Petite participation, sous la forme d'une prêtresse, après m'être arraché les cheveux sur la classe que je souhaitais peut-être jouer, et obtenir une histoire pas trop improbable. (quoique.) J'ai pas mal synthétiser l'histoire, par soucis de délais. Bonne lecture.
Nom et Prénom: Ânkhti
Sexe: Féminin
Age: 16 ans
Race: Humaine
Carrière: Initié
Lieu/ville de départ: Khemri
Fréquence de jeu: -
Profil: FOR 8 / END 8 / HAB 9 / CHAR 10 / INT 9 / INI 8 / ATT 8 / PAR 8 / TIR 8 / NA 1 / PV 60/60 (aucun bonus/malus de compétences ou venant de mon équipement ne s'y trouve, uniquement les PC gratuits)
Description physique :
Malgré seulement ses seize ans, Ânkhti possède déjà sur le plan physique de tous les atouts d’une jeune femme, certains disant que son corps ne changera plus avec le temps. De corpulence moyenne pour une femme, atteignant le mètre soixante-six pour cinquante-neuf kilogrammes, elle possède des formes généreuses pour son âge, qui ne font qu’accroitre sa beauté générale, lui valant d’accroitre son succès auprès de la noblesse masculine, et attisant la jalousie de certaines femmes n’ayant pas été aussi bénie par Asaph.
Des yeux d’un inconnu, la première chose qui ressortirai, outre sa silhouette sans réel défaut de proportions, serait sa peau blanche, prouvant aux yeux de tous qu’elle n’est pas une paysanne des champs, mais une pure fille de la noblesse. Elle possède de longs cheveux noirs descendant jusqu’au bas des omoplates, dont émane des odeurs d’huiles parfumées, et maintenus par une coiffe en bronze à l’effigie d'Asaph. Encadré par ce mélange d’ébène, de bronze et d’or, on distingue un visage assez fin, dont les irrégularités, s’il y en avait, ont été gommées par le maquillage. Elle possède une mâchoire légèrement carrée, un menton peu marqué, un nez court et fin dont le bout remonte légèrement, et des pommettes saillantes. De ce visage, ressorte deux choses : une bouche aux lèvres rosies par le maquillage, et des yeux noirs, aux longs cils et aux sourcils entretenus de façon impeccable. Ânkhti est une belle femme, mais comme un de ces magnifiques jardins de Khemri, sa beauté est en partie due à un entretien constant, de mains expertes et trop couteux pour la plèbe.
Drapée dans des vêtements en fibres de lin et en soies d’une grande finesse, et portant nombre de bijoux de bronze dont les motifs attestent la création par un artisan de premier ordre, et les petites pièces en or portant des pierres précieuses, confirme cette impression de luxe, et que la jeune femme est une noble à la famille puissante et riche. Quand elle sort, elle a tendance à se couvrir de vêtements blancs recouvrant un maximum de peau dénudée, et à prendre une ombrelle, afin de ne pas bronzer comme le reste du bas-peuple.
Description psychologique :
Ânkhti est une jeune femme d'origine noble, elle le sait, en profite et en abuse. En effet, depuis sa plus tendre enfance, elle à été choyée par ses parents, et ses serviteurs répondaient aux plus simples de ses désirs. A tel point qu'il est évident pour elle que la majorité des humains soient inférieurs à elle, n'étant là que répondre à ses désirs, ou à ceux d'un autre puissant. Cette pensée n'a pas pour origine l'ignorance : elle ne fait que suivre le schéma culturel de la Nehekara, où les hommes et les femmes élus des Dieux dominent le reste de la populace. Ainsi, Ânkhti méprisera toutes personnes de rang inférieur au sien, exceptés ceux dont les maîtres sont les plus puissants. Il n'est bien sur pas envisageable qu'une personne du bas-peuple puisse sortir du lot et grimper en statut, et le cas échéant, sa simple vue dégoûtera la noble Néhékarienne.
Ânkhti est une prêtresse du culte d'Asaph, sa divinité gardienne, et embrasse ses principes. C'est pourquoi la jeune femme place la beauté au centre de tout ce qui existe : certes, elle respecte la noblesse, mais elle considère que les nobles ne devraient pas être autorisés à être laids, salissant l'image de ces « élus », et que la laideur devrait être éradiquée de la face du monde. Ainsi, Ânkhti ne se laisse jamais aller, et refuse de se déplacer sans de beaux atours, avec d’ostentatoires bijoux de bronze et d'or, et un maquillage parfait et un parfum délicat. Elle tente toujours de ne pas déroger à la règle car son apparence physique est sa meilleure arme, et elle le sait. Elle n'hésite pas à séduire et manipuler des hommes et des femmes pour le simple plaisir, et n'hésiterai pas à donner de sa personne pour obtenir ce qu'elle veut. Elle essaye de faire fit de ses contraintes de prêtresse, mais elle se soucie trop des apparences pour désobéir à la doctrine du culte.
Elle se sait élue d'Asaph, déesse de la beauté, de la vengeance et de la magie. C'est pourquoi elle se permet d'être rancunière, ne pardonnant nul acte envers elle, ses proches ou ses ancêtres, ce qui est la raison première de son objectif actuel est de faire payer à l'intégralité des successeurs du Roi Phar de Mahrak la trahison de leur ancêtre, ainsi qu'aux prêtres de Ptra et de Phakth, qui ont orchestré ce drame. Cet vengeance est la source même des ambitions de la jeune femme : pour ce faire, elle devra s'élever dans son ordre, peut-être même d'apprendre à manifester la magie d'Asaph dans le monde des hommes, afin de faire chuter ces hommes et que tous apprennent ce qu'il en coûte de s'en prendre à Ânkthi et à sa lignée.
Alignement :
Historique :
Toute l'histoire remonte à bien longtemps avant la naissance d'Ânkhti, plus même à la naissance de son grand-père, Antef. Comme son nom l'indique, « Celui que son père a amené » n'était ni plus ni moins que le bâtard du fils successeur de la famille détentrice du pouvoir de Mahrak, né de la relation illégitime entre le premier prince et une fille noble de Khemri. L'enfant fut confié à ses serviteurs, et élevé tel un descendant légitime du prince.
Six ans plus tard, le prince trouvait une épouse, une magnifique jeune femme de la noblesse de Mahrak, et le statut d'Antef se dégrada petit à petit. La jeune femme devenue future reine, ne pouvait supporter de voir le rejeton d'une autre passer devant ses propres enfants, aussi tenta-telle de l'évincer de la succession. Antef n'avait pas l'âge pour résister, ses tuteurs ne souhaitant pas se mettre leur future souveraine à dos, ne s'y opposèrent pas, excepté le prince lui-même, qui refusait d'abandonner la chair de sa chair, même s'il n'était pas de sa femme légitime. Ainsi, pendant quelques années, le garçon subit quelques « accidents », tel une chute dans un escalier après avoir été bousculé malencontreusement par une servante, brûlé aux jambes par un bain bouillant au lieu de chaud, risquer l'arrêt cardiaque suite à une tisane apaisante trop fortement dosée, et ainsi de suite.
Tout s'arrêta lorsque le prince héritier eu vent de ces rumeurs, et qu'il menaça sûrement et simplement son épouse de la rejeter, même si il avait fait serment devant les dieux de la choisir, et donc de se parjurer devant les Dieux.
Quand l'épouse du prince en parla aux prêtres, dont elle était un important mécène, ceux-ci furent simplement choqués : quel futur roi digne de ce nom serait prêt à se parjurer des Dieux ? Et délaisserai son épouse pour partir à la guerre, confiant le destin de sa lignée entre les mains d'un bâtard ? Il ne fallut que les conseils du grand prêtre de Ptra et de Phakth à l'oreille du roi pour que celui-ci donne pour mission au Prince héritier de poursuivre les choses lézards ayant attaqués des villes au sud de Mahrak, et son action était dans le but de « montrer la grandeur de la cité en apportant la justice à ces créatures barbares ».
Le prince mourru dans cette expédition, un dard empoisonné de l'une de ces créatures ayant eu raison de lui. Dans les deux mois qui suivirent, l'épouse du prince fut remariée à son cadet, désormais héritier légitime, et Antef , âgé alors de dix ans, fut emporté par un partisan loyal au défunt prince vers sa famille maternelle, à Khemri, où il eu une vie paisible sous le règne du roi Settra.
Pendant que royaume de Khemri florissait sous le règne du célèbre roi, la fille d'Antef, la dénommée Néheteni , signifiant « celle que j'avais demandé » fut la concubine d'un noble de Khemri, Ouser, un homme de grande taille au tempérament doux. Et ils eurent un premier fils Senedj, « Le craintif », nommé ainsi car il pleurait constamment quand il était dans une endroit ou face à quelqu'un qu'il ne connaissait pas.
Mais l'amour d'Ouser pour Néheteni était fécond, et elle tomba de nouveau enceinte. Cependant, tout ne se passa pas aussi bien que pour le premier. C'était après les importantes pluies qui causèrent les crues du fleuve Vitae que l'accident arriva. Le marbre mouillé, chose assez inhabituel pour les habitants de Khemri, était particulièrement glissant, et Néheteni chuta violemment, autant sur le dos que sur le ventre. Au bas de l’escalier, pétrie de douleurs, elle remarqua un saignement sur ses vêtements blancs.
Les soigneurs étaient mitigés sur le sort de l’enfant. Pour la plupart, celui-ci était déjà mort, et le cadavre serait expulsé lors de l‘accouchement. Ouser, démuni, pria les dieux, promettant de leur confier son enfant si celui-ci venait à naitre. Un mois plus tard naissait ânkhti, signifiant « Elle est vivante », rappelant les paroles de la sage-femme aux parents.
Durant sa jeunesse, Ânkhti fut considérée comme une vraie princesse par sa famille. Bijoux, serviteurs, rien ne lui était refusée, et rien ne lui était réellement imposé, contrairement à son frère ainé qui devait apprendre les codes permettant de succéder à son père. Elle multipliait les possessions, et malmenait celles qui devaient s’occuper d’elle. Certains diraient qu’elle était ingérable, et ils n’avaient peut-être pas tort.
Elle se calma vers ses huit ans, quand elle dut choisir une divinité à laquelle se vouer, assurant que la promesse du son père soit tenue. Etant une femme, on lui conseilla fortement de devenir prêtresse d’Asaph ou de Basth. Elle se dirigea naturellement ver la première voie, préférant la beauté à l’amour, la vengeance à la grâce.
On lui offrit une éducation privilégiée, assistant à des cours avec d’autres enfants de bonne naissance, ou de famille aisée : quiconque pouvait prétendre à devenir prêtresse, s’il passait les tests d’entrée. Cependant, seuls ceux qui étaient doués dès le début avaient de réelles chances de s’élever dans la hiérarchie du temple.
Elle suivit les apprentissages jusqu’à ses quatorze ans, apprentissage durant lequel elle apprit la doctrine du culte, mais aussi de nombreuses ficelles de la politique, comment se tenir en société, et apprit de nombreuses choses sur différents domaines. Et c’est à cet âge que l’entrée au temple devenait possible : les meilleurs aspirants étaient choisis, afin de continuer leur formation au sein même du temple. Pour le culte d’Asaph, il était certes nécessaire d’être instruit, mais il y avait une autre condition : pour rejoindre le culte de la déesse de la beauté, on ne choisissait que les plus beaux aspirants. Ânkhti fut acceptée sans problème au sein du culte, et commença réellement sa formation, tentant de s’attirer les faveurs de membres importants du culte.
Ce n’est que deux ans plus tard que la jeune femme appris pour sa l’histoire de sa famille, de la bouche même de sa mère. Ainsi, elle aurait pu être une princesse ? Certes, elle était contente de sa position actuelle, mais elle était en colère de par les agissements à l’encontre de son arrière-grand-père et de son grand-père. Elle se jura vengeance, plus par fierté dans un sentiment de toute-puissance dut à sa jeunesse. On l’avait empêché de devenir princesse… Après quelques semaines de réflexion, elle était arrivée à la conclusion suivante : c’était actuellement le bon moment pour se venger : le roi Phar était vaincu, sa succession encore indéterminée, et les descendants se battant pour le contrôle d’une citée affaiblie. Elle profiterai de ce tumulte pour prendre sa revanche, autant sur la noblesse de Mahrak que sur leurs prêtres corrompus. Elle instiguerai contre eux, et même si elle ne pouvait plus réellement prétendre au pouvoir, elle ferai en sorte qu’eux non plus ne le puissent. Elle réduirai leurs espoirs à néant, comme ils l’avaient fait à son ancêtre, elle en faisait le serment.
Compétences :
• Doctrine du culte (Asaph) [carrière]
• Éloquence [carrière]
• Alphabétisation (Khemri)
• Empathie
• Étiquette
• Séduction
Bourse: 2 Couronnes d'or || Autres :
Inventaire:
Tenue en lin fine de qualité
Dague sainte
Coiffe en bronze et or, avec l’effigie d’un aspic
Brassard en bronze gravé
Bague en or avec émeraude
Torque en bronze gravée
Accessoires de calligraphie
Feuilles de papier (x2) [achat]
Coffre en bois [achat]
Parfums [achat]
Maquillage [achat]
Peigne [achat]
Autres:
Asaph : 30
Code pour fiche
Code : Tout sélectionner
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Informations générales sur le personnage :<html></p><center></html>
|< 50em >|
| **Nom et Prénom:** | Ânkhti | <html><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/5450351avatar.jpg" /></html> |
| **Age:** | 16 ans | ::: |
| **Sexe: ** | Féminin | ::: |
| **Race: ** | Humaine | ::: |
| **Carrière: ** | Voie du Prêtre | ::: |
| **Lieu/ville de départ:** | Khemri | ::: |
| **Fréquence de jeu:** | - | ::: |
| **MJ:** | **à compléter** | ::: |
<html><br></html>
^ Nom de la ligne ^ FOR ^ END ^ HAB ^ CHAR ^ INT ^ INI ^ ATT ^ PAR ^ TIR ^ NA ^ PV ^
| Profil de départ (+4 PC initiaux) | 8 | 8 | 9 | 10 | 9 | 8 | 8 | 8 | 8 | 1 | 60/60 |
| Profil actuel | 8 | 8 | 9 | 10 | 9 | 8 | 8 | 8 | 8 | 1 | 60/60 |
| Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) | A remplir par le MJ |||||||||||
<html><br></html>
| **XP disponible:** | 0 |
| **PC dépensés:** | 4 |
<html><br></center></html>
----
<html><br></html>
<html><img align="right" src="http://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre2.jpg" style="padding-left:10px;padding-bottom:10px;" /></html>
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description physique :<html></p></html>
Malgré seulement ses seize ans, Ânkhti possède déjà sur le plan physique de tous les atouts d’une jeune femme, certains disant que son corps ne changera plus avec le temps. De corpulence moyenne pour une femme, atteignant le mètre soixante-six pour cinquante-neuf kilogrammes, elle possède des formes généreuses pour son âge, qui ne font qu’accroitre sa beauté générale, lui valant d’accroitre son succès auprès de la noblesse masculine, et attisant la jalousie de certaines femmes n’ayant pas été aussi bénie par Asaph.
Des yeux d’un inconnu, la première chose qui ressortirai, outre sa silhouette sans réel défaut de proportions, serait sa peau blanche, prouvant aux yeux de tous qu’elle n’est pas une paysanne des champs, mais une pure fille de la noblesse. Elle possède de longs cheveux noirs descendant jusqu’au bas des omoplates, dont émane des odeurs d’huiles parfumées, et maintenus par une coiffe en bronze à l’effigie d'Asaph. Encadré par ce mélange d’ébène, de bronze et d’or, on distingue un visage assez fin, dont les irrégularités, s’il y en avait, ont été gommées par le maquillage. Elle possède une mâchoire légèrement carrée, un menton peu marqué, un nez court et fin dont le bout remonte légèrement, et des pommettes saillantes. De ce visage, ressorte deux choses : une bouche aux lèvres rosies par le maquillage, et des yeux noirs, aux longs cils et aux sourcils entretenus de façon impeccable. Ânkhti est une belle femme, mais comme un de ces magnifiques jardins de Khemri, sa beauté est en partie due à un entretien constant, de mains expertes et trop couteux pour la plèbe.
Drapée dans des vêtements en fibres de lin et en soies d’une grande finesse, et portant nombre de bijoux de bronze dont les motifs attestent la création par un artisan de premier ordre, et les petites pièces en or portant des pierres précieuses, confirme cette impression de luxe, et que la jeune femme est une noble à la famille puissante et riche. Quand elle sort, elle a tendance à se couvrir de vêtements blancs recouvrant un maximum de peau dénudée, et à prendre une ombrelle, afin de ne pas bronzer comme le reste du bas-peuple.
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description psychologique :<html></p></html>
Ânkhti est une jeune femme d'origine noble, elle le sait, en profite et en abuse. En effet, depuis sa plus tendre enfance, elle à été choyée par ses parents, et ses serviteurs répondaient aux plus simples de ses désirs. A tel point qu'il est évident pour elle que la majorité des humains soient inférieurs à elle, n'étant là que répondre à ses désirs, ou à ceux d'un autre puissant. Cette pensée n'a pas pour origine l'ignorance : elle ne fait que suivre le schéma culturel de la Nehekara, où les hommes et les femmes élus des Dieux dominent le reste de la populace. Ainsi, Ânkhti méprisera toutes personnes de rang inférieur au sien, exceptés ceux dont les maîtres sont les plus puissants. Il n'est bien sur pas envisageable qu'une personne du bas-peuple puisse sortir du lot et grimper en statut, et le cas échéant, sa simple vue dégoûtera la noble Néhékarienne.
Ânkhti est une prêtresse du culte d'Asaph, sa divinité gardienne, et embrasse ses principes. C'est pourquoi la jeune femme place la beauté au centre de tout ce qui existe : certes, elle respecte la noblesse, mais elle considère que les nobles ne devraient pas être autorisés à être laids, salissant l'image de ces « élus », et que la laideur devrait être éradiquée de la face du monde. Ainsi, Ânkhti ne se laisse jamais aller, et refuse de se déplacer sans de beaux atours, avec d’ostentatoires bijoux de bronze et d'or, et un maquillage parfait et un parfum délicat. Elle tente toujours de ne pas déroger à la règle car son apparence physique est sa meilleure arme, et elle le sait. Elle n'hésite pas à séduire et manipuler des hommes et des femmes pour le simple plaisir, et n'hésiterai pas à donner de sa personne pour obtenir ce qu'elle veut. Elle essaye de faire fit de ses contraintes de prêtresse, mais elle se soucie trop des apparences pour désobéir à la doctrine du culte.
Elle se sait élue d'Asaph, déesse de la beauté, de la vengeance et de la magie. C'est pourquoi elle se permet d'être rancunière, ne pardonnant nul acte envers elle, ses proches ou ses ancêtres, ce qui est la raison première de son objectif actuel est de faire payer à l'intégralité des successeurs du Roi Phar de Mahrak la trahison de leur ancêtre, ainsi qu'aux prêtres de Ptra et de Phakth, qui ont orchestré ce drame. Cet vengeance est la source même des ambitions de la jeune femme : pour ce faire, elle devra s'élever dans son ordre, peut-être même d'apprendre à manifester la magie d'Asaph dans le monde des hommes, afin de faire chuter ces hommes et que tous apprennent ce qu'il en coûte de s'en prendre à Ânkthi et à sa lignée.
__Alignement :__
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Historique du personnage :<html></p></html>
Toute l'histoire remonte à bien longtemps avant la naissance d'Ânkhti, plus même à la naissance de son grand-père, Antef. Comme son nom l'indique, « Celui que son père a amené » n'était ni plus ni moins que le bâtard du fils successeur de la famille détentrice du pouvoir de Mahrak, né de la relation illégitime entre le premier prince et une fille noble de Khemri. L'enfant fut confié à ses serviteurs, et élevé tel un descendant légitime du prince.
Six ans plus tard, le prince trouvait une épouse, une magnifique jeune femme de la noblesse de Mahrak, et le statut d'Antef se dégrada petit à petit. La jeune femme devenue future reine, ne pouvait supporter de voir le rejeton d'une autre passer devant ses propres enfants, aussi tenta-telle de l'évincer de la succession. Antef n'avait pas l'âge pour résister, ses tuteurs ne souhaitant pas se mettre leur future souveraine à dos, ne s'y opposèrent pas, excepté le prince lui-même, qui refusait d'abandonner la chair de sa chair, même s'il n'était pas de sa femme légitime. Ainsi, pendant quelques années, le garçon subit quelques « accidents », tel une chute dans un escalier après avoir été bousculé malencontreusement par une servante, brûlé aux jambes par un bain bouillant au lieu de chaud, risquer l'arrêt cardiaque suite à une tisane apaisante trop fortement dosée, et ainsi de suite.
Tout s'arrêta lorsque le prince héritier eu vent de ces rumeurs, et qu'il menaça sûrement et simplement son épouse de la rejeter, même si il avait fait serment devant les dieux de la choisir, et donc de se parjurer devant les Dieux.
Quand l'épouse du prince en parla aux prêtres, dont elle était un important mécène, ceux-ci furent simplement choqués : quel futur roi digne de ce nom serait prêt à se parjurer des Dieux ? Et délaisserai son épouse pour partir à la guerre, confiant le destin de sa lignée entre les mains d'un bâtard ? Il ne fallut que les conseils du grand prêtre de Ptra et de Phakth à l'oreille du roi pour que celui-ci donne pour mission au Prince héritier de poursuivre les choses lézards ayant attaqués des villes au sud de Mahrak, et son action était dans le but de « montrer la grandeur de la cité en apportant la justice à ces créatures barbares ».
Le prince mourru dans cette expédition, un dard empoisonné de l'une de ces créatures ayant eu raison de lui. Dans les deux mois qui suivirent, l'épouse du prince fut remariée à son cadet, désormais héritier légitime, et Antef , âgé alors de dix ans, fut emporté par un partisan loyal au défunt prince vers sa famille maternelle, à Khemri, où il eu une vie paisible sous le règne du roi Settra.
Pendant que royaume de Khemri florissait sous le règne du célèbre roi, la fille d'Antef, la dénommée Néheteni , signifiant « celle que j'avais demandé » fut la concubine d'un noble de Khemri, Ouser, un homme de grande taille au tempérament doux. Et ils eurent un premier fils Senedj, « Le craintif », nommé ainsi car il pleurait constamment quand il était dans une endroit ou face à quelqu'un qu'il ne connaissait pas.
Mais l'amour d'Ouser pour Néheteni était fécond, et elle tomba de nouveau enceinte. Cependant, tout ne se passa pas aussi bien que pour le premier. C'était après les importantes pluies qui causèrent les crues du fleuve Vitae que l'accident arriva. Le marbre mouillé, chose assez inhabituel pour les habitants de Khemri, était particulièrement glissant, et Néheteni chuta violemment, autant sur le dos que sur le ventre. Au bas de l’escalier, pétrie de douleurs, elle remarqua un saignement sur ses vêtements blancs.
Les soigneurs étaient mitigés sur le sort de l’enfant. Pour la plupart, celui-ci était déjà mort, et le cadavre serait expulsé lors de l‘accouchement. Ouser, démuni, pria les dieux, promettant de leur confier son enfant si celui-ci venait à naitre. Un mois plus tard naissait ânkhti, signifiant « Elle est vivante », rappelant les paroles de la sage-femme aux parents.
Durant sa jeunesse, Ânkhti fut considérée comme une vraie princesse par sa famille. Bijoux, serviteurs, rien ne lui était refusée, et rien ne lui était réellement imposé, contrairement à son frère ainé qui devait apprendre les codes permettant de succéder à son père. Elle multipliait les possessions, et malmenait celles qui devaient s’occuper d’elle. Certains diraient qu’elle était ingérable, et ils n’avaient peut-être pas tort.
Elle se calma vers ses huit ans, quand elle dut choisir une divinité à laquelle se vouer, assurant que la promesse du son père soit tenue. Etant une femme, on lui conseilla fortement de devenir prêtresse d’Asaph ou de Basth. Elle se dirigea naturellement ver la première voie, préférant la beauté à l’amour, la vengeance à la grâce.
On lui offrit une éducation privilégiée, assistant à des cours avec d’autres enfants de bonne naissance, ou de famille aisée : quiconque pouvait prétendre à devenir prêtresse, s’il passait les tests d’entrée. Cependant, seuls ceux qui étaient doués dès le début avaient de réelles chances de s’élever dans la hiérarchie du temple.
Elle suivit les apprentissages jusqu’à ses quatorze ans, apprentissage durant lequel elle apprit la doctrine du culte, mais aussi de nombreuses ficelles de la politique, comment se tenir en société, et apprit de nombreuses choses sur différents domaines. Et c’est à cet âge que l’entrée au temple devenait possible : les meilleurs aspirants étaient choisis, afin de continuer leur formation au sein même du temple. Pour le culte d’Asaph, il était certes nécessaire d’être instruit, mais il y avait une autre condition : pour rejoindre le culte de la déesse de la beauté, on ne choisissait que les plus beaux aspirants. Ânkhti fut acceptée sans problème au sein du culte, et commença réellement sa formation, tentant de s’attirer les faveurs de membres importants du culte.
Ce n’est que deux ans plus tard que la jeune femme appris pour sa l’histoire de sa famille, de la bouche même de sa mère. Ainsi, elle aurait pu être une princesse ? Certes, elle était contente de sa position actuelle, mais elle était en colère de par les agissements à l’encontre de son arrière-grand-père et de son grand-père. Elle se jura vengeance, plus par fierté dans un sentiment de toute-puissance dut à sa jeunesse. On l’avait empêché de devenir princesse… Après quelques semaines de réflexion, elle était arrivée à la conclusion suivante : c’était actuellement le bon moment pour se venger : le roi Phar était vaincu, sa succession encore indéterminée, et les descendants se battant pour le contrôle d’une citée affaiblie. Elle profiterai de ce tumulte pour prendre sa revanche, autant sur la noblesse de Mahrak que sur leurs prêtres corrompus. Elle instiguerai contre eux, et même si elle ne pouvait plus réellement prétendre au pouvoir, elle ferai en sorte qu’eux non plus ne le puissent. Elle réduirai leurs espoirs à néant, comme ils l’avaient fait à son ancêtre, elle en faisait le serment.
<html><br></html>
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<html><br></html>
<html><img align="left" src="http://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre4.jpg" style="padding-right:10px;" /></html> <html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Compétences :<html></p></html>
• **Doctrine du culte (Asaph) [carrière]** : Votre personnage, en tant qu'initié, prêtre ou cultiste, connait les croyances de base, les détails des cérémonies religieuses, les costumes appropriés, les jours saints, les comportements honorables et interdits, les symboles de son culte/religion, les cérémonies. Il sait également expliquer la signification des jours saints célébrés par le culte/religion, décrire les dispositions traditionnelles de lieux saints de son culte/religion, être capable d'apprendre ces détails aux pratiquants et demandeurs intéressés.
• **Éloquence [carrière]** : Votre personnage a cette faculté de savoir manipuler des assemblées ou des foules entières de personnes uniquement par la persuasion verbale. Il peut ajouter un bonus de +1 sur ses tests pour arriver à ses fins
• **Alphabétisation (Khemri)** : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet si bien entendu il comprend ce langage
• **Empathie** : Votre personnage a aiguisé ce sentiment naturel commun à toute personne douée de conscience. Ce sentiment lui permet, sur un test réussi, de détecter des émotions normalement imperceptibles : peur, haine, mensonge, etc. Il arrive aussi à savoir si une personne ment ou si elle dit la vérité, si ses intentions sont bonnes ou mauvaises etc.,
• **Étiquette** : Votre personnage connait les conventions sociales et la façon adéquate de se comporter et de s'exprimer convenablement dans la plupart des situations que l'on peut rencontrer dans le «beau monde». Il a donc un bonus de + 1 sur tous les tests en rapport avec des personnes appartenant à la haute société.
• **Séduction** : Votre personnage dégage une combinaison de charme naturel et d'attrait physique. Il peut ainsi ajouter un bonus de +1 pour tous les tests mettant en jeu des personnes du sexe opposé (voire du même sexe).
<html><br></html>
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<html><br></html>
<html><center></html>
<html><img src="http://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre3.jpg" /></html>
<html><p style="font-family: verdana,geneva; font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Inventaires et biens du personnage:<html></p></html>
| **Bourse:** | 2 Couronnes d'or |
<html><br></html>
|< 50em >|
^ Inventaire ^^^^
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Tenue en lin fine de qualité** | - | - |
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Dague sainte ** | 13+1d6 dégâts, 5 parade | - |
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Coiffe en bronze et or, avec l’effigie d’un aspic** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Brassard en bronze gravé** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Bague en or avec émeraude** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Torque en bronze gravée** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Accessoires de calligraphie** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Feuilles de papier (x2) [achat]** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Coffre en bois [achat]** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Parfums [achat]** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Maquillage [achat]** |||
| <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html> | **Peigne [achat]** |||
<html><br></html>
|< 50em >|
^ Grimoire ^^
<html></center></html>
<html><br></html>
===== Parcours =====
===Quêtes accomplies===
Nom + lien + récompenses obtenues
=== Classes acquises ===
=== Carrière et classe en cours d'apprentissage===
**Carrière :** Voie du Prêtre
<html><br></html>
**Classe actuelle :** Initié
=== Dévotion religieuse ===
^ Dieu ^ Points de dévotions disponibles ^ Points de dévotions dépensés ^
| **Asaph** | 30 | 0 |
==== Autres ====