Dans la taverne du Squig il existe une chambre, dont le bois au vernis écaillé et aux tons passés porte, taillé à même le bois, une grossière représentation du numéro six. Celle-ci est située au fin fond du couloir, est plus ou moins insonorisée (certains clients assez démonstratifs ne le certifieraient pas cependant), et possèdes pour tout mobilier un lit, mais quel lit ! Grand en largeur comme deux lits normaux, en bois tellement sombre qu'on le dirait noir, il est richement orné de dorures à demi effacées et de sculptures représentant des scènes lascives d'inspiration cathéennes.Avertissement : Ce sujet mets en scène des slaaneshis, il est donc interdit aux moins de 18 ans. Les mineurs qui viennent lire ce sujet, sachez que nous dégageons toute responsabilité à votre égard, si vous lisez ceci c'est en tout connaissance de cause ! Merci de respecter ce sujet, ne serait-ce qu'en n'y ajoutant pas de remarques déplacées. Nous vous remercions d'avoir pris le temps de lire ce petit texte, et nous laissons la place au sujet proprement dit...
Certaines sont d'un réalisme si criant que le propriétaire de l'auberge s'était senti responsable de les détériorer pour en atténuer l'impact érotique, ce qui donnait un absurde mélange de corps incomplets et de silhouettes à demi effacées se livrant à la débauche la plus complète... Curieusement cela n'en rends l'ouvrage que plus troublant, et les draps de velours noir caressant la peau de ceux qui s'en enveloppent n'arrange pas l'état des clients... Aussi cette chambre est-elle tout naturellement devenue le rassemblement des rencontres illicites, demeures d'un soir des slaaneshis et autres amateurs d'unions non consensuelles venus l'espace d'un instant s'adonner à leurs plus bas instincts.
Le prix relativement correct (Une dizaine de pistoles), l'absence totale de véritable moyen de fermeture (Un simple coup d'épaule appliqué au bon endroit suffit), font de cette chambre l'endroit le plus dépravé de l'auberge, et au vu du succès qu'elle suscite l'aubergiste s'est bien vu obligé de garder les lieux en l'état...
Lorsque l'on entre dans la pièce, une voix résonnes dans votre esprit, langoureuse et tentatrice :
Entrez, entrez et laissez vous aller à vos plus bas instincts... Oubliez vous l'espace d'une nuit, et l'aube venue rentrez chez vous...[/align]