L'ultime combat !

[[MJ] Wargut]

Les cadeaux… tu en auras besoin contre Reinard !

- Quand tu t’en sers, souviens-toi juste que le bout pointu doit partir loin de toi. Et maintenant va-t’en… et prends soin de toi.

Stephan galopa vers la porte sud, tandis que les guetteurs taillaient les mèches des lanternes. Les premières lueurs de l’aube avaient disparu des rues de Talabheim, et de jeunes enfants jouaient sous la herse. Il avait choisi la route du sud pour la meilleure des raisons. Les kislévites venaient du nord, et le plus rapide pour éviter une bataille était d’aller tout droit dans le sens inverse, de plus Reinard se trouvait dans le sud…

D’un coup de talons, il força le hongre à aller de l’avant, vers le sud. À sa gauche, le soleil levant atteignait les pics bleus des montagnes. Dans le ciel d’azur, les oiseaux chantaient, derrière lui montaient les premiers bruits d’une ville qui s’éveille. Mais c’était sur les kislévites que le soleil se levait, Stephan le savait bien. Pour les humains, c’était le crépuscule qui s’annonçait..

Se levant sur ses étriers, il scruta la forêt de Graven, si blanche et vierge sous la neige. Pourtant, c’était un lieu sur lequel courait un nombre incroyable de légendes maléfiques, et en temps normal, il l’aurait évitée. Le fait qu’au contraire il y pénètre était révélateur de deux choses: premièrement, les légendes étaient toujours construites autour des activités d’un homme bien vivant et deuxièmement, il connaissait bien cet homme-là, car c’était sa cible.

Reinard.

Lui et sa bande d’égorgeurs assoiffés de sang avaient établi leur quartier général dans Graven et étaient une plaie béante et purulente pour le commerce. Les caravanes étaient pillées, les pèlerins assassinés, les femmes violées. Et pourtant aucune armée ne pouvait les localiser tant la forêt de Graven était vaste.

Reinard. Son père était un prince des enfers, sa mère une noble de Talabheim. Du moins c’est-ce qu’il disait. Stephan avait entendu dire que sa mère était une prostituée et son père un marin de passage. L’un des passe-temps favori de Reinard avec ses prisonniers, c’était de les faire rôtir par petits bouts, sur des charbons brûlants, et de servir la viande une fois cuite aux pauvres diables qui avaient été capturés avec eux.

Les sabots de l’alezan faisaient peu de bruits sur la neige. Stephan le fit avancer au pas, pour éviter que des branches cachées ne le fassent trébucher. Le froid commençait à passer à travers l’épaisseur des vêtements, et très vite, ses pieds furent gelés malgré les cuissardes. Il fouilla dans son sac pour en extirper une paire de mitaines en peu de mouton.

Le cheval continua sa route. À midi, Stephan décida de s’arrêter pour un bref en-cas froid, entravant le hongre près d’un ruisseau. Avec son épée, il brisa la glace afin que la bête puisse boire, et lui donna une poignée d’avoine.

Alors qu’il allait remonter en selle, Stephan jeta un coup d’œil à l’arrière-train du cheval. Il avait de profondes cicatrices autours de la queue…

[Stephan Schulze]

Il faisait froid. Très froid même. Le vent glacial, combiné à la triste réputation du bandit qu'il était envoyé chercher avait tôt fait de le geler. A chaque souffle, de la fumée semblait sortir de sa bouche et de ces narine. S'en était de même pour Lancier.

Lorsque qu'il arriva devant le bois, il se dit que celui si portait mal sa réputation. En effet, il était beau, magnifique, des paysage comme un enfants pourrait se les imaginer. Pourtant courrait au sujet du bois de nombreuses rumeurs morbide et sinistre, histoire d'hérésie, de démence, de maléfice.. Si il n'y avait pas été envoyé par son supérieurs, jamais il n'y aurait pénétré.

Au bout d'un temps, il se maudit de n'avoir songer a remplir une gourde d'alcool. Toujours trop distrait pour partir en mission... Cependant, il avait soif. Il flatta l'encolure de son cheval puis tira sur les rênes et posa pied à terre. Il devait être à peu près midi. Il avisa un ruisseau au loin et y conduit son destrier. Arriver sur place, il tata le glace à l'aide de son pied, puis voyant que celle si était trop solide pour céder ainsi, il y donna plusieurs violent coup de lame, et celle si finit par céder. Il laissa le cheval boire un peu. Pas lui, il n'avait pas envie de se geler les mains. Puis, il lui fît manger un peu d'avoine, et se prépara a remonter en selle quand il remarqua les cicatrices. Il fronça les sourcils, il ne lui semblait pas les avoirs vus la au départ. Sa tête tourna de gauche à droite, et il se hissa prudemment en selle, observant toujours les alentours. Il entonna un petit chant Sigmarite pour se donner du courage, puis continua son voyage..

[[MJ] Wargut]

C’est parti pour le passage mélancolique !

Alors que Stephan s’avançait plus profondément dans la forêt, les chênes aux troncs noueux et aux racines emmêlées projetaient des ombres inquiétantes sur la piste et la brise nocturne faisait murmurer leurs branches. La lune qui pointait au-dessus des arbres éclairait le reste de la piste d’une lumière d’outre-tombe. Claquant des dents, il se mit en quête d’un bon endroit pour dresser son camp, mais ne le trouva qu’une heure plus tard, dans une petite clairière, près d’une fontaine gelée. Il construisit un paravent à l’aide de buissons pour protéger le cheval, le nourrit, et enfin se fît un petit feu à l’abri d’un chêne abattu et d’un gros rocher. À l’abri du vent, la chaleur se conservait dans la pierre. Puis il ramena sa couverture sur ses épaules et adossé au chêne, il regarda les flammes danser.

Un renard rabougri sortit son museau d’un buisson et contempla le feu. Par réflexe, le milicien lui lança une tranche de bœuf. L’animal cligna des yeux, regarda l’homme, puis la nourriture à plusieurs reprises avant de se précipiter sur le morceau posé sur le sol glacé. Et il s’enfuit dans la nuit. Stephan tendit ses paumes vers le feu et songea à Horeb…

Le grand tavernier l’avait élevé après que son père avait été tué lors d’une escarmouche. Honnête, loyal, fort et de confiance, Horeb était tout ça à la fois. Et aussi, il était bon, un vrai prince parmi les hommes. Stephan avait réussi à lui rendre la pareille par une nuit dont il se souvenait bien, où trois déserteurs l’avaient attaqué dans une ruelle à côté de la taverne.

Stephan Schulze avait bu ce soir-là et lorsqu’il avait entendu les premiers sons de l’acier qui s’entrechoque, il avait foncé. Dans l’allée, Horeb menait un combat perdu d’avance, son couteau de cuisine n’était pas de taille contre trois épées. Mais le vieil homme avait été soldat et il savait se déplacer. Stephan avait été figé sur place, oubliant qu’il avait lui-même une épée, sûrement à cause de la boisson. Il avait bien essayé d’avancer, mais ses jambes avaient refusé de bouger. Soudain, une lame avait passé la garde de l’aubergiste, lui ouvrant largement la jambe…

Stephan avait hurlé et le son avait libéré sa terreur. L’affrontement sanglant n’avait duré que quelques secondes. Le soldat s’était débarrassé du premier assaillant en lui ouvrant la gorge, avait paré un coup d’estoc du second, et donné un grand coup d’épaule au troisième, le projetant contre un mur. Toujours au sol, Horeb avait attrapé ce dernier, l’avait attiré à lui et l’avait poignardé avec son couteau de cuisine. Le deuxième homme avait alors pris la fuite…

- Tu as été magnifique, Stephan, disait toujours Horeb. Crois-moi, tu te bats comme un vétéran.

À présent, il jetait des brindilles dans le feu, depuis ce jour il éprouvait un remord, car il était en quelque sorte coupable de la cicatrice qui parsemait la jambe de son père adoptif. Un nuage passa devant la lune et un hibou hulula. La main de Schulze se referma sur le pommeau de sa lame…

---

Bon, on va passer dans le vif du sujet !

Les jours passèrent, froids, tristes, mais heureusement sans incident, jusqu’au matin du cinquième jour, quand surplombant de la piste un groupe d’élans, il entendit le son de l’acier qui s’entrechoque. Il attacha Lancier et prudemment, il se fraya un chemin entre les arbres jusqu’à un vallon enneigé.

Test de discrétions sous l’habilité: 2 (réussi)

Se déplaçant sans bruit, tel un chat, il déboucha dans une clairière. Des sons de bataille y résonnaient. Une jeune femme en armure d’argent et de bronze se tenait le dos à un arbre, repoussant de manière désespérée les assauts combinés de trois hors-la-loi. Des costauds, barbus, armés d’épées et de dagues. La femme maniait un énorme fléau. Le fléau était l'antithèse complet de la subtilité féminine, créant ainsi un mélange explosif...

Les trois, au mieux des escrimeurs maladroits, se gênaient mutuellement. Cependant la fille s’épuisait rapidement. C’étaient des hommes à Reinard, Stephan en était certain. L’un des attaquants hurla car le fléau venait de lui percuter le bras.

- Prends ça, espèce de bousier ! Cria la fille.

Stephan sourit. Cette femme était magnifique et savait manier les armes. Il devait agir pour la sauver…

Voilà à quoi ressemble la femme:




Et les bandits (sans le cheval):

[Stephan Schulze]

La missions durait plus longtemps qu'il ne l'avait prévus... Il pensait partir le matin et être de retour, un brigand attaché sur le cheval, le soir du deuxième jours. Mais sa faisait cinq jours qu'il parcourait cet foutus forêt sans trouver le moindre signe de la présence de la bande à Reinard. Jusqu'au cinquième jours, ou des bruit de combat se firent entendre.. Il se concentra et se mit à avancer dans la direction du vacarme, faisant bien attention à ne pas faire craquer les brindilles sous ses pied, jusqu'à déboucher sur une clairière, ou se battait une femme et trois brigand. La femme était d'ailleurs belle, non, magnifique. Toujours était il qu'il devait faire quelque chose.

Aussi, il posa sa main sur son arc, accroché sur son dos.. Et puis non, il n'avait reçus qu'une formation très basique au combat à l'arc et ne voullait pas risquer de toucher la damoiselle en détresse, sa ne serait bénéfique pour personne, outre les bandits. Très bien. Il saisi son bouclier, accroché au dessus de l'arc, et dégaina son épée. Il commença à marcher en direction des brigands. Le combat serait rude mais, et cela ne faisait nul doute, Sigmar serait avec lui!

-POUR SIGMAR !

Clama il en s'élançant vers les bandit de grand chemin. Bien sur, si il respectait la procédure habituel, il aurait dû leur dire "Au nom de Sigmar et de la milice de Tabalec, vous êtes en états d'arrestation!". Mais il doutait que cela lui apporte autre chose que des moqueries de la part de ces nouveaux adversaire.

Il approchait des brigand désormais, tenant son bouclier devant lui et levant sa lame bien haut vers les cieux.

[[MJ] Wargut]

Profil de Stephan: For 10 | End 8 | Hab 9 | Cha 8 | Int 9 | Ini 8 | Att 12 | Par 10 | PV 40

Profil de la femme:

Nom et Prénom: ?
Sexe: Féminin
Age: ?
Race: Humaine
Carrière: Maître d'arme
Profil: FOR 12 / END 10 / HAB 9 / CHAR 6 / INT 9 / INI 9 / PAR 8 / ATT 13 / PV 50/50

---

Compétences :
• Coups précis niveau 1
• Coups puissants niveau 1
• Réflexes éclairs niveau 1
• Arme de prédilection niveau 1


Inventaire:
Fléau d'arme
Cotte de mailles

Nom et Prénom: Bandit
Sexe: Masculin
Race: Humain
Carrière: Brigand
Profil: FOR 9 / END 8 / HAB 9 / CHAR 8 / INT 9 / INI 8 / PAR 8 / ATT 10 / PV 40/40

---

Compétences :
• Coups précis niveau 1

Inventaire:
épée à une main
Coutelas

Stephan dégaina son arme et son bouclier et attendit le meilleur moment pour charger. La fille plongea pour esquiver une attaque brutale et riposta de manière foudroyante, enfonçant son fléau d’arme dans l’œil d’un des hors-la-loi. Les autres reculèrent, soudain inquiets, en voyant leur compagnon s’écrouler dans un râle…

Ils se séparèrent afin de pouvoir attaquer chacun de leur côté. La fille avait craint ce moment, car sa seule défense était la fuite. Son regard passa d’un homme à l’autre. Occupe-toi du grand d’abord, oublie l’autre, et prie pour que sa première attaque ne soit pas mortelle. Peut-être même qu’elle pourrait les entraîner tous les deux dans la mort…

Le grand se déplaça vers la gauche pendant que l’autre se dirigeait vers la droite.

-POUR SIGMAR !

À ce moment précis, Stephan chargea les bandits pour sauver la femme en détresse.

Pvs du grand bandit: 25
Pvs du petit bandit: 20
Pvs de la femme: 35
Pvs de Schulze: 40

Test d’Ini des bandits: 13 (raté) / Peuvent que parer !
Test d’Ini de Stephan: 5 (réussi) / donc deux attaques !
Test d’ini de la femme: 11 (raté de justesse) / Peut que parer !

Test d’Att de Stephan sur le petit bandit: 13 (réussi) / Parade du bandit: 15 (raté) -> 19 points de dégâts, reste 1 Pvs !

Deuxième Att de Stephan: 16 (raté)

Stephan planta son épée dans le dos d’un des bandits. Celui-ci se retourna, abasourdi, et en le voyant il lui fonça dessus en hurlant sa rage…

[Stephan Schulze]

Tout petit post mais bon, il y a pas grand chose à dire

Tandis qu'il fonçait, il pu voir un des guerriers adverse s'éffondré sous le coup de la femme, qui du coup se retrouvait en fâcheuse posture. Mais il était presque la, et les bandits ne lui prêtait pas la moindre attention. Bien... Il pointa sa lame droit devants
Son attaque réussis, mieux que prévus a la base en faite. Le guerrier en face devait réellement agonisé, à ce moments la. Mais qu'importe, il leva de nouveau sa lame, prêt a frappée.

Pour l'empire !

[[MJ] Wargut]

Profil de Stephan: FOR 8 / END 10 / HAB 9 / CHAR 8 / INT 9 / INI 8 / PAR 10 / ATT 12 / PV 50/50 (changes le dans ta signature )

Test d’Att de Stephan: 1 (réussite critique donc +1D3 dégâts) / Parade du bandit: 15 raté) -> 29+1D3 (coups puissants)+1D3(réussite critique) = 34 points de dégâts; mort

Cette fois-ci, il avait un peu mieux visé. Stephan Schulze avait visé la tête de son adversaire et maintenant le hors-la-loi était étendu sur le dos, une lame plantait dans son front, du sang giclant à gros bouillons dans la neige…

Test d’Att de la femme: 7 (réussi) / Parade du bandit: 6 (réussi) -> 30+1D3(coups puissants) = 31 points de dégâts; mort

De son côté, la femme fit preuve d’une prouesse martiale exceptionnelle, réduisant le visage du grand bandit en un véritable amas de chair sanguinolent.

- Vous avez pris votre temps avant d’intervenir, lança froidement la fille, enjambant le corps du troisième hors-la-loi et laissant trainer son fléau d’arme dans la neige pour le nettoyer du sang de ses adversaires.

Stephan arracha ses yeux du visage de l’homme qu’il venait de tuer et regarda la jeune femme. Elle était grande et assez bien bâtie. Ses cheveux toujours aussi bien peignés étaient longs et blond clair. Ses yeux étaient d’un bleu cristallin. Le milicien s’attarda un peu plus sur les formes de la guerrière, qui étaient un peu dissimulées par sa cotte de maille…

- Eh bien, qu’est-ce que vous regardez ? Demanda-t-elle. Vous n’avez jamais vu de femme avant ?

[Stephan Schulze]

Le combat se finit rapidement, dans le sang et les cris de douleurs.

Stephan n'avait pas pris le moindre coup. C'était la première fois qu'il tuait des hommes, si l'ont oubliais la foi ou il avait sauvé Horeb de brigand. Il cracha au sol puis posa ces yeux sur la femme. Celle si avait fait ce qui ressemblait vaguement à une reproche

"J'aurais aussi bien pût te laisser te débrouiller" pensa le milicien.

Il continua d'observer la femme, s'attardant un peu sur ces formes. Un peu trop longtemps sans doute. Puisque la femme lui fît la remarque.

- Eh bien, qu’est-ce que vous regardez ? Vous n’avez jamais vu de femme avant ?

Le coté coureur de jupe de Stephan profita rapidement de cet occasion pour enchainer.

-Du moins, jamais d'aussi belle. Je suis Stephan Schulze, un milicien de Tabalec. J'ai été envoyé pour chercher le chef de ces... Brigands.

[[MJ] Wargut]

Je m’en moque complètement, affirma-t-elle. Et maintenant, où est votre cheval ? Car ils ont tué le mien, les salauds !

Vexé, Stephan l’ignora, serrant les dents pour ne pas exploser. Il marcha jusqu’au hors-la-loi qu’il avait tué et nettoya sa lame sur la chemise du mort. Ensuite, méthodiquement, il fouilla les poches des trois cadavres. Plus riche de quelques pistoles d’or, il retourna vers la fille.

En la regardant, le milicien lui fit comprendre que son cheval avait qu’une selle et qu’elle était pour lui.

Sacrément chevaleresque de votre part, fit-elle. Très bien. Alors je vous paierai si vous m’emmenez jusqu’à un endroit où je puisse acheter un cheval. C’est un marché favorable pour vous, car si vous me prenez avec vous, je vous donne ma part des dotations des bandits, qui me reviennent de droit. Qu’en pensez-vous ?

[Stephan Schulze]

Stephan fronça les sourcils. C'était bien la première fois qu'une femme refusait ces avances. Elle ne devait pas être de l'empire. Tssk. Il pesta a voix basse et commença a fouiller les brigands, récupérant quelques pistoles.

Au final, il retourna vers la femme, qui lui avait demander si il avait un cheval.

-J'ai bien un cheval, mais il n'a qu'une selle, et elle est pour moi.

La femme fît une remarque assez désobligeante, qui fit rire Stephan. Puis elle lui proposa de le payer. Intéressant... Il faillit demander une autre forme de paiement que par pistole, mais se retint, sa ne serais pas très Sigmarite. Il répondit donc

-Sa me va... Mais tu a intérêt a me payer. Et pendant le trajet, évite d'oublier ou es ta place... Qu'une femme se permettre de parler ainsi à un milicien était inacceptable. En tout cas, il se dirigea sans plus attendre vers son cheval, se souciant peu de savoir si l'autre le suivait ou non.

A savoir que je ne suis en rien responsable des idées machiste de mon personnage ! :p