Soudain il se pétrifia, un grognement avait retentit, bientôt des lueur sombre apparurent dans le nuit, les ténèbres prirent forment lentement devant lui à quelques pas de la maison une dizaine de loup cauchemardesques se détachèrent de l'ombre massive des arbres.
Les créatures avaient la bave au lèvres, elles étaient décharnées et irradiaient une magie corrompue.
Lothar aurait voulu crier mais aucun son ne voulut sortir de ses lèvres, sa détermination avait été soufflée comme une bougie par l'apparition des terribles créatures. Dans un instant qui sembla durer pour lui une éternité, le plus gros le regarda droit dans les yeux, il se noya dans ce regard malsain et profond comme la mort. Rassemblant tout son courage il se détacha du loup et rentra dans la cabane en claquant la porte de bois, avant d'y plaquer son dos, il tomba assit, une larme roula sur sa joue, son épée était toujours dans sa main mais sa prise s'était relâchée.
Il rassembla ses maigres pouvoir, si les chien entraient il faudrait se battre ou fuir, il devait vivre, mais les humains ne s'en sortitraient sans doute pas. Avant tout les ombres devenaient trop inquiétante, il avait besoin de lumière, il prononça les quelques mots de pouvoir nécessaire dans l'antique langue de pouvoir des elfes pour illuminer son arme...
La porte s'ouvrit doucement, un courant d'air froid s'engouffra dans la cabane. Lothar frissonna, il parcouru l’extérieur du regard, il avait un mauvais pressentiment, quelque chose de malsain trainait dans l'air, venant s'ajouter à sa peur. La sueur perlait sur son front et ses mains.
Soudain il se pétrifia, un grognement avait retentit, bientôt des lueur sombre apparurent dans le nuit, les ténèbres prirent forment lentement devant lui à quelques pas de la maison une dizaine de loup cauchemardesques se détachèrent de l'ombre massive des arbres.
Les créatures avaient la bave au lèvres, elles étaient décharnées et irradiaient une magie corrompue.
Lothar aurait voulu crier mais aucun son ne voulut sortir de ses lèvres, sa détermination avait été soufflée comme une bougie par l'apparition des terribles créatures. Dans un instant qui sembla durer pour lui une éternité, le plus gros le regarda droit dans les yeux, il se noya dans ce regard malsain et profond comme la mort. Rassemblant tout son courage il se détacha du loup et rentra dans la cabane en claquant la porte de bois, avant d'y plaquer son dos, il tomba assit, une larme roula sur sa joue, son épée était toujours dans sa main mais sa prise s'était relâchée.
Il rassembla ses maigres pouvoir, si les chien entraient il faudrait se battre ou fuir, il devait vivre, mais les humains ne s'en sortiraient sans doute pas. Avant tout les ombres devenaient trop inquiétante, il avait besoin de lumière, il prononça les quelques mots de pouvoir nécessaire dans l'antique langue de pouvoir des elfes pour illuminer son arme...
La porte s'ouvrit doucement, un courant d'air froid s'engouffra dans la cabane. Lothar frissonna, il parcouru l’extérieur du regard, il avait un mauvais pressentiment, quelque chose de malsain trainait dans l'air, venant s'ajouter à sa peur. La sueur perlait sur son front et ses mains.
Soudain il se pétrifia, un grognement avait retentit, bientôt des lueur sombre apparurent dans le nuit, les ténèbres prirent forment lentement devant lui à quelques pas de la maison une dizaine de loup cauchemardesques se détachèrent de l'ombre massive des arbres.
Les créatures avaient la bave au lèvres, elles étaient décharnées et irradiaient une magie corrompue.
Lothar aurait voulu crier mais aucun son ne voulut sortir de ses lèvres, sa détermination avait été soufflée comme une bougie par l'apparition des terribles créatures. Dans un instant qui sembla durer pour lui une éternité, le plus gros le regarda droit dans les yeux, il se noya dans ce regard malsain et profond comme la mort. Rassemblant tout son courage il se détacha du loup et rentra dans la cabane en claquant la porte de bois, avant d'y plaquer son dos, il tomba assit, une larme roula sur sa joue, son épée était toujours dans sa main mais sa prise s'était relâchée.
Il rassembla ses maigres pouvoir, si les chien entraient il faudrait se battre ou fuir, il devait vivre, mais les humains ne s'en sortiraient sans doute pas. Avant tout les ombres devenaient trop inquiétante, il avait besoin de lumière, il prononça les quelques mots de pouvoir nécessaire dans l'antique langue de pouvoir des elfes pour illuminer son arme...