Darn vs Arzhogh : Manque de Civilités
Posté : 12 mars 2019, 18:34
[Petit duel amical avec Darn, qui verra s'affronter un Ogre et un Gor, accompagné de ses 3 chiens du Chaos dont le profil se trouve dans ma fiche x). Le but n'étant pas de viser la mort de l'opposant mais de le capturer, le duel s'arrêtera lorsque Darn aura moins de 20HPs et moins de 10HP dans mon cas.
Une fois l'un de ces seuils franchis, une fuite sera tentée et un jet pour simuler la fuite décidera s'il y a un mort ou non ]
La Harde de son chef s’était installé dans une forêt, non loin d’un village détruit.
Les derniers villages visités furent massacrés, avec toute la rage et la haine que pouvaient contenir les enfants de Morrslieb.
Le minotaure Orvhast était impossible à canaliser, arrachant les membres et les dévorant, ces derniers mus par des spasmes, alors que leurs propriétaires en étaient encore à invoquer leurs pathétiques dieux, pleurant et hurlant tandis que leur fin s’approchait. Certains fous imploraient une pitié qu’ils savaient ne jamais obtenir.
Quant à Arzhogh, il restait proche de son chef Tihre Lirre qui observait le massacre, même s’il savait pertinemment que rien ne le blesserait parmi ces sacrifices. Un humain le détrompa, tentant de s’élancer vers eux, une fourche sortie. Un profond mépris remplit le regard du Garde et, avec un simple sifflement, il vit l’homme s’effondre à quelques pas, hurlant de terreur tandis que trois monstrueux chiens du Chaos le jetèrent au sol et commencèrent à le dévorer vivant, entaillant son estomac afin de se repaître de ses intestins encore chaud, le tout ponctué par les hurlements et sanglots du méprisable Homme.
Enfin, Karphaos, une fois le massacre terminé, se posa au sol et commença à instaurer un Autel aux Puissances de la Ruine et ce malgré les grognements de certains Ungors, grognements vite interrompus une fois que l’un de ces grognement se transforma en épouvantable cri qui s’interrompit d’un coup et fut suivi du bruit d’un poids mort tombant au sol.
Les cadavres des villageois furent profanés … du moins ceux n’ayant pas été entièrement dévorés par Orvhast.
L’autel sanglant s’élevait au centre du village désormais symbole d’hommage rendu aux Puissances de la Ruine et Karphaos contemplait son œuvre.
Le campement installé, il informa son Chef de Garde qu’il allait tenter de trouver de la nourriture pour ses chiens. Il savait surtout que c’était la chasse qui lui convenait et il espérait trouver un Homme effrayé sur lequel aiguiser sa hache. Ou qu’il pourrait sacrifier envers le Purulent.
Commençant à s’aventurer dans la forêt, ses chiens sur ses talons, il sentait au loin l’odeur du sang séché et de la fumée du village. Il ne parviendrait à trouver personne si proche de cet autel sacrificiel voué aux Puissances de la Ruine et désira de s’aventurer plus loin.
Après un moment de marche, il se rendit compte que ses chiens agissaient étrangement. Ils n’agissaient pas comme s’il y avait une proie connue, tel un simple animal ou un Homme. Ce n’était visiblement pas non plus un autre Sabot-Fourchu.
Intrigué, il emmena ses chiens avec lui et sentit une odeur de fumée et la même odeur que la chair des Homme enfermé dans une maison qu’ils avaient incendiés. S’approchant discrètement, il vit dans une sorte de clairière un feu et une créature grotesque.
Ce n’était pas un Homme, il semblait bien plus gros et imposant. Sa musculature également.
C’était particulièrement étrange comme créature. Elle semblait dangereuse … Mais elle pourrait également faire un parfait sacrifice à Nurgle. Il pourrait peut-être la torturer. Et si jamais il avait le malheur de la tuer, cela fera un repas parfait pour ses chiens et lui.
Se redressant, il intima a ses chiens l’ordre d’attaquer et, sortant son cor de chasse, souffla dedans pour sonner l’hallali.
Il chargea la Créature, sa hache à deux mains prête à frapper, accompagné de ses chiens, tout en hurlant :
« Tu seras un Sacrifice parfait à la gloire du Purulent ».
Une fois l'un de ces seuils franchis, une fuite sera tentée et un jet pour simuler la fuite décidera s'il y a un mort ou non ]
La Harde de son chef s’était installé dans une forêt, non loin d’un village détruit.
Les derniers villages visités furent massacrés, avec toute la rage et la haine que pouvaient contenir les enfants de Morrslieb.
Le minotaure Orvhast était impossible à canaliser, arrachant les membres et les dévorant, ces derniers mus par des spasmes, alors que leurs propriétaires en étaient encore à invoquer leurs pathétiques dieux, pleurant et hurlant tandis que leur fin s’approchait. Certains fous imploraient une pitié qu’ils savaient ne jamais obtenir.
Quant à Arzhogh, il restait proche de son chef Tihre Lirre qui observait le massacre, même s’il savait pertinemment que rien ne le blesserait parmi ces sacrifices. Un humain le détrompa, tentant de s’élancer vers eux, une fourche sortie. Un profond mépris remplit le regard du Garde et, avec un simple sifflement, il vit l’homme s’effondre à quelques pas, hurlant de terreur tandis que trois monstrueux chiens du Chaos le jetèrent au sol et commencèrent à le dévorer vivant, entaillant son estomac afin de se repaître de ses intestins encore chaud, le tout ponctué par les hurlements et sanglots du méprisable Homme.
Enfin, Karphaos, une fois le massacre terminé, se posa au sol et commença à instaurer un Autel aux Puissances de la Ruine et ce malgré les grognements de certains Ungors, grognements vite interrompus une fois que l’un de ces grognement se transforma en épouvantable cri qui s’interrompit d’un coup et fut suivi du bruit d’un poids mort tombant au sol.
Les cadavres des villageois furent profanés … du moins ceux n’ayant pas été entièrement dévorés par Orvhast.
L’autel sanglant s’élevait au centre du village désormais symbole d’hommage rendu aux Puissances de la Ruine et Karphaos contemplait son œuvre.
Le campement installé, il informa son Chef de Garde qu’il allait tenter de trouver de la nourriture pour ses chiens. Il savait surtout que c’était la chasse qui lui convenait et il espérait trouver un Homme effrayé sur lequel aiguiser sa hache. Ou qu’il pourrait sacrifier envers le Purulent.
Commençant à s’aventurer dans la forêt, ses chiens sur ses talons, il sentait au loin l’odeur du sang séché et de la fumée du village. Il ne parviendrait à trouver personne si proche de cet autel sacrificiel voué aux Puissances de la Ruine et désira de s’aventurer plus loin.
Après un moment de marche, il se rendit compte que ses chiens agissaient étrangement. Ils n’agissaient pas comme s’il y avait une proie connue, tel un simple animal ou un Homme. Ce n’était visiblement pas non plus un autre Sabot-Fourchu.
Intrigué, il emmena ses chiens avec lui et sentit une odeur de fumée et la même odeur que la chair des Homme enfermé dans une maison qu’ils avaient incendiés. S’approchant discrètement, il vit dans une sorte de clairière un feu et une créature grotesque.
Ce n’était pas un Homme, il semblait bien plus gros et imposant. Sa musculature également.
C’était particulièrement étrange comme créature. Elle semblait dangereuse … Mais elle pourrait également faire un parfait sacrifice à Nurgle. Il pourrait peut-être la torturer. Et si jamais il avait le malheur de la tuer, cela fera un repas parfait pour ses chiens et lui.
Se redressant, il intima a ses chiens l’ordre d’attaquer et, sortant son cor de chasse, souffla dedans pour sonner l’hallali.
Il chargea la Créature, sa hache à deux mains prête à frapper, accompagné de ses chiens, tout en hurlant :
« Tu seras un Sacrifice parfait à la gloire du Purulent ».