[Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

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Helveticus Matix
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par Helveticus Matix »

Pour une meilleure lisibilité des dialogues de Mora, Je vous conseille fortement de télécharger et d'installer la police utilisée : http://www.fontpalace.com/font-details/Binary+CHR+BRK/
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Malgré le cataclysme ambiant, je parviens à me focaliser sur mon auspex. L'ennemi se dévoile, j'analyse chaque point clignotant et un rapide de travail de mes cogitateurs me permet de localiser précisément leur position exacte dans le bar. Je lève mon bras mécanique vers Séphone et fait tinter mes doigts. L'excommuniée tourne immédiatement la tête vers moi.

Je pointe une direction, m'apprêtant à joindre cette information d'une suite de gestes explicatifs. Sephone réagit dans la seconde et envoie une rafale sur le point indiqué. Un cri de douleur gargouillant m'indique qu'il est inutile de compliquer le transfert d'informations. Je pointe un autre endroit, nouvelle rafale, nouveau râle. Impossible de me rappeler combien de fois nous avons renouvelé la manœuvre, mais je sais qu'elle a été très fructueuse.

Tout se déroule à une vitesse hallucinante. Soudain, une explosion fracassante, sans pour autant que le débit de balles ne cesse. Les impacts de projectiles ravagent mes alentours, mais l'adrénaline me force à me lever. Je tire dans la direction générale de l'adversaire - probabilité d'avoir fait une touche critiquement basse - avant de me remettre à couvert.

Strasser apparait de nulle part à mes côtés. Je pousse un couinement honteux en sentant sa main sur mon épaule. S'il s'imagine que je m'écarte pour lui céder sagement ma place, Cécile se trompe. En réalité, j'ai mis quelques secondes à le reconnaître et j'ai pensé qu'un membre du Mitan se préparait à m'égorger.

L'homme enlève sa veste, dévoile un fabuleux mécanisme sur son bras qui asperge mes optiques d'émerveillement, puis invoque un capharnaüm magistral. Après un moment de flottement, j'ose sortir la tête de ma cachette pour analyser le champ de bataille. Le bar est dévasté, le feu se répand, grignote tout, s'approchant de... de...

Je pousse un hurlement de terreur, mélange terrible de cri organique et cybernétique. Sans me préoccuper de la bataille, je me lève immédiatement pour courir vers la machine la plus potentiellement vieille de tout le système.


< STOP! CESSATION! STOP STOP STOP!_ >

Je suis en train de supplier aux flammes de s'arrêter, incapable de me rendre compte de l'illogisme de mon acte. C'est trop tard, la relique est déjà en train de se faire dévorer. C'est elle que j'entends hurler de douleur? Je l'imagine? Qu'importe? Le muet ressent tout autant la douleur que les autres.
Les mains en éventail, je reste là quelques secondes sans savoir quoi faire, continuant de supplier qu'on l'épargne. Un cruel diagnostic m'informe que c'est trop tard, mais je refuse de le croire.


< NÉGATIF!_ >

Il fait si chaud, mes yeux pleurent autant de tristesse qu'à cause de la fumée. Sans mon respirateur, je serais déjà en train d'étouffer. Mon système de filtrage ne tiendra plus longtemps. Cette simple pensée me renvoie au hangar de chargement, dans le Ravel, alors que le gaz moutarde ravageait mes poumons et ma peau. Il faut que j'agisse maintenant.
J'agrippe la machine de son côté épargné pour tenter de la tirer vers la sortie. Elle ne bouge pas d'un centimètre. Je recommence, même résultat. Je recommence...

Séphone me sauve de l'autodestruction. Sans son ordre autoritaire, je serais resté jusqu'à ce que les flammes me consument. Le diagnostic impitoyable est enfin accepté.

Sans plus d'hésitation, je fracasse la vitre frontale de l'engin. Je plonge mes bras dedans et tente, malgré les flammes qui se rapprochent, de récupérer tout ce qui est à porté de main. Des disques, des mécanismes, des boîtiers, des câbles. J'arrive à peine à voir avec la fumée qui s'épaissit, donc je m'empresse, comme un chirurgien qui retournerait sans modération les entrailles de son patient agonisant.

Lorsque je rejoins mon équipe, le matériel ancestral dans les bras, l'auspex en mains, j'ai le visage presque aussi rouge que les saintes tuniques de Mars. Proprement traumatisé par ce qu'il vient de se passer, je refoule tout cela en quarantaine. Il me faudra traiter tout cela plus tard, au calme, avec beaucoup de temps.

Nouveau scan, j'indique du menton la porte. Wullis réagit immédiatement et envoie une rafale. Une fois l'obstacle franchi, je remarque le cadavre du jeune garçon. Parfait, une graine immonde qui n'aura pas eu le temps de complètement grandir pour corrompre. Je suis tellement en colère contre le Mitan. Ses membres ne sont rien de plus que des hérétiques à mes yeux.



Nous rejoignons Enkidu à l'extérieur. Il tient la Moelle en joug et ce dernier semble sur le point de vider ses intestins. Je pose très délicatement le matériel que j'ai récupéré alors que l'interrogatoire commence.

Les révélations manquent de me faire chavirer. L'identité de nos véritables adversaires, l'organisation de leur entreprise sur Lutèce. Les questions d'Enkidu tranchent dans le vif avec une redoutable efficacité. Luntz n'oppose aucune résistance.

Les Logiciens... je me suis vraiment voilé la face! J'aurais dû faire le lien bien plus tôt! Ils furent souvent liés avec les Méritechs. Mais la peur d'entacher mon ordre m'a empêché de tirer les bonnes conclusions. Or, c'est encore pire que ce que je craignais : la Moelle parle de corruption au sein même du Culte de la Machine! Une purge intransigeante devra malheureusement avoir lieu.

Ce minable criminel est très clair : les attaquer de front sans renforts serait suicidaire. Rien que la description de la Chirurgienne me donne froid dans le dos. Une Heretek des plus abominables!
Mon visage jusque-là écarlate a viré au blanc malade.


< La probabilité véridique des propos de ce | pitoyable individu | est [très élevée].
Les Logiciens tirent leur doctrine d'un ouvrage d'une hérésie absolue. Leur objectif ultime est de reverser l'impérium pour imposer leur courant blasphématoire. Ils prônent un accès aux connaissances pour tous, sans le moindre contrôle. Ainsi que l'abolition des frontières de la technologie, soit une Techno-hérésie totale._ >


Mon vox a légèrement grésillé sous l'émotion durant cette dernière phrase.

< Les Logiciens furent souvent affiliés au clan Méritech, ce qui semble valider les propos de | Luntz |. Cette unité n'a pas été capable d'établir ce lien plus tôt. Faute de performance. Elle en est navrée..._ >

Oui, je ressens une honte terrible. C'est pourquoi quand Enikdu mentionne le sac de sport que la Moelle aurait laissé tomber plus tôt, je me précipite à sa recherche pour me rendre utile. Si la clé pour ouvrir l'Aumônerie est dedans, alors nous touchons enfin au but.
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Helveticus Matix, Voie du Technoprêtre
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[MJ] La Fée Enchanteresse
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par [MJ] La Fée Enchanteresse »

En ouvrant le sac de sport, il y avait de quoi écarquiller les yeux. On comprenait mieux pourquoi Luntz « la Moelle » passait autant de temps dans un quartier aussi pourri et rempli de monstres — il y gagnait un tas de pognon. Il devait y avoir dans son sac au moins dix briques, en petites coupures, amplement de quoi justifier une petite virée au milieu de camés et de morts-vivants. Alors que l’équipe fouillait ses possessions matérielles, voilà qu’enfin, le mafieux craquait et se mit à chanter :

« Vous êtes assez fou pour attaquer les mecs de l’Aumônerie ?!
Sérieusement, c’est pas moi qui vais vous en empêcher ! Au contraire bon sang, vous me retireriez une sacrée épine du pied, et je peux vous aider ! »

Il pointa du doigt Enkidu.

« Tu veux une clé ? Je sais pas où t’as entendu que j’en avais une, mais… Effectivement, je préparais un plan B au cas où les gars avec qui je travaille tentent de me poignarder dans le dos… Enfin, vous êtes débarqués avant, donc je suppose que maintenant c’est à vous, pas vrai ? »

Il sortit de la poche de son pantalon une disquette, et se mit sur ses fesses pour la tendre afin que le psyker puisse l’attraper.

« Un petit gars qui s’y connaît un peu en méta-données m’a fabriqué ça… Un passe-partout qui peut décrypter les codages de l’Aumônerie. Vous pourrez entrer par la porte de service, et ça vous permettra aussi de déjouer les autres serrures qu’ils ont dû mettre en place.
Faites gaffe quand même… Outre leurs mercenaires, qui savent parfaitement leur travail, je pense qu’ils sont pas idiots au point de pas avoir renforcé leurs défenses à l’intérieur, avec des choses… Inhumaines. »

Strasser ricana.

« On connaît. On a les moyens de s’en débarrasser. »

Luntz grimaça.

« J’en doute pas…
Du coup… Deal ? »


Enkidu attrapa le sac. Il avait à sa main son revolver… Il aurait été si facile, maintenant qu’ils avaient tout exploité de la part du mafieux, de juste l’abattre…
…Mais voilà qu’il lui jeta le sac de sport sur l’abdomen. Luntz le foutu sur son dos, et, en claudiquant, mal à l’aise, grimaçant et gémissant, il se mit debout, sur sa jambe à la rotule grillée vive par un laser — nul doute qu’un de ses premiers achat serait une visite chez un toubib, s’il arrive à en trouver un…

« Merci de… ‘fin, de pas me buter.
Si vous voulez, dans le coffre de cette voiture… Y a pas mal de munitions et de stimulants. Ça peut vous être utile, j’imagine… »

Il ne mentait pas. Un pied de biche plus tard, et alors qu’on entendait au loin les sirènes de police en train de se rapprocher pour voir pourquoi le seul restaurant du quartier était en train de flamber, les acolytes pouvaient tomber sur un petit arsenal — les revolvers et les flingues étaient de mauvaise qualité et pas très intéressants, mais il y avait de quoi reconstituer leur stock de munitions, et quelques medstims qui sans doute seraient fort utiles dans leur assaut… Ils remplirent leurs étuis et leurs poches, avant de vite fuir à l’initiative de Strasser.

« Ma bagnole est pas loin, on peut s’y réfugier un moment, avant de savoir quoi faire ! »




Contrairement à la voiture étroite et de construction vétuste de location que leur avait prêté Ndiame Masteel, monsieur Strasser se déplaçait dans un magnifique bolide — un SUV blindé dernier cri, qu’il avait planqué dans un garage abandonné auquel on accédait en escaladant un muret derrière une vieille cour. S’y réfugiant tous les cinq, ils purent enfin reprendre leur souffle et profiter d’un endroit pas très confortable, mais plus en sécurité. Tout autour d’eux, la fausse-police, apparemment aujourd’hui constituée de mercenaires meurtriers, pourchassait les fauteurs de troubles… L’étau allait dangereusement se resserrer sur eux.

Et maintenant, quoi faire ?

Ils savaient attaquer, mais ne se sentaient pas avoir la force pour. Les révélations de la Moelle, qui parlait d’une forteresse gardée par des soldats bien compétents, en plus des monstres aperçus dans la décharge, ne donnait pas beaucoup envie de s’y risquer avec leur armement standard. Sans doute que Strasser gardait encore quelques petits bijoux pour lui, mais lui faisaient-ils assez confiance pour être guidés uniquement par le cadre de l’Hégémonie Skaelen-Har ? Alors qu’ils réfléchissaient, d’ailleurs, celui-ci eut une idée.

« Bon bon bon… On a aucune possibilité de communiquer au-delà de la ville à cause du brouillage… Mais on peut essayer de saisir des communications à l’intérieur de la ville, non ? »

Et là-dessus, il retira son auto-radio, en fait un mini poste de communication. Il le posa sur le tableau de bord, et commença à l’allumer.

Et alors, pendant une longue heure, il trifouillait les stations une à une, pour tenter de pirater ce qui se captait à Lutèce…


Presque que de la friture. À un moment, une radio pirate qui transmettait du jazz. La communication par téléphone d’une femme inquiète de ne pas avoir pu prendre le tram ce matin, et qui se disait que leur mort arrivait enfin… Beaucoup de vide, et de tristesse, qui ne faisait que renforcer l’angoisse montante dans le groupe.

Et puis, d’un coup, un son strident, vif, et rempli de friture.

« VVVVvvvvvvzzzZZZZZZVVtttTt…. 10-3 ! UntieeerszzzzzzzzVVVVVvzzzzzzvzZZZZ -pète, à toutes les unités, demZZZZZVvvvv-forts positio-

On entendait des coups de feu, et des sirènes de police hurler en arrière plan. Les policiers étaient en train de se faire attaquer par quelqu’un, ou quelque chose. On comprenait à peine la localisation — le tunnel ?

« Quelqu’un est en train de tirer sur les flics… On devrait foncer les aider, c’est une piste comme une autre.
Ou bien on attend que la situation se calme pour aller voir ? Peut-être plus prudent, si les gars sont des mercenaires sur-entraînés comme a dit Luntz… »
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Reinhard Faul
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par Reinhard Faul »

"C'est forcément un mec de chez nous ça, qui d'autre viendrait s'embrouiller avec les flics ? On devrait y aller."

Enkidu était sagement assis à l'arrière, son lasgun sur les genoux, et attendait de se faire transporter comme un meuble le jour du déménagement.
Natus est cacare et abstergere coactus est.
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Lien Fiche personnage: Ici

Stats :
Voie du sorcier de Nurgle (Profil avec empreintes occultes et mutations)
For 9 | End 14 | Hab 10 | Cha 6 | Int 15 | Ini 10 | Att 10 | Par 9 | Tir 9 | Foi 8 | Mag 18 | NA 3 | PV 140/140

Mutations/marques :
Nuages de mouches : -1 ATT/PAR/TIR/INI pour toutes les personnes à moins de 6m
Plaies suppurantes : 1d3 dégâts retranchés à chaque blessure
- Morsure Venimeuse : Poison hallucinogène
- Hideux (Effet : Peur)
- Organe du Chaos (-1 CHA/HAB, +1 END, +5 PV)
Pourriture de Neiglish : Porteur sain
Protection de Papy : 2d4 PdC à chaque critique en incantation
Grimoire :

- Lumière : À appliquer sur un objet ; Fait de la lumière pendant 1h
- Flammèche : Petite étincelle au doigt pendant une minute
- Météo : Connaît la météo prochaine
- Repos : Peu faire se détendre quelqu'un

- Infestation de Nurglings : 24m / 1d4 tours / Projectile magique. Une fois qu'une personne est touchée, elle subit 10+2d10 dégâts magiques par tour / Dès la fin du sortilège ou la mort de l'ensorcelé, des bubons explosent, libérant 2d3 amas de chair, qui sont autant de nurglings
- Fontaine putride : 6m / Instantané / 30+2d10 dégât devant lui + gain de 7 armure temporaire magique / +5 dégât par point de MA
- Gerbe corruptrice : 12m / 10+1d10 dégât dans une zone de 6m, esquivable ; métal rongé après 1d4 tours / -1 esquive par MA

- La multitude fait le tout : Se change en nuée de mouches
- Prodigieuse santé : Contact / Devient ultra bogosse et ultra chad
- Grande invocation de petits amis : Invoque des insectes pour servir d'ingrédients
- Immonde messager : Peut envoyer des messages twitter (Caractères limités)
- Allégresse fétide : Supprime toute douleur mentale ou physique
- Divine urgence : Force la cible à faire un jet d'END. Diarrhée en cas d'échec.
- Paludisme dévorant
- Vent de Nurgle
- Torrent de corruption

- Invocation : Nurglings
- Invocation : Bête de Nurgle
- Invocation : Porte Peste
- Octogramme de conjuration
Compétences :
- Résistance accrue : +1 END aux jets testant la résilience physique (Fatigue, drogue, alcool, torture...)
- Vol à la tire : +1 pour escamoter quelque chose
- Baratin : +1 pour endormir la vigilance de quelqu'un
- Déplacement silencieux : +1 pour fureter quelque part
- Déguisement : +1 pour s'infiltrer en étant déguisé
- Alphabétisation
- Autorité
- Humour
- Empathie
- Coriace

- Sens de la magie : Sur un test, détecte les événements magiques
- Incantation (Domaine de Nurgle)
- Maîtrise de l'Aethyr (Nurgle) : 3
- Contrôle de la magie
- Divination (Oniromancie) : Sur un test au cours de son sommeil, peut découvrir la destinée de certains personnages
- Langue hermétique (Langue Noire) : Parle la langue immonde du Chaos
- Confection de maladies : Peut fabriquer des maladies communes et rares
- Connaissance des démons
Équipement de combat :
- Bâton démoniaque : 2 mains ; 10+1d8 dégâts ; 8 parade ; Assommante & Utilisable seulement par les classes magiques. +1 PAR
- Pistolet à répétition : 46+1d8 dégâts, malus -2 TIR/8 mètres, peut tirer cinq fois à la suite avec un malus de -1 TIR par chaque nouveau canon qui fait feu
- Agaga (Épée à une main) : 18+1d10 dégâts ; 13 parade ; Rapide, Précise, Perforante (2) ; +1 INI
- Cocktail Molotov (x4) : Dans un rayon de 1m, toute personne qui est touchée par la bouteille prend trois états de « Enflammé ». Dans un rayon de 2m, c'est 2 états seulement. Dans un rayon de 3m, un seul état.

- 15 balles et poudres

- Tenue de cultiste de Nurgle : 5 protection ; Tout le corps sauf tête

- Anneau d'Ulgu : Lorsque porté, vous pouvez faire croire à ceux qui vous entourent que vous êtes un humain lambda (sans mutation aucune ni trait particulier) pendant 1 heure. Vous ne pouvez utiliser cette capacité qu’une fois par jour. Vous ne pouvez pas prendre l’apparence d’une personne en particulier.

- Miroir de la Demoiselle d'Acques
- Cor de la harde des Museaux Annelés
Équipement divers :

- Marque de Nurgle
- Caresse de la vipère (poison) : Un sujet blessé par une arme enduite de ce venin doit réussir un jet d'END-4 sous peine de mourir dans END minutes. Chaque minute avant sa mort, le sujet subit 5 points de dégâts non sauvegardables, et un malus cumulable de 2 à ses caractéristiques.


- Couverts en bois
- Sac à dos
- Couronnes dentaires en bois
- Tatouages
- Porte-bonheur

- Sap-biscuit

- Costume de répurgateur + Fleuret (Déguisement)
Divers divers :

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[MJ] La Fée Enchanteresse
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par [MJ] La Fée Enchanteresse »

L’accord direct d’Enkidu fit naître un sourire sur la trogne à Strasser.

« C’est ça que je veux entendre ! »

Malheureusement, l’enthousiasme froid du psyker ne suscitait pas l’approbation du reste du groupe sur la banquette arrière. Wullis proposa de trouver un moyen de quitter le quartier, avant que Mora éteigne cette idée. Le technoprêtre se demanda quand même de quel équipement disposait le DRH, qui leva un sourcil.

« Outre le fait que je vous ai déjà parlé du matos que je possédais à l’auberge… Me voir en action vous a pas suffi ?
– Monsieur veut se faire mousser… Grogna Séphone.
– Je suis équipé pour neutraliser l’opposition, c’est plutôt moi qui devrais vous demander si vous avez assez d’équipement pour — mais on s’arrêtera pas à de telles considérations, après tout, contrairement à eux, on a l’Empereur de notre côté. »

Céline Strasser eut un sourire goguenard à son propos semi-blasphématoire. C’est alors que Wullis et Mora suggéraient entre eux qu’il serait peut-être bon de laisser des traces pour de futurs enquêteurs, au cas où leur mission échouait. Le DRH claqua des doigts :

« Bonne idée ça ! Après tout, il est vrai que je peux apporter ma petite pierre à votre contribution — j’ai des transcriptions d’interrogatoires, des photos, des enregistrements vocaux, des…
…Ah non, c’est vrai, j’ai tout supprimé. Parce que si on meurt, déjà, je pense que les Logiciens sont assez malins pour trafiquer et corrompre tout ce qu’on laisse derrière nous, et ensuite, je crois savoir que l’Organisation-qu’on-ne-doit-pas-nommer aime pas trop qu’on laisse trop de secrets derrière soi. Après tout, les secrets, c’est un peu comme les MST… »


Séphone grinça des dents et leva les yeux au ciel. Pour se rendre insupportable, on pouvait dire qu’il était doué.

Mora suggéra alors de rester derrière, pour aider le groupe avec son auspex et son téléphone. Strasser fit une grimace telle qu’on crut qu’il avait eu un AVC, avant de faire un superbe sourire et de lancer à la volée :

« Mais oui tout à fait, rester à distance et nous aider - avec le téléphone brouillé qui a deux secondes de latence j'espère ?
Vous savez ce que je peux faire aussi ? Je vous dépose à la chambre d'hôtel et vous me laissez gérer la situation. »

À la radio pirate, on entendait encore des tirs et des cris — des armes automatiques et des chocs de métal. Mora essayait de convaincre de chercher une autre solution que simplement foncer dans le tas, mais alors qu’il commence à lancer ses quelques phrases, le DRH mit vite fin à l’argumentaire :

« Comme a dit madame tout à l’heure, je ne suis pas le chef de votre groupe, je n’ai aucune suzeraineté sur votre lance et j’ai aucune envie de vous convaincre de quoi que ce soit. Soit je vous dépose respectueusement à votre chambre d’hôtel pour que vous profitiez d’un lit douillet, soit vous venez affronter la mort avec moi, mais ça se décide maintenant. »

Et quand enfin il eut convaincu tout le monde, il décida de mettre sa ceinture de sécurité. Les autres furent ainsi encouragés à faire de même.
La Sororita, en s’attachant elle aussi, persifla cyniquement à voix haute :

« L’art et la manière de convaincre. L’Empereur bénisse le secteur privé…
Ta bagnole, elle peut résister à quoi mon frère ?

– Jusqu’au calibre de fusil. Pas sûr que ça protège d’une roquette…
– On l’utilisera comme couverture alors, jusqu’à se déplacer derrière quelque chose en dur.
Sorcier, on affronte pas des truands cette fois — j’apprécie ta prise d’initiative, mais j’aimerais qu’on forme un groupe d’appui-feu commun pour avancer. T’attendras la bonne opportunité pour faire tes horreurs maléfiques, compris ? »


Ses mots étaient durs et insultants, mais il y avait un encouragement étrange dans son ton, presque amical, comme s’il y avait un petit peu d’admiration dans le terme « horreurs maléfiques ».

« Quelqu’un pour m’ouvrir la porte du garage ? »

L’un des acolytes se colla à sortir dehors, à s’approcher du rideau de tôle, et à le soulever pour le rabattre, avant de retourner prendre sa place. Une fois tout le monde attaché, le SUV commença à ronronner — un puissant moteur moderne au prométhium crama son argument dans un bruit assourdissant ; le DRH ne devait pas être très habitué à la discrétion. Lentement, en première vitesse, il quitta la cour dans un crépitement de roues écrasant du gravier, avant de rejoindre l’asphalte de la sous-ruche…

…Strasser tourna le volant à toute blinde, et commença à rouler à pleine vitesse en enclenchant la deuxième, puis la troisième. Alors même que le gars était couvert de la tête aux pieds d’augmentiques, il conduisait une voiture à transmission manuelle — allez savoir… Enfin, à toute blinde, il traversa les résiblocs, tourna dans une allée, et commença à rouler à pleine vitesse jusqu’à la statue de griffon au centre de Lutèce. Il allait à cent à l’heure.

Une voiture de police était garée sur le bas-côté. Un des policiers se dressait sur la route : un solide bonhomme, en armure pare-éclat, les yeux remplacés par des loupiotes de métal, et un autofusil plein d’accessoires en main. Le flic leva la main pour faire signe à la voiture de s’arrêter. Strasser mit le pied au plancher. Le policier fit un pas en arrière, et sauta sur le côté — trop tard. Son corps s’éclata sur le pare-brise et vola dans le décor comme une poupée balancée par un enfant, s’éclatant plusieurs os alors qu’il s’écrasait au loin dans un rebond.

Devant le tunnel fermé, il y avait pas moins de trois autres voitures de police. Derrière, des flics surarmés et suréquipés, bien loin de simples prévôts de patrouille, étaient à couvert en train de faire feu avec leurs armes en direction d’un véhicule civil qui s’était écrasé dans le décor, presque broyé contre un mur. Le passage du tunnel avait été forcé — la porte blindée était éventrée et des petits scintillements métalliques venaient de câbles mis à nu.

Les policiers étaient presque tous plus-ou-moins augmentés. En voyant débarquer le SUV de nulle part qui venait de se payer un de leurs collègues, ils bondirent tous sur place — la demi-douzaine de policiers se retournait alors, et vidaient leurs chargeurs pour cribler de balles la voiture. La vitre avant du SUV se mettait à se couvrir d’impacts et de rayures, empêchant quiconque de voir ce qu’il y avait devant.

« Oh, fait chier ! »

Strasser freina sec, enclencha la marche arrière, pilla, et drifta pour que le SUV se retrouve de côté. Séphone, le lasfusil chargé, se mit à crier :

« Baissez les vitres ! Restez à couvert ! Utilisez la voiture comme protection ! »

Et voilà que l’enfer pouvait commencer. Les deux portières à gauche, pas exposées, étaient ouvertes, et Wullis, Strasser et Séphone purent descendre — Mora et Enkidu, eut, descendirent de leurs sièges, baissèrent les vitres de leurs portières à eux, et pouvaient ainsi profiter d’une couverture sur-élevée.

Et alors, cinq armes tiraient contre six. Un déchaînement de violences, de rayons lasers, de balles d’armes à feu — mais de derrière la voiture accidentée, il y eut un nouveau courage, et d’autres balles. Les assaillants qui avaient forcé le passage de Lutèce donnaient tout ce qu’ils avaient.

Malheureusement, Luntz n’avait pas menti : ces flics-là savaient se battre. Pris en enfilade, à découvert, ils commencèrent à s’agiter dans tous les sens — sous un cri d’un chef de groupe, plusieurs d’entre eux, baïonnette au canon, se mirent à charger la voiture accidentée, tandis que d’autres firent face aux acolytes pour vider leurs balles avec une précision magistrale : si leurs tirs ne pouvaient pas traverser la couverture, au moins leur tir de suppression forçait les acolytes à baisser la tête…
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Helveticus Matix
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par Helveticus Matix »

Agrippé à la banquette du siège, propulsé à plus de cent kilomètres heure dans une machine rugissant de haine, une seule question m'occupe l'esprit : comment en suis-je arrivé là? J'ai bien tenté de proposer mon aide autrement, de m'éclipser de cette folie inutile, mais Strasser a contré chacune de mes idées - avec une attitude insupportable.

Oui, j'aurais pu simplement refuser, regagner la chambre du motel et attendre tranquillement que mes coéquipier terminent brutalement leur équation dans leur mission suicide. Mais ma lâcheté me l'a empêché. J'ai suivi le reste du groupe comme un simple morceau de bétail, sans la moindre forme de logique. Et puis, n'étais-je pas un peu curieux de la suite? N'ai-je pas ressenti un besoin de rester dans ce groupe avec qui j'ai tant vécu ces derniers jours? Non pas par rationalité, mais par un stupide sentiment d'appartenance?
Cela irait à l'encontre d'une bonne partie de mon éducation et de mes principes.

Et à présent, les yeux écarquillés de terreur, j'observe ce corps désarticulé rebondir sur le pare-brise et disparaître sur le toit. Une main posée sur la portière, je prie maladroitement pour renforcer l'esprit de la machine du bolide tandis que les premières balles commencent à rebondir sur la carrosserie.

La tension dans la voix de Strasser, jusque-là morbidement joyeux, est plus terrifiante que le bruit des impacts de tirs. Sa manœuvre manque de me fracasser le crâne contre la portière et mon flanc de la voiture se retrouve pleinement exposé aux tirs ennemis. Fort heureusement, le blindage du véhicule semble tenir le coup, pour l'instant du moins.

Séphone nous hurle un ordre. Je mets une seconde à le comprendre... avec horreur. Baisser les vitres et laisser le carnage s'infiltrer dans l'habitacle? Quelle folie! Mais l'autorité terrible de la Sœur de Bataille a raison de ma volonté et je presse le bouton à contrecoeur - il ne m'a pas fallu longtemps pour trouver le mécanisme correspondant.

Immédiatement, les tirs de barrage me forcent à rester à couvert derrière la portière. J'ai juste le temps de constater qu'une partie des policiers fonce vers les attaquants du tunnel, lame au canon.
Comment répliquer? Les policiers tirent avec une effroyable précision pour m'empêcher de relever la tête. Faut-il attendre qu'ils ne rechargent leurs armes? Ce serait une grande opportunité de manquée, vu qu'ils sont actuellement à découvert. Et pas pour longtemps.


< Ennemi à découvert / opportunité à saisir!_ >

Impossible de masquer la panique dans ma voix. Je suis obligé de hurler pour me faire entendre.
En même temps, je bidouille une fois de plus mon plus grand allié, le saint auspex. L'objectif est de localiser précisément les assaillants, tout en restant à l'abri derrière ma portière blindée. Ceci fait, je pourrai ensuite communiquer leur position précise à mes alliés et nous pourrons tirer sans avoir à exposer notre tête : juste l'arme.
La visée serait très approximative, mais c'est toujours mieux qu'une balle en plein crâne, non?
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Helveticus Matix, Voie du Technoprêtre
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Reinhard Faul
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par Reinhard Faul »

Les bruits de fusillade, les civils qui s’enfuyaient, les voitures de police garées sur le bas-côté… on y était. Le front. La mort.

Les yeux d’Enkidu se posèrent sur son reflet dans le rétroviseur. Son propre visage transfiguré de terreur le regardait d’un air dément. Il était plein de bleu, couvert de suie, et avait l’air curieusement plus jeune, mais ce n’étaient pas ces détails qui l’inquiétaient. Il plissa les yeux pour observer de plus près de toutes, toutes petites taches noires sur son crâne, ses arcades sourcilières et ses joues. Minuscules, invisibles même si on ne se rapprochait pas pour voir. Des traces de repousse. Ses cheveux et tout le reste commençaient à revenir. Il jura. Il avait oublié ce détail, il s’était passé tellement de choses… Le Psyker commença à s’étirer comme si il allait bâiller, sauf qu’il ne bâillait pas du tout. Un étrange frémissement parcouru sa peau. Quelque chose d’assez désagréable à l’œil se produisit, comme si le jeune homme était fait de pâte à modeler et non de chair. Même ses globes oculaires semblèrent se déformer brièvement. Les poils disparurent.

Cela pouvait sembler être un détail de coquetterie ridicule, sauf si on se met dans l’était d’esprit de celui qui roule à toute vitesse vers une fusillade. Enkidu, mentalement, allait aussi mal que tous les autres dans la voiture. C’était la première fois qu’il était déployé dans un contexte réel, il venait d’utiliser beaucoup de ses pouvoirs et surtout, surtout, il n’avait le choix qu’entre mourir et réussir. Il ne savait pas exactement ce qu’il se passait si on échouait en servant l’Inquisition, mais il ne doutait pas que ça serait pire que ce qu’il avait déjà subi (et il en avait subi beaucoup). Ils fonçaient droit vers l’Ennemi Suprême : les hérétiques. Il n’en avait jamais vu avant, mais on avait déployé beaucoup de moyen pour que sa révulsion à en voir soit insupportable. L’esprit du jeune homme s’enfonçait de plus en plus dans des strates de panique animale qui coûtaient beaucoup à sa santé mentale… si cela avait la moindre importance, bien sûr. L’Impérium se fichait qu’on fasse des cauchemars toutes les nuits ou qu’on doive prendre un traitement psychiatrique lourd pour seulement continuer à vivre sans hurler d’horreur en permanence, tant qu’on était en état de tenir son foutu fusil dans le bon sens.

À ce moment-là, le corps d’un policier s’éclata violemment sur le pare-brise. Enkidu ne sursauta pas, il aurait fallu qu’il lui reste un stade de terreur supérieur à atteindre pour le faire. Au milieu du délire précédant la transe de combat, il avait seulement l’impression que les augmentiques oculaires du type observaient jusque dans son âme. Peut-être un démon avait-il brièvement le contrôle du policier au moment où il allait mourir ? Il servait des hérétiques du Mechanicus après tout, qui savait ce qui était possible ?

Prier semblait une bonne idée (bien sûr, c’était toujours une bonne idée, mais certaines fois plus que d’autres), Enkidu marmonna celle dont il se souvenait le mieux. La mémoire, comme souvent dans ces cas-là, fonctionna à sa façon et seule les prières qu’il avait appris enfant lui revinrent spontanément. Il fit une forme étrange avec ses doigts et récita à toute vitesse une poignée de phrases dans sa langue natale – une langue très éloignée du Bas Gothique, parlé par quelques centaines de personnes dans toute la galaxie. Le jeune homme se rendit compte qu’il se comportait – selon ses propres termes – comme un bouseux, il se contenta de marmonner en boucle, mécaniquement, en oscillant légèrement d’avant en arrière :

« Je veux mourir pour Toi je veux mourir pour Toi je veux mourir pour Toi je veux mourir pour Toi je veux mourir pour Toi je veux mourir… »

Puis la pluie de balle commença. Enkidu ne voyait rien mais rebondit contre diverses surfaces comme la portière ou le toit lorsque Strasser dérapa violemment pour mettre la voiture à la perpendiculaire de l’origine des tirs. Cela n’empêcha pas le jeune homme de reprendre immédiatement ses esprits et de baisser la vitre afin de suivre les ordres de Séphone. Tous ces entraînements, tous ces mauvais traitements ne servaient qu’à ce seul but.
Natus est cacare et abstergere coactus est.
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Stats :
Voie du sorcier de Nurgle (Profil avec empreintes occultes et mutations)
For 9 | End 14 | Hab 10 | Cha 6 | Int 15 | Ini 10 | Att 10 | Par 9 | Tir 9 | Foi 8 | Mag 18 | NA 3 | PV 140/140

Mutations/marques :
Nuages de mouches : -1 ATT/PAR/TIR/INI pour toutes les personnes à moins de 6m
Plaies suppurantes : 1d3 dégâts retranchés à chaque blessure
- Morsure Venimeuse : Poison hallucinogène
- Hideux (Effet : Peur)
- Organe du Chaos (-1 CHA/HAB, +1 END, +5 PV)
Pourriture de Neiglish : Porteur sain
Protection de Papy : 2d4 PdC à chaque critique en incantation
Grimoire :

- Lumière : À appliquer sur un objet ; Fait de la lumière pendant 1h
- Flammèche : Petite étincelle au doigt pendant une minute
- Météo : Connaît la météo prochaine
- Repos : Peu faire se détendre quelqu'un

- Infestation de Nurglings : 24m / 1d4 tours / Projectile magique. Une fois qu'une personne est touchée, elle subit 10+2d10 dégâts magiques par tour / Dès la fin du sortilège ou la mort de l'ensorcelé, des bubons explosent, libérant 2d3 amas de chair, qui sont autant de nurglings
- Fontaine putride : 6m / Instantané / 30+2d10 dégât devant lui + gain de 7 armure temporaire magique / +5 dégât par point de MA
- Gerbe corruptrice : 12m / 10+1d10 dégât dans une zone de 6m, esquivable ; métal rongé après 1d4 tours / -1 esquive par MA

- La multitude fait le tout : Se change en nuée de mouches
- Prodigieuse santé : Contact / Devient ultra bogosse et ultra chad
- Grande invocation de petits amis : Invoque des insectes pour servir d'ingrédients
- Immonde messager : Peut envoyer des messages twitter (Caractères limités)
- Allégresse fétide : Supprime toute douleur mentale ou physique
- Divine urgence : Force la cible à faire un jet d'END. Diarrhée en cas d'échec.
- Paludisme dévorant
- Vent de Nurgle
- Torrent de corruption

- Invocation : Nurglings
- Invocation : Bête de Nurgle
- Invocation : Porte Peste
- Octogramme de conjuration
Compétences :
- Résistance accrue : +1 END aux jets testant la résilience physique (Fatigue, drogue, alcool, torture...)
- Vol à la tire : +1 pour escamoter quelque chose
- Baratin : +1 pour endormir la vigilance de quelqu'un
- Déplacement silencieux : +1 pour fureter quelque part
- Déguisement : +1 pour s'infiltrer en étant déguisé
- Alphabétisation
- Autorité
- Humour
- Empathie
- Coriace

- Sens de la magie : Sur un test, détecte les événements magiques
- Incantation (Domaine de Nurgle)
- Maîtrise de l'Aethyr (Nurgle) : 3
- Contrôle de la magie
- Divination (Oniromancie) : Sur un test au cours de son sommeil, peut découvrir la destinée de certains personnages
- Langue hermétique (Langue Noire) : Parle la langue immonde du Chaos
- Confection de maladies : Peut fabriquer des maladies communes et rares
- Connaissance des démons
Équipement de combat :
- Bâton démoniaque : 2 mains ; 10+1d8 dégâts ; 8 parade ; Assommante & Utilisable seulement par les classes magiques. +1 PAR
- Pistolet à répétition : 46+1d8 dégâts, malus -2 TIR/8 mètres, peut tirer cinq fois à la suite avec un malus de -1 TIR par chaque nouveau canon qui fait feu
- Agaga (Épée à une main) : 18+1d10 dégâts ; 13 parade ; Rapide, Précise, Perforante (2) ; +1 INI
- Cocktail Molotov (x4) : Dans un rayon de 1m, toute personne qui est touchée par la bouteille prend trois états de « Enflammé ». Dans un rayon de 2m, c'est 2 états seulement. Dans un rayon de 3m, un seul état.

- 15 balles et poudres

- Tenue de cultiste de Nurgle : 5 protection ; Tout le corps sauf tête

- Anneau d'Ulgu : Lorsque porté, vous pouvez faire croire à ceux qui vous entourent que vous êtes un humain lambda (sans mutation aucune ni trait particulier) pendant 1 heure. Vous ne pouvez utiliser cette capacité qu’une fois par jour. Vous ne pouvez pas prendre l’apparence d’une personne en particulier.

- Miroir de la Demoiselle d'Acques
- Cor de la harde des Museaux Annelés
Équipement divers :

- Marque de Nurgle
- Caresse de la vipère (poison) : Un sujet blessé par une arme enduite de ce venin doit réussir un jet d'END-4 sous peine de mourir dans END minutes. Chaque minute avant sa mort, le sujet subit 5 points de dégâts non sauvegardables, et un malus cumulable de 2 à ses caractéristiques.


- Couverts en bois
- Sac à dos
- Couronnes dentaires en bois
- Tatouages
- Porte-bonheur

- Sap-biscuit

- Costume de répurgateur + Fleuret (Déguisement)
Divers divers :

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[MJ] La Fée Enchanteresse
Warfo Award 2021 du meilleur MJ - Élaboration
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par [MJ] La Fée Enchanteresse »

Et donc, la violence était de retour. En seulement une poignée de secondes, les tirs recommençaient dans tous les sens, les balles fusaient, les portières étaient choquées d’impacts, et voilà que, au milieu de la rue, les agents des Logiciens, mercenaires surentraînés et suréquipés, se mettaient à se déplacer dans tous les sens.

L’un d’eux se payait même le luxe de posséder la même augmentation terrifiante que celle de Strasser — par accoups terribles, le voilà qui apparaissait puis disparaissait d’un mètre à l’autre, fusil automatique en main. Dans le même temps, en quelques ordres précis et aboyés, le reste du groupe se déplaçait tout en faisant feu de toutes leurs armes, attaquant tant l’automobile accidentée que le groupe des acolytes derrière le SUV.

Séphone se pencha à côté et commença à tirer plusieurs rayons lasers ; une balle ricocha devant elle et la frappa de côté, la forçant à s’échouer à terre rien qu’un instant. La gueule maculée de sang, elle râla et hurla au groupe :

« Gardez votre sang froid ! Ils sont exposés comme des rats !
TIREZ TOUS BORDEL ! »


Strasser se pencha aussi de son côté pour vider le chargeur de son pistolet. Enkidu, lui, solidement posé dans le SUV, claqua des doigts pour canaliser l’horreur du Warp, et put ainsi, sans lever la tête, aligner assez facilement son lasfusil avec l’un des policiers en train de tirer. Un coup frappa l’un d’eux à l’épaule…


…Mais alors que la fusillade commençait, c’est de la voiture accidentée que la véritable horreur débutait. Parce qu’une étrange silhouette casquée surgit devant les hommes à baïonnettes.
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La jeune femme posa un doigt sur sa tempe. Même à soixante mètres, Enkidu put voir, à sa grande horreur, que cette femme ouvrit un morceau d’elle-même — dans son dos, il vit, un instant fugace, les ombres grisâtres de quatre démonnettes qui commençaient à lui caresser le crâne. Elle résista à leur corruption, leva son gros revolver, et tira devant elle, anticipant ainsi la course d’un des flics qui ramassa la balle en pleine tête, et s’effondra, blessé, mais encore vivant, le métal collé à son crâne lui offrant un sacré secours…

Deux des hommes à baïonnette la chargèrent. Mais alors, pour épauler sa compagne psyker, une autre femme apparut elle aussi, encore plus terrifiante qu’une qui invoquait des démons.
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Une femme quasiment nue, couverte de pièces de métal archaïques qui ne couvraient pas vraiment ses parties vitales, trachée excepté. Dans chaque main, elle tenait un sabre, et son visage aux yeux globuleux de noir, comme deux morceaux de jade, étaient couverts d’un sang épais — elle s’était ouverte l’arcade sourcilière, de même qu’elle avait des traces de brûlure et d’impact un peu partout. Elle ouvrit grand sa bouche en hurlant comme un serpent — ses dents avaient été limées pour lui donner des canines acérées, comme un animal, ou un vampire des contes pour faire peur aux enfants.

Elle se jeta sur les policiers, les força à écarter leurs baïonnettes de coups de lames, et commença à taillader dedans pour s’engager avec eux dans un terrible corps-à-corps. L’un d’eux parvint à esquiver sa lame, et à lui planter son poignard dans la cuisse ; en toute réponse, elle lui arracha net le nez.

Pendant qu’ils étaient ainsi engagés, un troisième larron courrait dans un tout autre sens : dans sa main, il tenait un servo-crâne qu’il lançait en l’air pour l’activer. Puis, se tourna, il épaula un gros fusil archaïque du Moyen-Âge technologique avec lequel il visa l’agent à terre que la psyker avait déjà engagé : un éclair d’énergie suivi d’un étrange projectile acheva de faire exploser la tête du malotru.
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Ses vêtements rouges et le gros insigne de rouage sur sa cuirasse ne laissait aucun doute : il était un membre du clergé de Mars. Plus que cela, il était un Skitarii, les troupes de choc du Mechanicus.

Enfin, la portière conducteur fut ouverte vive, et le Clarificateur-Medicae Sand, sonné, un œil fermé, l’impeccable costume rouge d’hémoglobine, levait ses deux pistolets, un dans chaque main, pour cribler de balles le premier agent Logicien qui se tenait devant lui.

Les policiers étaient maintenant pris entre deux violents feux, mais la bataille ne faisait que commencer.
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Helveticus Matix
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par Helveticus Matix »

Le vacarme des balles qui s'écrasent contre la carosserie fait trembler mes doigts. Plusieurs fois, j'entre la mauvaise directive sur le clavier de l'auspex et l'artefact se dérègle, me forçant à tout recommencer. Au bout de la troisième, un ordre soudain de Séphone me fait sursauter et lâcher le boîtier sur la banquette.
Elle a raison : l'ennemi est juste là, à découvert. Faire preuve d'autant de prudence se traduira par une perte conséquente d'efficacité. Honteux, je range l'auspex et tente de me convaincre de prendre position pour tirer. Mais les balles continuent de fuser par la fenêtre, j'ose à peine relever la tête pour observer le champ de bataille.

Je découvre alors les membres de l'équipe d'intervention de Sand. Les deux premières me terrifient. L'une provoque chez moi le même malaise que lorsqu'Enkidu utilise ses pouvoirs, et je sens que ses tirs précis ne sont pas seulement issus de prouesses technologiques.
L'autre me rend à la fois perplexe et dégouté. Tant de chair exposée, sans protection, en plein combat! Quelle effarante cogitation a bien pu mener à un si pitoyable raisonnement? Les cicatrices sur son corps semblent presque anodines comparé aux risques encourus.

Et ce tatouage... repentez-vous... impossible de dire pourquoi, mais cela me révulse encore plus que toutes les autres caractéristiques du personnage. Il me met... en colère? Est-ce une nouvelle forme d'indécence qui s'expose à moi aujourd'hui?

Fort heureusement, la tunique rouge du Mechanicus vient illuminer le tableau. Un skitarii, abattant d'un tir précis l'un des policiers à terre. Dans toute sa splendeur? Pas vraiment, je suis un peu interloqué par son visage terriblement... humain. J'ai croisé plusieurs de ces modèles sur l'Arche et aucun n'exposait son visage de la sorte. Mais qu'importe! Un autre représentant du Culte se trouve à Lutèce!

Cela me donne courage et, après avoir trouvé une accalmie dans l'assaut des policiers, je décide enfin de répliquer. En me callant partiellement derrière la vitre à droite de la fenêtre ouverte - espérant ainsi protéger mon visage d'une balle un peu trop précise - je fixe le pistolet mitrailleur sur la lucarne et vide le chargeur sur l'ennemi.
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Helveticus Matix, Voie du Technoprêtre
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Reinhard Faul
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par Reinhard Faul »

Enkidu n’eut que peu de pensée pour les nouveaux venus, d’une part parce qu’il était au milieu d’une fusillade, d’autre part parce que sa collègue, immédiatement après son arrivée, invoqua des démons en ratant un sort.

Le jeune homme hurla de douleur et de terreur en sentant des démonettes si près de lui. Mais il continua de tirer. De toute façon ça n’avait aucune importance, puisque la Psyker réussit à les renvoyer par la force de sa volonté. Enkidu n’avait rien vu, mais il avait senti le contrôle terrible que la femme avait exercé sur elle-même. Il était toujours étrange de frôler la catastrophe de si près, si rapidement, qu’on ne réalisait qu’après coup à quel point on était passé près de la mort.

Si les circonstances étaient autres, la femme peu vêtue aurait bien arraché quelques pensées complexes à propos de la vie intime d’Enkidu (qui n’avait pas besoin de ça), mais ce n’était pas vraiment le moment. Tout comme le Skitarii. Le jeune homme s’efforçait bêtement de ne pas leur tirer dessus.

Le Clarificateur Sand était présent également – c’était ce qui faisait que la présence des trois autres n’étaient pas aussi incongrue et terrifiante qu’elle pourrait l’être. Le Psyker devina rapidement que c’était des acolytes. Mais formuler une opinion plus complexe ? Ça attendrait de ne pas être dans une voiture qui se fait tirer dessus.
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- Allégresse fétide : Supprime toute douleur mentale ou physique
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- Paludisme dévorant
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- Invocation : Nurglings
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- Invocation : Porte Peste
- Octogramme de conjuration
Compétences :
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- Incantation (Domaine de Nurgle)
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- Contrôle de la magie
- Divination (Oniromancie) : Sur un test au cours de son sommeil, peut découvrir la destinée de certains personnages
- Langue hermétique (Langue Noire) : Parle la langue immonde du Chaos
- Confection de maladies : Peut fabriquer des maladies communes et rares
- Connaissance des démons
Équipement de combat :
- Bâton démoniaque : 2 mains ; 10+1d8 dégâts ; 8 parade ; Assommante & Utilisable seulement par les classes magiques. +1 PAR
- Pistolet à répétition : 46+1d8 dégâts, malus -2 TIR/8 mètres, peut tirer cinq fois à la suite avec un malus de -1 TIR par chaque nouveau canon qui fait feu
- Agaga (Épée à une main) : 18+1d10 dégâts ; 13 parade ; Rapide, Précise, Perforante (2) ; +1 INI
- Cocktail Molotov (x4) : Dans un rayon de 1m, toute personne qui est touchée par la bouteille prend trois états de « Enflammé ». Dans un rayon de 2m, c'est 2 états seulement. Dans un rayon de 3m, un seul état.

- 15 balles et poudres

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- Caresse de la vipère (poison) : Un sujet blessé par une arme enduite de ce venin doit réussir un jet d'END-4 sous peine de mourir dans END minutes. Chaque minute avant sa mort, le sujet subit 5 points de dégâts non sauvegardables, et un malus cumulable de 2 à ses caractéristiques.


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Diederick von Bildhofen
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Re: [Dark Heresy] Le tranchant des ténèbres - Partie II

Message par Diederick von Bildhofen »

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J'étais un peu déçu que l'on écorche pas vif le malandrin comme l’ampleur de ses crimes l’exigeait. Tant pis. Mes collègues semblaient miséricordieux. À la place il s’agit de suivre notre le ‘’collègue’’ rencontré au motel. Très meurtrier, très professionnel. Des qualités qu’on ne peut qu’admirer dans la garde.
Aussi lorsqu’il suggéra que l’on charge comme des fous furieux vers les coups de feu, puis que l’on descende pour entrer en combat à pieds, j’ai bien entendu dit oui. Surtout quand la vermine face à nous, on le découvrit, s’en prenait à notre contact monsieur Sand. Pas question que celui ci nous claque entre les mains à cause de quelque vermine d’égout.

Aussi ouvris-je le feu avec une grande détermination dans la direction générale de nos assaillants, anticipant le moment où ils s’approcheraient trop de nous, où l’opportunité de les découper se présenterait. Joie.

Le moment le exaltant : la charge à la baïonnette.
Si un rigolo s'approche de trop je sors la hache et je le hache en chargeant.

BULLIAAAAAAAA !!!
Le savoir c'est le pouvoir. Et savoir quand le garder, le cacher, le partager, cela est la véritable épreuve de ceux le détenant.

Diederick Maria Reichenbach Bruno "Ruichen" von Bildhofen, Voie de l'étude de la connaissance
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« Alors que tu défiais le couvre-feu, tu découvres une vertu trop zélée. »

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