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Abominables pour certains. Fabuleux pour d'autres: les avis fusent sur la nature des cadeaux du Vieux Nain de Nowel ! La seule chose qui intéresse vraiment les badauds, ce sont les fabuleux trésors pouvant être obtenus, mais à quel prix ? Il arrive en effet que les "cadeaux" soient tout sauf sympathiques, voire.. mortels !
Vous ! Oui, vous là ! Oserez-vous tenter l'expérience ? Oserez-vous tendre la main vers la fortune ou vers le trépas ? Allez, venez .. Et ouvrez donc un des cadeaux du Vieux Nain de Nowel !

Déroulement de l'activité
Il est très simple ! Il vous suffit de venir poster un petit RP si vous l'osez. Je tirerai alors 1d100 qui aboutira à un résultat entre 1 et 100. Il existe différents lots/effets néfastes, octroyés via un chiffre ou via des plages de chiffres (toujours entre 1 et 100. Bien évidemment, la table de résultats reste inconnue .. Suspense et chance sont au rendez-vous ! A moins que ce ne soit la mort dans d'atroces souffrances ?

1 résultat positif = 2 XP + le cadeau tiré !
1 résultat néfaste = 1 XP + un cadeau de consolation

NB1: il y a plus de "chance" de tomber sur un effet néfaste que sur un cadeau !
NB2: les "perdants" à savoir, ceux qui reçoivent un effet néfaste, auront un lot de consolation: un Sap-biscuit restaurateurs de PV !

Dieter avait la mine des mauvais jours en ce matin de Kaldezeit mais ce n'était pas sa corvée de course, le vent glacial qui balayait les rues quasiment désertes de Talabheim ou son bavard compagnon d'infortune qui en étaient la cause. Non. La neige avait beau fouetter son visage, il sentait son sang bouillir à l'idée que, le lendemain, il quitterait le Temple de Sigmar en compagnie de Degenhard Keppler, celui parmi tous ses camarades qu'il méprisait le plus, pour une longue et difficile première mission en tant qu'initié de l'ordre.

Les bras chargés de paniers et paquets, les deux apprentis rentraient du marché quand un étrange et léger tintement de clochettes détourna l'attention de Dieter.

- Ta gueule, Werner ! ordonna-t-il à celui qui marchait à ses côtés et parlait sans discontinuer.

Alors qu'il n'avait jamais, ô grand jamais, quitté le chemin qu'on lui avait indiqué lors de sa première corvée, le jeune homme obliqua et se dirigea en direction du tintement.

- Tu vas où ?

Cette question resta sans réponse et Werner dut se contenter de regarder son compagnon disparaître au coin de la rue.
A mesure que le tintement devenait plus clair et sonore, il sembla à Dieter que la neige se faisait plus douce, que le vent sifflait moins dans les ruelles et que la lumière grise du ciel hivernal cédait face à une luminosité plus chaude et accueillante. Un drôle de rire retentit quand l'initié arriva sur une placette dans un quartier qu'il n'avait jamais arpenté jusqu'à ce jour.

Oh, oh, oh ! Approche, ami, et viens quérir ton présent auprès du Vieux Nain de Nowel !

En bon sigmarite, Dieter connaissait parfaitement la culture naine mais c'était bien la première fois qu'il entendait parler de ce « Vieux Nain de Nowel ». Qui était-il ? Que voulait-il ? La curiosité l'emportant, le jeune homme laissa tomber son chargement et vint plonger une main avide dans le sac que lui présentait le nain avec un sourire en coin à la fois amusé et vicieux.

Inexplicablement, une immense joie monta en lui quand Dieter sentit quelque chose du bout des doigts...

DAN TA FASS' D'NABO !

Après avoir tabassé bien comme il fallait ce gros nabot à barbe blanche et lui avoir craché dessus, Gorgut s'approcha d'un chariot remplit de paquet avec des nœuds. L'Orque Noir fouilla sans aucune délicatesse dans la pile de cadeaux, balançant une bonne moitié dans la boue, avant de s'arrêter sur un paquet qui lui plaisait bien : Un cadeau à l'emballage vert avec un ruban noir. Sans plus attendre, il éventra le paquet pour découvrir ...

Aaaaah le vin chaud ! Qu'est ce que ça pouvait être bon. C'était ce que se disait Piero Orsone Salvadore Manicha Enrico de Riviera di Cruz da Trantio en jetant sa quatrième bouteille par terre...En tout cas cet année personne n'était passé sous le gui pour un baiser de fin d'année quel dommage...
Quoi qu'il en soit, se redressant glorieusement tout en titubant à peine ! Il s'avança pour récupérer un cadeau. Si le gui n'avait pas été fructueux, peut être que Ranald allait être plus favorable sur les paquets ! Il attrapa un petit paquet bleu avec des rubans rouges et retourna sous le gui, une lueur enfantine dans le regard tandis qu'il commençait à dénouer le ruban.
Felices fiestas à tous !

la neige tombé lentement sur le petit village de Joulupukin Pajakylä.
le nom était étrange, mais ce village Kislevite était charmant, surtout en en cette période de l'année.
la neige recouvrait de son manteau blanc les maisons et bâtiments en bois.
on pouvait voir depuis les fenêtres la lueur des chemines qui brûlait un feu doux.
les seuls qui restait dehors sont les enfants qui en profite pour former des bonhommes de neiges ou de lancer des boules de neiges, créant des batailles géantes dans les rues du villages. ils y avaient aussi les parents, qui les surveiller avec un regards doux mais partagé entre l’émerveillement envers les enfants et l'envie de retourné au chaud chez eux.
il n’empêchait qu'il dégageait de cette environnement une ambiance conviviale et sereine. tous le monde était calme et heureux, comme pour terminer l'année su une note positif et joyeuse.
alors que le soir tombé, un homme habillé en noir, avec une capuche sur la tête, rentrer doucement dans le village.
c'était Orcbolg.
il était un peu déprimé depuis quelque temps. il avait l'impression d'avancer au ralenti, de n'avoir rien fait depuis des mois. son aventure vers d'autres contrée était annulé, il c'est fait dégommer en premier par une armée de zombie, devenant la risé de tous et il ne trouvait rien d’intéressant, aucune aventure, aucune mission ou trésor à trouver. rien d’intéressant à écrire dans son carnet.
la dernière chose qu'il a fait est d'explorer une ruine elfique dans le nord du continent, mais elle c'est révéler vide et rien d’intéressant s'y trouver.
la seul chose bonne qui lui soit arriver est lorsque qu'il a sauvé par chance et in-extrémiste deux enfants qui allait se faire agresser par un loup.
les parents reconnaissant lui offrir le gite et le couvert, le temps de l'exploration.
la famille était heureuse, les parents bon et les enfants aimables. Orcbolg était touché par se foyer et ils allaient lui manqué demain, puisque maintenant que son exploration de la ruine fini, il n'avait plus aucune raison de rester. il voulait pas devenir un pique assiette et un profiteur, puis il gêner plus qu'il aider.
alors qu'il rentrer, il pensa a sa vie. ils y avaient plein de héro, d'aventurier et de personnes aux habilités exceptionnel qui parcourait se monde et vive des choses légendaire, qui mériterait d'être écris sur plusieurs livres.
lui, il n'avait fais rien, on l'a même traité de tricheur, se qui fessait qu'il avait une mauvaise réputation aux yeux des autres.
Orcbolg se demanda a quoi ressemblerais sa vie si il avait prit des décisions différentes. que se serait passez si il avait un vrai talent au sabre ou au pistolet? si il avait un passé sombre et mystérieux? a quoi il ressemblerait si il avait de vrai habitudes martiales? ou si il était devenu un des étranges êtres de la nuits? ou si il avait des habitudes magiques, comme ces magiciens qui peuvent moduler le métal et donner la vie? aurait il eux une meilleurs destinés et un vrai regards des cieux?
tous ces questions lui trotté dans la tête alors qu'il rentrer dans la maison de ses hôtes.
ces pensés furent interrompus quand il vit un étrange spectacle dans la maison.
cinq boites, recouvertes d'un papier et d'un ruban de couleur vif, était disposé sur le sol de la maison, devant la cheminé. quatre d'entre eux était ouvert.
les enfants joué avec des jouets qui n'était pas présent hier. le garçon joué avec une grande réplique de bateau, la fille jouer elle avec une étrange figurine d'un homme portant une armure d'acier et un fusil avec une forme étrange.
la femme de la maison elle, lisait un étrange livre sur le fauteuil du salon et lancer des regards coquin a son mari, qui lui, s'admirait devant un miroir, portant un gilet d’excellent manufacture.
l'homme se retourna vers Ocbolg:
- ah! Orcbolg! ton exploration c'est bien passez?
- heu oui, assez bien. mais c'est quoi c'est objets?
- ah! un étrange nain est entrer dans notre maison et à déposer ces cadeaux par la cheminé, malgré qu'un bois y brûle. il est repartit aussi vite qu'il est venu. on a remarqué que chaque cadeau est adressé et comme tu peux le constater, leur contenue nous ravis tous
- c'est...étrange
- d'ailleurs un cadeau est adresser a toi Orcbolg! dépêche toi de l'ouvrir
- a bon? pourquoi?
Orcbolg regarda la boite restant. elle était recouverte d'un papier noir brillant et d'un ruban rouge vif. il y avait une étiquette qui dépassait d'un ruban où était écrit "pour Orcbolg".
il saisi le cadeau, le secoua un peu, téta les différentes surfaces, posa son oreille dessus puis commence à l'ouvrir, curieux de ce qu'il contenait.

Hagin entra dans la salle fraîchement libérée de ces maudits rats. Des skavens par dizaines avaient péris en ce lieu, une majorité d'esclaves puants et affamés mais aussi tout une équipe de technomages, si tant est que l'on puisse qualifier ainsi ces êtres à la fois fantasques et mortels.
Ces engeances chaotiques avaient pillés un convoi transportant des présents de Grombrindal, le légendaire Nain Blanc, le nain de Nowel à destination des dawis. Le seul regret de l'escouade de brise-fers, gisait dans le tas de cadeaux. Certains avaient été piégés...
Las, ils en prirent chacun un, et advienne que pourra.

Gormil forgeait. Rien d'anormal pour un forgeron, mais pour un forgerune, c'était là un acte de communion avec les ancêtres de son clan, celui de Morgrim, et donc de Grungni. Thungni est le protecteur ainsi que le créateur de son art, que les umgis appellent vulgairement "magie". Mais rien de runique dans cette cotte de maille seulement du talent et de l'amour, celui du travail bien fait. Alors qu'il rivetait le dernier des anneaux, il se tourna un instant pour étouffer les flammes de sa forge.
Lorsqu'il revint sur son enclume, un paquet trônait silencieusement auprès de la chemise d'acier achevée. Un message du Nain Blanc, mais lequel?

Le 24 Kaldezeit arrivait. Les flocons saupoudraient tendrement la chaussée et le verglas. Les passants se dépêchaient de rentrer chez eux afin d'être bien loti au chaud à l'abri du vent d'hiver. Pour beaucoup, il s'agit d'une courte période de réjouissance afin de terminer la pénible année sur une note moins négative, étant donné que dans ce monde qui veux votre mort il est difficile de mener une vie heureuse et paisible. Dans un acte de petite générosité on offrait des cadeaux autant qu'on en recevait. Un geste si désintéressé, si déplacé pour autrui. Bien sûr il y avait de mauvais cadeaux et de bons cadeaux à recevoir, tout dépendait de qui les offrait.

Un observateur avisé aurait senti une légère odeur de tabac. En remontant la piste on parvient à trouver une silhouette souriante adossé contre un arbre dans une forêt rappelant un paysage hivernal n'existant que dans les comptes et belles légendes. Cette silhouette était coiffée d'un grand chapeau. Sur le visage on y distinguait un sourire chaleureux et bienheureux et de belles rouflaquettes.

Ouais, c'était bien lui : Galfric Lawmaker, dit le chasseur de prime fauché au grand coeur.



Il se leva puis marcha tranquillement pour retourner en ville.
Le froid nocturne régnait, mais étrangement on ne sentait nulle agression de sa part. Fredonnant, il se baladait tranquillement, essayant de profiter de chaque instant. Contrairement aux habitants de la bourgade dans laquelle il a marqué une halte, il n'avait personne avec qui fêter ce réveillon. Il en perdit son sourire.
Puis, contre toute attente, il semblait avoir vu quelque chose de déroutant, comme s'il venait de voir quelque chose qui n'aurait pas dû se produire. Il écarquilla les yeux, se les frotta pour s'assurer qu'il ne voyait pas double. Mais non ! Il voyait bien ce qu'il voyait : un étrange paquet de couleur rouge, scellé par de fins rubans d'un blanc immaculé se tenait là, devant lui. C'était comme si le paquet avait fait irruption dans cette réalité.
Curieux il s'approcha. Il examina le paquet. Il était d'une apparence simple et pourtant la vue de ce paquet était comme un signe d'une généreuse sensation de plénitude.
Notre chasseur de prime saisissa le paquet, dérouté par l'incongrue origine de ce paquet. Il remua légèrement ce dernier, puis remarqua une petite étiquette notée : "pour celui qui ne cesse de sourire, pour celui suivant la voie de Ranald et de Véréna. Pour celui qui se soucie plus des autres que de sa paye." Il en conclu que ce paquet lui était destiné, ce qui était à la fois louche et attendu puisqu'on est en période de fête !

Intrigué, notre baroudeur favori dénoua les rubans.
Il retint son souffle puis s'apprêta à ouvrir le paquet... Que pouvait-il contenir ? Un joli cadeau ? Une bombe puante ? Une grenade ? De l'or ?
Il devenait de plus en plus impatient et de davantage excité par ce présent secret. Quelqu'un avait donc pensé à lui ? C'était trop bon ! C'était chic ! Que dire ? C'était généreux ! pensa-t-il. Qui cela pouvait être ? Il n'en sut rien et préféra garder ce mystère comme tel, après tout il n'avait pas encore tenté d'ouvrir ce dernier.
Il avait l'impression d'être un enfant qui allait être gâter pour la première fois de sa vie. Bronn se contentait d'offrir à son neveu trois mandarines, deux pour eux et une à partager. Mais Galfric n'était pas vraiment quelqu'un de matérialiste (sauf pour son équipement qu'il chérit), pour lui le plus important était qui. En d'autres termes l'essentiel restait avec qui on passait du temps et non avec quoi. Mais parfois, recevoir un présent sans avoir demander quoique ce soit, c'était bien plaisant. Il eut un bond de quelques années en arrière quand il vivait à Nuln avec son ami nain Ohrik. A chaque Nowel les deux comparses redoublait d'efforts pour offrir le cadeau le moins cher et le plus approprié à l'autre (car oui, Galfric n'avait pas beaucoup d'argent pour lui à cause du loyer malgré son travail de mercenaire et Ohrik était pingre comme jamais). Mais les deux s'efforçait de se mettre d'accord sur un même thème. Il se rappela quand Ohrik lui avait offert un rasoir pour tailler que notre héros se taille sa jeune barbe (qui devint les rouflaquettes qu'il porte) tandis que lui avait offert au nain deux boucles en bronzes bien ouvragées, faites par un artisan du coin en redevance à un service que Galfric lui avait rendu, avec lesquelles Ohrik pouvait coiffer sa barbe quand elle commencera à atteindre son entre-jambe.
Oui c'était des instants heureux...

De retour au présent, le froid commençant à se montrer plus aggressif, il se réveilla devant cette boîte rouge qui semblait promettre un présent chaleureux.
Il se décida à ouvrir le paquet. Toutefois, avant d'ouvrir son présent il dit alors d'une voix basse et en fredonnant :
Joyeux Nowel à tous ! Ho-ho-ho !
Il ouvrit délicatement le paquet...