Le Manoir Von Sturmhöhe

[[MJ] Nyx]

Précédemment :

La maison était grande, la bibliothèque à sa mesure, quand aux ouvrages ils étaient plus passionnant les uns que les autres, on pouvait y suivre la progression de la propriétaire son lent cheminement sa mturation jusqu'à son ouverture et à l'acceptation de ce qui sommeillait en elle.
Elise mit également la main sur un journal intime des plus émoustillants, le sortilège qu'elle avait jeté était encore au creux de son ventre et de ses reins une délicieuse chaleur qui la poussa à approfondir ses recherches.
Derrière l'un des ouvrage les plus compromettant un coffre de petite taille était dissimulé.


De son côté Deistra tenait toujours par la main la jeune fille en pleure quand elle entra dans les cuisines, tout le niveau du bas était dédié à la ripaille, des jambons, des céréales, des fruits sec des confiseries. Rien de frais. Par contre il y avait dans la cuisine même un puits. La jeune fille s'était calmée elle dodelinait de la tête sans entendre sans doute son compagnon.

-Ne t'en fais pas, je ne te laisserais pas, je vais dire à mes parents que je veux t'épouser, je ne t'abandonnerais pas...

Le tout jeune homme désemparé ne fit que relancer les sanglots de la jeune fille.

-Tu ne comprends pas, j'étais promise, je ruine ma famille, c'est terminé, il vaut mieux que je disparaisse à tout jamais. Les sanglots reprennent, le noble héritier est agacé il regarde avec mépris la jeune fille, dévisage les autres jeunes filles d'un oeil remplis de colère. Les autres sont penauds, refroidis, ils ne se regardent pas.

[Elise Hahn]

Elise Hahn venait enfin de trouver la bibliothèque. De l’extérieur, le manoir Von Sturmhöhe semblait grand, mais une fois à l’intérieur, celui-ci était gigantesque. La magicienne alla chercher un petit escabeau, ainsi qu’une lanterne et se plaça près d’une série d’étagères situées à l’autre bout de la pièce. De la plus haute d’entre elles, Elise tira un volume poussiéreux et le descendit en le tenant avec précautions. Elle souffla sur la couverture pour en enlever la poussière.

Il était assez volumineux, le titre et le nom de l’auteur, embossés en lettres d’or sur la tranche, avaient presque été effacés par le temps. Deux grosses pinces de cuivre enserraient la couverture et permettaient son ouverture. Elise s’assit à la table et alluma la lampe avec une chandelle. Elle régla la mollette à la base pour augmenter la luminosité à son maximum, puis remit en place l’abat-jour. L’odeur de l’huile en train de se consumer remplit la pièce. Elle commença sa découverte.

Même si Elise ne savait pas lire, elle comprit que la première page de l’ouvrage annonçait qu’il avait été écrit il y a plus de cent quatre vingt ans. Le livre était partagé en petits chapitrés, chacun traitant d’un aspect de la vie de la propriétaire de ce manoir.

Elise Hahn trouva environ une dizaine de livres compromettants, qu’elle cacha dans un cagibi proche de la bibliothèque. Dans ce paquet de lire, elle trouva même un journal intime des plus émoustillants.

Alors qu’elle enlevait un livre pouvant choquer les invités de Chaton, Elise découvrit un petit coffre dissimulé derrière le livre à reliures roses. L’excitation commença à se propager dans le ventre de la cultiste tandis qu’elle s’imaginait tous ce qu’elle pourrait trouver dans ce coffre sans doute bien rempli.

La jeune magicienne ne pouvait plus attendre, elle avait besoin de savoir ce que contenait ce petit coffre. Elle l’attrapa et le porta pour le poser un peu plus loin sur la table de lecture à la lueur de la lanterne.

Ses yeux crépitaient de malice. Elle pensait avoir trouvé une grande relique de Slaanesh. Ce moment lui rappela le passage de sa vie où elle avait découverte le grimoire parlant de Slaanesh. Elle était tout aussi excitée.

Retenant son souffle, Elise souleva le couvercle pour découvrir le contenu du coffre…

Ö magnifique petit coffre, dévoile-moi tous tes beaux secrets !

Donc j’ouvre le coffre Par contre, si celui-ci est impossible à ouvrir, je dépose ma poudre noire dessus et je l’allume avec mon sort flammèches

[Déistra]

*Pendant ce temps là...*

[align=]Tenant toujours par la main la jeune noble en larmes, la slaaneshi débouchait dans la cuisine : Rien de bien exceptionnel, si ce n'était le puits au centre de la pièce, élément incongru qui lui laissa immédiatement deviner l'usage qu'Anne en avait, une chose était sûre ce n'était pas de l'eau tirée de la source du coin qui y reposait... Elle fit un rapide inventaire des aliments présents, du jambon en guise de viande, des céréales, plusieurs sortes de fruits secs et quelques confiseries qu'elle se promit de mettre à bon usage plus tard... Sans doute exténuée à force de pleurer la jeune fille dodelinait de la tête sans écouter son compagnon :

-Ne t'en fais pas, je ne te laisserais pas, je vais dire à mes parents que je veux t'épouser, je ne t'abandonnerais pas...

Classique somme toute, après avoir commis "l'irréparable" (Du moins selon les standards de la noblesse locale), il se proposait lui, un homme du commun, de l'épouser pour racheter sa conscience... Ce qui relança les pleurs de la jeune fille comme l'avait devinée Déistra, ah ces hommes ! La petiote se chargea de lui mettre les points sur les i (La slaaneshi si elle avait été à sa place aurait été beaucoup plus rude, mais bon puisque c'était fait !) :

-Tu ne comprends pas, j'étais promise, je ruine ma famille, c'est terminé, il vaut mieux que je disparaisse à tout jamais.

Quand au fils à papa "qui leur ferait regretter si ils disaient ce qu'il avait fait", il foudroyait les désormais femmes du regard, manifestement il s'estimait bien mieux que la plupart des gens dans la pièce... C'est ce dernier point qui fit monter la moutarde au charmant nez de Déistra, aussi à la surprise générale se mit-elle à émettre un petit rire sans joie avant de répondre d'un ton sucré, se plaçant tout près du jeune noble envahissant ainsi son espace vital :

-"Il semblerait donc que pas un ici ne réalises la situation actuelle, je vais donc me charger de l'expliquer..."

Tournant désormais le dos au jeune homme elle se nicha négligemment dans ses bras avant de déclarer levant les yeux vers lui pour lui effleurer presque tendrement le visage :

-"Le bâtiment dans lequel vous étiez était soumis à une quarantaine, avec raison d'ailleurs : J'ai surpris une conversation entre notre hôte et une jeune femme qui semblait être sa favorite, apparemment tout ceci était dû à l'intrusion d'une monstruosité du chaos, un servant de Neiglish le seigneur des maladies si j'ai bien crue comprendre... Ceux-ci ont même été les premières victimes de cette horreur, je ne vous caches cependant pas que je n'ait pas été voir de plus près s'ils avaient survécus à l'affrontement..."

Se renfonçant désormais davantage dans ce cocon de chair elle eut un petit rire avant de déclarer :

-"Je n'accompagnais Dame Sturmhöhe qu'en tant que courtisane, un oiseau de prix que l'on loue le temps d'une soirée ou d'un bal... Celle-ci m'avait confiée la garde d'une bouteille de vin contenant une forte quantité d'aphrodisiaques pour la suite de la fête, lorsque j'ai vue que rester plus longtemps me conduirait inévitablement à mon décès prématuré je me suis décidée à quitter les lieux avec le plus de personnes possibles... Vous vous doutez bien que l'urgence de la situation ne me permettait pas de prendre le temps de tout vous expliquer, par ailleurs je vous l'avoue il me tardait de quitter ce lieu devenu bien inhospitalier à mon goût... Je vous ait donc proposés à vous tous belles gens une gorgée de ce vin, avant de vous entraîner ici, espérant ainsi vous mettre hors de danger..."

Elle poussa un soupir théâtral, S'extirpant soudain de l'étreinte des bras du jeune noble, avant de déambuler entre les différentes parties, continuant son récit tout en l'élaborant au fur et à mesure :

-"Néanmoins, j'avoue avoir surestimée l'effet de ce breuvage : A peine venait-je de retrouver la clef de ce logis, que chacun d'entre vous avait déjà dépassé le point de non-retour... Je dois vous avouer que j'avais moi aussi bue une légère quantité de cette boisson, aussi je n'ait pas honte de vous dire que je n'ait pas tardé à aller me joindre à votre petite fête improvisée...", conclut-elle avec un sourire malicieux. Elle reprit alors :

-"Vous comprenez désormais ? Aucun d'entre vous n'est responsable, ce vin vous avait enlevés vos inhibitions, et avec tout le stress occasionné par les précédents évènements... Baste, je voudrais bien voir quelqu'un qui n'aurait pas voulu oublier ne serait-ce que l'espace d'un instant toutes les horreurs de cette soirée ! Aucun d'entre vous n'a quoi que ce soit à se reprocher, cependant nous voilà tous devant un gros problème..."

Elle s'arrêta alors de marcher pour les dévisager tous, croisant leur regard à chacun sans baisser les yeux, avant de déclarer d'une voix froide :

-"Tous autant que nous sommes, nous nous sommes échappés d'un lieu sous quarantaine, qui plus est un lieu infesté par le chaos, rien que ça ! Je sais bien que les circonstances nous y ont obligés, mais je doutes que l'inquisition soit aussi compréhensive ! A tous les coups c'est le bûcher pour chacun de nous, et croyez moi aucun lignage ne pourra vous octroyer de passe-droit, si vous n'êtes pas immédiatement capturés par les gardes au dehors c'est votre propre famille qui vous livrera par crainte de l'épidémie..."

Elle marqua une pause semblant réfléchir :

-"Voici ce que je vous proposes : Contrairement à vous mon nom n'est pas connu, ne faisant pas partie de la noblesse je n'étais même pas censée être présente à cette soirée... Je peux donc aller et venir, et cet endroit ne sera sûrement pas visité tout de suite tant que le corps de Fraü Von Sturmhöhe n'aura pas été identifié, et si j'en crois ce qu'elle m'a racontée sur sa famille ce ne sera pas tant que tout risque de contagion soit écarté... Je vous proposes donc de rester ici le temps que la situation se calme, à partir de là nous trouverons bien un moyen quelconque de rentrer en contact avec des personnes de confiance qui se chargera de vous héberger... Bien entendu, comprenez que je ne vous mets pas à la porte, loin de là !", s'empressa-t-elle de rajouter comme réalisant son erreur, "Vous êtes libres de rester tout le temps que vous le souhaitez, pour ma part je resterais ici le temps de réunir suffisamment d'économie pour m'établir dans un autre quartier. Pour finir cet entretien, je sais qu'occuper un lieu appartenant à une morte - Car il est certain je vous l'assure que pas une personne n'a pu échapper à la créature qui se dissimulait parmi nous - n'est pas très respectable, Mais la situation ne nous laisse pas le choix !

Donc pour l'instant je vous proposes à tous de choisir chacun une chambre à l'étage, pour préserver ce qu'il nous reste de morale je vais avec le reste des femmes ici occuper la chambre de la maîtresse de maison, d'après ce que j'en ait vu chacune d'entre elles est pourvue d'une salle d'eau, profitez en pour vérifier que vous ne portez aucune marque pouvant laisser penser que vous ayez été contaminés... Rassurez-vous d'après ce que j'en ait vu cette maladie est du genre foudroyante, si vous êtes encore là parmi nous je doutes que cette... Cette chose ait réussie à vous avoir, mais on ne sait jamais... Messieurs en attendant que ces dames aient eues le temps de se rafraîchir quelque peu puis-je vous demander une faveur ? Je souhaiterais que l'un d'entre vous monte la garde devant ce qui sera désormais notre chambre, tandis que l'autre se posteras devant l'entrée du bâtiment, non pas que je doutes de vous messieurs, mais je préfères ne pas prendre de risques... Nous sommes tous dans le même bateau, et il suffit que l'un d'entre nous se fasses prendre pour que tous nous tombions ! Je vous fais tous confiance, en attendant tentons de vivre les prochains jours en bonne harmonie sommes-nous d'accord ?", dit-elle en scrutant chaque visage pour s'assurer que le message était bien passé, après quoi saisissant délicatement la main de la jeune fille éplorée elle lui murmura doucement :

-"Venez mon enfant, nous allons trouver de quoi sécher ces larmes, ainsi que de quoi vous vêtir... Allons venez..."

Je tente de servir mon petit récit à l'assistance, pendant la première partie charisme et éloquence à tout le monde sauf le fils à papa, pour lui une touche de séduction pour le refroidir (Ou l'inverse... C'est selon ^^) Seconde partie charisme et éloquence pour tous, puis charisme sur les filles pour les inciter à me faire confiance et à me suivre vers la salle d'eau de la chambre d'Anne... Je reprendrais la main sur le Rp à peu près à partir de ce moment si toutefois tu m'y autorises ^^ Si problème je ne suis pas le court des actions décrites plus haut d'accord ? (Genre échec critique à mes différents tests )

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[[MJ] Nyx]

Je pose une réclamation, tous les jets de dés étaient en votre faveur ! C'est pas juste !

Le coffre facilement forcé, très facilement forcé, laissa échapper plusieurs actes de propriétés, des reconnaissances de dettes, des lettres cachetées et des rouleaux de pièces d'or.

De son côté Deistra ne parvint pas à convaincre tout le monde de rester, le jeune noble orgueilleux tout chamboulé par les attouchements de la cultiste oscillait entre la colère et l'excitation il ne faudrait pas grand chose pour le pousser au vice. La jeune fille était totalement d'accord pour faire tout ce que Deistra voudrait tant qu'elle n'avait pas à retourner chez elle. La plupart des jeunes filles réagirent comme elle. Les hommes, héritiers de leurs familles respectives obéirent. A l'exception des deux gardes qui se proposèrent à son service, ils étaient des mercenaires et tant qu'elle les paierait, d'une manière ou d'une autre, ils la suivraient.

Les "pensionnaires" s'étaient éclipsés quand Elise retrouva Deistra, toutes deux étaient diablement attirantes, comme nimbées d'une aura attractive.

[Déistra]

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Pour les réclamations, voir le bureau des affaires chaotiques, troisième porte bis quarante-cinquième étage, 'faut obtenir le laisser-passer A-38 pour prendre rendez vous...

Le résultat des efforts de la cultiste fut mitigé : Le nobliau ne demandait plus qu'une seule poussée avant de succomber, les filles elles acceptaient de rester par la force des choses... Les deux gardes, des mercenaires apparemment, lui obéiraient tant qu'elle pourrait les payer, et Déistra supposait que la propriétaire des lieux devait bien cacher une ou deux caissette...

Puis tous se séparèrent, les filles à l'étage dans la salle d'eau, et les hommes sans doute à la recherche d'une chambre pour les loger... Elise arriva sur ces entrefaites, nimbée d'une aura de séduction qui contraignit la slaaneshi à se faire violence, sans quoi elle aurait volontiers perdu son temps à explorer chaque parcelle de ce corps délié... Elle remarqua que celle-ci portait sous le bras un petit coffre qui devait sûrement contenir les économies d'Anne. Lui demandant de le dissimuler en lieu sûr, elle l'entraîna ensuite en la tenant par la main à l'étage, avant de passer souriante sous le nez du garde posté devant la salle d'eau. Entrant à l'intérieur au milieu des dames, elle leur fit un grand sourire avant de déclarer :
-"Mesdames, nous permettez nous de nous joindre à vous ? A mon souvenir il n'existe qu'une seule salle d'eau, et afin d'éviter de faire des allées et venues pour chercher de l'eau chaude je suggère que nous allions dans le bac à plusieurs ! Vous verrez, l'expérience sera... Enrichissante, alors, des volontaires ? Ne soyez pas timides, après tout nous sommes entre femmes !" , conclut-elle avec un clin d'oeil, en même temps elle en elle-même elle en appela aux pouvoirs de son dieu :

* Slaanesh, Maître des plaisirs interdits, ce lieu est tien, répands-y tes bienfaits !
ô Slaanesh, Maître des plaisirs licencieux, ces enfants sont tiens, prends les dans tes bras volupteux !
ô Slaanesh, Maître des subtiles délices, en ce lieu et cet instant j'en appelles à tes pouvoirs, allumes la flamme qui dors en eux !
ô Slaanesh, Maître des subtiles caresses, que cette flamme que tu as allumée devienne brasier, et les consumes tous !
ô Slaanesh, ces enfants communieront pour toi !
ô Slaanesh, ces enfants te serviront de toute leur âme !
Par les plaisirs interdits que tu dispenses,
Par les plaisirs licencieux que tu inflige,
Par les subtils délices dont tu nous régales,
Par les subtiles caresses dont tu parcours notre peau,
Fais leur apercevoir la vérité, ta vérité !
Que le plaisir les emporte comme un torrent, et les emporte un fond d'un gouffre de délices et de plaisirs !
In nomine Slaanesh !
In nomine Slaanesh !
In nomine Slaanesh !
In nomine Slaanesh !
In nomine Slaanesh !
In nomine Slaanesh !*

Usage de 5 points de dévotion pour mettre ces dames dans les conditions adéquates ^^ Les femmes dominent le monde c'est bien connu, une fois celles-ci ralliées à ma cause le reste suivra !

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[Elise Hahn]

Le coffre de la bibliothèque s’ouvrit tranquillement, sans que Elise Hahn ait besoin d’user de la force ou même de sa magie. Soulevant délicatement le couvercle, les yeux de la jeune femme brillaient tellement elle était impatiente de découvrir le contenu.

L’intérieur du coffre était rempli par plusieurs actes de propriétés, des reconnaissances de dettes, des lettres cachetées et des rouleaux de pièces d’or. Elise aurait bien aimée savoir lire pour déchiffrer toute cette paperasse, mais malheureusement elle était analphabète.

Le coffre sous le bras, Elise décida de regagner la salle à manger où devait l’attendre la petite compagnie. Quand elle entra dans la pièce, la troupe venait de se disperser. Seule Chaton se trouvait encore dans la pièce.

Déistra lui indiqua d’aller dissimuler le coffre en lieu sûr. Avant de repartir, Elise lui expliqua son avis sur le coffre:

À mon avis, il faudrait que l’une d’entre nous aille rendre visite à un faussaire pour qu’il nous décrypte toutes ces lettres et documents. De plus, le faussaire pourrait facilement modifier la paperasse et ainsi on deviendrait les propriétaires de ce magnifique manoir. Centre névralgique de l’expansion du pouvoir de Slaanesh. Je me propose pour aller voir le faussaire, quand tout le monde aura trouvé sa place… Quand penses-tu, Chaton ?

Une fois que Déistra eut donné sa réponse, Elise l’entraina en la prenant vers la main vers le cagibi où elle avait dissimulé les livres compromettants. Tout en posant le coffre dans la pièce, Elise lui demanda si cette petite cachette convenait…

Quand les problèmes des livres et de l’argent furent réglés, Déistra entraina la petite cultiste en direction de la salle des bains des femmes. Toutes les dames se trouvaient à l’intérieur, mal à l’aise de se mettre à nue devant les autres.

C’est à ce moment que Chaton essaya de les réconforter:

-"Mesdames, nous permettez nous de nous joindre à vous ? A mon souvenir il n'existe qu'une seule salle d'eau, et afin d'éviter de faire des allées et venues pour chercher de l'eau chaude je suggère que nous allions dans le bac à plusieurs ! Vous verrez, l'expérience sera... Enrichissante, alors, des volontaires ? Ne soyez pas timides, après tout nous sommes entre femmes !"

Comme pour montrer l’exemple, Elise alla se dévêtir dans un coin et revint près du grand bassin qui faisait office de baignoire. Toutes les dames purent observer les formes aguichantes d’Elise, ainsi qu’une légère cicatrice sur le bas du dos, mais surtout la marque de Slaanesh qui se trouvait de l’autre côté, sur son bas ventre.

Sans plus attendre, Elise plongea dans le bassin et fut la première à profiter de l’eau chaude du bain. Toute joyeuse, la jeune femme se mit à nager avec grâce avant de se retourner vers les autres, dévoilant son visage aussi heureux que celui d’un enfant de cinq ans qui irait se baigner.

Aller, ne soyez pas timides. En plus, l’eau est super bonne !

Sur ces derniers mots, Elise lança un peu d’eau dans leurs direction.

S’il faut appuyer Déistra pour que ces dames viennent dans l’eau, j’ai le bonus de mon sort et la compétence charisme

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Il était clair que ce ne serait pas une partie de plaisir que de mener ce troupeau de demoiselles au dieu des plaisirs, cependant les incantations de Deistra et la magie d'Elise les gardèrent dans un état tel qu'elle cédèrent facilement à l'appel d'un bon bain chaud et parfumé sans trop se poser de question, même la plus bouleversée d'entre elles se laissa engourdir, le bac de un mètre sur deux fut rapidement rempli de chaires nues tendres et blanches, chaudes et langoureuses. Le potentiel érotique de ce fait en fut augmenté et les effluves imperceptibles des hormones se répandirent dans tout le petit manoir.
Comme une nuée de papillons attirés par la flamme les hommes de la maisonnée ne tardèrent pas à apparaitre à la porte de la salle des bains.

Si elles voulaient faire quelque chose de pérenne les deux adeptes allaient devoir travailler ensemble et mettre au point leurs influences. Pour ne pas être débordées.

Explication : Le mieux est l'ennemi du bien, Tous vos jets étaient entre 1 et 5 mis à part celui de Deistra pour son invocation qui était de 20 plus les cinq points de dévotion, d'où un magnifique excès ^^.

[Déistra]

[align=]Au vu des derniers évènements, la slaaneshi ne pouvait réellement dire si elle était soit très chanceuse, soit dans une misère noire ! Bien entendu son dieu avait répondu à son appel, et les jeunes filles s'étaient toutes jointes docilement au bain, leur chair mouillés collées les unes contres les autres en un tableau charmant... Le problème, c'est que tout ceci les avait mises dans un tel état d'excitation que la salle d'eau baignait littérallement dans les phéromones, et celles-ci se répandant elles parvinrent bientôt aux narines de ces messieurs, qui commençèrent à se masser à l'entrée des lieux...

Que faire ? Gérer un tel déploiement de débauche potentielle promettait d'être plus que délicat, mais d'un autre côté ignorer une telle opportunité... Haussant mentalement les épaules elle décida de prendre les choses commes elles étaient, aussi sortant un instant du mélange de chair et d'eau qui emplissait désormais la bassine elle partit ouvrir aux mâles de la maison, avant de saisir le premier qui lui tombait sous la main et de l'embrasser farouchement, ses doigts crispés sur la chevelure de sa proie tandis qu'elle entremêlait ses jambes dans les siennes l'empêchant de battre en retraite de quelque manière que ce soit... Elle ne tarda pas à se retrouver à cheval sur lui le menant au plaisir, l'activant jusqu'à ce qu'il se perde en elle, le corps parcourut de frissons et à la recherche d'un souffle qui lui manquait...

Avec un petit rire elle décida d'en rester là avec lui, et de reporter son attention sur l'une des jeunes filles sans partenaires, passant dans son dos pour l'entourer de ses bras, ses doigts s'insérant dans sa féminité pour lui procurer les plus sublimes des délicatesses... Ses lèvres cherchant les siennes elle mêla son souffle au sien, sa langue explorant avec art les moindres recoins de sa bouche aux lèvres gonflées de plaisir...

Showtime ! Je tente de les séduire et leur faire réaliser les avantages à me rejoindre, ils ont beau être plus ou moins sous influence une fois qu'ils auront "émergés" ils sauront bien se rappeler si l'expérience a été agréable ou pas... Usage uniquement de séduction et charisme pour ce faire.

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[Elise Hahn]

Pendant un petit instant, les demoiselles ne semblèrent pas manifester un grande envie pour la baignade collective. Si elle ne voulait pas se régaler, Elise en tout cas, allait profiter de ce bon bain chaud. La magicienne prit sa respiration avant de plonger sous l’eau pendant quelques secondes. Une fois qu’elle eut explorée les fond marins, elle se releva et se mit debout dans le bassin, dévoilant ses seins nus à ses spectateurs. De l’eau coulait sur ces magnifiques formes ajoutant de la beauté à ce magnifique portrait.

Chaton fut la première à la rejoindre dans le bain. Elise aimait bien cette femme. Non pas car elle avait un corps de rêve, elle aussi… mais celle-ci représentait la femme mature que Hahn voulait devenir. Déistra était devenue comme une mère pour la nouvelle cultiste.

Ne pouvant plus se retenir, les jeunes femmes de la noblesse commencèrent à se dévêtir. Elise sentait un certain malaise en voyant les femmes se dévêtir. Toutes se jetaient des petits regards et aucune d’elles ne voulaient dévoiler leur féminité en première.

Mais rapidement la magie d’Elise et les incantations de Chaton firent effet. Elles se retrouvèrent tous dans le bassin et le bain fut soudainement rempli par des corps nues. Les peaux nues commencèrent à s’érafler, à se toucher, à se palper… l’eau chaude dans tout cela, ajoutait encore plus à l’érotisme de la scène.

Les effluves imperceptibles des hormones se répandirent dans tous les manoirs et les mâles pouvaient sentir ces effluves à dix kilomètres à la ronde. Les hommes du manoir se massèrent devant la porte de la salle de bain fermait et Déistra décida d’aller leur ouvrir.

Se dissimulant derrière les autres dames, Elise épia le corps nue de Chaton, qui se trouvait maintenant hors de l’eau. Voir les belles fesses de sa compagne remuer de la sorte, excita la magicienne qui était drôlement attirée par Chaton depuis la nuit dernière. Pour le moment, elle essayait de dissimuler son amour pour cette femme, mais bientôt elle en serait incapable.

Mais l’excitation de la jeune femme retomba aussitôt, lorsque Déistra se mit à chevaucher le premier mâle venu. Elise se surprit à être jalouse de cet homme. Elle aurait tant donné pour être à sa place. C’est ainsi que la débandade commença !

Chaton réintégra le bain et sauta sur une jeune femme pour lui procurer du bien. Hahn décida de sortir de cette pièce, le cœur meurtri par ce qu’elle venait de voir. Elle attrapa une serviette blanche, qu’elle enroula autours de sa taille et sortie en essayant de ne pas se faire remarquer.

Marchant nue dans le manoir, elle essaya de trouver la chambre de la propriétaire pour y faire quelques fouilles et essayer de trouver de nouveaux habits, plus adaptés…

[[MJ] Nyx]

L'orgie aquatique se poursuivie tant dans le bassin que dans la salle d'eau, la densité des orgasmes était digne de leur dieu.
Bien que ressentant de la jalousie Elise était sensible aux effluves qui irradiaient de la salle, son ventre la mordillait mais elle restait maitresse d'elle, ce phénomène lui permettait par contre d"évaluer la force et le potentiel latent dont Deistra était investis. Elle se dirigeait vers la chambre de la propriétaire quand son bras fut tiré en arrière et tordu, l'homme, nu, la colla contre lui et la ceintura de son autre bras. Lui aussi était contaminé par les phéromones dégagées par l'orgie et augmentées par le sort qu'elle avait elle même lancé, elle était irrésistible et le noble qui quelques temps auparavant voulait à toute force s'en aller ne pouvait résister à cet attirance. Il était brutal, à son souffle court et à la protubérance qui se glissait entre ses jambes elle su tout de suite ce qu'il voulait lui faire, elles perdaient le contrôle, c'était dangereux.

Elle n'était pas loin de la salle pourtant.

Deistra, toute affairée qu'elle était ne remarqua pas l'absence de sa compagne de culte.