie d'une main un hachoir démesuré, son autre main est telle une serre, il toise les hommes de ses deux orbites mortes.
"On se disperse" hurla le capitaine, prenant Lael d'un bras et le trainant a l'abri d'un pilier lui glisse à l'oreille, "Petit, on ne peut pas lutter contre ca, on fonce vers la sortie, il retiendra peut être les orques"
Un soldat hurla, il courrait poursuivit par la bête, il l'attirait loin.
"Prêt petit? Tu me dis si tu veux tenter quelque chose de stupide."
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Re: La triste réalité....
À cet instant là, Laël ne réalisé pas trop se qui se passé. Il regarda la bête, il était terrifié est sentait la mort le caresser. Il tourna la tête vers le capitaine est hocha, signe de dire "je vous suis". Laël se croyait perdue et il sentit que de toute manière il ne fallait pas réfléchir mais agir.
(pensées) mais pourquoi je suis sortie de ma forêt. Je ne pourrait jamais vengée mes aïeux, de toute façons je ne sait rien de ce qui s'est vraiment passé cette nuit là. Si j'arrive a m'en tir vivant je serai déjà très heureux. alors il faut foncé! Allé! Qui ne tente rien na rien!
Laël regarda le capitaine et lui dit: Je suis prêt n'hésitons pas, je vous suis! Mais il faut foncé et ne pas s'arrêter avant d'être sortie, saint et sauf! Et vos hommes qu'en faite vous, on les préviens ou pas?
Laël attrapa le bras du capitaine le regarda droits dans les yeux avant de fermé les sien pour se souvenir de ses aïeux avant de partir.
(pensées) Père, mère protégez moi!
(pensées) mais pourquoi je suis sortie de ma forêt. Je ne pourrait jamais vengée mes aïeux, de toute façons je ne sait rien de ce qui s'est vraiment passé cette nuit là. Si j'arrive a m'en tir vivant je serai déjà très heureux. alors il faut foncé! Allé! Qui ne tente rien na rien!
Laël regarda le capitaine et lui dit: Je suis prêt n'hésitons pas, je vous suis! Mais il faut foncé et ne pas s'arrêter avant d'être sortie, saint et sauf! Et vos hommes qu'en faite vous, on les préviens ou pas?
Laël attrapa le bras du capitaine le regarda droits dans les yeux avant de fermé les sien pour se souvenir de ses aïeux avant de partir.
(pensées) Père, mère protégez moi!
- [MJ] Sireus
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Re: La triste réalité....
Le capitaine se précipita vers la lueur "Soldat, tous vers la lumière ! Bougez vous!"
Touts les hommes se mirent à courir aussi vite qu'ils le pouvaient, la lueur était à une centaine de mètres, les hurlements des Orques se faisaient de plus en plus proches, Lael ne pouvait voir les hommes, un d'entre eux hurla à la mort, il avait été rattrapé, quelques instants plus tard, le lourd pas du squelette se faisait de nouveau entendre, il approchait. Après d'interminables secondes, Lael finit par arriver au niveau de la lueur, elle provenait d'une autre caverne, éclairée de l'intérieur, il se précipita à l'intérieur, suivit des survivants du groupe.
Un éclair bleu puis le néant... Lael était au coté du capitaine et des quatre hommes survivants, les lieux étaient légèrement éclairés, d'un éclat diffus, mi-vert mi-bleu, il faisait plus froid que dans la pièce précédente, ils devaient être là depuis des heures mais rien ne les avait suivit, une route pavée continuait devant eux dans la caverne, débouchant on se sait où.
Touts les hommes se mirent à courir aussi vite qu'ils le pouvaient, la lueur était à une centaine de mètres, les hurlements des Orques se faisaient de plus en plus proches, Lael ne pouvait voir les hommes, un d'entre eux hurla à la mort, il avait été rattrapé, quelques instants plus tard, le lourd pas du squelette se faisait de nouveau entendre, il approchait. Après d'interminables secondes, Lael finit par arriver au niveau de la lueur, elle provenait d'une autre caverne, éclairée de l'intérieur, il se précipita à l'intérieur, suivit des survivants du groupe.
Un éclair bleu puis le néant... Lael était au coté du capitaine et des quatre hommes survivants, les lieux étaient légèrement éclairés, d'un éclat diffus, mi-vert mi-bleu, il faisait plus froid que dans la pièce précédente, ils devaient être là depuis des heures mais rien ne les avait suivit, une route pavée continuait devant eux dans la caverne, débouchant on se sait où.
- Laël
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Re: La triste réalité....
Laël regarde attentivement le chemin devant eux, peut être qu'avec sa vision plus performante que les hommes il pourrait voir ou cela débouche et si il y a des ennemis dans cette caverne.
Laël fronce un peu les sourcils en pensant que cela aller l'aider à mieux voir.
Puis il demande à tout les autres:Chut!!! ne fait plus de bruit. je vais essayé d'écouter voir si il y a quelque chose de vivant dans les environs.
Laël tourna la tête pour dirigé ses oreilles vers les directions où il veut écouter.
Hum... je ne sait pas ou cela va déboucher mais je ne suis pas rassurez par cette lumière. Mais bon elle me permet de mieux distinguer cette caverne que si on était dans le noir total.
Une fois qu'il a regarder dans la caverne et essayer d'écouter les présences alentours Laël en fait part au capitaine.
Laël le regarde dans les yeux et lui dit:Bon alors, que voulait vous faire capitaine?
Laël fronce un peu les sourcils en pensant que cela aller l'aider à mieux voir.
Puis il demande à tout les autres:Chut!!! ne fait plus de bruit. je vais essayé d'écouter voir si il y a quelque chose de vivant dans les environs.
Laël tourna la tête pour dirigé ses oreilles vers les directions où il veut écouter.
Hum... je ne sait pas ou cela va déboucher mais je ne suis pas rassurez par cette lumière. Mais bon elle me permet de mieux distinguer cette caverne que si on était dans le noir total.
Une fois qu'il a regarder dans la caverne et essayer d'écouter les présences alentours Laël en fait part au capitaine.
Laël le regarde dans les yeux et lui dit:Bon alors, que voulait vous faire capitaine?
- [MJ] Sireus
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Re: La triste réalité....
"Bon alors, que voulait vous faire capitaine? "
"Ça mon gars si je le savais, de toute manière il n'y a qu'une unique direction, droit devant, alors on ne vas pas attendre ici de crever de fin"
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Re: La triste réalité....
Bien capitaine! Alors on avance, mais je demanderez à vous et à vos hommes, si vous me le permettez, de marcher de façons à faire le moins de bruit et à rester le plus vigilant possible, à tout moments car cet endroit ne m'aspire pas confiance du tout.
(Pensées) Mais vers où on vas? Quel est cet endroit si bizarre? Où somme nous atterrit? Tant de questions sans réponses. Et dire que tous cela ne serait peut être pas arriver si je n'avait pas essayer de sauver cette homme dans la ruelle de Nuln.
Laël marchait avec prudence et observe, sans arrêt, les alentours car tout ce qui peut être suspect dans ses endroits et peut être hostile.
(Pensées) Il faut s'attendre à la moindre embuscade ou autre forme de combat ici. Je doit rester vigilant à tout moment.
(Pensées) Mais vers où on vas? Quel est cet endroit si bizarre? Où somme nous atterrit? Tant de questions sans réponses. Et dire que tous cela ne serait peut être pas arriver si je n'avait pas essayer de sauver cette homme dans la ruelle de Nuln.
Laël marchait avec prudence et observe, sans arrêt, les alentours car tout ce qui peut être suspect dans ses endroits et peut être hostile.
(Pensées) Il faut s'attendre à la moindre embuscade ou autre forme de combat ici. Je doit rester vigilant à tout moment.
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Re: La triste réalité....
Le groupe avança dans la caverne durant d'interminables minutes, ils finirent par arriver devant une somptueuse grilles métallique, le portail était entrouvert, une des portes se balançant en grinçant. Derrière, un magnifique dédale de mausolée et de cryptes, d'ici on pouvait apercevoir, à un kilomètre environ derrière, une titanesque parois rocheuse. Lael remarqua une chose qui ne lui avait pas sauté aux yeux, la lumière, toutes les couleurs apparaissaient légèrement plus ternes qu'elles ne le devraient, le paysage était aussi magnifique que terrifiant, composé uniquement de teintes de noir, de blanc et de bleu, la scène avait un côté apocalyptique, comme si ils se trouvaient sur un autre monde ou une autre dimension.
"Capitaine! Nous sommes maudits, il faut revenir, c'est une nécropole, il n'y a rien de vivant ici! Partons vite!", Wulfrig, un des impériaux, originaire de la Norsca commençait à paniquer.
"Silence Wulfrig, il n'y a rien derrière, il faut avancer, c'est notre seule chance! On n'a pas de la nourriture pour bien longtemps!"
Le soldat rentra dans le rang et arma son arbalète, vérifia son épée.
Ils entrèrent dans le cimeterre, c'était totalement désert, seul le bruit du vent venait troubler celui des pas des impériaux. Quelque chose n'allait pas, c'était trop silencieux, ils se trouvaient dans une immense allée menant vers la falaise, enfin pas jusqu'au bout mais au moins une centaine de mètres en avant, une sorte de grésillement était apparu quelques minutes avant et montait doucement. Au fur et à mesure de leur avance, les tombes se faisaient plus hautes, plus luxueuses, des petits monticules du début il y avait désormais de hauts bâtiments funéraires.
*Crak...fuiii...Crak*
"Vous avez entendu!" hurla Wulfrig, rendu hystérique par la peur.
Les hommes se figèrent.
*Crok..crak...*
Quelque chose bougea, Wulfrig tira immédiatement, le carreau vint se planter dans une forme humaine qui était sortie du détour d'une ruelle.
"Personne ne bouge !! Tous prêt au combat! Wulfrig tu refais ca je m'occupe de toi personnellement!"
Le temps sembla se figer, le silence revint, seules le grésillement et les lourdes respirations venaient le troubler.
*Crak..Crok...clic...crrrrr..Crak"
Une autre silhouette apparu, elle venait de là où ils étaient venus. *Crrr...Crak* Une autre !
Des dizaines de formes avançaient désormais vers eux, les hommes formèrent un cercle. Les formes étaient encore un peu loin et avançaient à un rythme régulier, ils étaient incapable de pouvoir discerner précisément leur apparence.
"Capitaine! Nous sommes maudits, il faut revenir, c'est une nécropole, il n'y a rien de vivant ici! Partons vite!", Wulfrig, un des impériaux, originaire de la Norsca commençait à paniquer.
"Silence Wulfrig, il n'y a rien derrière, il faut avancer, c'est notre seule chance! On n'a pas de la nourriture pour bien longtemps!"
Le soldat rentra dans le rang et arma son arbalète, vérifia son épée.
Ils entrèrent dans le cimeterre, c'était totalement désert, seul le bruit du vent venait troubler celui des pas des impériaux. Quelque chose n'allait pas, c'était trop silencieux, ils se trouvaient dans une immense allée menant vers la falaise, enfin pas jusqu'au bout mais au moins une centaine de mètres en avant, une sorte de grésillement était apparu quelques minutes avant et montait doucement. Au fur et à mesure de leur avance, les tombes se faisaient plus hautes, plus luxueuses, des petits monticules du début il y avait désormais de hauts bâtiments funéraires.
*Crak...fuiii...Crak*
"Vous avez entendu!" hurla Wulfrig, rendu hystérique par la peur.
Les hommes se figèrent.
*Crok..crak...*
Quelque chose bougea, Wulfrig tira immédiatement, le carreau vint se planter dans une forme humaine qui était sortie du détour d'une ruelle.
"Personne ne bouge !! Tous prêt au combat! Wulfrig tu refais ca je m'occupe de toi personnellement!"
Le temps sembla se figer, le silence revint, seules le grésillement et les lourdes respirations venaient le troubler.
*Crak..Crok...clic...crrrrr..Crak"
Une autre silhouette apparu, elle venait de là où ils étaient venus. *Crrr...Crak* Une autre !
Des dizaines de formes avançaient désormais vers eux, les hommes formèrent un cercle. Les formes étaient encore un peu loin et avançaient à un rythme régulier, ils étaient incapable de pouvoir discerner précisément leur apparence.
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Re: La triste réalité....
Laël tente regarder ses silhouette pour savoir à qui ils ont affaire et si il ont un points faibles..
(Pensées) Mais qu'est ce que sa peut bien être! Il faudrait aller vite vers l'avant pour tenter de sortir de ce trous!
Général! Nous devrions tenter de nous frayer un chemin vers l'avant! La sortie ne doit plus être loin car les couleurs de la lumière sont de plus en plus présentent, par rapport au gouffre de tout à l'heure. Demandez à vos homme de tirez sur eux quoi qu'ils arrive pour avancer le plus vite possible! Nous devons les tenir le plus éloignés si nous voulons avoir une chance de nous en sortir! Alors tirez le plus possible et le plus vite possible sur ces silhouettes. Ne vous en approcher pas! Ils sont plus nombreux que nous donc moins de chance de s'en sortir au corps à corps! Tuer les d'abord à distance pour avancer! Et..., si nous n'avons d'autre choix que d'engager le corps à corps, alors nous le ferons pour mourir avec honneur, comme vous nous l'avez tend répéter général!
Laël regarda le général et repris la parole pendant que les hommes exécuter les ordre du général.
Pensez à vos famille, à vos femme, à vos enfants si vous en avez! Pensez à ceux qui sont mort durant cette mésaventure! Alors ne laissé pas leur mort inutiles! N'ayez crainte et faite tout, pour survivre, en l'honneur de toute les personnes qui sont morte et à toute les personnes que vous aimez, battez vous pour eux!
Laël essaya de motiver les troupes qui ont pourtant l'air apeurer et fatigué du voyage.
Général! Nous devrions tenter de nous frayer un chemin vers l'avant! La sortie ne doit plus être loin car les couleurs de la lumière sont de plus en plus présentent, par rapport au gouffre de tout à l'heure. Demandez à vos homme de tirez sur eux quoi qu'ils arrive pour avancer le plus vite possible! Nous devons les tenir le plus éloignés si nous voulons avoir une chance de nous en sortir! Alors tirez le plus possible et le plus vite possible sur ces silhouettes. Ne vous en approcher pas! Ils sont plus nombreux que nous donc moins de chance de s'en sortir au corps à corps! Tuer les d'abord à distance pour avancer! Et..., si nous n'avons d'autre choix que d'engager le corps à corps, alors nous le ferons pour mourir avec honneur, comme vous nous l'avez tend répéter général!
Laël regarda le général et repris la parole pendant que les hommes exécuter les ordre du général.
Pensez à vos famille, à vos femme, à vos enfants si vous en avez! Pensez à ceux qui sont mort durant cette mésaventure! Alors ne laissé pas leur mort inutiles! N'ayez crainte et faite tout, pour survivre, en l'honneur de toute les personnes qui sont morte et à toute les personnes que vous aimez, battez vous pour eux!
Laël essaya de motiver les troupes qui ont pourtant l'air apeurer et fatigué du voyage.
- [MJ] Sireus
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Re: La triste réalité....
Les hommes se mirent à courir, sortant leurs armes de corps-à-corps, les assaillants commençaient à sa masser autours d'eux, ils durent se frayer un chemin en chargeant, leurs adversaires bien que peu résistants étaient implacables de par leur surnombre, un d'entre eux empoigna Stein, puis un second, un troisième, les humains ne purent rien faire, il disparu sous une masse d'ossements. Lael et les autres finirent pas passer la masse, se précipitant vers la falaise, au bout de quelques centaines de mètres à passer entre les morts, ils arrivèrent devant une herse, elle était fermée, une manivelle se trouvait à une dizaine de mètres, la grille était fermée, de leur promontoire, le capitaine et ses troupes contemplèrent la masse innombrable de cadavres ambulants avancer lentement vers eux.
- Laël
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Re: La triste réalité....
(Pensées)Ils sont trop nombreux. Ont ne peu engagé le corps à corps. Il faut qu'on s'échappe et vite.
La seule idée qui me vient en tête capitaine est d'essayer d'ouvrir la grille avec la manivelle et puis de la refermer! Avec un peu de chance les morts n'aurons pas le temps de nous suivre! Deux ou trois hommes monte la grille pendant que les autres ralentisse les morts en leur tirant dessus! Pensez vous que c'est une bonne idée capitaine?
En attendant la réponse du capitaine Laël regarde la Herse et le mur qu'ils ont devant eu afin d’essayer de voir un passage ou de trouver un élément qui pourrait lui donner une meilleure idée.
La seule idée qui me vient en tête capitaine est d'essayer d'ouvrir la grille avec la manivelle et puis de la refermer! Avec un peu de chance les morts n'aurons pas le temps de nous suivre! Deux ou trois hommes monte la grille pendant que les autres ralentisse les morts en leur tirant dessus! Pensez vous que c'est une bonne idée capitaine?
En attendant la réponse du capitaine Laël regarde la Herse et le mur qu'ils ont devant eu afin d’essayer de voir un passage ou de trouver un élément qui pourrait lui donner une meilleure idée.
Modifié en dernier par Laël le 14 sept. 2010, 18:35, modifié 1 fois.