[Lieu] Chambre six

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Melkair Keronerg
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Melkair Keronerg »

Melkair s'était laissé entrainé par sa semblable, lui emboîtant le pas d'un air volontaire tout en arborant un fin sourire satisfait devant la réaction de la vampire à ses invitations. Visiblement, il n'était pas le seul à se sentir empressé lors de cette soirée et à vouloir oublier le sens des convenances. Et puis après tout, qu'importait? Ils étaient les seuls êtres dotés de la non-vie dans l’établissement et ce en serait pas ici que l'on aurait à redire à leur réputation ou leurs manières, ils pouvaient tranquillement se laisser aller et ne plus faire parler que leurs instincts. Les marches qui les menèrent à l’étage furent littéralement survolées dans la hâte de la jeune femme qui commençait à gagner son compagnon. La voir ainsi avancer en tête, sa chevelure flottant dans son sillage et dévoilant brièvement sa nuque blafarde, ses formes harmonieuses toutes en mouvement se révélant de plus belle à travers ses effets, tout cela faisait grimper d'autant plus vite l'envie du noble devant cette splendide vue. Une fois engagés dans le couloir des chambres, il se laissa bien volontiers attiré contre la délicieuse créature, ses lèvres répondant aux siennes en les étreignant dans leur suave écrin, les recouvrant intégralement d'un profond baiser. Plus besoin de se retenir désormais, seulement laisser parler l'envie et le désir de deux corps attirés l'un par l'autre, goûter à l'attirance vampirique de sa vis-à-vis qu'il n'avait plus connu depuis trop longtemps déjà. Plus besoin désormais d'inciter, inviter ou proposer, chacun savait ce que voulait l'autre et était amplement disposé à le lui fournir.

Sa langue s’engouffra dans la bouche accueillante de vampire afin de rejoindre sa consœur, se mêlant ainsi l'une à l'autre dans un exquis ballet endiablé. Enserrant alors la taille de l'inconnue, il la plaqua contre une des parois du couloir en même temps qu'il flattait ses hanches à travers le tissu de sa robe, dont il fit d’ailleurs remonter subrepticement le tissu sur une de ses jambes pour venir directement caresser la peau blanche et suave. La soulevant ainsi quasiment de cette seule prise sur elle, bandant pour cela les muscles de son corps qui frissonnaient sous l'attention que leur promulguait la vampire, il l'aida à se mouvoir de seuil en seuil, la laissant essayer tour à tour les portes des chambres de l'auberge pendant qu'il continuait de se régaler de son corps. Finalement, une ouverture se présenta et Melkair pénétra sur les lieux avec elle, pressant aussi la marche dans sa hâte de passer à la suite des événements. Pourtant, dès qu'il entra dans la chambre qu'il avait supposée vide puisqu'ouverte, l'odeur du sang sauta directement à ses sens, emplissant son nez de ces effluves d'un liquide sanguin battant sourdement dans des veines palpitantes. Des êtres vivants se trouvaient là, ce fut une évidence avant même que le noble détache son regard de sa semblable pour un bref tour d'horizon.

Un homme débout près de l'entrée ne laissait guère de doute quant à son identité par la présence de ses oreilles effilées caractéristiques au milieu de sa sombre chevelure. Un elfe, en voilà une autre présence exotique en ces lieux. Bah, du moment qu'il ne s'agissait pas de s'en nourrir, il pourrait bien accepter sa présence. Deux autres présences s'avéraient être par contre bien humaine pour leur part, et avaient déjà entamées dans le grand lit central ce que les deux vampires étaient aussi en train de commettre. Aux yeux de Melkair, rien de dérangeant que ces présences supplémentaires, il avait vu bien pire au cours des folles réceptions données en Sylvanie par plusieurs vampires des plus libertins. Aussi lui n'hésita pas un instant pour poursuivre ce qu'il avait entreprit avec sa semblable, enfouissant plus loin sa main aventureuse sous la robe de la jeune femme, ses doigts inquisiteurs se glissant de caresse en caresse sur l'intérieur de la cuisse recouverte tandis que sa main libre venait se détacher de la taille de sa compagne pour s'enfouir dans sa splendide chevelure et appuyer d'autant plus leur baiser, alors qu'ils se tenaient encore debout au-devant de la pièce.

Quand Ombeline décida finalement de les faire basculer pour rejoindre à leur tour le lit, Melkair suivit souplement le mouvement pour ne pas écraser la jeune femme mais au contraire s'allonger sensuellement sur elle, s'appuyant sur son coude et ses genoux pour ainsi la surplomber. Sa main toujours perdue dans ces cheveux de feu, il entreprit de masser la nuque de la vampire en même temps qu'il amenait toujours plus passionnément ces lèvres contre les siennes, leurs bouches s'emboîtant de plus belle pour un long échange enivrant que le manque de souffle ne viendrait pas interrompre. Suivant le mouvement vers l'avant de son visage, le torse du vampire vint ainsi lui aussi s'appuyer sur son homologue féminin, mais avec un soin et une lenteur qui fit grimper tout en douceur la pression des corps l'un sur l'autre, leurs poitrines se frottants langoureusement à travers le voile de leurs habits. Sa dernière main, toujours en territoire inconnu, poursuivait son exploration en remontant sous l'ample tissu, l’étoffe servant plus à son jeu qu'elle ne l'entravait alors que sa paume venait se coller directement à la hanche de la jeune femme. Puis ses doigts s’acheminèrent patiemment vers son bassin, s'enfonçant méthodiquement dans la chair sur son passage comme pour y imprégner leur marque. Les sensations qui se répercutaient alors dans le corps de Melkair le firent sourire de plus belle alors que ses perceptions vampiriques accrues lui faisaient ressentir deux fois plus de plaisir sous le touché de cette blanche peau, l’échange de cette savoureuse langue avide et tout ce corps si parfait qui répondait à chaque attention d'exquise façon, appelant le non-mort à poursuivre de plus belle ses gestes, portant lentement son plaisir naissant sur la voie de l'extase. Et ils avaient tout leur temps pour y arriver...
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Déistra
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Déistra »

[align=]La slaaneshie gémissait sous la langue de la jeune femme, et devant tant de volonté à lui donner du plaisir se résolu à lui rendre la pareille ne serait-ce qu'un peu, quand bien même sa partenaire plaçait la barre très haut... Du bout des doigts elle traça un tendre sillon le long de la colonne vertébrale de sa jeune amante, avant de savamment descendre le long de ses hanches, son index dessinant de lentes arabesques sur les formes de ce corps élégant, avant que son errance ne l'amènes sur son bas-ventre, sur lequel elle appuya sa paume chaude et rendue moite par l'excitation.

Elle commença alors à décrire de petits cercles, lui transmettant lentement sa propre chaleur, avant de doucement glisser jusqu'au mince rempart de tissu qui protégeait le lieu de toute ses convoitises... Glissant les doigts sous les sous-vêtements rendus humides par l'anticipation elle entra bientôt en contact avec la féminité de sa flamboyant compagne, qu'elle commença gentiment à caresser. Mais l'état d'excitation dans lequel elle se trouvait permettant une exploration plus poussée, celle-ci put bientôt sentir un, puis deux doigts inquisiteurs en elle, tandis que son autre main se perdait dans la lourde chevelure de la rousse, l'encourageant à poursuivre son baiser...

Que le couple qui venait d'arriver les rejoigne sur le lit ne la dérangeait pas, en effet celui-ci pouvait aisément accueillir le double de participants à ce qui lentement mais sûrement virait à la réception orgiaque en comité privé... Entrouvrant un instant les paupières pour vérifier si l'inconnu encore à la porte allait les rejoindre, quelle ne fut pas sa déception quand elle vit qu'il venait de repartir, la prostituée blonde à son bras, manifestement celle-ci avait trouvée des arguments plus que convaincants pour le faire changer d'avis... Bah, il lui restait sa partenaire actuelle, les choses n'allaient pas si mal, aussi reporta-t-elle son attention sur son environnement immédiat, et en particulier sur ses deux doigts qui n'avaient pas un seul instant cessés leur mouvement d'exploration...

Ceux-ci quittèrent l'espace d'un instant le chaud nid de chair en émoi dans lequel ils s'étaient réfugiés, mais ce ne fut que pour s'occuper du léger renflement qui indiquait l'un des sièges du plaisir chez une femme, qu'elle commença à caresser et pincer légèrement. Oh pas très fort mais juste assez pour envoyer des arcs de plaisir brut dans l'échine de celle qui disait s'appeler Esténëa, une fois qu'elle jugea sa réaction satisfaisante elle reprit son exploration des derniers secrets que celle-ci lui cachait, mais cette fois-ci trois doigts étaient de la partie...[/align]
Déistra Noiredextre, Disciple du Chaos vouée à Slaneesh
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Lucretia Von Shwitzerhaüm
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Lucretia Von Shwitzerhaüm »

L’homme était allongé au-dessus d’elle, la surplombant de son corps musclé, comme une cage qui la protégeait tout en l’endiguant dans le plaisir. Le contact de sa main qui courait dans la chevelure cuivrée lui prodiguait de doux murmures qui se propageaient sous sa peau, le long de sa nuque et dans ses épaules dévoilées, là où cette même main s’égarait de temps à autres. Le jeu incessant de leurs lèvres n’en demeurait pas moins délaissé, alternant entre baisers sulfureux et mordillements timides en même temps que leurs langues continuaient d’exprimer ouvertement leur attirance l’une envers l’autre.
Son partenaire semblait vouloir fusionner leurs deux corps ; la pression sur celui de la jeune femme s’accentuait peu à peu, comme pour lui rappeler sa présence, présence qu’elle n’était pas prête d’oublier. Il en allait de même pour son autre main qui s’aventurait toujours plus loin sous la robe de la jeune femme. Les caresses et les aller-retour lascifs de ses doigts agiles laissaient des tracés invisibles mais bouleversants sur la peau opaline de l’intérieur de ses cuisses, qui ne demandaient qu’à s’écarter d’avantage.

Ombeline ne tarda pas à enjoindre cette main impérieuse à poursuivre son exploration méticuleuse qui alimenta le brasier de son bas-ventre. Elle rompit alors l’étreinte de leurs baisers passionnés et se laissa retomber sur le matelas. Gisant sur le dos, les yeux mi-clos et à la merci du vampire, la jeune femme s’abandonna dans un abime de plaisir qui lui fit couper tout lien avec la réalité. Alors qu’elle se mordait la lèvre inférieure dans l’espoir de retenir encore un instant ses premiers gémissements, au loin, quelque part dans la chambre, une voix se fit entendre. Les mots ne trouvèrent pas leur chemin jusqu'à son cerveau enseveli sous les vacillements enflammés qui transcendaient son corps, et elle finit par les oublier alors que sa respiration se faisait de plus en plus haletante. Si cette réaction naturelle qui consistait à faire entrer de l’air dans ses poumons ne lui était de plus aucune utilité, la jeune femme continuait à perpétrer ce mécanisme organique qui la rendait d’autant plus humaine qu’il lui permettait de contrôler le comportement de son être face à ce qu’elle était en train d’éprouver.

Alors que son souffle devenait de plus en plus frénétique sous l’action du vampire, son bustier ne lui sembla plus qu’être un carcan qui lui comprimait la poitrine, empêchant le soulèvement et les intenses amplitudes de son thorax tributaires d’une respiration profonde. Parvenant à se redresser quelque peu, elle s’attela à dénouer les premiers lacets qui, dans son dos, ceinturaient le vêtement autour de ses courbes et de sa taille. Se tenant allongée sur un coude, elle tira maladroitement et avec une certaine hâte sur les cordelettes à l’arrière, et celles de devant subirent bientôt le même sort. Le corset ainsi plus retenu s’ouvrit, révélant en descendant sur son ventre à chaque fois d’avantage de peau blanche et inviolée, jusqu’à dénuder intégralement sa poitrine qui sembla s’en extraire avec soulagement.

Empoignant la tunique de Melkair, elle l’attira à elle dans une embrassade fougueuse, plongeant sa main dans ses mèches folles pour d’avantage plaquer ses lèvres contre les siennes. Relevant le menton, elle fit glisser les lèvres de son partenaire sur la peau douce et sucrée de son cou, comme si, étant vampire et se déterminant comme la proie d’un autre accentuait encore l’érotisme de la scène. Ombeline se releva sur ses genoux, et alors que sa robe froissée redescendait légèrement, elle emprisonna le visage de son amant de ses bras et de ses mains pour le plonger entre ses seins gonflés par le plaisir. Le laissant profiter de ses courbes sensuelles et généreuses qui attiraient tant les regards, la jeune femme se pencha imperceptiblement et entreprit de retirer la ceinture de l’homme, comptant bien lui rendre la pareille…
Modifié en dernier par Lucretia Von Shwitzerhaüm le 25 juin 2011, 02:42, modifié 1 fois.
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Ma Fiche
Objets particuliers:
- * Anneau Nowelleux (+1 INI)
- Amulette (relance d'un EC: 2/3 utilisations disponibles)

Compétences acquises et Dons du Sang

COMBAT :
Attaque : Coup précis (3), Arme de prédilection ( épée à une main)
Défense : Esquive, Acrobatie de combat, Sang vif (2) (DDS), Coriace,
Autres : Régénération Impie (DDS), Innocence Perdue (DDS), Valse Macabre


MAGIE :
- Sens de la Magie
- Conscience de la Magie
- Maîtrise de l'Aethyr - niveau 3

CHARISME :
- Diplomatie
- Éloquence
- Séduction
- Intimidation
- Comédie
- Etiquette
- Intrigue de cour

INTELLIGENCE :
- Domination (DDS)
- Érudition
- Littérature
- Linguistique
- Histoire
- Administration
- Enseignement
- Connaissance végétale
- Langue étrangère : Kislévarin
- Connaissance des démons

INITIATIVE / HABILETE :
- Sang vif (DDS)
- Réflexes éclairs
- Escalade
- Monte - chevaux
- Sens Accrus
- Vision nocturne

AUTRES :
- Défi de l'Aube (DDS)
- Ame Profane (DDS)
- Forme de Familier : Corneille (DDS)
- Sang argenté (DDS)
- Alphabétisation
- Force accrue
- Chance
- Préparation des poisons

Inventaire :
- Griffe d'Ursun
- Veste de cuir & pèlerine en "voyage" / robe habillée en "réception"
- Anneau de promptitude
- Bague du tumulus
- Sacoche de chanvre
- Lettre de la comtesse
- Gemmes et pépites d'or
- Fleur de salicaire
- Glandes à venin
- Poison (?)

Esténëa Dostel
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Esténëa Dostel »

Un doux gémissement s’échappa de ses lèvres.
L’autre Slaaneshi possédait un sens de la répartie des plus intéressant et, alors qu’Esténëa était occupé à caresser de ses lèvres les formes délicieuses de la jeune femme, cette dernière avait habilement pris le relais de sa mains, usant de la sienne. Après avoir enflammé ses hanches de douces caresses, l’une des mains pècheresses s’était doucement glissée contre son ventre puis était redescendu le long de cette vallée vers ce haut lieu de plaisirs où elle s’est glissée sans rencontré l’ombre d’une résistance. Sentir ces doigts s’approcher ainsi, en caressant son aine, avait provoqué de longs frissons de plaisir dans le corps de la ménestrel, mais quand ils se glissèrent dans son corps, ce fut un éclair de plaisir qui la fit s’arquer, laissant échapper ce doux gémissement expression de la jouissance qu’elle tirait de sentir doucement les deux doigts dans la chaleur de son être.


Tandis qu’elle plaquait le visage de la jeune femme contre elle, la femme aux cheveux sombre continua de mettre en pratique un doigté expert qui attisait rapidement le brasier du plaisir qu’était le corps d’Esténëa. Puis les doigts sortirent, doucement, la laisser pousser un long soupir de relâchement… qui fut brusquement, prenant soudaine inspiration tandis qu’en elle le brasier devenait incendie. Seule le généreuse poitrine de sa compagne sur laquelle ses lèvres étaient occupées empêcha la jeune femme de pousser un long gémissement tandis que son dos s’arrondissait sous les coup de bélier que le plaisir frappait à la porte de son esprit pour en prendre le contrôle.

Quand, enfin, ces brulantes attentions cessèrent, le jeune femme repris un souffle rauque, mais elle n’eut pas le temps de gémir de dépits que trois doigts forcèrent les portes de son corps, lui faisait ouvrir les lèvres sur une expression muette du plaisir soudain. Elle ne se retint plus des bras, s’effondrant à demie sur celle qui venait, avec brio, de dompter son corps, chaque respiration devenant un gémissement de plaisir, son cœur semblant battre au rythme délicieux des trois intrus. Son corps était luisant de la sueur engendrée par le plaisir et elle sentait doucement monter en elle ce qui serait un puissante explosion de flammes. Mais la doctrine de son dieu n’était pas que la réception du plaisir, le don prenait une part importante de cette magnifique religion, et la rouquine refusait catégoriquement de laisser sa compagne en reste.

C’est donc avec un gémissement de dépits qu’elle saisit la source de ces délices charnels pour l’extraire doucement de son corps – provoquant une violente décharge de plaisir – puis elle ramena celle délicieuse mains a ses lèvres, glissant entre celles-ci les doigts qui lui avait apporté tant de plaisir. Le gout si unique du nectar féminin emplit ses lèvres, une saveur complexe qu’elle connaissait bien : la sienne. Mais il était maintenant venu le temps de gouter celle de sa douce partenaire.
Doucement, quittant les collines si douce et chaude, elle descendit dans la vallée qui formait le ventre agréablement plat de sa compagne, lui jetant de ses yeux émeraude un regard des plus explicites. Doucement, elle suivit une route de baiser, traçant de ses lèvre un chemin sinueux sur le corps de la Slaaneshi. Elle s’attarda une seconde sur le creux appétissant qu’avait laissé là le cordon maternel, y glissant une langue joueuse.
Puis elle continua sa descente.

Elle effleura l’aine de ses lèvres brulantes, glissa doucement vers la droite, caressa l’intérieur chauffé à blanc d’une cuisse déjà écartée de sa compagne, puis remonta, avec une lenteur presqu’insoutenable, jusqu’au lieu si attendu. Tout d’abord, elle embrassa sa chaleur humide, goutant de ses lèvres ce doux liquide, puis, en prenant un plaisir évidement à prendre son temps, elle glissa doucement sa langue en ses lieux gonflés de désir, ouvrant à ses lèvres cette porte de chaire. Si, au premier va et viens, elle garda cette douceur, lentement, elle accéléra. Elle montait dans un crescendo de plaisir, jouant régulièrement de la pointe de sa langue sur ce pont si plaisant et buvant avidement le fruit du plaisir de sa compagne, ses mains doucement posée sur l’intérieur brulant de ses cuisses ouvertes.
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Déistra
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Déistra »

[align=]Cela faisait déjà un moment que les deux jeunes femmes s'étreignaient, corps trempés de sueur et chargés de désir, et manifestement la partenaire de Déistra manifestait l'envie de passer au second stage : Retirant d'elle-même les doigts de la cultiste avec un gémissement de dépit, elle les porta à sa bouche savourant le goût de son propre plaisir. Elle les retira peu de temps après, mais ce ne fut que pour effectuer une lente et insupportable descente le long de son ventre, ponctuant son trajet de baisers légers qui firent frissonner la chair de la déchue... Elle effectua un bref arrêt au niveau de son nombril, sa langue s'y glissant mutine, avant de redescendre encore plus bas, au siège de son plaisir...

Tout le long de ces agréables préliminaire la slaaneshie s'était agrippée des deux mains aux draps les jointures blanchies par l'effort, et lorsque les lèvres de sa flamboyante amante se posèrent sur son recoin le plus secret elle arqua inconsciemment le bassin, comme pour s'offrir davantage à celle qui lui offrait autant de plaisir. Ses cuisses s'écartèrent d'elles-mêmes comme si elle s'offrait en présent à cette femme, tandis que celle-ci poussait la cruauté jusqu'à la mettre au supplice par des baisers incandescents le long de ses cuisses, aussi c'est avec un soupir de soulagement qu'elle la sentit revenir vers son aine et le brasier qui y couvait... Soudain elle sentit sa langue, doux dard qui la fouaillait, s'aventurer toujours plus loin en elle.

C'en fut trop : En une crispation incontrôlée ses mains agrippèrent à la chevelure rousse, avant de pousser la tête d'Esténëa entre ses cuisses, tandis qu'elle se répandait en gémissements et en supplications sans plus de retenue. L'extase la surprit comme un coup de poignard, son corps parcouru de violent arcs électriques au fur et à mesure que le plaisir courait dans ses veine l'abrutissant, sans que la jeune femme ne cesse un instant ses délicieuses stimulations. Elle profita encore un instant de la sensation des lèvres sur sa féminité brûlante, avant qu'elle ne retire à regret son beau visage d'entre ses cuisses pour lui dire, les yeux brûlants de fièvre :


-"Merci, mais ne pourrait-on pas faire la suite ensemble ? Ce n'est pas juste que seule l'une d'entre nous profites des bienfaits du Prince, en plus j'ai déjà pris de l'avance sur toi...", dit elle en passant sa langue sur ses lèvres, avant de la faire se coucher sur le lit, tandis qu'elle se plaçait au dessus d'elle... Elle plaça son visage au dessus de l'intimité de sa compagne la sienne juste au dessus du doux visage de celle-ci, puis elle commença à la caresser, tandis qu'elle plaçait sa croupe au niveau du visage d'Esténëa, l'invitant à continuer ses baisers...

Elle passa un doigt joueur sur le léger renflement gonflé de désir, avant d'effectuer un léger mouvement de va-et-viens aux portes de la féminité de la jeune femme, son doigt s'aventurant progressivement en elle, jusqu'à ce qu'il pénètre en elle accompagné d'un autre, amorçant un délicat mouvement de piston tandis qu'elle embrassait l'intérieur de ses cuisses...
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Melkair Keronerg
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Melkair Keronerg »

Visiblement les choses allaient bon train à côté, les deux jeunes femmes humaines s'en donnant à cœur joie l'une contre l'autre sans même se soucier de l'intrusion de deux occupants supplémentaires dans la pièce. Cet amusant aperçu du coin de l’œil ne le fit sourire que d'avantage tout en augmentant son excitation d'un cran. Sa propre compagne avait pour sa part commencer à retirer ses effets, offrant ainsi à sa vue d'avantage de sa douce peau blanche, vierge de toute imperfection. Ses gestes saccadés pour détacher ses liens formaient un lent suspens sensuel alors que Melkair s’abreuvait de ce spectacle, ses sens battant un nouveau rythme effréné. Finalement l’étoffe glissa le long de ces flancs et le vampire n'eut pas besoin de se faire entrainer pour se serrer au plus vite contre la jeune femme, l'enserrant dans une étreinte fougueuse comme pour répondre à son baiser passionné. Il sentit une lourde moiteur recouvrir son corps alors qu'il se frottait ainsi à sa semblable, le goût de ces lèvres sur les siennes devenant un véritable nectar, ces formes éveillant le désir dès qu'elles se frottaient sur lui. Il eut alors envie de déguster de plus belle ce ravissant menu dressé devant lui, glissant sa bouche le long de la nuque de la noble damoiselle pour mieux la tâter de la pointe de ses crocs. Toujours rétractés sous forme de canines humaines, ses dents n'en vinrent pas moins effleurer sensuellement la chair de sa camarade de jeu, traçant comme de fins sillons sur sa peau d'ivoire tandis que sa langue enrobait le tout de salive glissante. Progressant de la sorte sur ce corps accueillant, son visage finit par se retrouver intimement serré contre la poitrine libérée de la vampire, entre ses deux hémisphères.

Se laissant aller à ces directions, l'apparent jeune homme entreprit alors d'embrasser le creux de cette poitrine, y immiscent ses lèvres et sa langue pour en embrasser les moindres recoins, remontant par de brefs à-coups sur une de ces rondes formes pour en sucer le sommet avant de replonger entre ces deux éminences et se faire plus titillant, mordant légèrement cette chair tendre comme pour mieux la dévorer et s'emplir de leur délicieuse sensation dans sa bouche. La main qui était perdue dans le voile des cheveux flamboyants de la jeune femme vint à son tour sur cet attirant buste pour en recouvrir complètement un des seins, écrasant sa paume contre son sommet pendant que ses doigts s’enfonçaient dans ses circonvolutions, fusionnant sa chair contre la sienne en une profonde étreinte. Cette sensation moelleuse et rebondi sous main accentuant d'autant ses baisers enivrés tandis que l'autre poignait s'agitait de plus belle sous la robe de la vampire. Ses doigts s'étaient à présent glissés jusqu’à l'intimité même de leur cible, glissant langoureusement sous le linge de corps pour caresser lentement la perle de la noble, massant ce bas ventre tantôt d'infimes et légères caresses tantôt de profondes étreintes appuyées, chauffant littéralement l'entrejambe de sa compagne. Puis il vint écarter ces douces lèvres pour ensuite joueur avec leurs bords, s'y glissant et effleurant la chair en un long ballet circulaire, telle une sensuelle préparation.

A ce contact répété, son autre poignet fit écho en allant doucement pincer et torsader un des pics du buste de sa compagne, alors que ses lèvres engloutissaient le second comme pour l'avaler, tâtant et embrassant la chair tout autour. Les hanches du vampire vinrent jouer avec les doigts penchés sur eux de la délicieuse créature, tournant en cercle pour ensuite se frotter contre ses jambes et sa robe, comme en faire au passage glisser imperceptiblement le tissu vers le bas.
Keronerg Melkair , Page éternel
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Lucretia Von Shwitzerhaüm »

Le rythme de sa respiration frénétique s’accordait à celles des deux autres femmes présentes dans la pièce, au même titre que ses doux gémissements qui faisaient écho aux leurs. Bien qu’elle ne jetât pas de coup d’œil en leur direction, le tohu-bohu des battements de cœurs enhardis des deux amantes s’imposait clairement à ses oreilles, couvrant presque le son de son propre plaisir qui s’échappait de ses lèvres entr’ouvertes. Alors que le visage de son amant se perdait dans la généreuse vallée qu’offrait sa poitrine, Ombeline s’attela à défaire la ceinture de ce premier. Elle retira la boucle et desserra par la même occasion le pantalon, lui permettant d’y glisser une main aventureuse. La jeune femme put aisément sentir l’excitation de son partenaire grâce à sa virilité érigée en son honneur, qu’elle ne tarda pas à flatter. Elle y fit courir presque timidement ses doigts, frôlant cette peau des plus sensibles qui réagit immédiatement à ce délicat contact. Procurer du plaisir à l’autre était une forme de pouvoir, et elle comptait bien en user, mais d’avantage pour le goût du jeu et des sensations que pour celui de la domination que l’on pouvait en retirer.

Elle ôta sa main, et la posa sur celle de Melkair, glissée entre ses jambes. Lui attrapant doucement le poignet, elle le retira avec un certain regret de son intimité, alors que dressant son corps contre le sien, elle l’enjoignit à se coucher sur le dos. La vampire s’allongea un instant contre lui, lui prodiguant encore deux trois baisers enflammés tandis que ses mains parcourraient le torse puissant de son compagnon, étendu sous elle. Ombeline descendit progressivement, jetant de temps à autres des regards aguicheurs et emplis de promesses, avant que ses doigts ne se referment sur le haut du pantalon, qu’elle abaissa lentement. La bosse qui transparaissait à travers le tissu se mua soudainement en un mât dressé élogieusement vers elle qui en disait long sur son état actuel. Elle continua de faire glisser le vêtement le long de ses cuisses, les dénudant lentement dans une attente qui excita à la fois le désir de l’homme, mais également une impatience presque douloureuse.

Jouant avec ce dernier sentiment, elle assiégea l’intérieur des cuisses de baisers, se rapprochant toujours plus près de l’endroit convoité, cajolant de ses lèvres et de ses joues ces jambes légèrement écartées. Elle dispensa quelques douces caresses, effleurant sa sensibilité pas plus longtemps qu’il n’en fallait pour la voir s’emballer, y revenant furtivement de temps à autres, et allant jusqu’à l’exaspérer de ne pas prolonger ce contact. Finalement, au moment où il s’y attendait le moins, elle humidifia ses doigts de sa salive, et s’empara de son vis avec une certaine avidité mêlée de douceur, abrégeant ainsi les souffrances, accédant à ses envies qui le submergeaient. Ses doigts s’y refermèrent, l’entraînant dans un léger mouvement de va-et-vient qui alimenta aussi bien le brasier qui la rongeait autant que celui du vampire confié à ses bons soins. Elle augmenta la cadence, la réduisit, tout en guettant l’expression du visage de son partenaire et en modulant le rythme au gré de ce qu’il ressentait. Ombeline pencha son visage angélique en avant tout en relevant la tunique de Melkair au-dessus de son ventre, et ses cheveux cuivrés caressèrent la peau d’albâtre des flancs de ce dernier. Les lèvres vermeilles de la jeune femme recouvrirent alors le membre dressé, le plongeant dans un milieu chaud et humide propice au développement de ses ardeurs. Ces mêmes lèvres jouèrent avec la pression exercée sur sa virilité, en la comprimant avec langueur pour la relâcher au sommet, tandis que sa langue humidifiait d’avantage encore ce dernier de salive sucrée tout en l’effleurant voluptueusement. Usant aussi bien de sa bouche que de ses mains, Ombeline continua d’enliser Melkair dans le plaisir et la passion, fixant ses yeux émeraude dans les siens en de longs regards éloquents, bien décidée à l’entendre crier grâce…
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Ma Fiche
Objets particuliers:
- * Anneau Nowelleux (+1 INI)
- Amulette (relance d'un EC: 2/3 utilisations disponibles)

Compétences acquises et Dons du Sang

COMBAT :
Attaque : Coup précis (3), Arme de prédilection ( épée à une main)
Défense : Esquive, Acrobatie de combat, Sang vif (2) (DDS), Coriace,
Autres : Régénération Impie (DDS), Innocence Perdue (DDS), Valse Macabre


MAGIE :
- Sens de la Magie
- Conscience de la Magie
- Maîtrise de l'Aethyr - niveau 3

CHARISME :
- Diplomatie
- Éloquence
- Séduction
- Intimidation
- Comédie
- Etiquette
- Intrigue de cour

INTELLIGENCE :
- Domination (DDS)
- Érudition
- Littérature
- Linguistique
- Histoire
- Administration
- Enseignement
- Connaissance végétale
- Langue étrangère : Kislévarin
- Connaissance des démons

INITIATIVE / HABILETE :
- Sang vif (DDS)
- Réflexes éclairs
- Escalade
- Monte - chevaux
- Sens Accrus
- Vision nocturne

AUTRES :
- Défi de l'Aube (DDS)
- Ame Profane (DDS)
- Forme de Familier : Corneille (DDS)
- Sang argenté (DDS)
- Alphabétisation
- Force accrue
- Chance
- Préparation des poisons

Inventaire :
- Griffe d'Ursun
- Veste de cuir & pèlerine en "voyage" / robe habillée en "réception"
- Anneau de promptitude
- Bague du tumulus
- Sacoche de chanvre
- Lettre de la comtesse
- Gemmes et pépites d'or
- Fleur de salicaire
- Glandes à venin
- Poison (?)

Melkair Keronerg
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Melkair Keronerg »

Visiblement sa compagne avait décidée de prendre les choses en mains. Sans chercher à s'opposer le moindre du monde à ce dessein, Melkair laissa ainsi la demoiselle agir à sa guise, suivant le mouvement dans une apparente passivité. Pourtant alors qu'il se laissait allongé sur le lit ses doigts avaient glissés le long du corps de la vampire, lui insufflant d'infimes caresses alors qu'il laissait ses bras retomber et agripper au passage le reste de ces jupons, les faisant glisser un peu plus le long de ce magnifique corps d’albâtre. Et alors qu'elle se mettait à jouer avec lui, le stimulant autant qu'elle le frustrait en excitant sa virilité dressée, lui accompagna tout cela de larges caresses au sein de la chevelure d'Ombeline, l'incitant à continuer autant qu'a se presser par ses larges mouvements ondulants dans cette mer flamboyante. Il ne faisait toujours qu’effleurer sa peau par endroit, comme en écho du sort qu'elle lui faisait subir, mais il insistait plus sur chaque contact, le prolongea toujours assez longtemps pour s’imprégner durablement dans la chair touchée. Finalement elle passa à l’étape suivante et le noble ne put retenir un grognement de plaisir quand elle vint envelopper sa virilité pour ensuite s'en occuper dans les plus charmantes formes. Sentir ces attentions se concentrer sur cette partie là de son anatomie électrisa son corps entier qui se cambra sous l'effet fort plaisant de ces attouchements, son regard quittant celui de la vampire à chaque sursaut de plaisir pour néanmoins toujours retourner à ces perles émeraudes, leur communiquant son plaisir de bien plus intense manière que de simples bruits. Ses yeux fiévreux braqués sur ceux de sa compagne, il se fit alors l’accompagnateur de ce lent ballet autour de ses hanches. Ses mains se posèrent de part et d'autre du doux visage ainsi affairé et caressèrent lentement son contour, surlignant ces traits de langoureuses esquisses de ses doigts comme on lisse une sculpture, massant ces tempes et ces joues à la façon d'un met précieux que l'on gâte. Ses mains suivirent ainsi les allers et venues de ce visage divin tout en leur procurant à leur façon leur part d'affection. Sous le coup du plaisir qui allait crescendo, les jambes du vampire s’enroulèrent d’ailleurs autour des épaules de sa partenaire, ses hanches érigeant alors leur propre rythme dans celui des mains et lèvres d'Ombeline, les deux en décalé offrant un ensemble endiablé d'autant plus stimulant.

Pourtant, sur un dernier coup de reins et une ultime étreinte de la peau envoutante de la noble, le jeune nouveau-né se glissa entre les rets de sa geôlière, non pas pour s'en échapper mais au contraire s'y enfoncer de plus belle. Glissant ainsi son bassin et ses jambes le long du corps divin de cette beauté, il se retrouva au même niveau qu'elle et pu ainsi embrasser à nouveau cette bouche entêtante. Ses bras se resserrent autour de ces hanches avant de remonter dans son dos par de délicats soubresauts et d'en flatter chaque vertèbre une à une. Ses pieds avaient retirés au passage le reste de tissu que portait encore sur elle Ombeline, la laissant désormais dans son plus simple et ravissant appareil. Alors qu'il plongeait la langue de sa comparse dans une nouvelle valse plus décoiffante encore et que la pointe de ses crocs venait titiller ces lèvres purpurines, la troisième jambe à présent bien éveillée du vampire alla se frotter contre l'intimité de la demoiselle, ces cuisses finement écartées par un genou aguicheur pour laisser libre accès à l'entre-jambe de la belle. La masculinité de Melkair se mit ainsi à glisser en longs vas-et viens sur puis sous la perle de la vampire. Sans sembler se lasser, il se contenta de frotter sans pénétrer, passer sans s’arrêter, simplement faire monter la tension entre leurs deux corps, les poussant à plus de proximité encore sous l'effet du plaisir suscité. Mais on ne se contente pas de stimuler sans rien apporter derrière, ce n'est alors que le prélude à la jouissance du plaisir.

C'est ainsi qu’après une étreinte plus brusque que les autres, leurs poitrines s’écrasant mutuellement alors que leur embrassade n'en finissait plus, les corps des deux êtres supérieurs basculèrent d'un coup sur le coté. Le jeune homme se retrouvât alors au dessus de la délicieuse vampire et dans le même mouvement pénétra de son dard la fleur enviée. Se retrouvant alors au sein d'une antre moite et chaude, glissante et étroite, il y trouva le parfait endroit où poursuivre sa danse synchronisée du bassin, s’articulant à présent sur de longs et souples vas-et-viens. Ses propres exclamations de plaisir étaient à moitié étouffées alors qu'il dévorait la bouche offerte de sa compagne, ses sombres accents rauques parvenant tout de même jusqu’à l'oreille. Le vampire avait perdu la notion de souffle depuis longtemps et c'était plus une habitude quasi-animale qui le guidait alors. Ses allers-et-retours en elle s'axaient sur des caresses de plus en plus empreintes sur le corps d'Ombeline, les mains du noble serrant à chaque fois plus fort la chair de sa semblable, sans avoir à craindre le moindre instant de nuire à ce corps trop frêle mais au contraire conscient qu'il pourrait en supporter bien plus encore. Nulle fatigue ne ralentissait son rythme ainsi ses coups de hanches allèrent croissants sans jamais faiblir, ses étreintes ne s’arrêtant jamais et continuant à cajoler passionnément les courbes de la lahmiane alors que ses lèvres s'y joignaient, déposant milles baisers sur sa peau galbée alors que sa langue s'insinuait dans chaque creux et renflements de son corps. Des grognements plus poussés les accompagnaient, se muant au fur et à mesure en véritables exclamations de plaisir quand le vampire atteignait un nouveau stade de plaisir charnel, ponctuant une caresse, une embrassade ou une pénétration de plus.

Aucune partie du corps d'Ombeline ne fut négligée. La totalité de ses trais, de ses formes, le moindre recoin de chair se retrouvait livré à l'attention du noble, qui ne s'en délaissait qu’après l'avoir copieusement recouvert de son affection, dans un mélange d’énergie brute et de douceur passionnée. Des pans de sa chevelure jusqu'au bout des ses pieds, il eut tout exploré et satisfait autant que possible avant d'y retourner pour un passage de plus, tel un cycle sans fin. Son pieux s'était de même enfoui jusqu'aux tréfonds de l'intimité de la vampire, heurtant jusqu’à la butée sa grotte intérieure, labourant ses parois en larges cercles concentriques avant de presque se retirer pour ensuite revenir avec d'autant plus d'entrain, passant en rythmes vigoureux dans cette antre, tantôt aidé d'une prise ferme sur les hanches tantôt d'une poussée à la suite de tout son corps. Et les doigts vampiriques qui ne cessaient pour autant de s'activer, étreignant par ici un sein délaissé, berçant par là une cascade de cheveux libres, glissant contre ces flancs et sur ces bras et jambes pour mieux les flatter. Allant même jusqu’à s'infiltrer dans le grand col en même temps que son attribut pour stimuler d'autant plus de l’intérieur la jeune femme. Elle fut prise aussi bien par devant que par derrière, dans une langoureuse étreinte mêlée l'un à l'autre autant que tressautements et rebondissements l'un contre l'autre, soutenant ces bras et jambes aussi bien qu'il se pliait lui-même dans toute position pour lui plaire, un coup s'infiltrant sur le coté, puis la laissant autant le chevaucher que l'inverse, leur endurance hors du commun leur permit de tester durant les heures qui suivirent un répertoire non négligeable du langage du corps. Un de ceux où la parole n'était plus que cris et exclamations de plaisir avoué.

Et pourtant tout moment doit prendre fin. Tout instant finit par voir son suivant se présenter et demander sa place, ignorant royalement les moments accomplis. Pourtant l'instant perdurerait encore dans la mémoire de ses acteurs, d'autant plus vrai à la vue de leur existence éternelle. Car même les vampires finissent par ressentir un besoin au fil du temps, seul phénomène qui serait d’ailleurs susceptible de les extraire de leur bon vouloir. Il faut dire que la soirée que Melkair venait de partager avec cette ravissante semblable ouvrait assez appétit. Et puis quoi de mieux pour clore le ressenti de tous ces moments appréciés que de le rehausser du plus fin des nectars? La faim de sang, voilà ce qui avait rappelé le vampire à ce monde, et obligé à penser à nouveau à autre chose qu'elle. Pourtant il souhaitait encore s'attarder auprès d'elle, la simple vue de sa présence à ses cotés lui donnant des envies et des sentiments revigorés, comme prêt à repartir pour des nuits de folie. Mais l'appel du sang est plus fort que tout pour ceux de sa race et Melkair dû s'y plier une nouvelle fois. Il partit donc en chasse sans attendre, et finit par trouver. Une victime isolée, plongée dans le doux repos qu'offre le sommeil après une soirée agitée certainement, et qui elle devait composer avec cet élément naturel. Le vampire s'en approcha alors sans un bruit, dans le silence feutré de la nuit. L'odeur de la proie était exquise, comme tout sang humain digne de ce nom après tout, et sa présence inondait les sens. Il se pencha donc sur la forme épuisée et s'en alla embrasser l’arrière de la nuque de la demoiselle. Un endroit qui convenait à son sens esthétique plus qu'a une préférence pour la discrétion. Mais peu importait de toute manière, on croirait encore à une piqure d'insecte une morsure de bestiole, et lui serait de toute façon déjà loin avant que l'on puisse le suspecter. C'est donc avec une infinie douceur qu'il perça la chair offerte, d'une entaille douce et souple, à peine étendue pour laisser ensuite ses lèvres s'y apposer et y pomper voluptueusement le sang désiré. Ce contact, ce don et cette prise, tout cela autour du sang de cette donneuse ignorante, tout cela était toujours aussi beau, sans la moindre violence ou le moindre souci. Il s’arrêta en effet immédiatement après avoir puisé le simple nécessaire dans tout ce sens, ne lésant la victime que pour un court temps et seulement de quelques coupes de sang. Et si elle avait été éveillée, elle aurait pu d'autant plus ressentir toute l’expérience et le plaisir de cette ponction infime de son liquide vital, quel dommage en fait...Mais bon, il faut dire que la nuit pour cette humaine avait été aussi particulièrement épuisante et pour preuve Melkair avait pu la voir à l’œuvre jusqu’à ce qu'elle ne puisse plus suivre la cadence vampirique, il s'agissait en effet de la demoiselle aux cheveux de jais qui s'était occupée d'une autre femme rousse dans le même lit que les deux amants morts-vivants. Le vampire n'avait ainsi eut guère de soucis pour trouver sa ration quotidienne de liquide sanguin, il n'avait qu'a eut à se servir sur place. Devant ensuite s’éclipser avant que ladite humaine de bon goût ne sorte des bras de Morphée, il salua une ultime fois la compagne de sa nuit d'un fin sourire charmeur et d'un air entendu avant de disparaitre au sein de la nuit. De toute façon ils se reverraient tôt ou tard, ils avaient l’éternité pour cela non?
Modifié en dernier par Melkair Keronerg le 21 sept. 2011, 02:36, modifié 1 fois.
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Lucretia Von Shwitzerhaüm »

  • Les attentions qu’elle lui prodiguait portaient assurément leurs fruits, et elle récoltait ces derniers au-travers des expressions qui passaient fugacement sur le visage de son amant, tout autant que le regard dont il la couvait pendant qu’elle effectuait son œuvre. Un regard qui de temps à autre quittait le sien, l’espace d’un moment où, semblait-il, les émotions ressenties semblèrent être trop véhémentes pour être contrôlées, tandis que les yeux smaragdins d’Ombeline, rivés sur ses noires prunelles, ne cessaient de le défier d’un regard bien appuyé. Son corps cambré et les soufflements qui en disaient long, le fringuant jeune homme l’incita à continuer, caressant le visage de la belle d’un toucher aussi doux que possesseur. Il lui imposa sa cadence dans le but qu’elle le ménageât pour une prolongation sur laquelle ils ne seraient pas en reste, allant jusqu’à l’emprisonner son visage de ses cuisses, la forçant à poursuivre ses activités auxquelles elle se plia bien volontiers.

    Mais si la jeune femme lui dispensait-elle ces sensations, elle, de son côté, commençait à éprouver les affres du manque et d’un désir insatiable. La passion que devait éprouver le vampire n’était rien en comparaison de celle que la damoiselle attendait, et ses petits mouvements de bassin trahissaient son impatience, quand bien même fut-ce elle, toujours aussi versatile qu’elle était, qui avait amorcé la mission oblative qu’elle était en train de mener avec une certaine alacrité.

    Son compagnon dut prendre conscience de ses trémoussements et de ses aspirations entêtées ; Ombeline s’en rendit compte quand elle se retrouva soudainement libérée de ses entraves, et que son partenaire se retrouva à la même hauteur qu’elle. Leur langue s’entremêlèrent à nouveau dans un ballet torride en même temps que les chatteries se poursuivaient et que les contacts devenaient de plus en plus intime, pour peu que l’on n’eût considéré qu’ils ne le furent pas d’avantage auparavant. Elle rompit le rythme des caresses et des embrassades, le temps de retirer son corset devenu totalement accessoire, avant de se plaquer à nouveau contre le torse du vampire, lequel s’affairait déjà à retirer une robe qui offrait en guise de résistance que le minimum requis. Celle-ci, guère aidée par sa propriétaire qui semblait également vouloir s’en débarrasser, perdait chaque seconde d’avantage de terrain, et le glissement du tissu laissa entr’apercevoir les hanches de la demoiselle avant de les dénuder complètement, sort que ne tarda pas à subir la peau opaline et soyeuse de ses fesses.

    Au-dessus du vampire et tout occupée à l’embrasser fougueusement, Ombeline ne put voir, seulement sentir, un genou inquisiteur s’instiller entre ses cuisses en les forçant doucement à s’ouvrir. Alors qu’elle y agréait de tout son cœur, ne demandant qu’à ce qu’il la possédât, la perception de son ithyphallique organe, dressé d’excitation et frôlant sa propre intimité, alimenta un magnétisme qui la dérouta. Jouant comme elle l’avait fait avec lui juste avant, le jeune homme s’amusa, un sourire mutin aux lèvres, à lui faire vivre un calvaire de désir et d’impatience, et dans les yeux de la Lahmiane se reflétait la délicieuse torture provoquée par l’avidité et ses envies vénériennes. Le désir qui brûlait crescendo aux creux de ses reins finit par éclater, et la jeune femme consentante mais non moins sous le charme de son amant se mordilla les lèvres, suppliant ce dernier du regard d’accéder à ce qu’elle appétait le plus. Ce à quoi il s’employa un instant plus tard.

    Lascives, les ombres ne devinrent plus qu’une seule et même silhouette lorsqu’ils basculèrent ensembles sur le côté. Elle ne protesta pas, s’il voulait mener la danse, elle le laisserait débuter, quitte à reprendre l’avantage par la suite. Bien au contraire, ce fut avec un soupir de contentement que la Lahmiane l’accueillit en elle, après cette stimulation intensive de son bas-ventre qui l’avait laissée, volontairement, sur sa faim.

    Se laissant glisser dans les méandres de la volupté et d’un état bien supérieur au bien-être, le magnétisme agissait avec une force qui lui faisait tourner la tête ; l’un répondait aux gestes de l’autre, tacitement, spontanément, l’animalité se teintait d’une douceur tentatrice qui aiguillonnait leurs sens et leur énergie. Leurs souffles s’entremêlaient dans une symphonie sauvage et rythmée, et la seule musique audible ne tarda pas à être celle des soupirs et des respirations saccadées, frénétiques, qui, bien que rendus extatiques, cherchaient à être dissimulés sous le couvert des langues et des lèvres qui se liaient. Les caresses pleuvaient, les attouchements faisaient de même, et la sensation, addictive, les fit vibrer jusqu’à la dernière inspiration, jusqu’à la dernière bouffé de concupiscence.

    Comme si la première étreinte n’avait pas suffi à assouvir pleinement les envies de l’un et de l’autre, la Lahmiane roula à nouveau sur le côté, se replaçant en position de force par-dessus le corps du vampire. Ainsi fièrement à califourchon, son port altier drapé de sa nudité conquérante, elle nargua un instant le corps de son partenaire soumis à sa pression provoquante. Tenant cette fois-ci les rennes, elle reprit la chevauchée, dépensant son énergie à se satisfaire elle-même en même temps que la virilité roide du jeune homme. Son bassin ondoyait, se soulevait, tandis que, la tête penchée en arrière sous l’effet de l’excitation, plus rien ne pouvait retenir les gémissements de plaisir qu’elle ne pouvait réprimer. Elle acheva de faire perdre totalement pied à sa rencontre d’un soir, usant de tous ses talents dont elle disposait pour pouvoir ainsi à son tour s’abandonner, et céder définitivement en ayant atteint un apogée grisant.

    Haletante, vidée de ses ardeurs, elle gisait à présent sur le torse du vampire qui l’était tout autant. Un doux flottement venait de se créer, où chacun se remettait difficilement de ses émotions, semblant vouloir les retenir le plus longtemps possible. Le silence reprit finalement ses droits à travers la pénombre de la chambre, où deux corps étaient en train de dormir, et où deux autres étaient toujours entremêlés. La jeune femme se redressa, laissant courir ses doigts sur le corps finement taillé de son vis-à-vis. Elle croisa son regard alors qu’il était en train de contempler son magnifique et noble visage, tranquillement, sans prendre le risque de glisser un mot susceptible de rendre gênant ce moment indescriptible.

    Petit à petit, alors qu’ils firent d’avantage attention à leur environnement, un duo de battements se fit entendre dans la pièce. D’abord léger, fugace, il finit par s’imposer à l’esprit des deux amants, qui tournèrent d’un accord tacite leur regard en direction de l’origine de ce doux bruit. Deux corps reposaient là, dans la même chambre, dans le même lit, juste à leur portée. Deux corps qui, s’ils s’étaient liés entre eux à leur manière et dans le même but que les deux immortels, demeuraient inoffensifs et innocents aux yeux de ces derniers. Quand bien même les deux prédateurs les avaient occultés de leur pensée tout au long de leurs ébats, ces deux proies qui s’offraient si généreusement à eux ne manquaient pas, à présent, de les faire saliver. Quoi de mieux que d’atteindre un énième orgasme, peut-être encore plus puissant encore, après avoir passé une telle soirée ?

    Ombeline, dont les jambes emprisonnaient encore les hanches de son semblable, roula sur le côté, le laissant se libérer. Il paraissait avoir eu la même idée que la damoiselle, et sitôt qu’il se fût retrouvé sans entrave, se glissa silencieusement vers l’une de ces proies qui ne demandaient qu’à être consommées. L’une des deux jeunes femmes, celle à la peau légèrement violacée et aux cheveux qui l’étaient également. Il ne restait plus qu’un seul et unique choix à Ombeline, mais elle s’en contenterait très bien. Une jeune femme aux mêmes yeux verts, à la même chevelure qu’elle, rousse également, et somme toute assez avenante.

    La Lahmiane s’avança à quatre patte sur le matelas, doucement, de crainte de la réveiller, tandis que de son côté, l’autre vampire s’attaquait déjà délicatement au cou de sa cible. L’idée qu’il se repaissait déjà d’un sang chaud lui mit l’eau à la bouche, et elle se hâta en circonstance. Parvenue à côté de ce qui était en vérité une ménestrelle, quand bien même elle ne le saurait jamais, Ombeline prit tout de même le temps de contempler la jeune femme, comme l’aurait fait une prédatrice devant une proie n’ayant aucune chance. Elle retira le drap qui masquait partiellement la nudité de la jeune femme qui sommeillait, l’auscultant, sans qu’il y eût la moindre raison, de son regard devenu sévère et intransigible. Un sourire loin d’être charmant imprimé sur son visage qui demeurait pourtant gracieux, la Lahmiane souleva délicatement le menton de l’endormie, et s’imprégna de la douce peau de ce cou ainsi offerte à elle. Quelques secondes plus tard, et quatre crocs vinrent s’y plonger sans aucune délicatesse.

    La vie qui s’écoulait sûrement de la plaie béante ne fut pas perdue en vain. Une bouche aussi avide que la langue qu’elle renfermait se tenait là, recueillant la majeure partie de ce liquide carmin qui s’épanchait en un flot bouillonnant, venant de temps à autre maculer les couvertures. La jeune femme s’était réveillée, et aux travers de ses yeux qui roulaient dans leur orbite se lisaient la panique et l’incompréhension aussi bien que la douleur et le fatalisme. Une main impérieuse plaquée sur la bouche de sa victime, manquant d’en broyer la mâchoire afin que nul gémissement ne puisse en sortir, la vampire poursuivait inlassablement et avec délice son œuvre macabre, le sang affluant sans cesse au fond de sa gorge. La bête qui sommeillait en elle se régalait et lui faisait perdre toute notion de contrôle, à moins qu’elle n’eût décidé par elle-même de laisser libre court à ses pulsions en cette soirée, comme elle venait de le faire avec son semblable ?

    Les mains paniquées et agressives qui, de leurs ongles, avaient tenté de labourer la peau du visage et de la dextre d’Ombeline cessèrent peu à peu leurs futilités, abandonnant ce combat perdu d’avance en même temps que la vie faisait de même en quittant ce corps désormais exsangue.
    La Lahmiane, habillée de sa seule nudité, se redressa, et, les lèvres barbouillées d’un sang encore chaud, se dirigea vers la fenêtre, sensible à la beauté du paysage qui s’offrait à sa vue.

    Au-dehors, la dame d’argent, maîtresse de la nuit et des ténèbres, dardaient ses longs rayons de clarté sur le monde, tranchant l’atmosphère paisible et vespérale. Les hiboux hululaient, reprenant en concert les stridulations des criquets, le gazouillis de quelques oiseaux téméraires, et le bruissement du vent qui se faufilait à travers les arbres séculaires. Tout cela était très beau, paisible, aussi paisible que le cadavre qui reposait sur les draps blancs.

    Un bruissement, tout autre, la fit se détourner de la fenêtre. Le vampire avait également terminé son œuvre, et, après un dernier salut, disparut dans les ténèbres. Pourtant, il y demeurait dans la pièce un battement, faible, mais régulier. L’autre jeune femme vivait toujours. Qu’importe.
    Ombeline, l’esprit apaisé et déjà ailleurs, jeta un dernier regard en direction de la fenêtre, maintenant décidée à aller rejoindre ce monde nocturne qui lui apportait une paix certaine. Et, se glissant hors de la chambre, disparut à son tour.
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Re: [Lieu] Chambre six

Message par Déistra »

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Avertissement : Ce sujet mets en scène des slaaneshis, il est donc interdit aux moins de 18 ans. Les mineurs qui viennent lire ce sujet, sachez que nous dégageons toute responsabilité à votre égard, si vous lisez ceci c'est en tout connaissance de cause ! Merci de respecter ce sujet, ne serait-ce qu'en n'y ajoutant pas de remarques déplacées. Nous vous remercions d'avoir pris le temps de lire ce petit texte, et nous laissons la place au sujet proprement dit...
Dans la taverne du Squig il existe une chambre, dont le bois au vernis écaillé et aux tons passés porte, taillé à même le bois, une grossière représentation du numéro six. Celle-ci est située au fin fond du couloir, est plus ou moins insonorisée (certains clients assez démonstratifs ne le certifieraient pas cependant), et possèdes pour tout mobilier un lit, mais quel lit ! Grand en largeur comme deux lits normaux, en bois tellement sombre qu'on le dirait noir, il est richement orné de dorures à demi effacées et de sculptures représentant des scènes lascives d'inspiration cathéennes.

Certaines sont d'un réalisme si criant que le propriétaire de l'auberge s'était senti responsable de les détériorer pour en atténuer l'impact érotique, ce qui donnait un absurde mélange de corps incomplets et de silhouettes à demi effacées se livrant à la débauche la plus complète... Curieusement cela n'en rends l'ouvrage que plus troublant, et les draps de velours noir caressant la peau de ceux qui s'en enveloppent n'arrange pas l'état des clients... Aussi cette chambre est-elle tout naturellement devenue le rassemblement des rencontres illicites, demeures d'un soir des slaaneshis et autres amateurs d'unions non consensuelles venus l'espace d'un instant s'adonner à leurs plus bas instincts.

Le prix relativement correct (Une dizaine de pistoles), l'absence totale de véritable moyen de fermeture (Un simple coup d'épaule appliqué au bon endroit suffit), font de cette chambre l'endroit le plus dépravé de l'auberge, et au vu du succès qu'elle suscite l'aubergiste s'est bien vu obligé de garder les lieux en l'état...
Lorsque l'on entre dans la pièce, une voix résonnes dans votre esprit, langoureuse et tentatrice :


Entrez, entrez et laissez vous aller à vos plus bas instincts... Oubliez vous l'espace d'une nuit, et l'aube venue rentrez chez vous...[/align]
Déistra Noiredextre, Disciple du Chaos vouée à Slaneesh
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Pour noter Déi, c'est ici ! Allez mes enfants, n'ayez pas peur...
Déistra Noiredextre
Magus de Slaanesh, ex-Sybarite, branche de Nuln
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Disponible 24/24h, 7/7j, Sur simple demande plus ou moins légale
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