[Event 2018] La bataille de Geheimnisnacht

[Gorgut Grimzog]

Hé bha ! C'était vraiment le bordel ! Je gueule par ci, je me fais trucider par là, je tire un coup de pétoire dans le fin fond de la rue d'à côté, je me cache en chouinant dans ce tonneau ci... Et dans tout ce foutoir là, un Orque Noir et sa bande n'avait encore dérouillé personne ! Ils étaient là, tranquillement entrain de marcher à travers le chaos ambiant.

La joyeuse troupe suivait les flibustiers de la "zom'-pirat'-tapan-'vec-dé-bookin"... Mais, ça commençait à devenir long. Marcher c'était cool, castagner des trucs, vivants comme non-vivants, c'était mieux ! Et pour le moment, ils avaient même pas eu le temps de salir leur Kikoup ! L'Orque Noir n'était pas reconnu pour sa patience, et toutes ces victimes qui lui tournaient le dos... Ça lui donnait des envies de carnage... Cependant, si sa collègue ne s'arrêtait pas ici, c'est qu'il y avait un endroit pour bastonner beaucoup plus sympa ailleurs. A moins que... A MOINS QU'ELLE NE CHERCHE PAS LA " KASTAGN' "? Non... Un membre de la fameuse équipe ne recherchant pas à se battre ou à foutre le bordel était hautement improbable...

En tout cas, ce brouillard était une vrai plaie... Gorgut avait même perdu de vue la zom'-pirate. Ça allait être drôle pour s'orienter maintenant. Il commença à se diriger un peu au pif sur sa gauche quand soudain il l'entendit. Le colosse peau-verte se figea instantanément avant de tourner la tête en direction de ce cri. Ce fameux cri, pas celui des cloportes nabots, zom's et zoreilles-pointus qui étaient entrain de clamser comme les peaux-roses qu'ils étaient, oh non, c'était celui qui annonçait un déchaînement de violence dont seule une race pouvait honorer comme il se doit. L'Orque Noir inspira profondément et ...

WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGGGGGHH !!!!!!

Ses guerriers hurlèrent à la suite du chef de bande, beuglant leur envie d'en découdre, et ils savaient à présent il était l'heure de défourailler sec ! Tous se précipitèrent comme des fous furieux vers la source du premier cri, prêt à dégommer du zombars à la chaîne !

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- 18 Kostos Orques : Cours et Marche jusqu'à H52 - L42 - Orientation Nord
- 17 Kostos Orques : Cours et Marche jusqu'à H51 - L42 - Orientation Sud
- 11 Trolls : Cours 2 fois jusqu'à H51 - L42 - Orientation Sud

Les 17 Kostos et les Trolls sont sur la même case, avec les Trolls devants (lignes complétées par des Kostos) et les Kostos derrières

[Hagin Duraksson]

Sous les encouragements d’Hagin, et au son des cloches battant au loin dans le cœur de la cité, l’enfer se déchaîna. La fureur alchimique des fiers nains, leurs haines inassouvies et leur supériorité tant technologique que martiale se cristallisa en un arc enflammé d’ire pure, montant comme un défi vers ce ciel maudit, avant de s’abattre avec fracas sur la horde honnie. Les corps pourris s’embrasèrent comme du petit bois, véritable feu de joie salvateur, la rédemption de ces âmes contraintes à servir et sévir pour l’éternité. Ces esprits s’en furent, à jamais libérés de la malédiction du premier nécromant, libérés de Nagash le profanateur.

Tandis que la Mort se profilait au dessus des derniers dracs-de-fers, les morts s’approchaient, inflexibles, inexorables. L’arc se mua en lance, brillante et féroce, brûlante et implacable, calcinant toujours plus de trépassés refusant de le rester. Par dessus le mur de flammes s’élancèrent et frappèrent sans merci ni pitié les carreaux des rangers de l’ingénieur, les guerriers attendant impatiemment de faire parler l’acier, et de montrer que les derniers peuples libres ne tomberaient pas sans vendre chèrement leur peau.


Au dessus de Teuttoburg, les cloches continuaient leur litanie, dernier geste de défi adressé à cette force balayant toute vie...

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Le post vient mais en attendant, je me recule en marchant en h32 l45, dans la ruelle pour avoir juste le front sud. Je tire autant que je peux, y compris au càc selon l'autorisation de Djinn. Je ne me replis derrière les guerriers de Dwimir que si mes nains tombent sous 50pv et dans ce cas je cesse le feu pour ne pas le blesser.

[Dokhara de Soya]

Dokhara était assez fière du vilain coup qu'elle avait joué au jeune homme qu'elle avait croisé. S'étant malheureusement retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment, le dénommé Galfric n'avait rien d'un chef né : à son attitude et sa manière de parler, on devinait trop aisément qu'il s'était retrouvé avec pareilles responsabilités suite à un concours de circonstances. Suivant son intuition, elle avait donc minaudé auprès de sa troupe d'arquebusiers, jouant de leur courage infaillible pour rendre la situation ingérable au jeune chasseur de primes : pour les nains, face à l'ennemi, nulle lâcheté n'était tolérable et aucun être honorable ne pourrait se permettre de tourner le dos au danger. Ils feraient bloc ensemble, un mur de marbre invincible que personne ne pourrait franchir... pas plus les zombis que les troupes un peu couardes de Galfric Lawmaker. Au final ce petit jeu avait payé - forcés à se battre, ses miliciens avaient trouvé dans l'énergie du désespoir une efficacité redoutable, massacrant les morts-vivants sans subir la moindre perte. La victoire acquise, le gaillard s'était retiré avec un sourire digne, gardant pour lui l'amertume du chantage subi.

Veylaïs et Gorgut progressaient à ses côtés, leur armée hétéroclite traversant les rues et terrifiant les rares survivants. Goraxul et ses cinq cent maraudeurs dépenaillés avaient un peu plus de mal à progresser, leur nombre et leur manque de coordination les empêchant de se déplacer efficacement dans les étroites ruelles de la cité.

- Hey rouquine, on a pas pu tirer une balle avec les humains qui bloquaient les rues. J'suis pas sur d'aimer ta façon d'gérer les combats. J'me dis qu'moi et mes hommes on...

- Ecoute Snorri. Les cadavres, c'est très rigolo de mourir héroïquement contre eux mais c'est parfaitement inutile. Tu les tues, ils se relèvent. Ils te tuent, tu te relève, mais dans leur camp. Y a pas de victoire ni de gloire à chercher contre ces sales machins décérébrés, alors on va laisser les idiots les ralentir et préserver tes troupes, tu me suis ? Le but c'est de trouver les nécromanciens derrière tout ça. Eux, ils sont dignes de vos canons, et leur mort signifiera quelque chose.


Pas de réponse. Elle avait gagné quelques minutes de silence, avant que ce bougon de commandant arquebusier se remette à se plaindre. C'était insupportable. A la seconde où le conclave tant recherché serait enfin abattu, elle se fit la promesse d'enfoncer toute la longueur de son épée dans le crâne obtus de ce geignard de nabot suicidaire.

En attendant, elle guidait les nains à travers les rues, suivant le chemin tracé par Veylaïs et Gorgut. Difficile de perdre ce dernier de vue, ou plutôt d'ouïe vu comme il beuglait comme un sourd.

Devant elle, elle finit par découvrir un autre groupe de miliciens aux prises avec les morts-vivants, cette fois-ci dirigé par une drôlesse pieds nus plutôt mignonne.

Salut ma jolie...

Tour 1
Mes nains vont en H46L41 (postés vers ouest) et H46L42(postés vers nord) au pas de course. Sur place, ils ne laisseront personne les traverser.

Tour 2
Si zombis au contact, la première ligne au contact se bat à l'épée, tous les autres tirent à l'arme à feu. Si cela suffit à assez nettoyer pour ne pas subir d'attaque d'opportunité, les nains marchent ensuite vers H48L41 (postés vers ouest et nord) et H48L42 (postés vers nord et sud)
Sinon, les nains se déplacent directement vers la position donnée ci-dessus, et ne font feu ensuite que si ligne de vue dégagée permettant de ne pas tirer sur Lucy ou un autre allié présent.

Pour rappel, j'ai 50 arquebusiers nains par case

[Dan Surcouf]

Voyant que le front sud commençait à être en assez facheuse posture, Surcouf ordonna à la moitié de ses arquebusiers de descendre sur la place Sud, afin de renforcer la ligne de défense. Les arquebusiers se positionnèrent dans un coin offrant une assez bonne visibilité sur les deux points d'entrée Sud, en double rang, prêt à tirer en volée dès que les zombies pointeraient leurs métacarpes.

Le reste, conserva sa position sur les pont, continuant d'ouvrir le feu sur les zombies débarquant de l'est. Ils accueillirent avec joie les renforts revenant de l'autre rive.

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La compagnie en H40L46 et H41L46 se déplace en H37L45 H37L45, orientation sud, sur deux rang de 30 orientés Sud, paré à entamer un tir de volée sur les zombie approchant par le sud.

La compagnie H41L45 et H41L45 reste sur place, sur deux rang de 30 en L pivoté à 180°, 10 pointés vers le nord, 20 vers l'est, paré à entamer un tir de volée sur les zombie approchant des ponts sur la rive est du fleuve

[Belgrom]

Les choses commençaient à devenir un peu plus sérieuses, l'on entendait les échos ténus de mouvement de troupes plus à l'est mais surtout on devinait la horde qui s'approchait inlassablement. A défaut de plus de renseignements les nains tiendraient leur position, ils avaient de quoi donner l'alerte dans le pire des cas mais, les réunions stratégiques n'ayant pas exactement été le premier souci de cette alliance de fortune, il y avait peu de chance qu'il soit correctement interprété.

Les rangs se resserrèrent, les visages devinrent plus graves et l'attente se prolongea encore... Les humains appelaient ça la minute du soldat ou unt ruc dans le genre, ce moment d'attente qui dure une éternité avant de finalement combattre.

L'intégralité des mes mineurs se tourne vers le Sud
Mes longues barbes restent orientés vers l'Ouest

Note : mes longues barbes sont juste devant mes mineurs, en bordure de case, pas 15m devant

[Lucretia Von Shwitzerhaüm]

Le fracas des combats continuait de retentir au loin sans que jamais rien ne survînt dans le champ de vision de Lucretia. Si ces échos de violence paraissaient se rapprocher de plus en plus à mesure que la compagnie de la Lahmiane se dirigeait vers le nord, toujours demeuraient-ils invisibles. Elle ne savait qu’une chose ; l’ennemi était nombreux, bien trop nombreux pour qu’ils pussent tous les retenir. Leur destin semblait tracé d’avance, sans aucune échappatoire. Par ailleurs, certaines troupes alliées étaient déjà tombées, vaincues, écrasées par la puissance destructrice et inarrêtable de ce flot incessant de mort-vivants. Les résistants ne cessaient de diminuer en nombre ; certes, ils parvenaient à infliger de lourdes pertes à l’ennemi commun, mais cela n’était guère assez comparé à ce qu’il représentait. Et, comme l’on pouvait en attendre de la part des nécromanciens, les alliés tués se relevaient bien trop souvent pour rejoindre l’autre camp.

Ainsi, il en venait de toute part. Au sud, à l’ouest, au nord, à l’est, et bien plus encore en direction des points collatéraux. Demeurer dans les ruelles ne semblait plus trop indiqué ; il y en avant tant que l’ennemi trouverait toujours un chemin pour prendre quiconque à revers. Non pas qu’il fût des plus stratégiques ou intelligents, non pas, mais les morts comptaient simplement sur leur nombre pour submerger Tottenburg. Si fait, le plan était simple ; effectuer une retraite tactique afin de gagner une place à partir de laquelle tous les points d’accès seraient correctement défendus. Un endroit qui interdirait à l’adversité toutes les attaques venant de derrière.

Et la troupe de Lucretia continuait sa progression dans les ruelles damnées du dernier bastion de l’humanité.

'Voyez la position de Hagin ?
Il y a une place au nord.
Sur cette place, je me glisse dans la ruelle en bas à gauche.
30 joueurs d'épée, orientés ouest, dans le sens de la ruelle.

[Daine]

Une fois arrivé à la position de l'improbable commandant de peaux-vertes, les orques grognèrent pour montrer leur mécontentement de la présence de skavens et d'humain si proches. Daine ne put s’empêcher de faire un signe grossier à l'un d'eux en passant, dans une tentative légèrement puérile de relâcher la pression, mais cela n'eut d'autre effet qu'obliger leur chef à le retenir pour éviter que la brute stupide se jette sur l'assassin. Une fois ses troupes en place, le jeune homme n'eut pas à attendre longtemps l'arrivée des morts-vivants. Ils étaient aussi horribles que dans son souvenir, courant sur leurs jambes pourries pour tenter de ramener un maximum des vivants dans leur éternel agonie. Derrière lui, les porteurs de jezzails, comme les appelaient les longs fusils instables les skavens, d'après son lieutenant, Skreek, étaient anxieux et ne tenaient plus en place. Quand les premiers zombies arrivèrent au contact des épéistes de son allié rencontré plus tôt, les hommes-rats ne purent se retenir d'attendre plus longtemps, et tirèrent une salve dans les non-morts qui traversa les troupes de leurs alliés avant de toucher leurs cibles. Daine sauta aussitôt sur le skaven les plus proche et lui cria dessus :

Putain qu'est-ce que tu fous ! Il y a nos alliés devant, c'est pas le moment de se la jouer solo !

Il l'empoigna ensuite et le jeta à terre, releva son regard contenant toute son âme en perdition sur le reste de ses troupes, puis parla d'un ton à glacer le sang :

Le prochain à tirer sans attendre mes ordres recevra une épée dans la gorge, puis je le démembrerai pour ne pas qu'il puisse nous nuire de nouveau en tant que cadavre ambulant, c'est clair ?! Bon, si nous sommes d'accord, ne tirez pas tant qu'il y a des alliés entre vous et ces saloperies, vous aurez bien l'occasion de le faire plus tard.

Une fois sûr de son effet, Daine se retourna, soupira, puis observa le combat qui faisait rage à quelques mètres de là. Les épéistes se battaient bien, et envoyaient nombre de morts-vivants dans la poussière, mais les zombies étaient toujours plus nombreux et eurent le temps d'emporter deux hommes avant que leurs camarades n'aient le temps de lever le petit doigt. Il était temps de partir. Le meneur de peaux-vertes, derrière lui, l'avait bien compris puisqu'il ordonna à ses "soldats" de monter toujours plus vers le nord en proposant à ses nouveaux alliés de le suivre. Daine ne se le fit pas conter deux fois et sonna la retraite, courant devant ses troupes pour tenter de distancer les zombies.

Il avait lancé au prénommé Ludwig une invitation à venir avec eux juste avant, et espérait qu'il les suivrait, puisqu'ils ne seraient pas de trop pour explorer cette zone abandonnée du patelin, où aucun éclaireur n'avait mis les pieds jusqu'à présent. La bataille ne faisait que commencer, et sachant que chacune de ses décisions influencerai sur ses chances de survie, Daine fit encore un pas de plus en avant.

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Donc, pour le premier tour de déplacement, après le départs des champignons sur pattes d'Ar'Karan, mes jezzails se rendent en 56H 29L, orientés à l'ouest et mes vermines de choc en 54H 29L, dans la partie droite de la case (pour n'avoir à défendre qu'une seule rue) orientées aussi à l'ouest pour le deuxième tour je m'en réfère à Ludwig.

[Ulricht Drekner]

Ulricht se pencha vers l'eau trouble du fleuve, l'air inquiet.

- Dîtes voir, vous croyez que les bestioles peuvent sortir de là ?

Ulricht se retourna et le regarda, avant de détourner les yeux une fois de plus sur l'eau sans répondre. C'était, en effet, exactement ce qu'il craignait. Il reporta son regard sur le sergent.

- Impossible, le courant est trop violent. Mais... fit-il en tendant l'oreille.

C'est que la ville commençait à sérieusement s'agiter. La partie est, qui lui était séparée par le fleuve, commençait a être bien trop calme à son goût. Il pouvait voir de l'agitation sur les ponts, mais pas encore de morts-vivants.
De toute évidence, cela n'allait pas tarder.

Plus inquiétant encore, quelques pyromanes s'amusaient visiblement non loin de sa position, et vu les panaches de fumée, un sacré bûcher devait être à l'œuvre.
Il jeta un énième coup d'œil à cette eau, auquelle il ne faisait définitivement pas confiance.

- Je prend les hallebardiers, la rue en face ne m'a pas l'air gardée. Les arquebusiers restent ici, vous pourrez tirer sur l'autre rive depuis ici, et bloquer ceux qui longeront de notre côté !

Et puis ce serait toujours ça de distance en plus avec le fleuve.

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Mes 30 arquebusiers ne bougent pas, ils tirent à vue sur ce qu'ils voient (sauf si des alliés sont entre-deux.
Mes 50 hallebardiers migrent en L46-35, direction sud, et en formation pour faire durer le plaisir.

[Piero Orsone]

Les Morts se rapprochaient, ils commençaient à marcher sur la place jouxtant la ruelle où progressaient les estaliens. Les arquebusiers allaient devoir faire face et se battre ! POUR LES VIVANTS ! En espérant que le reste des troupes au pied de la ruelle ramène leur groin avant que les zombies submergent tout le monde.

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Mes Arquebusiers attendent que la horde ramène le bout de son nez et tirent.

[Dwimir]

Blabla rp WIP

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Mes deux unitées reculent en H32 L45 et H33 L45 de la manière suivante:
3 rangs de 8 guerriers,plus le premier rang formé de 3 guerriers et des 5 dracs et le dernier rang formé de 3 guerriers en H32 L45. Ils sont orientés sud, ouest et est. Les arbalétriers restent répartis sur deux cases: 10 en deux rangs de 5 en L45 H32, derrières les guerriers et les 45 autres en L45 H33 en 5 rangs de 8 plus un rang de 5. Ils sont orientés sud. Ils font feu sur les morts vivants les plus proches, en priorisant ceux non engagés et en évitant le tir sur mes propres troupes, celles de Hagin et celles de Faust.