[Période des Trois Empereurs][Scuzz] L'éveil des Bâtards.

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Depuis la Déchirure jusqu'à la création de l'Empire et de la Bretonnie, revivez ces âges passés de légendes.

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Scuzz
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[Période des Trois Empereurs][Scuzz] L'éveil des Bâtards.

Message par Scuzz »

Les sous-sols. Quelque part sous Mordheim.

-Description des Bâtards-

Assassin, leader des Bâtards, Ra'Ysh
Pelage brun, 1m80 légèrement courbé.
Signes particuliers : de multiples cicatrices sur la gueule.
Armes de prédilection : arme de pugilat, griffe et une courte lame suintante.
Aucun confrère ne sait d’où il vient ni son histoire. Les couineurs disent même qu'il occuperait une place importante près du Maître de la nuit. Mais ce ne sont que des histoires de couineurs...

Les jumeaux, Skavens Noirs, Tchiki & Zoukz
Pelages noir comme la nuit. 1m75
Signes particuliers : attaquent toujours simultanément, couinements particulièrement strident.
Armes de prédilection : dague suintante et pistolet à malpierre.
Étrangement fidèle à Ra'Ysh. Peut-être trop d'après certains... La loyauté chez les skavens...
Ils ont fait partie du Blood Bowl Club de Skarogne, le célèbre [BBCS], pendant deux ans. Des coureurs hors paires.


Un sorcier du Clan Eshin, Shnitz et son Rat-Ogre, Mozz.
Schnitz

Pelage marron foncé, très maigre, 1m90.
Signes particuliers : pelage brulé à de nombreux endroit. L'abus de malpierre est dangereux pour le pelage.
Armes de prédilection : Sarbacane et dague suintante
Tout ceux qui le connaissent l'on connu accompagné de Mozz. Ses connaissances des vents magiques en font un atout précieux pour les Bâtards. Certains disent même qu'il tire les ficèles dans l'ombre.
Mozz
Pelage brun, 2m50
Signes particuliers : morceaux de malpierre incrusté dans son torse
Arme de prédilection : ses bras et griffes anormalement solides et aiguisées.
"Écraser, aplatir, éventrer, manger-manger, dévorer"

Une vingtaine de coureurs nocturnes , l'union fait la force.
Armes de prédilection : Dague, épée courte, griffe de combat, sarbacane.
Enfermé, battu, privé de nourriture. Seul les survivants à l'isolement ont la chance d'intégrer le rang de coureur et recevoir l'entrainement chez les Bâtards.

Six vermineux, leader des coureurs nocturnes
Arme de prédilection : Dague suintante et épées courtes enchantées par les soins de Schnitz.
Pour en arriver là, ils ont au moins un an d'ancienneté au seins des Bâtards. Très peu on eut cette chance. Non pas d'être promu mais de vivre plus d'un an au sein des Bâtards.

Scuzz, le fouineur. Adepte du renseignement.
A servit sous les ordres de Trois-Vérités. Son passé est encore très flou... Aujourd'hui espion personnel de Ra'Ysh
Ra'Ysh, leader des Bâtards, crevure des parmi les crevures s'impatientait. Plongé dans une concentration profonde, immobile comme une statue, les oscillations de sa cage thoracique étaient imperceptibles. Pourtant personne n'osait croiser son regard rougeoyant qui laisser passer toute l'expression de sa colère. L'informateur était trop long.
Face à lui ses deux officiers, Tchiki et Zoukz. Tout deux concentrés sur leurs armes. Un rituel qu'ils répétaient sans fin. Passant leurs griffes sur le fil de leurs dagues suintantes et vérifiant la mire de leurs pistolets à malpierre.
Ra'Ysh et ses deux lieutenants avaient de longues heures route derrière eux. Ils avaient constitué leur escouade en recueillant les pires saloperies rescapés de différents champs de batailles.

Shnitz en était un parfait exemple. Toujours au bon endroit et sachant bien s'entourer, il n'avait presque jamais eu à se battre. Il avait bien entendu survécu aux tests pour rejoindre le Clan Eshin. Surnommé "Sorcier" du au sein des Bâtards, pour son savoir faire particulier pour enchanter les armes aux fragments de malpierre. Il avait su attirer l'attention de Ra'Ysh et s'offrir la protection de Mozz. Son "idiot-idiot" comme il ose l'appeler. Cet énorme rat ogre qu'il drogue à la malpierre. Mozz n'est effectivement pas très malin mais le regard du Sorcier frénétique, rouge et terrifiant aux éclats verdoyant rappelant la malpierre, lorsque qu'il incante et laisse apparaitre la marque du Rat Cornu, lui donne le dessus sur le molosse. Jetant des morceaux de viandes en putréfaction à son idiot, Shnitz s'amusait à regarder les coureurs nocturnes immobiles et entassés plus bas dans la planque.

Les six sergents n'étaient pas tous là. Deux d'entre eux veillaient à ce que les coureurs travaillent leurs postures. Rester immobile pendant des heures. Les postures étaient toutes issus des techniques secrètes Eshin. Un rituel inutile pour n'importe quel non initié. Le moindre mouvement de travers offrait la possibilité d'aller jouer avec Mozz...

Il est de retour, ici-ici, le fouineur est de retour Sombre Ra'Ysh.
Le simple regard que lança Ra'Ysh à l'un de ses sergents qui brisa le silence qui régnait, suffit à le faire déguerpir laissant derrière lui, un musc glacé de terreur.
Scuzz pénétra dans la salle un brin essoufflé mais dissimula immédiatement ce signe extérieur de faiblesse.
Les trois leaders ainsi que le Sorcier ne le lâchait pas du regard. Le changement d'attitude du Sorcier excita légèrement Mozz qui tout en fixant Scuzz laissa échapper un énorme filet de bave verdâtre.
Ils bougent-ils bougent, Sombre Ra'Ysh ! J'ai observé patiemment, longtemps-longtemps. Une chose-homme vieille comme Mordheim, c'est fait jeter-jeter du coin à manger. Il annonçait des choses étranges-étranges qui m'ont rappelé l'une de vos histoires sur Mordheim.
Scuzz répéta les phrases du vieux mandiant, après s'être fait jeter dans la rue par ses semblables choses-hommes. Les yeux de Ra'Ysh s’écarquillèrent, brillants, plein de démence.
Depuis beaucoup de choses-hommes investissent la cité !
Je vous l'avais bien dit, Puissant Ra'Ysh, qu'il se préparait quelque chose, les vents magiques m'ont parlé, murmura le Sorcier.

Ra'Ysh se releva doucement. Les troupailles agglutinées en contre bas cessèrent l'exercice et formèrent un un bloc rangé.
Scuzz, vil fouineur, tu ouvriras la course-course sous l'autorité de Tchiki et Zoukz. Je pars devant-devant. Nous allons mettre la main sur un objet brillant-brillant de la plus haute importance !
Après quelques mètres, il regarda ses Bâtards et juste avant de disparaitre s'adressa à l'assemblée.
Tuez-tuez et encore tuez les tous-tous! Où je volerai moi même votre vie-vie sans importance !
Gloire au Rat Cornu ! Gloire aux Bâtards ! Ces deux phrases résonnèrent dans un couinement générale.

Un musc d'agressivité, de haine et d'envie de sang imprégna la planque. Les Bâtards réclamaient de la chair juteuse.
Comment veux-tu que j'écrive la suite puisque le tour 1 est déjà passé ?
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[MJ] XVI
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Re: [Concours / Scuzz] L'éveil des Bâtards.

Message par [MJ] XVI »

longueur convenable, quelques informations utiles, mais pas vraiment de véritable objectif.
Je ne suis pas super fan de ton encadré, Je pense qu'il est possible de glisser des descriptions de façon plus littéral.
Attention a la temporalité, prends bien en compte les textes de "cadrage" que j'ai posté.

Les bâtards se voient imposer un potentiel de départ égal à 2D6.

Le tour deux était un tour d'affrontement, mais vu que -suivant une longue tradition skaven- tu est apparu après la distribution des adversaires, tu te retrouve sans personne. Bien joué. Tu fait donc au tour deux ce que les autres ont fait au tour un a savoir un descriptif de première incursion dans les ruines (attention au texte cadre du tour deux qui est contraignant)

§§§§


Une pluie froide battait le toit délabré du bâtiment, la lumière s'échappant de ses fenêtres perçait l'obscurité de la nuit et le bruit lancinant d'une vielle à roue en perturbait le calme. Humide et à moitié en ruine l'ancien hangar agricole, était maintenant une taverne au prix exorbitant où la lie des mercenaires venait dépenser les fruits de leurs recherches cupides. Ici on payait comptant et les gardes du caïd local ne faisaient aucun cadeau. Mais la météo exécrable depuis plusieurs jours, avait vidé les camps de toile et on se pressait autour du feu de tourbe qui fumait dans la bâtisse.

Poussant la porte, un vieillard claudiquant fit son entrée. Il était décharné, son antique peau tendue anormalement sur ses os grinçants, il marmonnait des propos incohérent, balançant sa tête chauve couverte de scarification et faisant tinter les cranes de rat qu'il portait dans sa barbe hirsute. On ne lui prêta pas attention, tout le monde ici avait déjà aperçu l'infirme errer çà et là. Les fous étaient légions aux abords de la ville, ils survivaient on ne sait trop comment et finissaient tôt ou tard par disparaitre. Des plus vieux vétérans auraient pu témoigner que Niklaus trainait ces guêtres en lambeau dans le coin depuis plus longtemps qu'eux, certains diraient même qu'il était un ancien habitant de la cité, survivant du cataclysme, mais les anciens étaient rares, car ici l'air vicié finissait toujours par vous emporter. Sauf Niklaus, apparemment.

L'ancêtre voulu se diriger vers le comptoir, Otto le plus impressionnant des videurs interposa son imposante carcasse d'ogre. L'établissement n'avait pas de temps à perdre avec les crèvent-la-faim ayant oubliés jusqu'à l'existence de la monnaie. D'un négligeant mouvement de son ventre obèse, l'anthropophage projeta l'aïeul au sol. Le bruit pathétique émit par le choc du crane de l'infirme sur une pierre provoqua le rire mauvais du vigile, mais l'hilarité se transforma bien vite en perplexité lorsque de la bouche édentée sortit une voix dure couvrant le brouhaha général.

A L'aube du septième jour de la septième lune, la ville affamée rendra sa fille dorée

Dans le temple d'argent, son maître reprendra sa peau, sa couronne plus belle que jamais

Mais un autre règnera, car les ordres des morts ne sont que des murmures pour les égarés



Un léger malaise imposa le silence dans la grande salle, puis de puissant éclats de rire fusèrent de partout. Les prophéties n'étaient pas rares dans ces lieux surnaturels et la canaille sans foi ni loi n'en gaussait, Mais dans les yeux des plus malins une lueur c'était allumé, ce présage semblait évoquer un temps très proche. Le corps de l'électeur de l'Ostermark n'avait jamais été retrouvé et son antique couronne airain non plus, le quartier même où il aurait dû se trouver lors du cataclysme, celui des marchands, avait tout simplement disparu, avalé par les distorsions aberrante peuplant les ruines. Alors qu' Otto jeter l'augure dehors, certains s'empressèrent d'enfiler leurs manteaux et partirent silencieusement dans la nuit informer leurs maîtres.[/align]
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Les théologiens s'affrontent souvent pour savoir à quel calendrier se réfèrent les prophéties, il est donc difficile de savoir si celle de Niklaus le fou était précise, mais en cet hiver de l'année 2010, la terre trembla à Mordheim. Les secousses sismiques n'étaient pas rares dans la cité des damnés, mais cette nuit-là, la puissance ressentie était exceptionnelle, un impressionnant nuage de cendre se mêla à l'atmosphère déjà chargé de la ville, se propageant sur les faubourgs et les hameaux des alentours. Cette poussière, éclairait par les incendies surnaturels de l'agglomération, prit une teinte ardente et dans son épaisseur des silhouettes tournoyantes se détachèrent. Un son de trompe succéda aux grondements et toutes les abominations des rues hululèrent en réponse. Dans le ciel, le ballet des apparitions s'harmonisa avec la musique et pris un rythme effréné. Avec une joie malsaine d'autres créatures se joignirent aux farandoles et autres cercles, pour que finalement dans une grande répétition de la nuit du jugement dansent ensemble morts, démons, bêtes et hommes. Au paroxysme de cette virevolte impie, le sol trembla de nouveau, brouillant puis dissipant l'image. Seules les trompes résonnaient encore. Un splendide hôtel particulier apparu dans le brouillard incandescent, à l'intérieur une cour décomposée de fêtard bariolés entouré un monarque, le front pourrissant ceint d'une couronne miroitante. Un puissant craquement se fit entendre et de très nombreuses pierres ou structures de la cité s'élevèrent lentement dans les airs, voletèrent au grès de vents imaginaires, avant de brutalement s'effondrer et se ré-enchâsser au sol.

En une nuit les quelques cartes tracées par les explorateurs devinrent obsolètes, déformant les distances et les perspectives la rue des marchands s'intercala entre les docks et les quartiers nobles, elle réapparue aussi inexplicablement qu'elle avait disparu, encore toute décoré pour la fête fatale, mais l'impact de la comète n'avait pas épargné ses très nombreux occupants. Changés, Vides, enragés et obéissants à l'homme qui les avaient sacrifiés pour échapper à la colère des dieux, les anciens débauchés sortirent de leurs stases pour bousculer le rapport de force dans les rues. A leur tête, l'enveloppe qui avait contenu l'âme du comte d'Ostermark procédant les symboles du vieux pouvoir revendiqua son ancien titre.

Les très nombreux aventuriers qui peuplaient les faubourgs, tentèrent leurs chances dès le surlendemain, une fois la poussière retombées. Les cartes avaient été rebattues, la fortune souriraient à qui serait assez fort ou rusé pour l'arracher à des mains chancelante.
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-- 30 Nov 2015, 17:57 --
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La fosse s'anima. De la douleur, la rage et la folie qui en saturait le fond, émergea brièvement une conscience malade. Un but obnubilant la motivait : s'emparer du symbole de souveraineté. Pâle reflet d'un objet tant convoité, mais inaccessible, il lui revenait de droit. Il était le maître et tous l'apprendraient.

Son esprit se tendit, s'extrayant avec peine hors de sa prison et toucha une statue difforme qui réagit violemment à ce contact, son corps de pierre rua comme sous l'effet d'une violente douleur. Les pages du codex chevillé à son dos s'animèrent, défilèrent pour s'arrêter au feuillet quarante-sept, le livre dégagea une forte odeur de soufre avant de s'embrasser sans se consumer. Les multiples visages de l'effigie minéral s'animèrent, se tordirent sous l'effet apparent d'un profond inconfort et une bouche sembla vouloir crier. Tous dans la physionomie de la créature évoquait un hurlement, mais aucun son sortait de son orifice, au contraire un lourd silence en sortit pour éteindre les bruits de la ville. L'énorme fragment de pierre magique qui animait l'abomination se consuma lentement en alimentant le sortilège.

La conscience démoniaque perdit de sa subsistance, s'effrita, mais parvient à se fragmenter. Les lambeaux échouèrent dans une dizaine de corps dont l'âme avait été chassée il y a bien longtemps. Les dernières parcelles de désir réveillèrent les entités enragées qui y étaient enfermées et subliminalement leurs donnèrent un but.

Poussant des hurlements silencieux et inaudibles malgré les pavés se brisant sous leurs sabots, onze possédés se ruèrent dans les rues pour accomplirent les souhaits de leur maître brisé.

Damnés, nul espoir. Même vos cris d'effrois vous sont volés.
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Tour 2: Exploration et combat dans la ville silencieuse. Fin le 6 décembre

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Scuzz
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Re: [Concours / Scuzz] L'éveil des Bâtards.

Message par Scuzz »

Passage dissimulé - Planque des Bâtards.

... 18, 19 et 20-20 ! Deux des sergents de Ra'Ysh échangèrent un regard, les coureurs étaient au complet, ils pouvaient maintenant fermer la marche et emboiter le pas. Les Bâtards étaient gonflés à bloc, ils ne connaissaient toujours pas le but de l'expédition. Pour l'instant, seul les encouragements menaçant de Ra'Ysh résonnaient dans le crâne de vermine. L’escouade avançait rapidement dans les boyaux de Mordheim. Au milieu du peloton, deux autres vermineux veillaient à ce que les troupailles ne fassent pas de bruit. Malgré le quadrillage journalier de leur territoire, il n'était pas rare de trouver un mutant ou d'autres créatures aussi horrible que les skavens eux même. Ils étaient surexcités, leurs petits yeux rouges scrutaient tous les recoins pour ne pas trébucher ou remarquer la moindre chose, permettant de s'attirer les faveurs de leur hiérarchie. Un peu plus loin devant, le peloton était mené par les deux derniers sergents. Ses deux là avaient un rôle clé, ne pas perdre des yeux Scuzz et les lieutenants tout en gardant les coureurs en formation serré. La simple vision de Mozz juste devant les sergents de tête suffisait à donner un nouveau souffle aux moins endurants. Il n'était pas rare de voir Mozz déguster un coureur en dessous du niveau exigé par Ra'Ysh.

A la surface.

Les narines bien ouvertes, l'odeur fétide de Mordheim qu'il aimait tant pénétrait dans ses narines. Le flair de Ra'Ysh ne pouvait pas le tromper. L'air était changeant. Pas besoin d'être un tisseur de sorts pour sentir cet atmosphère oppressante. Les informations de son fouineur allaient surement se vérifier rapidement. Cette petite ruelle était parfaite, plantant ses griffes acérées dans les poutres de bois et glissant ses pattes dans les interstices entre les pierres des habitations, c'était un jeu d'enfant pour Ra'Ysh de prendre de la hauteur. Maintenant sur les tuiles, il se rapprochait de la Grande Librairie. Scuzz lui avait parlé du quartier marchand. De ce haut bâtiment il aurait un point de vue imprenable ce les ruelles voisines. Une dernière traction lui permis de prendre position sur arche, abrité des lueurs de la lune par la haute toiture.

Les entrailles de Mordheim.


Scuzz leva une patte griffu donnant le signal pour que la troupe s'immobilise. L'endroit était large, une intersection entre plusieurs canaux déversant leurs immondices dans un plus grand canal. Scuzz glissa quelques mots aux jumeaux. Tchiki & Zoukz inclinèrent la tête simultanément.
Nous-nous allons émerger juste ici--ici par les plaques de métal noire-noire.
Au dessus-dessus glisser vous--vous dans les sombres recoins-- loin-loin de la lumière de la lune.
D'après notre fouineur et Ra'Ysh le Sombre, nous--nous devons mettre la main sur une couronne brillante --brillante. Beaucoup de choses-hommes la convoitise comme nous--nous, restons dans les ombres noire--noire, laissons les choses-hommes s'entretuer avant de plonger--plonger sur les survivants pour les tuer--tuer tous--tous ! Et les croquer--les saigner et avaler leur chair encore chaude-chaude ! L’objectif reste la couronne, ne l'oubliez pas bande d'idiots--idiots !
Mozz grogna entendant son surnom retentir des les couloirs crasseux. Schnitz caressa le molosse.
Mozz et moi sortirions un peu plus loin-loin, les plaques sont trop étroites pour toi grosse brute. Soyez sage-sage... Pour le Rat Cornu! Glissa Schnitz avant de se fondre dans les ténèbres.


A la surface - Après le tremblement de terre.

Ra'ysh était suspendu à une partie de l'arche qui n'avait pas céder pendant le séisme. Le corps relâcher pour économiser ses forces, il contemplait le quartier Marchand redessiné à travers l'opaque fumé qui se dissipait peu à peu. Lui qui attendait un signe, un évènement, il était servit, celui-ci lui avait presque couté la vie.

La troupe de Bâtards quand à eux avaient essuyés le phénomène pendant leur extraction des égouts. De nature méfiante et drôlement agile lorsqu'il faut se mettre à l'abri, tous les coureurs étaient sortis sans encombre. Ils ont essuyé une pluie de petits cailloux et quelques gravats mais rien d'alarmant pour la santé des troupes. En revanche, un tout nouveau musc avait remplacé celui de la haine suite aux hurlements qui ont résonné dans tout Mordheim. Le groupe suintait la peur et l'inquiétude, les couinements fusaient dans les rangs. Les Vermineux tentaient de remettre de l'ordre dans cette cohue sans trop de succès.
Allons-allons-allons...Est-ce de la peur que je renifle par ici-ici ?Mozz adore les trouillards... La voix grinçante de Schnitz suffit à glacer tout le monde et regagner le silence.
N'oubliez pas pourquoi--pourquoi nous sommes là et ce qui vous--vous attend si vous n’obéissez pas...
Nous allons prendre de la hauteur--hauteur, nous allons progresser par les balcons--balcons.

Rapidement, sous l’œil affamé de Mozz, les coureurs prirent place sur les balcons et les poutrelles de part et d'autres d'une des ruelles.

Scuzz de son coté avait gagné les toits. Il baigna le plat de sa lame dans la lumière de la lune pour avertir Ra'Ysh. Le signal fit mouche, un éclat lumineux perçant la nuit à intervalles régulier, Ra'Ysh ne pouvait pas se tromper ses Bâtards étaient en place.


Aux abords du Quartier Marchand.

Les Bâtards étaient de nouveau réuni. Arpentant les façades et les balcons dans le silence et dans les ombres tant que possible, ils évoluaient rapidement. Seuls, Schintz et son idiot de Mozz progressait au sol. Quittant les sombres recoins et les égouts, des rats de toutes tailles accompagnaient le sorcier et ralliaient le groupe en mouvement. Mozz en croqua qui devait avoir une odeur de malpierre un peu plus forte que les autres.

Ra'Ysh s'immobilisa, forçant le reste des sbires à en faire de même. Avec deux griffes il leur fit signe d'observer. Son geste fut précédé d'un silence et d'un calme terrifiant. Puis, ils entendirent des bruits de pas de plus en plus fort. Surpris par la cohue et la rapidité de passage, des choses-hommes courraient comme des dératées brandissant des armes et hurlants des phrases incompréhensible par la plus part des Bâtards. Un groupe de fanatiques en transe venait de leur couper la route. Vers où se dirigeaient-ils armes à la main... Voilà la question que Ra'Ysh se posa. Quoi qu'il en soit... Tapis dans l'ombre, il regardait les choses-hommes courir comme des dératés vers un lieu inconnu. Ceux là allaient surement contribuer à la diminution du nombre curieux dans les cruelles rues de Mordheim. Cette pensée chacun des Bâtards la partageaient. Le rouge perçant des yeux des hommes-rats brillait d'ambition, ils avaient faim de victoire et de chair.
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#Dague Eshin
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Re: [Concours / Scuzz] L'éveil des Bâtards.

Message par [MJ] XVI »

Tu ne semble pas avoir prit en compte le dernier texte (pas de silence, pas de possédés). Attention à l’atmosphère qui rend fou également, n’hésitez pas a décrire les particularité de la ville maudite. A par ça j'aime bien, je trouve le fonctionnement cohérent, mais ne sous estimez pas la dangerosité des rues, même sans prendre en compte les autres "bandes".

L'exploration des skavens, leurs permet de dénicher un potentiel de 3D6, avec un total de 5D6

-- 08 Déc 2015, 18:23 --

Dans l'hôtel où la comète avait trouvé Steinhardt, La cour s'anima. Fait de chair livide et l'énergie mau-dite, couvert des plus beaux atours souillés par la fête et la mort, les gentilshommes dégénèrent de fines pièces de joaillerie aux lames acérées et les dames encore toute échevelées, se tenaient prête à bruler d'un feu impies quiconque viendrait réclamer la couronne de leur maître.

Le premier fut une bête énorme, large comme un taureau et furieux comme Khorne, elle survola d'un bond les escaliers pour atterrir devant les portes de la grande salle. D'un formidable coup de défenses le monstre en brisa les battants envoyant une pluie d'écharde à la ronde. Malgré cette débauche de puissance quiconque n'ayant pas la porte dans son champ de vision aurait été incapable de percevoir l'assaut, Mais le couronné était figé en face de celle –ci et tous ses serviteurs surent l'arrivée du possédé en même temps que lui. Comme les éléments d'un même corps ils pivotèrent pour se ruer sur l'asseyant. La haine des femmes de cour se matériali-sa sous forme de lourdes flammes violettes qui écorchèrent la poitrine du colosse, calcinèrent ses yeux et em-brasèrent sa crinière. Ce n'était pas suffisant. Le premier courtisan fut promptement sectionné d'un non cla-quement de pince. Le corps du titan fut traversé de toute part par d'agiles bretteurs voulant entraver sa pro-gression, mais d'un large révère, ils furent tous dispersés. Les excroissances présentent sur le membre rageur mutilèrent les escrimeurs, mais leurs âmes damnées étaient bien trop solidement attachées à leur corps pour les quitter si vite. La bête avançait toujours entamant sans un bruit le parquet délicat de ses ongles, il savait malgré son visage aveugle que l'objet de sa convoitise se rapprochait. Un obstacle se dressa devant lui, grand et maigre, portant encore l'uniforme de la garde du comte. La créature enragée le frappa, mais la griffe ne toucha rien, elle fit un pas de plus, sa jambe en s'abattant ne put devenir un appui fiable, le soldat lui ayant sectionné le sabot d'un coup de lame. Le possédé s'effondra à une dizaine de mètres du trône. Le maître, immobilisé sur son siège leva son bras et lorsqu'il l'abattit les épées de tous ses esclaves firent de même. Chassé de son corps le démon flotta fugacement au-dessus de la foule avant d'être attiré dans un hurlement de mime dans l'un des joyaux de la couronne. Ce fut le premier prétendant, mais il en vint bien d'autres…


Très posément les traits de la statue se déformèrent. L'intense douleur qu'évoquaient ses visages se transforma en caricature de souffrance. La surface de la pierre se couvrit de tache de pourriture et avec une len-teur inexorable la corruption recouvrit la totalité de l'ouvrage. Les détails, les reliefs s'estompèrent, les extré-mités se fissurèrent et churent, les parties massives se désagrégèrent comme si elles étaient faites de chaire. Du cœur démoniaque il ne restait rien. Le sortilège consuma le minéral avant de mourir dans une plainte sourde. Un vent que personne ne pouvait percevoir dispersa les derniers résidus qui tachaient le socle. Les lois de la nature bien que continuellement violées reprirent momentanément leurs droits.

La nuit avait masqué les environs, un léger bruit se fit entendre avant qu'une silhouette se découpe dans la rue boueuse. Elle ralentit légèrement pour s'orienter avant de repartir d'un pas décidé. Ceux qu'elle venait voir était tout proche…



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Tour 3 : tour standard.
Vous pouvez avancer sur vos objectifs, croiser d'autres joueurs, rencontrer des monstres, vous battre, survivre, faire des alliances etc… La seule chose imposée est que votre groupe rentre en contact (amical ou pas, momentané ou permanent, à vous de voir) avec un Dramatis Personae (je vous rappelle que le fluff ne définit pas la fin de ces personnages, n'hésitez pas à le faire si le cœur vous en dit)

Mélissande : Bertha Bestraufrung
Vladimir : Marianna Chevaux
Anton : Aenur
Scuzz : Veskit
Meleté : Johann le surin

Fin du tour le 27 décembre

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Re: [Concours / Scuzz] L'éveil des Bâtards.

Message par Scuzz »

Quartier marchand - Égaré

Les modifications, les changements, la refonte que le quartier marchand avait subit ne l’arrêterai pas ! Il reconnaissait les rues et certaines intersections, mais plus rien n'avait de sens. Il y en avait-il déjà eu un à Mordheim ? Les vents magiques étaient déchaînées et l’oppressaient plus que jamais. Il avait pourtant l'habitude de côtoyer cette folie au quotidien et en avait fait sa meilleur partenaire. Sa folie lui offrait un camouflage dans les rues de Mordheim' elle fournissait à sa cervelle une explication rationnel à toute les choses démentes qu'il pouvait vivre et observer chaque maudit jour depuis que Mordheim était devenu sa plus belle histoire d'amour et son pire cauchemar. Pour une vermine comme lui, fruit de mutations et différents procédés contre nature, la cité maudite lui permettait de vivre, elle lui donnait l'impression d'exister. Abomination parmi les abominations et les monstruosités, il rêvait pourtant toujours de la même chose. Le pouvoir, la domination. Objectif intouchable jusqu'ici. Mais cette soif était encrée au plus profond de lui. Comme tous ceux de sa race, c'était dans ses gènes. Il la voulait pour lui. Rien que pour lui, Mordheim, la cité des damnés. Elle lui revenait de droit. Elle avait tant joué avec lui, tant charmé. Un grand pouvoir égermait dans la cité, détournant le regard de sa bien aimée sur le rejeton qu'il était. Mordheim n'était pas séduite mais arraché d'entre ses griffes ! Cette grande puissance qui modifiait les vents magiques et le structures matériels lui volait sa bien aimée. Il lui fallait la reconquérir. Était-ce une épreuve que sa Dame damnée lui soumettait. Mordheim l'avait changé, rendu plus fou et surtout plus fort... Lui fournissant toujours plus de malpierre. Il errait comme à son habitude dans les ruelles modifiées du quartier marchand. Veskit errait, attendant un signe de sa Dame...


Quartier marchand - Les Bâtards


Mené par Ra'Ysh, les Bâtards poursuivaient leur exploration. Ils avaient laissé les portes du quartier marchand derrière eux pour y découvrir un lieux tout nouveau. Ils n'avaient jusqu'à présent pas été plus dérangé que d’habitude par l'étrangeté qui régnait dans la cité. Après tout, des fils du Rat Cornu, logés dans une cité où un chaos des plus obscurs s'était installé, cette bande de skavens était peut être plus à sa place qu'ailleurs. Il quittèrent l'une des artères principale pour gagner un peu plus les ombres, cette dernière étant trop exposée aux lueurs de Mannslieb. Le groupe tout entier eu déjà l'occasion d'arpenter ce quartier à maintes reprises. Habitué et normalement en vadrouille dans un secteur connu de tous, la surprise fût de taille, Ra'Ysh stoppa une nouvelle fois sa troupe brusquement. Le dernier, encore en pleine extension, atterrit quelques secondes après l'ordre d’arrêt immédiat. Le simple bruit des griffes cliquetantes sur le balcon suffit à enflammer le regard de Tchiki & Zoukz. D'autres se bousculèrent légèrement laissant échapper de légers couinements. C'était au tour de toute la troupe de découvrir qu'il y avait une incohérence totale. La rue qu'ils s’apprêtaient de pénétrer, se trouvait normalement à l'autre bout du quartier. Ra'Ysh tourna lentement la tête et questionna très sèchement son fouineur.

Ton rapport ne disait rien-rien de tout ça. Peux-tu me fournir une explication ? Vite-vite !

Désemparé car tout aussi surpris que Ra'Ysh, Scuzz prit quelques secondes pour répondre. Il chercha du regard le mécanisme d'un tel théâtre. Rien, les lieux semblaient ainsi depuis toujours. Ses yeux cherchèrent même à trouver ceux de Schnitz mais celui-ci malgré toutes ses connaissances magiques avait l'air totalement perdu. Scuzz brisa donc son mutisme.

Tout-tout a changé-changé rapidement. J'observais encore-encore les choses-hommes avant de venir au rapport. Tout était normal-normal. Schnitz nous l'a dit, les vents magiques lui ont parlé.

Ra'Ysh n'écoutait qu'a moité son éclaireur ressentant au même moment une épaisseur perturbante dans l'air, toujours autant impalpable et à la fois oppressant. Un frisson balaya le pelage du leader.

Schnitz, guide nous-nous vers la source de ce pouvoir, reprit-il pour ne pas laisser sa troupe à l’arrêt trop longtemps. Il ne fallait surtout pas diminuer le moral des Bâtards. Une odeur de musc de peur se répandait déjà avant que Ra'Ysh ait fini de reprendre ses esprits.
Schnitz acquiesça et incanta. Une lueur verte brilla dans son regard et au même moment, une dizaine de petits rongeurs furent touché par la même magie. Les marionnettes convulsèrent et se raidirent.

Ouvrez le chemin. Sentez la magie. Informez moi-moi ! Ordonna Schintz à ses jouets.

Ne perdons pas plus-plus de temps Vermines ! Nous devons mettre-mettre la main sur cette puissance !
Mon ombre est la votre ! Que personne n'en sorte ! Que personne-personne ne ralentisse ! Cette puissante magie sera le dernier-dernier de vos soucis si vous me décevez....


Une vague de puissance dévastatrice envahit le raison de Ra'Ysh. Ces puissances qui flottaient dans l'air contenaient un pouvoir de corruption qui s'installait facilement chez les ambitieux plus que chez les idiots. La folie s'entendait tellement bien avec l'ambition démesurée des choses-vivantes peuplant le vieux monde.

Les deux officiers firent signe à Ra'Ysh. Ils venaient d'inspecter la bande. Ils rappelèrent aux coureurs que le bruit et le manque d'adaptation se payait cher.

Ra'Ysh abaissa son bras donnant le signal de départ aux Bâtards. Un seul coup d’œil lui permit de voir que mots avaient été bien intégré par l'ensemble. Derrière lui, une vague de coureurs ondulait de balcon en toiture, de chien assis en cheminées. Tous sauf un. Le maladroit avait payé de sa vie son erreur de timing sur le balcon plus tôt lorsqu'il fit résonné le bruit de ses griffes. Saigné à la gorge en exemple pour tous. Il s'effondra au sol après le départ de ses frères.
Au sol, Mozz & Schnitz progressaient au milieu de leur bande de rongeurs. Légèrement en avant pour donner les directions. Plus loin devant, les rongeurs aux yeux émeraudes flairaient la source de ce grand pouvoir.



Plus profond dans le quartier marchand.

Il ne pouvait pas se tromper. Les courants d'airs l'avaient porté jusqu'à son museau. La peur. Il l'avait sécrété des milliers de fois depuis qu'il s'était pris d'amour pour Mordheim. Mais il ne l'avait plus reniflé depuis longtemps. Des congénères n'étaient pas loin. Autre chose le taquinait, comme un appel, un écho lugubre. Ses idiots venaient-ils lui voler sa bien aimé ? Non-non impossible ! Il devait savoir. Il ne pouvait prendre le risque. La reconquérir il devait !

[Est-ce le signe ? Est-ce le signal ?]
Veskit se gratta la tête. [Je vous les offrirai ! Pour vous prouver-prouver mon allégeance, je vous les offrirai tous-tous ! Du sang pour la cité des Damnées !!! La cité est mienne !]

Veskit piocha dans sa poche et en ressorti un petit fragment vert qui termina sa course dans son gosier. Ses yeux émirent une lueur démoniaque.



***********




Les éclaireurs de Schnitz, avec une ruelle d'avance, ralentirent leur course et finirent pas s’arrêter. Le lien n'était pas de bonne qualité et Schnitz n'arrivait pas à savoir précisément. Le sorcier interpella Ra'Ysh, qui fit immédiatement signe à la troupe de ralentir la cadence. La distance diminuait et le lien s'améliorait. Schnitz informa le leader qu'un individu les attendait sans aucune précision supplémentaire.

Les Bâtards s’engouffrèrent dans la nouvelle ruelle. Ils pouvaient tous le sentir. La chose qui leur barraient la route n'était rien d'autre qu'un skaven. Il portait une odeur particulière.

Veskit s'avança.

Et bien-et bien, chers frères. A en juger par vos aptitudes, vous appartenez au sombre clan Eshin.

Les Bâtards découvrirent que l'inconnu n'avait plus grand chose d'un skaven normal. Tout aussi grand que Mozz. Celui-ci présentait d’énormes déformations. Veskit avait un troisième bras, munit de longues griffes au niveau de l'omoplate gauche. Deux queues anormalement grosses fouettaient l'air. Il n'avait plus de cou et sa mâchoire semblait être raccordé directement au haut de son poitrail musclé. Pour finir au sujet des mutations, son corps était mutilé à de nombreux endroits laissant sortir de temps à autre un morceau de pierre verte prit dans les cicatrices. Pour le reste, les articulations de son corps étaient composés d'un alliage de métal alimenté à la malpierre ciblé accentuant ses qualités athlétiques.

La légende vivante de Veskit, se tenait la devant eux.

Veskit à toutes les clés et connaît-connaît tous les secrets mieux-mieux que n'importe qui, de la belle Mordheim.

Ra'Ysh, Scuzz, les deux officiers restaient fixe face au colosse. Dans un coin, Schnitz observait la scène beaucoup moins troublé que les autres leaders.

Toi-toi tu nous fais perdre un temps précieux-précieux ! Annonça Ra'Ysh.
Un musc d'agressivité montait dans l'air et ce même musc se répandait petit à petit dans les rangs des coureurs
Qui-qui es tu pour te permettre d'interrompre notre mission ?

Je suis vieux... Très vieux... Mordheim est ma maison depuis trop-trop longtemps, ma mémoire me joue des tours. Laissez moi vous aidez en ses heures étranges. Voyez votre nombre et le mien. Si je ne vous suis d'aucune utilité... Vous savez mieux que moi ce qu'il m'arrivera.... Veskit peut vous aider, mieux que personne face aux forces qui émergent.

[Personne ne me volera Mordheim, pas même vous-vous, clan Eshin], cogitait Veskit. Ses yeux croisèrent ceux de Schnitz. Il ne le connaissait pas, pourtant un sentiment familier le dérangea momentanément, puis coupé par une nouvelle prise de parole, Veskit sortit de ses pensées.

Laisse le moi Ra'Ysh. Je le garde avec moi-moi. Continuez d'évoluer sur les hauteurs. Mozz et moi veillerons sur notre nouvel ami. Au moindre geste incohérent, nous le briserons, ponctua Schnitz avec une lueur vicieuse dans les yeux.

Bien-bien, ne me déçois pas Schnitz. Il est sous ta responsabilité, son erreur sera la tienne.
Quant à toi, Veskit, ne nous gêne pas ou ta longue-longue vie à Mordheim trouvera sa fin-fin cette nuit.


Les Bâtards se remirent en route, s'enfonçant toujours plus profondément dans le quartier marchand.
Schnitz lui semblait plus confiant que jamais.

Il me le faut-faut ! Le retrouver sera une chose facile-facile. D'après les écrits de ses glorieuses missions, il suffit de suivre les hurlements et les traces de sang.
Il faut faut-faut mettre la main dessus. Un certain Ra'Ysh arrivera à Mordheim d'ici peu d'après le Maître de la Nuit. Je dois le trouver-trouver.
Il faudra le convaincre. Le convaincre que je suis le seul à Mordheim à pouvoir entretenir-améliorer son corps de chair et d'acier.
Je ne connais pas ce Ra'Ysh. Je dois-dois me protéger. Assurer mes arrières. Mes spécialités sont rares et précieuses pour le clan Eshin... Mais je ne connais pas ce Ra'Ysh...
Je me dois d'écrire, encore-encore. Mordheim, me change. Elle me change de jour en jour. Cette satanée cité regorge de trésors pour le Maître de la Nuit... Cette cité détient également Veskit. Il est déjà immergé dans la folie de Mordheim depuis longtemps. Il va falloir l'approcher doucement. Les vents magiques et ce sbire idiot tout en muscle seront mes alliés pour le contraindre. Il doit s'agenouiller.
Lui laver le cerveau sera l'étape suivante. Je dois-dois avoir le contrôle sur lui sans que personne ne s'en doute. Il sortira de l'ombre au moment voulu. Au moment où je le désirerai.
Pour l'instant. Je dois-dois rester maître de moi même pour que Mordheim ne prenne pas le dessus.

Extrait du journal griffonné de Schintz.
Scuzz, coureur d'égouts
Voie du Clan Eshin [Voie de l'Assassin Skaven]
Profil: For 8 | End 9 | Hab 11 | Cha 5 | Int 10 | Ini 10 | Att 11 | Par 9 | Tir 7 | NA 1 | PV 36/60
Fiche personnage
Équipements

#Combinaison d’assassin Eshin
[ Protection 4 => Torse, dos, bras et jambe]

#Dague Eshin
[Rapide]
[Dégâts 16 + 1d8]
[Parade 4]
(si RP dans le dos, elle peut obtenir la compétence précise et/ou un bonus de dégâts décidé par le MJ)

#Sacoche

Poisons
III Boules soporifique de constitution végétale fabrication manuelle ( à dissoudre dans un liquide )
IV Trouble vision de constitution végétale fabrication manuelle ( à appliquer sur une lame )

Divers plantes permettant de confectionner du poison (à définir avec le MJ pour création)
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[MJ] XVI
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Re: [Concours / Scuzz] L'éveil des Bâtards.

Message par [MJ] XVI »

Bon post. Pas toujours claire, mais l’atmosphère de la ville commence a être bien présente.
Tu as décidé de modifier Veskit, pourquoi pas, on verra comment tu développe la suite. Le perso fait parti du clan Eshin (ton post ne laisse pas supposer que tu connaisse l'info, mais c'est peut etre voulu...)

tu servira d'étalon. Je t’octroie donc 3D6 avec un total de 8D6 de potentiel.

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