Une dague dans la nuit [Erehyus]

Nuln est la seconde ville de l’Empire et du Reikland. Nuln centralise tout le commerce du sud, c’est là que convergent les voyageurs du Wissenland, du Stirland, d’Averland et des régions plus à l’est. Nuln est le siège de l’Ecole Impériale d’Artillerie, où les canons sont fondus et où les artilleurs apprennent la balistique. Ils y étudient les nombreux problèmes pratiques liés au déplacement et à la mise en œuvre des pièces d’artillerie. Grâce à leurs efforts, l’Empire bénéficie d’un vaste et efficace corps d’artillerie, de loin supérieur à tous ceux des pays frontaliers.

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Une dague dans la nuit [Erehyus]

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Cela faisait maintenant des semaines que le binôme avait quitté la Bretonnie, des jours et des jours d'un voyage certes tranquille mais assez usant à la longue. Gil de Paravon, chevalier du royaume, était en tête, suivit de près par la charmante Erehyus, elfe et noble de naissance. Bien que ce binôme aux fortes différences raciales pouvaient paraître des plus étrange vue de l'extérieur, la complicité et la confiance mutuel entre les deux combattants était forte et sincère. Ils avaient tous deux vécus de nombreux combats, notamment pendant la tempête du chaos, et ce fut dans ces terribles épreuves qu'ils bâtirent une forte amitié.
Gil de Paravon, ancien chevalier errant, avait été nommé en temps que chevalier du royaume récemment, où dans sa contrée d'origine, il avait pu obtenir quelques terres et quelques gens dont on lui avait confié la charge, mais l'appel de l'aventure l'avait rappelé, et il avait donc choisit de laisser à son père, son seigneur et maître, la charge de ces obligations durant son absence. Et donc, avec l'accord familial, il avait reprit la route en compagnie de Erehyus.
Les deux protagonistes avaient eut la chance de se voir confier deux montures Bretonnienne, certes celle ci n'avait sûrement pas aux yeux de Erehyus, autant de valeur qu'une monture elfique, tel que pouvait en posséder les heaumes d'argents, mais cela était pour le moment toujours mieux que rien, surtout pour un tel voyage.
Pour l'histoire, les heaumes d'argents étaient un groupe de chevalier de renom, composé de la haute noblesse elfique, des combattants fières et aguerris, qui demandait une exemplarité et une dévotion total pour pouvoir les rejoindre. Heureusement, Eredyus avait su se faire remarquer en bien par ce célèbre groupuscule totu au long de sa vie, mais pour l'instant, elle n'en faisait pas encore officiellement partie, il lui restait encore des choses à prouver semble t'il... Raison pour laquelle elle se trouvait ici, au sein de l'Empire, et plus précisément dans le Wissenland, ayant soif de découverte et d'aventure dans ce monde qui n'était pas le sien.

Gil, était un jeune homme arrivant sur ces 25 ans, pourtant jeune pour un humain, il faisait déjà preuve d'une grande maturité d'esprit. Combattant talentueux et possédant un sang froid inégalable, il était aussi d'une droiture exemplaire, possédant un fort code morale et respectant la vie de tous et chacun, il était un digne serviteur de la dame. Des cheveux mi long et brun, des yeux bleus azurs, une musculature travaillé, et une barbe viril, il était un jeune homme bien bâti, l'idée même que les gens se faisait du héros chevalier tout droit sortit d'un conte pour enfant.

Gil de Paravon, chevalier du royaume

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Ainsi donc, voyageant à travers l'Empire, ils arrivèrent en vue de la grande cité impérial de Nuln, connu pour avoir été l'ancienne capitale de l'Empire, elle était encore aujourd'hui un centre technologique de la puissance militaire de l'Empire grâce notamment à l'école impérial d'artillerie et était aussi l'un des cœurs du rayonnement intellectuel de l'humanité, Nuln était souvent décrite comme « une couronne qui scintille de l'éclat de ses cent joyaux. » Bien qu'Altdorf la surpassait maintenant en terme de population, elle restait néanmoins la première ville dans les domaines des arts et de la vie mondaine.
Mais ces dernières années, la cité avait aussi connu un certain déclin, étant moins bien défendu qu'auparavant, car de nombreux soldats avaient perdu la vie lors de la grande campagne menée dans le nord contre les hordes maléfiques de Archaon. Désormais une certaine inégalité de richesse c'était crée au sein de sa population, en plus d'une certaine instabilité.
Nuln était une étape importante du voyage, car elle permettrai tout d'abord au binôme de se ravitailler de sa longue route, mais aussi de peut être pouvoir trouver du travail. Après tout, de nombreux marchands où même seigneurs locaux aimeraient sûrement se payer les services d'un chevalier de Bretonnie et d'une haute elfe.
Arrivant par l'ouest, l'une des trois grandes portes de la cité était en vue, celle menant au quartier de Neuestadt, l'afflux de personne entrant et sortant était tellement important en ce début de journée, qu'il fallu bien une heure au binôme pour enfin pourvoir traverser la porte et ainsi poser pied dans la cité une fois le contrôle des garde passé.

Ils arrivèrent donc dans un quartier assez pauvre et insalubre, où se baladait une forte partie de la populace local : marchands, paysans, sans abris et orphelins en tout genre se baladaient à travers les rues exigus du quartier, à tel point que Erehyus et le chevalier Bretonnien, furent obligés de poser pied à terre et de tirer leur monture à pied pour pouvoir mieux se mouvoir.

Il ne fallu guère longtemps pour que quelqu'un les remarques et ne vienne à leur rencontre, un enfant d'environ douze ans, au visage et aux mains crasseuses, souriant et semblant jubiler intérieurement. S'inclinant face aux deux héros, cette pseudo politesse n'était en réalité que purement ironique, une moquerie d'enfant sans aucun doute.


"Bien le bonjour noble seigneur et gente dame ! Je me nomme Albert ! Pour vous servir ! J'ai comme l'impression que vous n'êtes pas d'ici non ?! Je peux vous servir de guide si il faut, ou allez vous ? Bas fond ? Quartier aristocrate ? Quartier pauvre ? Ecole ? Guilde ? Auberge ? Ou peut être même quelqu'un pour s'occuper de vos montures ?..."

Puis terminant sa phrase, il afficha un sourire moqueur et imbu de lui même, avant d'ajouter :

"Mais tout service à un prix... Les temps sont durs nobles seigneurs..."

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Erehyus
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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

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Nuln. Citée de savoir et d'expérience. Bien peu sont ceux qui n'ont jamais entendu parler de ces lieux prestigieux. Moi-même, en plusieurs occasions, j'ai ouïe maintes rumeurs et histoires la concernant. Mais aujourd'hui est le jour où je pose pour la première fois mon regard sur cette citée. Je dois toutefois avouer que, même si elle n'a pas les prestances des cités d'Ulthuan, elle reste malgré tout remarquable. Le soleil jouait à cache cache avec les nuages, mais sa lumière éclairait encore parfaitement la citée qui s'annonçait devant nous, ne parvenant toutefois pas à effacer les brumes de fatigue de notre long voyage. C'est donc encore fourbus par ce voyage que j'entrais dans cette ancienne capitale. J'avais suivi Gil en toute confiance, mais le fait de me retrouver entourer d'autant de mortels me laissait pour le moins agitée. En effet, nous étions loin des citées aérée de Ulthuan et Caledor. Ici, les toits étaient si proches les un des autres que c'était à peine si l'on pouvait voir le ciel. Et l'air empestait la moisissure et les déchets qui s'entassaient dans les recoins des rues. Je jetais un œil à mon compagnon de route qui me fit signe de le suivre. Je fus parcourus par un frisson et entrepris de le suivre. Il connaissait probablement mieux que moi ce genre de lieux, donc autant m'en remettre à lui. Viendrais le temps ou je serais capable de me débrouiller par moi-même pour ce genre de choses. Mais pour le moment, mieux valait que j'observe et que j'apprenne.

Un gamin des rues, à la vue de sa vêture miteuse, se précipita et nous proposa de nous conduire ou bon nous semble, où bien de prendre soin de nos montures. De ce que j'avais ouïe dire sur les citées humaines, il n'était pas toujours sage de laisser un inconnu qui nous aborde prendre soin de votre destrier, même s'il ne s'agit que d'une monture bretonienne. Un commentaire que je m'étais bien gardé de faire à Gil, car, après tout, sa famille me l'avait prêté. Je serais fort mal placée pour la critiquer dans ce cas. Je l'appréciais donc à sa juste valeur.Je regardais le garçon, jetant rapidement un coup d'œil à la rue avant de revenir vers lui.


"Nous recherchons d'abord un lieu où nous pourrions trouver du travail. En fonction de ce que l'on trouvera, il est possible que nous puissions avoir ensuite besoin d'une bonne auberge."

Répondant au sourire moqueur de l'enfant, je me permis d'ajouter avec un sourire prédateur, mais avec une voix la plus douce et sereine possible :

"Ta récompense sera à la hauteur de ton service. Et pour nos montures, nous nous en chargerons par nous même lorsque nous nous poserons" Déclarais-je en caressant l'encolure de mon destrier.

Je déposais toutefois en acompte deux sous de cuivre, un clin d'œil venant signifier qu'il pouvait effectivement multiplier ce gain initial. Mais cela dépendait grandement de lui. Bon, également de ce que Gil voudrait ajouter à ce que je payerais en fin de course. Mais chaque chose en son temps.
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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

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Le jeune garçon qui jusque là dégageait une confiance absolu envers les deux inconnus qu'il avait décidé d'aborder, fut soudainement troublé par Erehyus qui avait prit la parole. Sûrement la beauté de la jeune femme y était pour quelque chose, un enfant aussi jeune croisait sûrement pour la première fois une elfe, et donc, à l'écoute des exigences de la noble d'Ulthuan, il l'a dévisageait plus que cherchant à l'écouter vraiment à cet instant.
Face au sourire de l'elfe, il baissa les yeux quelques instants, troublé et se raclant la gorge, puis il reprit son courage à deux mains et tenta de retrouver son air audacieux. A la vue des pièces de cuivre, il s'en saisit aussi rapidement que possible comme s'étant attendu à voir l'elfe reprendre son dû aussi soudainement qu'elle le lui avait tendu. Il mordilla l'un des sous comme pour vérifier l’authenticité de son nouveau trésor.


"Comme il vous plaira..."

Tandis que dans la rue, l'agitation était total, l'afflux de personne continuant de croître, le jeune garçon resta alors songeur quelques secondes, réfléchissant sûrement à l'endroit où il pourrait emmener le chevalier et l'elfe.
De son coté Gil était resté silencieux, laissant sa camarade prendre la main sur la situation. Peut être le chevalier n'était il pas vraiment à l'aise avec les enfants ? Dans tous les cas, son attention était désormais capté par le quartier lui même... La misère était omniprésente... Ici, personne ne vivait au dessus de ces moyens, on le voyait au premier coup d’œil, et le chevalier sentit alors peser de nombreux regards sur lui, et encore plus sur sa camarade elfe. Le binôme semblait faire tâche dans ce triste décor...


"Oui je pense avoir ce qu'il vous faut..."Murmura le jeune garçon avant d'afficher un sourire qui cette fois signifiait la préparation d'un mauvais coup.

Ce fut alors à cet instant, qu'une bande d'enfant, se déversa autour d'eux, dépassant Gil et Erehyus, et les bousculant au passage. Bien que les rires accompagnaient la course de la petite bande, un enfant en particulier, une petite fille de 8 ans environ aux cheveux blonds, se cogna assez violemment à la jambe du chevalier Bretonnien.
Image"Aie ! Attention petite ! Tu..."
Frottant de sa main, l'endroit de l'impacte, c'est à dire entre le haut de sa cuisse et sa taille, il avait soudainement arrêter sa phrase comme ayant remarqué quelque chose d'étrange.
Image"Petite voleuse ! Rend..."
Mais a peine eut il le temps de prononcer ces quelques mots, que la bande d'enfant, ainsi que la petite chapardeuse, s'enfuir à travers la foule se dispersant de toute part, tout en rigolant de leur méfait. Dès lors, Gil s'élança dans la foule, à la poursuite de ces enfants, lâchant au passage les rênes de son cheval et laissant sa camarade sans explication quand aux raisons précises de cette soudaine course poursuite.
De son coté, le garçon qui s'était proposé comme guide, rigola à son tour et tira la langue à Erehyus, se déclarant par ce geste comme l'investigateur de ce vol à la volée.


"Au plaisir ma belle dame ! Adieu !"

Puis il détala aussi vite que possible dans une direction au hasard, voulant fuir comme venait de le faire ces camarades.

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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

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Visiblement, je n'étais pas la seule à me retrouver dans une situation pour le moins inhabituelle, car je vis le jeune garçon me dévisager, visiblement surprit que je lui adresse la parole. Il est vrai que mes semblables ne se mêlent que peu aux autres cultures, préférant bien souvent rester isolé sur notre île. Mais nous n'étions quand même pas si rare que cela? N'en sachant rien, je préférais ne pas faire de cas.
Je laissais l'enfant réfléchir et lorsque, durant sa phrase, je vis son sourire changer, j'eu presque l'impression qu'il voulait me prendre pour sa prochaine proie. Je resserrais donc encore ma prise sur la longe de mon destrier. Je me tenais prête à sauter sur ma selle pour pouvoir déguerpir au plus vite.

Mais mon attention fut rapidement détournée lorsque j'entendis Gil essayer de prévenir une jeune fille de faire attention. Je le vis porter sa main à la cuisse. Et à la vue de ses yeux qui s'agrandirent, je n'eue aucune peine à deviner ce qui c'était passait. Je portais à mon tour la main libre sous mon manteau, vérifiant que ma bourse se trouvait toujours à ma ceinture, et le sourire qu'eue le gamin et sa répartie ne tombèrent pas dans l'oreille d'une sourde, tandis que je le vis faire demi tour et s'enfoncer dans la foule.
Mais déjà, je bondissais sur mon cheval, attrapant la longe de la monture de Gil et lançais les deux imposants destriers au travers de la foule, me baissant suffisamment pour éviter les enseignes et pouvoir attraper ma proie facilement dés que possible. Je poussais toutefois un avertissement oral en hurlant.


"Aux voleurs. Poussez vous ou attrapez les." Fis-je d'une voix que je voulais la plus forte possible.

Dire que j'étais en colère était un doux euphémisme.
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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

Message par [MJ] Le Loup Blanc »

Ainsi donc, Erehyus avait prit la décision de prendre en chasse le jeune garçon qui fière de son larcin, se voyait maintenant à détaler à travers la foule, utilisant sa petite taille, sa vélocité, et sa connaissance du quartier pour tenter de s'échapper.
L'elfe était donc remonté à dos de cheval, cela avait au moins le mérite de lui donner un meilleur point de vue sur la rue principal et donc de garder en vue le jeune garçon s'enfuyant. Mais... Lancer un cheval à toute allure à travers une rue bondé de monde était un chose presque impossible, sa monture devrait donc se mouvoir de façon réduite, au risque d'écraser ou de percuter l'un des nombreux passants.

Test d'habilité pour la poursuite = 11 (échec minime)
Malgré le monde, et le fait en plus de trainer la monture de Gil en même temps qu'elle usait de la sienne, la jeune femme put démontrer son immense talent dans l'art de l'équitation. Maîtrisant avec perfection sa monture, elle parvenait à s'engouffrer dans les moindres recoins, esquivant tous obstacles, et rattrapant peu à peu sa cible.
De son coté le jeune garçon qui avait pensé s'enfuir aisément, fut prit de panique quand en se retournant, il vit l'elfe fondre sur lui à dos de cheval, prêt à s'emparer de lui d'un instant à l'autre.

Hélas, la malchance tomba sur Erehyus, et au moment où elle pensait enfin attraper le chapardeur, un obstacle se présenta sur sa route, un passant négligeant, qui surpris, se figea sur place obligeant la monture de la noble d'Ulthuan à se stopper sur place pour éviter de le percuter de plein fouet. L'arrêt fut rude et la monture paniqua tentant de projeter sa maîtresse au sol.

Test d'habilité pour voir si tu restes sur ta monture = 10 (réussite de justesse)
Si elle n'avait pas été une elfe, douée et agile, il y aurait eut de forte chance qu'elle se soit retrouvé au sol, mais contre toute attente, elle parvint à se maintenir en selle, calmant au passage sa monture, tandis que celle de Gil n'avait pas bronché d'un pouce. Durant ce laps de temps, elle pu voir pour la dernière fois le petit garçon quitter la rue principal et s'engouffrer dans une ruelle adjacent et ainsi disparaître...
Devant elle donc, se tenait un petit homme, similaire à la taille d'un enfant, et pourtant au trait de visage d'adulte. Chevelu, et l'air innocent, il tenait les mains en l'air, comme s'attendant à se faire détrousser, sûrement le choc évité de justesse avec le cheval de Erehyus l'avait terrifié. Il était vêtu d'une veste rouge carmin avec en dessous une sorte de chemisette à bouton, bien que ne semblant aucunement appartenir à une riche famille, sa condition social semblait tout de même légèrement supérieur à la plupart des autres humains du quartier pauvre.
Un bâton en main, il portait un grand sac dans son dos, comme une sorte de marchand partant ou revenant de voyage.

Image"Non mais ça va pas ! Vous auriez pu m'écrasez ! Et alors je serais mort et ..."
A travers ces plaintes, on pouvait sentir un soupçon de panique, qui peu à peu laissa alors place à la fascination et l'émerveillement quand il vit que la cavalière contre qui il s'énervait était une belle et charmante elfe.
Image"Et bien ça alors ! Une elfe ici ! On en voit plus beaucoup ces derniers temps ! Pardonnez mon emportement ma dame, mais vous m'avez fait une peur bleu ! Monsieur Lucius Pomdesac pour vous servir ! "
Il s'inclina légèrement, avec une certaine maladresse mais une innocence touchante et le visage du petit homme qui n'était autre qu'un représentant du peuple Halfling, transpirait la gentillesse et la bonté.
Image"J'ignore où vous chevauchez ainsi, mais... Vous ne devriez pas ignorer les règles de cette ville, il est interdit de se retrouver à cheval en plein quartier, la garde n'est pas bien loin, vous risquez d'avoir des problèmes. Vous me semblez perdu non ? Puis je vous aidez ?"
Voila qu'une nouvelle fois, une autre personne lui proposait de l'aide, et elle allait sûrement en avoir besoin maintenant que l'enfant voleur lui avait échappé, et que Gil n'était toujours pas revenu non plus.

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Erehyus
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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

Message par Erehyus »

Mais pourquoi les humains devaient-ils construire des villes aussi étroite? J'essayais de lancer ma monture à la poursuite de ce gredin, mais, si l'idée présentait l'avantage que je sois en hauteur et que je puisse voir les choses, le fait que cette foule compacte soit présente la rendait complètement stérile. Je ne pouvais qu'avancer au pas, parvenant à maîtriser ma monture afin de ne pas écraser les passants. Je ne pouvais donc que pester intérieurement en voyant le gredin m'échapper.

Des exclamations se faisaient entendre sur mon passage, tous plus fustiger de voir un cavalier monté qu'un gredin volant les gens dans leurs rues. A croire qu'effectivement, comme le disait si souvent mon maître d'arme, les humains ne sont au final que des barbares ne comprenant pas la moitié des choses. Enfin. J'étais peut être un peu dure en faisant ainsi une généralité sur le seul exemple de bigots d'une citée humaine. Gil m'avait prouvé être un être intelligent à plus d'une reprise.

Mon destrier s'ébroua brusquement, se braquant sans prévenir, tandis qu'un petit être surgissait sans crier gare, sur notre chemin. Je parvins à rester en selle, alors que ma monture essayait justement de me désarçonner. Lorsqu'elle se reposa au sol, je flattais l’encolure de la noble bête et me redressais lorsque j'entendis le petit être me fustiger.
Le sang encore en tête, et la colère de voir ma cible s'enfuir n'ayant pas encore quitté mon esprit, je me dressais de tout mon haut.


-Et vous, petit homme. N'aviez vous pas idée de franchir la rue sans regarder alors que des cris y résonnent de laisser la place.L'interrompis-je.

Du moins le croyais-je car à son regard, je devinais qu'il n'avait pas considérer rencontrer quelqu'un comme moi sur son trajet.
Il s'excusa et entreprit de se présenter. Il alla même jusqu'à faire une sorte de salut respectueux. Je devais au moins lui reconnaître cette politesse. Puis il me mit en garde contre le fait de chevaucher sa monture en ville et me proposa son aide. Lucius Pomdesac... Un que je mémorisais pour la suite.
Je descendit de ma monture, tout en restant méfiante. Une première proposition d'aide m'avait valu cette tentative de cavalcade dans cette rue bondée. Qui me disait que la deuxième ne m'apporterais pas pire.


-Pardonnez également mon emportement, Sir Pomdesac. Je traquais un vil HenRâth (enfant des rues; [HRP]Elfique de tolkien. Désolé, je n'ai pas l'équivalent warhammer[/HRP]) Lui et sa bande ont volé la bourse de mon compagnon de voyage.
Je me prénomme Erehyus Am Ulthass Meorsen. Mais appelez mois simplement Erehyus. Je vous remercies pour votre avertissement. J'ignorais effectivement cette lois. Mais un peu de bon sens aurait dû me la suggérer. Et comme je ne suis pas femme à fuir mes responsabilités, je vais oser parier sur le fait que la garde puisse comprendre si je leur explique. Je vais donc les attendre
Je poussais un profond soupir. Je n'irais pas dire que je suis perdue, car je sais que je me trouve encore dans la rue par ou je suis entrée dans cette ville. Mais pour le reste, comme j'ignore ou mon ami est parti, je ne m'aventurerais pas toute seul. Donc votre aide sera la bienvenue une fois que je me serais expliqué avec la garde. Je pense qu'il sera bon qu'ils soient au courant que mon ami traque son voleur et qu'il ne fera peut être pas dans la dentelle.
Je m'inclinais à mon tour à l'égard du halfling, pour le remercier de sa proposition.[/center]
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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

Message par [MJ] Le Loup Blanc »

Le petit homme, écouta les paroles de la belle elfe avec une attention toute particulière. Quand elle parla de vol à l'arraché, le halfling comprit alors par quoi avait été causé les ennuis de son interlocutrice.
Image"HenRâth ?! Voila un terme bien étrange, mais qui m'amuse en même temps quand je le prononce... HenRâth... Je comprends donc votre hâte, vous avez eut affaire aux enfants des rues... Fâcheux... Très fâcheux... Mais s'il vous plait, pas de "Sir Pomdesac" avec moi... Juste Lucius tout simplement."
Il resta alors plongé dans une intense réflexion, mais ne trouva guère de solution à donné à l'elfe concernant son problème de vol à l'arraché. Les enfants avaient fui, et ils connaissaient la ville et le quartier comme leur poche, de vrai petits rats capable de se faufiler un peu partout, il serait dur de les retrouver. Ils étaient en plus aussi connu pour être les yeux et les oreilles de la ville, un véritable réseau d'information qui bien utilisé pouvait être des plus utile.
Concernant l'ami de Erehyus, à la tête qu'affichait le dénommé Lucius, il ne semblait pas l'avoir vu. Il ne serait donc pas vraiment utile pour d'éventuel renseignement concernant Gil.

Quand l'elfe lui parla de s'expliquer avec la garde, le petit homme se racla alors la gorge comme pour l'interrompre, il afficha un sourire de bienveillance, car sûrement touché par l'honnêteté de sa rencontre fortuite.

Image"Oula oula calmez vous ma chère ! Personne ne vous a attrapez la main dans le sac, inutile d'en faire un foin pour une simple histoire de cheval ! De plus, croyez moi quand je vous dis que les gardes dans cette ville sont assez peu compréhensible envers les non humains... Retenez bien cela."
Il était en effet connu que dans le vieux monde, une certaine inimitié s'était installé entre les différents peuples, vivre ensemble étant bien plus compliqué que de tout simplement se faire la guerre. Hélas... Certaines personnes toute race confondu étaient assez fermé d'esprit. Et par ces temps troublés, tout le monde était méfiant avec tout le monde.

Jusque là assez calme, le visage de Lucius se referma alors, lorsque derrière Erehyus, un peu plus loin dans la rue, il sembla reconnaître un petit groupe de personne, qu'il ne semblait aucunement vouloir revoir et qui approchait. S'emparant du bras de l'elfe, il la pressa de le suivre, comme pour s'échapper d'une futur inconfortable situation.

Image"Bien, bien bien ! Trêve de bavardage et allons y, cherchons votre ami, et un endroit où abreuver vos montures ! Je connais cette ville comme ma poche Erehyus, et vous êtes désormais mon hôte ! Je refuse que votre première impression de Nuln soit que cette ville est une ville de voleur !"
Il poussa alors un rire chaleureux et amusant, et emboita le pas, s'enfonçant avec l'elfe dans la rue.
Durant le trajet, qui ne se résuma en réalité qu'à un dédale de ruelle sans fin, et qui ne transpirait que la pauvreté encore et toujours, Lucius se mit alors à raconter sa vie sans jamais s'arrêter, il était venu à Nuln pour affaire au départ il y a des années de cela, mais aimant cette ville, il décida de s'y installer et d'ouvrir son commerce, il était vendeur de bibelot en tout genre, car là où les gens voyaient des vieilleries ou des bizarreries sans intérêt, lui voyait des trésors qu'il cherchait à restaurer, comprendre et acquérir. Son affaire marchait moyennement il était vrai, mais pour autant, jamais il ne changerai de métier et ce pour rien au monde. Le petit homme était certes un curieux personnage mais terriblement sympathique. Sans enfant et sans famille, son travail était sa vie... Il avait une vie simple mais heureuse.

Image"Et comme je vous disais donc... Oh que diable, pardonnez moi ma chère, je remarque que je ne parle que de moi, un bien vilain défaut que je me dois de corriger ! Et vous racontez moi donc ! Que venez vous faire avec votre ami dans ma belle ville ?"

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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

Message par Erehyus »

Visiblement, le petit homme était de ces gens qui restaient simple. Il me pria de ne pas lui donner de sir. Simplement de l'appeler par son prénom. Chose inhabituelle pour moi, si il en est, mais je n'allais certainement pas le froisser en refusant.
Je scrutais la rue, en attendant les gardes lorsque Lucius me déconseilla de rester. Selon lui, les tensions entre les peuples font qu'il est peu sage de rester et d'essayer de s'expliquer avec des gardes pouvant être un peu bas du front. Cela me surprenait pour le moins, mais il ne me laissa pas le temps de protester que déjà, il m'emmenait en riant, désireux de me prouver que la citée n'était pas une citée de voleur, mais bien une citée vivante et agréable, dont on pouvait réellement tombé amoureux. Je m’abstins de lui faire remarquer que cette citée était bien trop étouffante pour que je puisse me prêter à son sentiment, moi qui était habituée aux grands espaces.
Je le laissais me raconter son histoire. une vie simple, mais qui semblait le combler au plus haut point.
Puis, alors que nous déambulions dans les ruelles, les deux montures nous suivant à la longe, il se rendit compte qu'il ne faisait que parler de lui même, il m'invita à parler de moi même et de la raison pour laquelle j'étais venue en cette citée.


-Mon histoire est loin d'être aussi passionnante que celle des héros de mon peuple. Après la guerre contre les troupes de la Tempête, je suis resté avec mon ami bretonnien et nous avons décidé de partir découvrir un peu le monde, pour mieux le comprendre. Et notre route nous a amené sur le pas de votre citée. un point de passage, dira-t-on, mais avec un peu de chance, nous trouverons de quoi travailler dans ce que nous savons faire l'un comme l'autre, avant de reprendre la route un jour. Pour ma part, il s'agit d'apprendre ce que je peux avant de rejoindre les Heaumes d'Argent. Mais j'ai encore le temps pour cela. Je suis encore bien jeune et inexpérimentée. Après tout, je n'ai que deux cents soixante quinze ans. Encore à peine sortie de l'enfance en somme. Souriais-je.

Nul mensonge dans ce que je racontais. Car c'était bien ainsi que je me percevais. Même si je savais que pour les autres races, en dehors des nains, vivre aussi longtemps est tout bonnement impossible.
Modifié en dernier par [MJ] Le Loup Blanc le 28 mai 2017, 15:54, modifié 1 fois.
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Erehyus, Noble
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[MJ] Le Loup Blanc
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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

Message par [MJ] Le Loup Blanc »

Le petit Halfing écouta la belle elfe lui conter son histoire, tout du moins une partie, et tel un enfant, il buvait ces paroles, après tout, le peuple dont il était issu était connu pour être assez pacifique, ils étaient des petits hommes doués dans bien des domaines, mais celui de l'aventure n'en faisait pas réellement partie. On pouvait voir à son regard que Lucius aurait tout donné pour vivre la vie palpitante de Erehyus, mais bon, il était né Halfling et avait fait le choix d'une vie simple, tranquille et heureuse voila tout.

Quand elle lui parla des heaumes d'argent, il paru alors intrigué, sûrement sa connaissance des elfes était assez limitée, et peut être n'avait il jamais entendu parler de ce légendaire groupuscule, chose en soit assez normal. Par contre, quand la jeune femme lui expliqua qu'elle recherchait avec son camarade Bretonnien du travail, il paru soudainement intéressé, mais ne développa pas l'idée qui venait sûrement de traverser son vif esprit.
Par contre, il rigola quand l'elfe lui annonça son âge.

Image"Deux cent soixante quinze ans ?!! Et vous vous dîtes sortie à peine de l'enfance ? Et bien, je m'étonnerai toujours de cet immense décalage que vous avez du temps contrairement au autres peuples de l'Empire... Selon moi, vous êtes sûrement bien plus sage que le plus vieux des hommes, et vous verrez et apprendrez encore bien des choses que j'aurais eu le temps de mourir une dizaine de fois. Ahahahahahaah..."
Il continua de rigoler, gardant son air joyeux et serein. Puis au détour d'unu ruelle, ils arrivèrent devant un établissement, certes ne payant pas de mine de prime abord, mais qui semblait ressembler à une auberge, devant on pouvait déjà voir un ou deux hommes, allongé au sol, et ayant abusé de trop d'alcool, tenter de décuver comme ils le pouvaient...
"L'auberge de James", voila ce qui était écrit sur un écriteau, sûrement le nom de propriétaire de l'établissement sans aucun doute.

Image"Cela ne paye pas de mine, mais au moins vous pourrez vous payer une chambre pour pas trop cher. De plus, il y a une sorte d'écurie pour vos montures, elles seront surveillées par l'un des employés du gérant."
Mais a peine eut il fini sa phrase, qu'un protagoniste entra en scène, le chevalier Gil apparu alors, la mine grincheuse, reconnaissant sa camarade et ami Erehyus. A la tête qu'il tirait, il semblait que sa course poursuite n'avait pas vraiment porté ces fruits. Il observa alors l'elfe avant de dire :
Image"S'il te plait Erehyus... Pas de commentaire, ni de blague... Mettre fait détroussé par une enfant est déjà assez... Humiliant..."
Puis il porta alors son regard sur le halfling et demanda :
Image"Et vous êtes ?"
Le petit homme souriant, observa avec attention le grand chevalier, qui avait de quoi impressionner par sa carrure il fallait dire. Mais il refusa de répondre à son interrogation, préférant laisser Erehyus tout expliquer à son ami.
Image"Ecoutez, je laisse le soin à votre charmante amie de vous répondre... Déposer vos montures, et ensuite... Je vous invite à manger un petit quelque chose, votre route à dû être longue et je pense que je peux vous aider aussi... J'aurais un petit boulot à vous proposer, rien de bien sensationnel, mais vous pourrez y gagner une compensation."
Sans en dire plus, il fila à l'intérieur de l'établissement, laissant le binôme seul.
Test intelligence : 7 (réussi)
Mais quelque chose dérangea Erehyus, elle avait en effet la mauvaise sensation d'être suivi, peut être était ce son imagination tout simplement, mais il semblait que le petit groupe que Lucius avait tenté de fuir un peu plus tôt en tirant l'elfe pour la conduire jusqu'ici, était de nouveau non loin, à une vingtaine de mètre dans la ruelle au milieu des passants, et observait les deux protagonistes avec une certaine attention. Semblant comprendre alors qu'il avait été découvert, le petit groupe se dispersa alors et s'éloigna pour disparaître.

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Erehyus
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Re: Une dague dans la nuit [Erehyus]

Message par Erehyus »

Visiblement, le fait que je me considère comme à peine sortie de mon enfance semblait surprendre le petit homme. Il est vrai que les autres races n'ont pas nécessairement notre longévité.
De son point de vue, j'étais une sage. Mais est-il réellement possible d'être sage en se battant, même si c'est pour protéger son peuple? Je ne saurais dire. Aussi, je préférais ne pas relever et laisser passer, tandis que nous continuions dans les ruelles, alors qu'une sensation pesante m'accablait sans que je parvienne à dire de quoi il s'agissait.
Nous avancions dans le dédale et finîmes par parvenir devant un établissement ne payant pas de mine. Je pouvais constater la présence de deux humains affalés par terre, probablement en train de cuver leur boisson peu fraîche. J'avais déjà eu l'occasion de constater pareille scène en plusieurs lieux humains. Des gens de différentes races se laissant aller à dépasser leurs limites de tolérances à l'alcool. Ce que je ne comprenais pas vraiment. Quel pouvait être l'intérêt de se rendre dans un état aussi pitoyable? Une chose qui, pour moi, restait un mystère complet.

Maître Pomdesac m'annonça que je pourrais aisément me trouver une chambre à un prix abordable et qu'il y avait là une écurie qui pourrait prendre soin des montures que je tenais encore par la longe. Il eu tout juste le temps de finir sa phrase que déjà, une silhouette massive apparut au coin de la rue. Je pus reconnaître immédiatement mon ami Gil, qui, au vu de son expression, ne semblait être parvenu à retrouver celle qu'il recherchait. Il me demanda de ne pas faire le moindre commentaire, avant de finalement s'intéresser à mon guide dans ces sombres allées, qui s'excusa et proposa que je le présente à mon ami. Puis il se retira à l'intérieur, nous laissant seul.
Je hasardais un regard par dessus mon épaule, maintenant convaincu que la sensation qui me tenaillait depuis tout à l'heure était dûe au fait que quelqu'un soit en train de m'observer. Et en effet, je vis des silhouettes s'enfuir lorsque les individus comprirent que je les avaient remarqué. Visiblement, l'idée de s'en prendre à deux hommes d'armes, entraînés et équipés semblait les dissuader de nous attaquer. Du moins pour le moment. Mais vu ma première expérience avec cette ville, j'aurais plutôt tendance à rester méfiante.
Puis je revins à mon ami qui semblait toujours attendre.


-Il s'agit de Mestre Pomdesac. Lorsque tu es partie en courant, j'ai essayais de rattraper le garnement qui nous a tendu l'embuscade et j'ai faillit renverser ce petit homme.
Il m'a alors proposé de me montrer un établissement ou nous pourrions nous reposer et de nous aider à trouver du travail.
Je te passe les détails de la conversation, mais si je comprend bien, il est possible qu'il nous engage car il semble être poursuivit par quelques individus. J'ignore pourquoi ou comment.
Mais si il peut nous aider à nous mettre un peu d'argent de côté, alors je pense que l'on peut tenter l'expérience.
Par contre, une fois les montures installées, je te proposer de te laisser négocier les tarifs avec le tenancier. Je ne voudrais pas l'encastrer dans le mur comme j'ai pu le faire avec le pauvre homme qui n'avait pas comprit ma question pendant la campagne contre les forces de la Tempête. Qu'en penses-tu?


Il fallait dire ce qui est. J'ai parfois un peu de mal à saisir les nuances chez les humains. Et il arrive que le sang puisse nous monter assé rapidement à la tête lorsque nous sommes éreinté. D'être fin et subtils, nous pouvons devenir particulièrement violent dans ces cas là. Ou alors c'est que nous sommes en train de traquer des elfes noirs. Mais il est peu probable d'en croiser par ici. J'étais toutefois, effectivement, bien rincée par le voyage que nous avions fait, et l'agacement d'avoir vu mon ami se faire détrousser et d'avoir perdu la trace du gamin... Le mélange du tout me mettait à la limite de la rupture. Pour le bien du tenancier et de son auberge, il vallait donc mieux que se soit Gil qui prenne en charge la discussion. Je sortirais alors les sous lorsque le tarif aurait été décidé.
Modifié en dernier par [MJ] Le Loup Blanc le 04 juin 2017, 18:35, modifié 1 fois.
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