[EVENT] La chasse à l'homme !

[Daine]

Daine se releva en s'étirant. Ah quel horrible cauchemar ! Il se revoyait encore dans ces salles sombres et glauques, à éviter des pièges mortels tout en se battant contre sa peur. Il en avait de l'imagination, tout avait eu l'air si réel ! Le pire ayant été l'individu particulièrement louche de la fin, une vision d'horreur qu'il avait alors voulu effacer à coups de hache. C'était sûrement la tension de la guerre en cours qui lui faisait faire des rêves pareils. Enfin, il était temps de retourner à la vie active. Le jeune homme rouvrit donc les yeux, un léger sourire aux lèvres.

Qui s'effaça en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Merde. Putain. Enfoirés. Le décor n'avait quasiment pas changé. Non... Une larme se mit à couler sur la joue du spadassin, tandis qu'il tentait en vain de se pincer pour se réveiller. Un instant de silence, puis le jeune homme passa son bras sur son visage pour sécher ce début de pleur, avant de se relever, un air sombre sur le visage. C'était vraiment la merde, mais il n'allait pas se laisser faire. Le souvenir de sa panique lui revenait enfin. Il avait couru comme un dératé dans les couloirs, tout étant flou autour de lui, et manquant à plusieurs reprises de se sectionner quelque chose avec la hache qu'il avait trouvé. La hache...

Mais oui, elle devait encore être là ! Elle reposait en effet à deux pas de Daine, qui faillit pleurer à nouveau, cette fois de joie, en la serrant dans ces bras. Oh putain il allait en découper de ses ravisseurs. Mais est-ce que ça serait suffisant ? Peut-être pas. L'assassin jeta enfin un regard sur la pièce qui l'entourait. Les portes étaient ouvertes, et on aurait dit un relief d'une bataille à quelques pas de lui. Et si il trouvait un bouclier, ou bien une armure ? Il ferait la fête aux connards qui l'avaient emmené ici.

Daine se mit à fouiller la pièce frénétiquement, pour trouver de l'équipement supplémentaire. L’appât du gain diriez-vous ? Plutôt la soif de vengeance, l'envie de voir un être mauvais avec le désespoir dans les yeux quand il comprendra qu'il était tombé sur plus fort que lui, et un regard signifiant qu'il regrettait, des balbutiements effrayés dans la bouche. Mais ce sera trop tard pour la rédemption, Daine et la hache qu'il soupesait avec une joie malsaine s'en assureraient.

[Ar'Karan]

Rien de concluant, ni d'utile. En tout cas, je ne me sentait pas en forme...je ne m'était peut être pas encore remis totalement de enlèvement, aurais-je été drogué ? Depuis combien de je suis ici ? Où est la sigmarite ? Du calme, du calme. Il ni à qu'une seule porte accessible, et là pour où nous sommes entré. Je n'avais même pas eu le temps de répondre à ces questions.

Je me dirigeais alors vers la porte, en l'ouvrant je la trouvit, étendue sur le sol, complètement épuisé. Je me disais bien que cette arme était trop lourde pour elle. Mais se reposer me semblait être un choix judicieux, alors je fit de même, m'adossant à la porte


"Pour répondre à votre question...je vient de l'Empire, tout comme vous. Le dieu que je sert est bien un dieu du Chaos, mais il été banni et oublié il y'a longtemps. Son but est pareil au mien. La destruction pur et simple du Chaos, son nom est Malal"

[Geralt]

Déambulant dans les couloirs, le souffle court, Geralt dû à un moment donner se rendre à l’évidence : Aussi bon traqueur qu'il était, sans aucun réels points de repaire, et ce avec l'avance que Goraxul et l'inconnu de sexe féminin avaient pu avoir sur lui dans leur fuite, le loup blanc avait logiquement perdu leur trace se retrouvant alors à nouveau seul dans une des pièces sombre et humide de cette horrible labyrinthe.
Dans l'obscurité de ce lieu maudit, on pouvait désormais entendre des bruits plus inquiétants les uns que les autres : Cris de terreur ou cris d'agonie... Une chose était sûre désormais, il fallait au plus vite trouver la sortir de ce jeu mortel dans lequel le parjure était piégé.

Désormais plongé dans les ténèbres d'une nouvelle salle, le loup blanc tenta d'analyser sa nouvel situation : Fuir n'étant pas une option viable à long terme dès qu'on pouvait apercevoir le moindre ennemi potentiel, mieux valait t'il trouver quelque chose d'utile ou pouvant permettre de se défendre dans une situation désastreuse. Ne manquait plus qu'à espérer que Ranald saurait être avec lui.
Observant les alentours, il remarqua que deux portes donnant sur d'autres salles, avaient été ouvertes... Peut être là le signe de quelques récents passages ? Mais ce qui attira le plus son œil expert, fut que l'une des portes était composé d'une planche de bois bien mieux entretenu que le reste du bois l'a composant, et qui selon toute vraisemblance avait été fixé il y a peu, les clous l'a maintenant étant encore brillant.

"A t'on tenté de dissimuler quelque chose d'utile ? Ou bien vais je plonger dans le piège le plus évident du monde ? Voyons si la chance est de mon coté."

Il s'approcha donc de la planche dans le but de deviner ce qu'elle pouvait dissimuler.

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BRUIT 7 - FATIGUE 3 (niveau 1) - STRESS 3

Je tente donc une fouille dans la pièce. Mon bruit passant de fait à 7 et mon stress à 3, ça va commencer à chier donc là faut prendre des risques ^^ (espérons que la planche est pas un piège de merde xD)

[Alessio Strauss]

Son "ami" l'avait enfin rejoint, mais apparemment, derrière lui il amenait de la compagnie ? Qu'était donc ces bruit de pas ? Sans un mot le jeune mage, fit signe à son compagnon de trouver un coin ou se cacher. il fallait faire vite. Alessio commençait à paniquer, qui était donc cette personne derrière eux ? Un démon, un elfe noir ? Ou pire Un Pauvre ? Des yeux Le jeune mage chercha frénétiquement un endroit où il pourrait se soustraire à la vue du nouveau venu.

[Necros Ahmôsis]

Alors que Breitenbach s'apprêtait à sortir de sa cachette pour continuer son exploration du labyrinthe, un homme entra dans la pièce. Se retassant dans sa cachette, la magister déchue observa le nouveau venu d'un oeil attentif. Rapidement, elle en conclut que le bougre était tout aussi perdu qu'elle et cherchait la sortie de ce dédale maudit. Pourtant, Isabelle ne se dévoila pas, incapable de définir le potentiel ami/ennemi de l'intrus.

Un nouvelle événement la libéra immédiatement de ce conflit interne : un nouvel arrivant, bien plus menaçant, avançait d'un pas déterminé vers sa proie. Un elfe noire semblait-il. Cela justifiait beaucoup de choses, notamment le jeu ridicule de l'incarcération des prisonniers. Ces assassins voulaient chasser et pour cela, ils n'avaient pas trouver mieux que d'enfermer leurs trouvailles dans un immense labyrinthe et les y débusquer lentement et les massacrer.

Toujours cachée, la Dame de Fer n'avait pas l'intention de se dévoiler simplement pour porter assistance à un allié qui n'en était peut-être pas un. Avec un peu de chance, l'elfe ennemi s'attaquerait au pauvre homme ou le pourchasserait dans la pièce suivante, laissant ainsi la vieille Breitenbach tranquille. La sorcière resta donc dissimulée des regard alors que l'autre prisonnier s'enfuyait déjà vers la porte nord.

Une fois que les deux individus eurent quitté la salle par le nord, Isabelle sortit de sa cachette. Préférant s'éloigner le plus possible du chasseur elfe, la magister déchue prit la direction opposée et pénétra dans le couloir sud. Elle fut de nouveau tentée de franchir la double porte richement décorée, mais se retint au dernier moment et ouvrit la porte est voisine et de plus simple facture.

[Isolde Tristan de Bérétis]

Revenue sur mes pas nullement guidée par le raisonnement mais simplement par une intuition je retrouve l'homme prostré dans un coin de la salle au pilier. Dois-je lui faire confiance ? Doit-on se regrouper afin d'unir nos forces pour sortir de là ou au contraire cela me conduira-t-il à ma perte ?
Au seuil de la pièce suivante mon regard se pose sur lui tout en surveillant ce qui se passe dans l'autre.

"Vous allez mieux ? Je sais pas ce que vous avez fui mais nous devrions poursuivre ensemble pour sortir de là quoique soit ce là en question."

Hésite devant le physique aux marques étranges du second occupé à écarter le rideau, on ne peut pas dire que celui-ci m'inspire grandement, alors je préfère porter mon attention une nouvelle fois au premier.

"Bon nous devrions repartir avant d'attirer dieu je ne sais quoi, je m'appelle Isolde vous pouvez me faire confiance."

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Bon repos au final.

[Goraxul]

Le guerrier de la ruine repris conscience de son environenement. Son excédent de folie l'avait amener à se perdre encore plus qu'il ne l'était déjà. Il avait non seulement semer le fou furieux du Boucher mais aussi son allié de fortune mutant. Alors il se retrouvait dans cet endroit qui lui était inconnue, une fois de plus, avec une jeune femme apeurée. Elle ne semblait pas effrayé de lui mais bien d'autre chose dans une des pièces voisines. Goraxul devait vouloir comprendre la situation car il fit pas de mouvement brusque. Il se glissa doucement vers un coin sombre de la pièce, et pointa la jeune femme de sa main droite qui était recouverte d'écailles scintillante à la omniprésente lumière. Il la pointa d'un de ses rustres doigt avant de ramener son doigt sur ses lèvres abîmé, en signe de silence. Il utilisa quelque pierre qui traînait autour de lui pour s'y cacher avant qu'il ne soit trop tard.

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je me cache

[Finngard Throrson]

Des bruits de pas. Qui venaient des pièces passées précédemment. Toutes sortes de monstres humanoïdes tirés d’anciennes légendes se présentèrent à son imagination. Son compagnon les avait entendus également visiblement. Il y avait donc effectivement des présences derrière eux. Que faire ? S’enfuir vers une salle inconnue ? Aller à la rencontre du danger, sans arme ? Se cacher comme son compagnon d’infortune ? Il n’avait plus de temps, et ses nerfs étaient tendus, trop tendus.
Il jura silencieusement et se dissimula dans un recoin qui pourrait lui permettre de surprendre l’inconnu s’il arrivait jusqu’ici, si jamais aucune meilleure solution ne s'était dévoilée au Norse.

[Eldrid Hrodvitnir]

Enfin, le sudiste se décide enfin à agir en homme et saute de son arbre. Je n’ai même pas le temps d’essayer de communiquer afin de tenter futilement de créer un plan que l’homme se met à courir. Je reste abasourdi devant ce spectacle. J’ai commis l’erreur de croire que cet individu allait enfin se comporter en homme. À la place, le voilà qu’il s’enfuit en hurlant comme une fillette. À croire qu’il fait exprès de décevoir mes maigres espoirs le concernant lorsqu’ils apparaissent.
Il ne filera pas aussi facilement. Malheureusement, ma surprise m’a fait réagir trop tard et il passe déjà l’entrée. Je ne peux que lancer ma masse. Un geste inutile, mon arme le manque et fait voler un morceau d’une des pierres proche de la porte. C’est avec un cri de rage que je le poursuis et ramasse mon arme au passage.
Dès qu’il sera à ma portée, j’ai bien l’intention de le plaquer au sol pour qu’il comprenne enfin à qui il doit obéir. S’il faut pour cela donner quelques coups pour aider que cela les faits rentrent dans son crâne, je n’hésiterais pas à me montrer généreuse.

[Faust Valdorf]

Courir. C’était la seule idée qui lui était venue à l’esprit en observant la situation dans laquelle il se trouvait. D’un œil extérieur, les choses pouvaient sembler s’être améliorées. La barbare avait arrêté de hurler, il était relativement en sécurité, tandis que le chasseur se concentrait désormais sur une autre proie. Et pourtant, ça ne suffisait pas. Voilà que l’apprenti retombait dans un des travers les plus simples de l’être humain : la panique. Il en avait marre de ce labyrinthe, marre de cette chasse sans fin, marre de son incapacité à user de ses pouvoirs. S’il avait été dans son état normal, nul doute qu’il serait resté là, à rechercher un plan pour les sortir de ce pétrin. Mais les choses étaient différentes. Les oreilles bourdonnantes, il passa sans trop le savoir devant la Nordique, insensible à ses réactions, avant de s’enfoncer corps et âme dans le couloir. Le stress prenait sans mal le pas sur son sang-froid, et c’est sans qu’il ne le veuille vraiment que son corps s’actionna, bien décidé à l’éloigner de ce dédale sinistre.