[Gorgut et Hagin] Pour la beauté du sport
Posté : 13 oct. 2018, 16:54
Dans une réalité alternative:
C'était une belle journée, emplie d'oiseaux chantant dont les pépiements joyeux accompagnaient un dawi ma foi fort heureux. Hagin Duraksson, apprenti Brise-Fer en permission s'en allait cheminant à travers champs, entièrement vêtu d'airain, son bouclier en main, car c'est ainsi que voyageait notre nain. Il marchait fièrement en chantant, la barbe au vent, les yeux alertes au cas où un manant s'en prendrait au tonnelet jaillissant du creux de son bras. Mais un problème se présenta, un embranchement imprévu et de panneau dépourvu. Au milieu d'une vallée, cernée de montagnes, elles même traversées par de petits ruisseaux.
Cela inquiéta fortement le jeune Murdacier, mais les dieux ancestraux étaient généreux en ce jour, et, au bout de quelques minutes, tandis que notre Peau-d'Albâtre cherchait la meilleure des deux voies à suivre, un immense étranger surgit du chemin de gauche. Certes, aux yeux d'un nain tout paraissait grand mais l'inconnu, qu'il voyait en contre-jour, était un véritable colosse. Nonobstant sa timidité, Hagin pris le parti de l'aborder:
-"Holla étranger, belle journée n'est-il pas? Veuillez pardonner l'impudence que je déploie bien malgré moi en vous abordant de la sorte, mais la crainte de m'être égaré en cette contrée verdoyante m'y pousse. Si cela ne vous dérange donc pas, noble voyageur, auriez vous l'obligeance de m'indiquer la direction du stade où se tiendra la rencontre entre Les Filles de Grimnir et l'équipe professionnelle de l'Inquisition sigmarite?"
Mais dans sa volonté de retrouver son chemin au plus vite, il en oublia un menu détail, et toutes ces paroles furent prononcées en un Khazalide impeccable, et non en langue commune. Pour son interlocuteur, la voix du Murdacier devait être comme la pluie tombant en cataractes, accompagnée d'éboulements roulant sur les flancs escarpés d'une montagne, pendant que tonne l'orage au loin...
C'était une belle journée, emplie d'oiseaux chantant dont les pépiements joyeux accompagnaient un dawi ma foi fort heureux. Hagin Duraksson, apprenti Brise-Fer en permission s'en allait cheminant à travers champs, entièrement vêtu d'airain, son bouclier en main, car c'est ainsi que voyageait notre nain. Il marchait fièrement en chantant, la barbe au vent, les yeux alertes au cas où un manant s'en prendrait au tonnelet jaillissant du creux de son bras. Mais un problème se présenta, un embranchement imprévu et de panneau dépourvu. Au milieu d'une vallée, cernée de montagnes, elles même traversées par de petits ruisseaux.
Cela inquiéta fortement le jeune Murdacier, mais les dieux ancestraux étaient généreux en ce jour, et, au bout de quelques minutes, tandis que notre Peau-d'Albâtre cherchait la meilleure des deux voies à suivre, un immense étranger surgit du chemin de gauche. Certes, aux yeux d'un nain tout paraissait grand mais l'inconnu, qu'il voyait en contre-jour, était un véritable colosse. Nonobstant sa timidité, Hagin pris le parti de l'aborder:
-"Holla étranger, belle journée n'est-il pas? Veuillez pardonner l'impudence que je déploie bien malgré moi en vous abordant de la sorte, mais la crainte de m'être égaré en cette contrée verdoyante m'y pousse. Si cela ne vous dérange donc pas, noble voyageur, auriez vous l'obligeance de m'indiquer la direction du stade où se tiendra la rencontre entre Les Filles de Grimnir et l'équipe professionnelle de l'Inquisition sigmarite?"
Mais dans sa volonté de retrouver son chemin au plus vite, il en oublia un menu détail, et toutes ces paroles furent prononcées en un Khazalide impeccable, et non en langue commune. Pour son interlocuteur, la voix du Murdacier devait être comme la pluie tombant en cataractes, accompagnée d'éboulements roulant sur les flancs escarpés d'une montagne, pendant que tonne l'orage au loin...