[Concours officiel] L'Âge d'Or de Khemri

Dans cet espace intemporel et hors du monde, les plus talentueux écrivains peuvent écrire pour le plaisir ou se mesurer entre eux, pour leur gloire personnelle ou par vengeance....

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[MJ] Le Djinn
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[Concours officiel] L'Âge d'Or de Khemri

Message par [MJ] Le Djinn »

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C'est l'heure d'inaugurer le grand concours sur Les Chroniques des Temps Passés!

Mais avant ça, résumons règles et lots à gagner:

-Une place de RP mjité total!*
-Deux aventures de RP libre mjité!
-Evidemment, un nombre illimité de RP libres purs!
*Si vous possédez déjà un compte mjtié total, ce second compte risque de passer en compte libre mjité (temporairement ou non) en cas d'affluence de nouveaux joueurs sur le forum.
Pour participer, les règles sont simples:

Vous posterez sous ce message une fiche classique décrivant le personnage que vous souhaiteriez jouer! Une fois le concours terminé je déclarerai le, la ou les vainqueurs! Evidemment, si vous n'êtes pas sélectionné, vous pourrez toujours jouer votre personnage en RP libre!
Evidemment, tant que vous n'avez pas posté votre fiche vous êtes libres de me poser des questions via MP, pour autant je ne donnerai pas d'appréciation sur vos idées, juste des corrections.

Le concours se terminera le 7 Mars, un allongement est possible si suffisamment de demandes sont faites pour.

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Maintenant la partie que vous attendez tous, une description plus poussée de l'époque:

Nous sommes donc en -2500 avant Sigmar (année 221 sur le calendrier Nehekharien), Mahrak, la dernière cité qui résistait au Roi Settra, via de tomber suite à la mort du puissant Roi Phar, dirigeant de cette cité et unique souverain à n'avoir jamais payé tribut à Khemri.

Nehekhara est désormais unifiée sous la puissante poigne de Khemri. Mais Settra, constatant que l'âge le rattrape (il a près de cinquante ans) est pris d'une grande peur de la mort et ordonne la construction d'une fabuleuse pyramide qui lui servira de tombeau et la création du Culte Mortuaire, rassemblant une partie de la vaste organisation religieuse Nehekharienne et chargé de découvrir le secret de l'Immortalité. Cette peur est bien vite reprise par les autres souverains qui font de même et par la plus petite noblesse qui songe à les imiter.

Mais si Nehekhara est unifiée sous Khemri, elle n'est pas en paix pour autant. Les différentes cités continuent d'intriguer entre elles et des escarmouches, voire des conflits de plus grande envergure, peuvent toujours éclater. Les menaces des orcs dans les montagnes, des humains barbares au Nord, des Lézards de la jungle, des Ogres à l'Est et de ces étranges créatures mi-humaines, mi-animaux venant des lointaines contrées du Sud sont toujours bien présentes! Sans parler des innombrables tribus nomades, connaissant le désert comme leur poche et déterminés à ne pas s'abaisser devant quiconque!

Settra a parlé: une nouvelle ère est lancée! Les armées de Nehekhara vont explorer les terres inconnues, conquérir et vaincre au nom des Dieux! Les peuples sauvages qui habitent ces régions se soumettront ou seront exterminés! Nehekhara brillera comme seul Empire sous le regard de Ptra!

Mais qui sait, peut-être que le danger ne viendra pas des terres arides et stériles, mais des opulents palais de marbre blanc ou des larges palmerais et champs de blés qui longent la belle rivière Vitae?
De plus les prêtres ont récemment été capables d'animer de larges assemblages de pierre, de métal et d'os. Le cheval, domestiqué récemment, est utilisé pour de puissants chars et des cavaliers légers et rapides... Ces nouvelles forces vont changer la guerre telle qu'elle était faite jusque là, qui saura s'adapter assez vite?

La question reste: dans cette ère, qui serez-vous?
Enfermé dans une lampe pendant des siècles, cloisonné dans une pièce de métal par une malédiction... Puis un jour un naïf est venu, me libérant dans sa sottise... Tant pis pour lui... Et pour tous les autres.

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Friedrich Hadler
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Re: [Concours officiel] L'Âge d'Or de Khemri

Message par Friedrich Hadler »

Bon, j'ouvre donc le concours avec mon texte. Je précise bien que je ne participe au concours que pour produire un texte et espérer donner des envies/idées/inspirations à d'autres, pas pour gagner quoi que ce soit (du coup si vote il y a merci de ne pas inclure mon texte dans les choix possibles), d'où le fait qu'il n'y ait pas de profil, d'équipement et autres, même si on peut aisément deviner ce que j'aurais pris. :^^:

Description physique

Kharikhis Hanténamon est un homme tout ce qu’il y a de plus banal à Nehekhara de taille et de corpulence moyenne. Sans être quelqu’un que l’on pourrait qualifier de « costaud », il n’est pas faible pour autant, les travaux d’ingénierie, y compris souvent parfois dans la partie pratique, ainsi que ses loisirs, l’équitation et le tir à l’arc, notamment, lui permettant de s’entretenir et de maintenir une bonne condition physique. Il a les cheveux et les yeux noirs, comme la plupart des natifs de Nehekhara. Ses cheveux sont coupés et coiffés très classiquement vers l’arrière, ils descendent à peu près jusqu’au niveau du bas du cou, légèrement au dessus des épaules.

Au palais, il s’habille richement, mais pas noblement, comme il sied à un roturier très important de son rang. On le voit le plus souvent accompagné de sa sœur, Naratée, qui est elle aussi très classique dans son habillement, plutôt très coquet et riche, allant jusqu’à porter un bandeau qui n’est pas une couronne symbole d’un rang, mais simplement un bijou qu’elle affectionne. Les deux aiment bien s'habiller richement et se parer d'atours et de bijoux qui les mettent en valeur. A l’instar de son frère, elle est très typique de Nehekhara, de taille et corpulence moyenne aux cheveux et yeux noirs, pratiquant elle aussi le tir à l’arc et l’équitation ainsi que les travaux d’ingénierie.

Au travail ou lors de leurs loisirs "salissants", en revanche, les deux frères et sœurs s'habillent moins richement, se contenant d'un simple pagne et d'une tunique pour Naratée.

Ni beaux, ni laids, les deux frère et sœur sont très semblables non seulement sur les plans physique et psychologique.

Kharikhis en train de travailler à la réalisation d'une pièce complexe de char : Image

Naratée (buste) : Image

Naratée (entière) : Image
Description psychologique


Kharikhis Hanténamon de Lybaras est un homme à l’esprit agile et vif. Inventif et tourné vers l’avenir, il pense que le progrès technique et scientifique dans tous les domaines est un élément essentiel vital à l’avenir de toute civilisation, notamment en matière de chevaux et de guerre. Lui-même souhaite mettre ses propres capacités à disposition de son souverain -en l'occurrence sa souveraine-, comme l’avaient fait son père et le père de son père avant lui. Surtout que cette nouvelle reine-guerrière ne semble guère apprécier Settra.

Pourtant, bien qu’ouvert aux nouvelles découvertes et inventions, politiquement, Kharikhis ne voit pas d’un bon œil les nouvelles évolutions, et surtout la récente domination de Settra sur l’ensemble du monde connu. Au contraire, l’idée qu’un homme seul ait réussi à faire plier toutes les cités, à réunir tous les rois et reines de Nehekhara sous sa coupe lui est insupportable.

Farouchement attaché à son identité, il est fortement lié à Mahrak, dont il se sent encore sujet spirituellement, et à sa nouvelle ville d’adoption, Lybaras, dont il s’est épris avec le temps, appréciant sa relative indépendance vis-à-vis du pouvoir central et la place réservée à Asaph, la déesse aspic de la vengeance qu’il révère plus que toute autre divinité. Lui et sa famille habitaient encore à Mahrak au temps du roi Phar, qu’ils servaient avec dévouement. C’est là que Kharikhis a grandi et a passé une enfance heureuse aux côtés de ses nombreux frères et sœurs, et il en garde d’excellents souvenirs d’un temps à jamais révolu, d’un bonheur originel perdu à jamais, brisé par la soif de pouvoir inextinguible de Settra.

Aujourd’hui, après avoir été forcé à l’exil pour survivre, Kharikhis et sa grande sœur Naratée, de un an son aînée, seuls survivants connus de leur famille, vouent en secret une haine sans nom à celui qui leur a tout pris. Ce tyran abject, cruel et mégalomaniaque du nom de Settra. Chacun de leur souvenir ravive cette douleur qu’il leur a causée et alimente la terrible soif de vengeance qui brûle dans leurs cœurs et les consume. Depuis lors, chacun de leurs actes, chacune de leur parole, chacune de leur pensée est tourné vers le but ultime : la destruction du Roi honni.

Mais bien sûr, Kharikhis comme Naratée savent très bien que même à Lybaras, la citée la plus éloignée et la moins soumise à l’influence du monarque tout puissant, ce dernier imposait sa loi et qu’il serait dangereux, voire suicidaire de l’affronter au grand jour, de face. Heureusement pour eux, la famille Hanténamon n’avait jamais manqué de ressource sur le plan intellectuel, ils avaient toujours préféré l’esprit au kopesh. C’est pourquoi ils avaient résolu d’agir masqués, dans l’ombre. De patienter en préparant minutieusement et précautionneusement le jour où ils pourraient enfin frapper le despote et se faire justice.

C’est pourquoi, de prime abord, Kharikhis et Naratée semblent être de loyaux serviteurs de la reine de Lybaras, elle-même soumise à Settra. Une comédie répugnante, mais indispensable à leur survie et donc à la réalisation du but ultime de leurs vies : la vengeance. Il est prêt à tout risquer pour atteindre ce but, mais son esprit rationnel le pousse à calculer et à essayer de maximiser ses chances, et pour cela, il sait qu’il doit survivre et se faire un nom, avant de peut-être pouvoir un jour approcher suffisamment Settra pour lui faire payer le prix de ses crimes.

Tel Asaph, déesse aspic de la vengeance, il sait que la vipère des sables n’a aucune chance de tuer un homme armé et averti en l’attaquant frontalement : elle se ferrait trancher la tête et mourrait inutilement. Mais à l’inverse, en restant tapie sous les sables, cachée, en laissant l’ennemi sans méfiance s’approcher, là, le serpent pourrait frapper et tuer.

Toutefois, ce lourd secret n’est partagé uniquement qu’avec sa sœur, avec qui il entretient des relations fusionnelles, et quelques très rares intimes qu’il juge digne de confiance. Il donne un air toujours maussade à notre héros. Il ne semble, et n’est d’ailleurs, jamais satisfait, mais semble toujours inquiet, perpétuellement, sauf en privé avec ses personnes de confiance. Ainsi, il est connu dans sa ville d’adoption comme Kharikhis « le préoccupé » Hanténamon de Lybaras.

Dans ses loisirs intellectuels, Kharikhis adore les jeux d'esprit, de réflexion et de logique, où il se montre remarquablement doué. Il aime se confronter à sa sœur, qui le bat souvent, mais également à tous ceux qui au palais osent le défier. Les deux frère et sœur ont une intelligence hors du commun et sont réellement très proches. Ils vivent ensemble et entretiennent une relation fusionnelle.



Histoire


L’histoire de Kharikhis Hanténamon ne commence pas à Lybaras, mais à Mahrak, sa ville natale, sous le règne du sage et puissant roi Phar.

Son père occupait de hautes fonctions à la cour de son souverain. Il était en effet ce que l’on décrirait aujourd’hui comme un « ingénieur militaire », c’est-à-dire un inventeur un peu touche à tout, concepteur de chars, d’armes, d’armures et de machines de guerre diverses et farfelues pour certaines. Personnalité excentrique, mais génie reconnu par ses rares pairs et par le roi Phar, Amentophis Hanténamon était au fil du temps plus qu’un simple serviteur de grande valeur, un véritable ami fidèle à son roi.

Mais tout changea à la mort du souverain de Mahrak, le dernier des insoumis à résister au règne du tyran Settra. Le métier qu’exerçait Amentophis était un métier très prestigieux que seuls quelques rares individus à travers Nehekhara étaient capables d’exercer. Il nécessitait à la fois de la créativité, de l’inventivité et un grand sens technique. Il fallait aussi être très ouvert d’esprit pour exploiter à fond toutes les possibilités ouvertes par la récente domestication du cheval ou les progrès en matière de travail des métaux et du bois, par exemple. Toutes ces nouvelles technologies militaires, les chars, les armures, étaient donc réservées à une élite, et ceux qui étaient capables de les créer étaient très recherchés, très courtisés, très précieux.

A la mort de son roi, donc, Amentophis n’était pas à Mahrak même, mais sur le terrain, avec une partie de troupes de Phar, occupé à réparer armures et chars. Suite à ma mort du plus grand roi de Mahrak, les choses s’accélèrent grandement. Enfin dépourvues d’adversaire digne de ce nom, les innombrables légions de Settra déferlèrent sur le pays sans être stoppées et arrachèrent rapidement la soumission des successeurs du trône, achevant ainsi la conquête du plus grand empire humain connu, qui couvrait la totalité de Nehekhara.

Bien évidemment, les généraux de Settra ne se firent pas prier et se servirent dans les ressources de leur vieil ennemi vaincu. Nekaph l’émissaire, héraut personnel de Settra, eut même l’outrecuidance de se voir offrir par son maître le célèbre Fléau de Crânes, l’arme du défunt roi Phar qu’ils n’étaient pourtant jamais parvenus à battre de son vivant. Mais ce vil pillage ne se cantonna évidemment pas aux objets matériels. Si les lâches successeurs de Phar avaient négocié l’autonomie de la ville moyennant tribut, tous les ennemis connus de Settra en pâtirent également.

Amentophis Hanténamon était de ceux-là. Quand il rentra de l’armée en campagne auprès de laquelle il avait été envoyée, sa mission accomplie, il constata avec horreur, non seulement que son souverain était mort, mais que, comble de la trahison et de la lâcheté, ses successeurs avaient osé déshonorer sa mémoire et son combat en acceptant de se soumettre à l’infâme Settra. Fidèle à Phar jusqu’au bout et prêt à mourir pour lui, l’ingénieur savait qu’il n’avait plus que deux options. Se suicider ou résister. Il choisit la seconde option, espérant qu’il n’était pas trop tard pour organiser un coup d’état loyaliste et relancer la guerre contre l’envahisseur. Mais il n’ignorait pas le risque pris et ce qu’un échec impliquerait pour lui et sa famille. Aussi, avant d’agir ou même de se prononcer ouvertement contre Settra, il prit soin d’envoyer vers Lybaras les deux membres les plus jeunes de sa famille, sa fille Naratée de treize ans et son fils de douze Kharikhis, guidés par un serviteur de confiance. Les autres frères et sœurs, au nombre de cinq, étaient déjà adultes ou assez grands pour assumer leur décision de rester et d’apporter leur aide à leur père.

L’ingénieur avait pris le soin de confier ses plans et ses livres à sa fille, de manière à ce qu’ils ne tombent pas dans les mains d’alliés de Settra si son plan venait à échouer. Et évidemment, son plan échoua. Au départ, le nouveau roi de Mahrak avait volontairement laissé tranquille la famille Hanténamon, espérant qu’elle se rallierait à lui, car ses compétences étaient trop précieuses pour qu’on puisse se permettre de les tuer. Mais tout changea lorsque Settra, vaniteux et arrogant, organisa une parade victorieuse dans la ville nouvellement conquise pour montrer qu’il en était le nouveau maître suprême, et y recevoir la soumission officielle et publique du nouveau roi.

C’était là qu’Amentophis, sa famille et une poignée de conjurés fidèles au roi Phar avaient prévu de frapper, prévoyait de frapper au cœur de l’ennemi, de le décapiter. Ils étaient sûrs qu’en supprimant Settra, la puissance de Khemri s’effondrerait et que Mahrak serait de nouveau libre. Bien entendu, ils ne se faisaient guère d’illusions sur leur propre sort, mais espéraient tout de même une insurrection populaire en faveur de la mémoire de leur ancien roi, qui avait débarrassé le pays de la menace peau-verte et maintenu envers et contre tout leur indépendance pendant si longtemps. Les gens ne pouvaient avoir oublié si vite tout ces bienfaits et cracher sur la mémoire de Phar en acceptant la domination outrageuse de ce Settra, pensait-il. Il se trompait.

Dénoncé par un traître dans leurs rangs, qui avait eu peur de passer à l’acte, ils furent arrêtés quelques jours avant de passer à l’acte par les troupes du nouveau roi de Mahrak, fidèles à Settra. On n’entendit plus jamais parler d’Amentophis ni même d’Hanténamon à Mahrak après cela. Les hommes conjurés ayant probablement été torturés et tués, les femmes violées, réduites en esclavages et vendues sur des marchés lointains pour qu’on en entende plus jamais parler dans la région. Evidemment, le roi de Mahrak n’en avait pas dit mot à Settra, préférant lui faire croire qu’il avait la situation bien en main et que tout le monde dans sa ville se réjouissait de leur accord : l’affaire ne dépassa donc jamais les murs de la cité et fut rapidement oubliée et effacée de tous les registres. C’était comme si le nom d’Hanténamon n’avait jamais existé à Mahrak.

Mais pourtant, tout n’était pas fini, loin de là, car, guidés par un vieux serviteur, ancien esclave affranchi en qui Amentophis avait toute confiance, les deux cadets de la famille arrivèrent à Lybaras, où ils entrèrent au service du roi. En effet, la réputation d’Amentophis avait dépassée à son apogée la région de Mahrak, et les ingénieurs des villes voisines, -Lybaras, Lahmia, Quatar et Rasetra- le connaissait au moins de nom. Accueillir son fils était pour eux une opportunité, d’autant que celui-ci avait été instruit par son père. Mais rien n’était moins sûr, et il y eut donc une épreuve.

En réalité, si Kharikhis avait hérité, tout comme Naratée –cette dernière était au moins aussi intelligente que lui, et même sans doute plus-, du talent de son père, ils étaient encore très jeunes et n’avaient pas d’expérience. Par chance, Amentophis avait tout prévu, et le vieux serviteur, expérimenté, les aida. Dès le départ, quand on leur demanda de faire leurs preuves, ils travaillèrent en commun. Grâce aux plans, croquis et notes que leur père leur avait confiées avant leur départ, ils parvinrent à convaincre que malgré leur jeune âge, ils pourraient être utiles.

Six années passèrent et les deux jeunes gens se perfectionnèrent dans leur art, sans être encore devenus des sommités dans leur domaine. Le vieux serviteur mourut, mais les frère et sœur Hanténamon, Kharikhis et Naratée pouvaient maintenant se débrouiller sans lui, en travaillant ensemble. En général, bien que leurs contributions soient en réalité égales au sein du secret de leur atelier, pour préserver les apparences, le domaine de l’ingénierie militaire étant plutôt réservé aux hommes, Kharikhis faisait passer toutes leurs créations pour les siennes uniquement, d’un commun accord.

Bien entendu, dans les faits, Naratée était au moins aussi douée que lui, peut-être même plus, et leur travail était toujours le fruit d’une réflexion commune qui apportait plus que ce que chacun aurait été capable de faire seul, ou que juste la somme de leurs capacités. Ensemble, ils se transcendaient. Mais cela devait rester secret, même si le secret était peu important : même si on l’avait découvert, il était peu probable qu’ils risquent grand-chose tant que la qualité de leur travail restait bonne, on dirait simplement que la sœur aidait son frère. Heureusement de par leur statut et eu égard à leur travail et capacités rares et d’autant plus précieuses, ils avaient un atelier et des chambres réservées au palais, dans une aile extérieure moins riche que les appartements des nobles, mais tout de même spacieuse et confortable. De plus, personne ne venait les y déranger s’ils le demandaient, car ils gardaient jalousement le secret de leur travail et qu’une perturbation les aurait dérangés.

Evidemment, les deux jeunes gens de 19 et 18 ans maintenant avaient depuis longtemps compris quel avait été le sort réservé à leur famille, puisqu’ils n’avaient plus entendu parler de leur père, mère, frères et sœurs depuis leur départ. Très rapidement, un désir de vengeance était né dans leur cœur, prenant la forme de l’ennemi détesté responsable de tout cela : Settra.

Renfermé, le couple frère-sœur partageait ce même noir désir, et chacun priait Asaph de leur permettre de se venger un jour. Ils avaient noués relativement peu de connaissances dans leur nouvelle ville, restant en général cloîtrés dans leur atelier ou au palais. Ils avaient très peu d’amis, mais de bons amis, des amis sûrs. Ces derniers étaient tous des membres du palais, puisque c’était là qu’ils passaient l’essentiel de leur temps, à part les fois où ils allaient sur le terrain tester leurs créations et monter à cheval.

C’est par l'intermédiaire de l’un d’eux, un politicien du nom de Totakherep, conseiller à la cour de la nouvelle reine-guerrière de Lybaras -son père, le vieux roi, étant mort récemment- qu’ils avaient appris l’existence d’une société secrète donc l’accès et même la connaissance était réservée à de très rares initiés qui ne connaissait même pas tous entre eux. Récemment, Totakherep semblait avoir eu vent on ne sait comment de la vieille histoire des Hanténamon de Mahrak, qui n’était connue que de très rares personne à Mahrak même, et qui ne la contaient qu’à demi-voix, en secret à des personnes de confiance, les successeurs du roi Phar ayant ordonné qu’on ne prononce plus ce nom dans leur territoire. Il avait su faire le lien avec ses amis les deux jeunes ingénieurs, et leur avait avoué sa propre haine pour Settra.

En effet, lorsque Lybaras était tombée sous la coupe de Settra, quelques années avant Mahrak, le père de Totakherep et la plupart des conseillers de l’ancien roi avaient dû donner des membres de leurs familles comme tributs ou otages aux nobles et généraux de Settra. De nombreuses filles parmi les plus belles, y compris la propre sœur de l’actuelle reine-guerrière, la fille cadette du vieux roi, avaient été offertes en signe de bonne volonté en plus du tribut en or, comme preuve de la réelle soumission de la ville. Le pauvre Totakherep aussi y avait tout perdu. Sa sœur et sa femme, celle qu’il aimait plus que tout. Récemment, on avait appris de source sûre que ces filles données comme tributs avaient été soit mariées de force à Khemri, soit même parfois vendues comme esclaves lorsqu’elles s’étaient rebellées et avaient tenté de fuir la ville pour revenir dans leur ville. Certaines étaient même mortes, préférant se donner la mort plutôt que de subir leur triste sort.

La famille de Totakherep était de ceux-là. Aussi le jeune conseiller, qui n’avait même pas trente ans, avait-il intégré la société secrète suite à cette nouvelle. « L’ire de l’aspic », comme elle s’appelait, avait un nombre inconnu de membre qui ne connaissait pas tous entre eux, étant masqués aux réunions, et fonctionnant par petites cellules indépendantes. On murmurait au sein de « l’ire de l’aspic » que la reine-guerrière de Lybaras elle-même en était la cheffe, pour venger sa petite sœur, mais ce n’était pas certain, même si indéniablement, la société avait des liens à tous les niveaux, du plus bas au plus haut, des taudis au palais. Le seul lien entre eux était que tous, sans aucune exception, avait juré la mort de Settra, par tout moyen, au prix de leur vie si nécessaire, et avaient apporté des preuves indéniables de leur fidélité à la cause avant de pouvoir intégrer cette société dont l’unique but était de nuire au dictateur et d’arriver tôt ou tard à sa mort. Pour se reconnaître en temps normal, les membres utilisaient un code de reconnaissance particulier, une phrase de salutations : « Attention au serpent caché dans les sables. », à quoi on répondait « Oui, le venin de l’aspic est mortel ». De plus, à chaque réunion, ils utilisaient un mot de passe qui changeait à chaque fois et qui n’était communiqué que la veille.

C’était cette société que Kharikhis et Naratée voulaient maintenant intégrer, persuadés qu’ensemble, ils pouvaient faire plus que seuls. Mais avant de pouvoir entrer, ils devraient accomplir leur mission préalable, afin de prouver leur loyauté sans faille à la cause. Il leur faudrait, d’une manière ou d’une autre, éliminer personnellement plusieurs nobles soutiens fidèles et indéfectibles de Khemri et de Settra à Lybaras. Ce n’était qu’à ce prix qu’ils pourraient entrer dans la société et accomplir leur vengeance.


Voilà, j'espère que le texte vous aura plus et inspiré, c'est un exemple de ce qu'à mon avis l'on peut faire dans cette période, mais il y a des myriades d'autres possibilités, bien sûr, la seule limite étant votre imagination, que j'espère avoir stimulée avec ce texte. :D
Lien fiche wiki : http://warforum-jdr.com/wiki-v2/doku.ph ... ich_hadler

Profil : FOR 10 / END 11 / HAB 10 (9*) / CHAR 10 / INT 10 / INI 10 / ATT 14 (13*) / PAR 14 (13*) / TIR 11 / NA 3 / PV 85/85
*: profil avec armure (bonus des compétences non inclus)

Compétences :
• Sang-froid : Votre personnage a ce qu'on appelle des «nerfs d'acier». Il sait rester maître de lui-même dans les situations les plus dangereuses. Bonus de +1 sur n'importe laquelle de ses caractéristiques lors de la réalisation d'une action dans un climat de stress et de tension mentale.

• Coups puissants : augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 pts de dégâts.

• Autorité : bonus de +1 lorsque, confronté à des militaires, il essaye de faire prévaloir son autorité, ses ordres etc.,

• Arme de prédilection : épées à une main : Bonus de +1 en ATT lorsqu'il en utilise en combat. Par contre, lorsqu'il utilise une autre arme que son arme de prédilection, il reçoit un malus de -1 en ATT et en PAR pendant les 1D3 premiers combats qu'il livrera avec cette arme, le temps qu'il s'y adapte.

• Alphabétisation : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde s'il comprend ce langage.

• Langage secret : jargon de bataille : Votre personnage sait parler le jargon des batailles.

• Anticipation : Votre personnage, au combat, arrive à prévoir les réactions d'un ennemi. Pour analyser le style de combat de son adversaire direct, il lui faudra 2 rounds entiers. A partir du 3ème round, cette compétence lui permet d'avoir un bonus de +1 en ATT et en PAR contre ce seul adversaire. (Pour bénéficier de ce bonus contre un autre adversaire, il lui faudra l'avoir combattu pendant au moins 2 rounds)

• Adresse au tir (arcs) : +1 en TIR avec un arc.

• Volonté de Fer : Votre personnage se révèle être particulièrement très résistants à la peur, aux attaques mentales et à tout ce qui pourrait tenter de briser sa volonté. Il obtient +1 aux tests pour résister à un contrôle mental, à la peur etc…

• Parade : Double les points de parade de l'arme ou du bouclier utilisé.

• Coriace : Diminue de 1D3 les dégâts subis (jusqu'à un minimum de 1).

•Réflexes éclairs : +1 aux test INI en réaction à la surprise.


Equipement de combat : • Devoir (épée à une main) (18 +1D10, 12 Parade) Les morts-vivants, les démons etc… Que la lame touche subissent 1d6 dégâts de plus
• Bouclier d'acier (6+1d6 dégâts, 16 parade)
• Epée à une main (16 +1D8, 12 Parade)
• Cotte de mailles (9 protection, tout sauf tête -1 HAB, ATT et PAR)
• Arc court (26+1D8, -2 TIR/16 m)

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Viola Schutten
PJ
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Re: [Concours officiel] L'Âge d'Or de Khemri

Message par Viola Schutten »

Petite participation, sous la forme d'une prêtresse, après m'être arraché les cheveux sur la classe que je souhaitais peut-être jouer, et obtenir une histoire pas trop improbable. (quoique.) J'ai pas mal synthétiser l'histoire, par soucis de délais. Bonne lecture.


Nom et Prénom: Ânkhti
Sexe: Féminin
Age: 16 ans
Race: Humaine
Carrière: Initié
Lieu/ville de départ: Khemri
Fréquence de jeu: -
Profil: FOR 8 / END 8 / HAB 9 / CHAR 10 / INT 9 / INI 8 / ATT 8 / PAR 8 / TIR 8 / NA 1 / PV 60/60 (aucun bonus/malus de compétences ou venant de mon équipement ne s'y trouve, uniquement les PC gratuits)

Description physique :
Malgré seulement ses seize ans, Ânkhti possède déjà sur le plan physique de tous les atouts d’une jeune femme, certains disant que son corps ne changera plus avec le temps. De corpulence moyenne pour une femme, atteignant le mètre soixante-six pour cinquante-neuf kilogrammes, elle possède des formes généreuses pour son âge, qui ne font qu’accroitre sa beauté générale, lui valant d’accroitre son succès auprès de la noblesse masculine, et attisant la jalousie de certaines femmes n’ayant pas été aussi bénie par Asaph.
Des yeux d’un inconnu, la première chose qui ressortirai, outre sa silhouette sans réel défaut de proportions, serait sa peau blanche, prouvant aux yeux de tous qu’elle n’est pas une paysanne des champs, mais une pure fille de la noblesse. Elle possède de longs cheveux noirs descendant jusqu’au bas des omoplates, dont émane des odeurs d’huiles parfumées, et maintenus par une coiffe en bronze à l’effigie d'Asaph. Encadré par ce mélange d’ébène, de bronze et d’or, on distingue un visage assez fin, dont les irrégularités, s’il y en avait, ont été gommées par le maquillage. Elle possède une mâchoire légèrement carrée, un menton peu marqué, un nez court et fin dont le bout remonte légèrement, et des pommettes saillantes. De ce visage, ressorte deux choses : une bouche aux lèvres rosies par le maquillage, et des yeux noirs, aux longs cils et aux sourcils entretenus de façon impeccable. Ânkhti est une belle femme, mais comme un de ces magnifiques jardins de Khemri, sa beauté est en partie due à un entretien constant, de mains expertes et trop couteux pour la plèbe.

Drapée dans des vêtements en fibres de lin et en soies d’une grande finesse, et portant nombre de bijoux de bronze dont les motifs attestent la création par un artisan de premier ordre, et les petites pièces en or portant des pierres précieuses, confirme cette impression de luxe, et que la jeune femme est une noble à la famille puissante et riche. Quand elle sort, elle a tendance à se couvrir de vêtements blancs recouvrant un maximum de peau dénudée, et à prendre une ombrelle, afin de ne pas bronzer comme le reste du bas-peuple.

Description psychologique :
Ânkhti est une jeune femme d'origine noble, elle le sait, en profite et en abuse. En effet, depuis sa plus tendre enfance, elle à été choyée par ses parents, et ses serviteurs répondaient aux plus simples de ses désirs. A tel point qu'il est évident pour elle que la majorité des humains soient inférieurs à elle, n'étant là que répondre à ses désirs, ou à ceux d'un autre puissant. Cette pensée n'a pas pour origine l'ignorance : elle ne fait que suivre le schéma culturel de la Nehekara, où les hommes et les femmes élus des Dieux dominent le reste de la populace. Ainsi, Ânkhti méprisera toutes personnes de rang inférieur au sien, exceptés ceux dont les maîtres sont les plus puissants. Il n'est bien sur pas envisageable qu'une personne du bas-peuple puisse sortir du lot et grimper en statut, et le cas échéant, sa simple vue dégoûtera la noble Néhékarienne.

Ânkhti est une prêtresse du culte d'Asaph, sa divinité gardienne, et embrasse ses principes. C'est pourquoi la jeune femme place la beauté au centre de tout ce qui existe : certes, elle respecte la noblesse, mais elle considère que les nobles ne devraient pas être autorisés à être laids, salissant l'image de ces « élus », et que la laideur devrait être éradiquée de la face du monde. Ainsi, Ânkhti ne se laisse jamais aller, et refuse de se déplacer sans de beaux atours, avec d’ostentatoires bijoux de bronze et d'or, et un maquillage parfait et un parfum délicat. Elle tente toujours de ne pas déroger à la règle car son apparence physique est sa meilleure arme, et elle le sait. Elle n'hésite pas à séduire et manipuler des hommes et des femmes pour le simple plaisir, et n'hésiterai pas à donner de sa personne pour obtenir ce qu'elle veut. Elle essaye de faire fit de ses contraintes de prêtresse, mais elle se soucie trop des apparences pour désobéir à la doctrine du culte.

Elle se sait élue d'Asaph, déesse de la beauté, de la vengeance et de la magie. C'est pourquoi elle se permet d'être rancunière, ne pardonnant nul acte envers elle, ses proches ou ses ancêtres, ce qui est la raison première de son objectif actuel est de faire payer à l'intégralité des successeurs du Roi Phar de Mahrak la trahison de leur ancêtre, ainsi qu'aux prêtres de Ptra et de Phakth, qui ont orchestré ce drame. Cet vengeance est la source même des ambitions de la jeune femme : pour ce faire, elle devra s'élever dans son ordre, peut-être même d'apprendre à manifester la magie d'Asaph dans le monde des hommes, afin de faire chuter ces hommes et que tous apprennent ce qu'il en coûte de s'en prendre à Ânkthi et à sa lignée.

Alignement :
Historique :
Toute l'histoire remonte à bien longtemps avant la naissance d'Ânkhti, plus même à la naissance de son grand-père, Antef. Comme son nom l'indique, « Celui que son père a amené » n'était ni plus ni moins que le bâtard du fils successeur de la famille détentrice du pouvoir de Mahrak, né de la relation illégitime entre le premier prince et une fille noble de Khemri. L'enfant fut confié à ses serviteurs, et élevé tel un descendant légitime du prince.
Six ans plus tard, le prince trouvait une épouse, une magnifique jeune femme de la noblesse de Mahrak, et le statut d'Antef se dégrada petit à petit. La jeune femme devenue future reine, ne pouvait supporter de voir le rejeton d'une autre passer devant ses propres enfants, aussi tenta-telle de l'évincer de la succession. Antef n'avait pas l'âge pour résister, ses tuteurs ne souhaitant pas se mettre leur future souveraine à dos, ne s'y opposèrent pas, excepté le prince lui-même, qui refusait d'abandonner la chair de sa chair, même s'il n'était pas de sa femme légitime. Ainsi, pendant quelques années, le garçon subit quelques « accidents », tel une chute dans un escalier après avoir été bousculé malencontreusement par une servante, brûlé aux jambes par un bain bouillant au lieu de chaud, risquer l'arrêt cardiaque suite à une tisane apaisante trop fortement dosée, et ainsi de suite.
Tout s'arrêta lorsque le prince héritier eu vent de ces rumeurs, et qu'il menaça sûrement et simplement son épouse de la rejeter, même si il avait fait serment devant les dieux de la choisir, et donc de se parjurer devant les Dieux.

Quand l'épouse du prince en parla aux prêtres, dont elle était un important mécène, ceux-ci furent simplement choqués : quel futur roi digne de ce nom serait prêt à se parjurer des Dieux ? Et délaisserai son épouse pour partir à la guerre, confiant le destin de sa lignée entre les mains d'un bâtard ? Il ne fallut que les conseils du grand prêtre de Ptra et de Phakth à l'oreille du roi pour que celui-ci donne pour mission au Prince héritier de poursuivre les choses lézards ayant attaqués des villes au sud de Mahrak, et son action était dans le but de « montrer la grandeur de la cité en apportant la justice à ces créatures barbares ».
Le prince mourru dans cette expédition, un dard empoisonné de l'une de ces créatures ayant eu raison de lui. Dans les deux mois qui suivirent, l'épouse du prince fut remariée à son cadet, désormais héritier légitime, et Antef , âgé alors de dix ans, fut emporté par un partisan loyal au défunt prince vers sa famille maternelle, à Khemri, où il eu une vie paisible sous le règne du roi Settra.

Pendant que royaume de Khemri florissait sous le règne du célèbre roi, la fille d'Antef, la dénommée Néheteni , signifiant « celle que j'avais demandé » fut la concubine d'un noble de Khemri, Ouser, un homme de grande taille au tempérament doux. Et ils eurent un premier fils Senedj, « Le craintif », nommé ainsi car il pleurait constamment quand il était dans une endroit ou face à quelqu'un qu'il ne connaissait pas.
Mais l'amour d'Ouser pour Néheteni était fécond, et elle tomba de nouveau enceinte. Cependant, tout ne se passa pas aussi bien que pour le premier. C'était après les importantes pluies qui causèrent les crues du fleuve Vitae que l'accident arriva. Le marbre mouillé, chose assez inhabituel pour les habitants de Khemri, était particulièrement glissant, et Néheteni chuta violemment, autant sur le dos que sur le ventre. Au bas de l’escalier, pétrie de douleurs, elle remarqua un saignement sur ses vêtements blancs.

Les soigneurs étaient mitigés sur le sort de l’enfant. Pour la plupart, celui-ci était déjà mort, et le cadavre serait expulsé lors de l‘accouchement. Ouser, démuni, pria les dieux, promettant de leur confier son enfant si celui-ci venait à naitre. Un mois plus tard naissait ânkhti, signifiant « Elle est vivante », rappelant les paroles de la sage-femme aux parents.
Durant sa jeunesse, Ânkhti fut considérée comme une vraie princesse par sa famille. Bijoux, serviteurs, rien ne lui était refusée, et rien ne lui était réellement imposé, contrairement à son frère ainé qui devait apprendre les codes permettant de succéder à son père. Elle multipliait les possessions, et malmenait celles qui devaient s’occuper d’elle. Certains diraient qu’elle était ingérable, et ils n’avaient peut-être pas tort.

Elle se calma vers ses huit ans, quand elle dut choisir une divinité à laquelle se vouer, assurant que la promesse du son père soit tenue. Etant une femme, on lui conseilla fortement de devenir prêtresse d’Asaph ou de Basth. Elle se dirigea naturellement ver la première voie, préférant la beauté à l’amour, la vengeance à la grâce.
On lui offrit une éducation privilégiée, assistant à des cours avec d’autres enfants de bonne naissance, ou de famille aisée : quiconque pouvait prétendre à devenir prêtresse, s’il passait les tests d’entrée. Cependant, seuls ceux qui étaient doués dès le début avaient de réelles chances de s’élever dans la hiérarchie du temple.

Elle suivit les apprentissages jusqu’à ses quatorze ans, apprentissage durant lequel elle apprit la doctrine du culte, mais aussi de nombreuses ficelles de la politique, comment se tenir en société, et apprit de nombreuses choses sur différents domaines. Et c’est à cet âge que l’entrée au temple devenait possible : les meilleurs aspirants étaient choisis, afin de continuer leur formation au sein même du temple. Pour le culte d’Asaph, il était certes nécessaire d’être instruit, mais il y avait une autre condition : pour rejoindre le culte de la déesse de la beauté, on ne choisissait que les plus beaux aspirants. Ânkhti fut acceptée sans problème au sein du culte, et commença réellement sa formation, tentant de s’attirer les faveurs de membres importants du culte.

Ce n’est que deux ans plus tard que la jeune femme appris pour sa l’histoire de sa famille, de la bouche même de sa mère. Ainsi, elle aurait pu être une princesse ? Certes, elle était contente de sa position actuelle, mais elle était en colère de par les agissements à l’encontre de son arrière-grand-père et de son grand-père. Elle se jura vengeance, plus par fierté dans un sentiment de toute-puissance dut à sa jeunesse. On l’avait empêché de devenir princesse… Après quelques semaines de réflexion, elle était arrivée à la conclusion suivante : c’était actuellement le bon moment pour se venger : le roi Phar était vaincu, sa succession encore indéterminée, et les descendants se battant pour le contrôle d’une citée affaiblie. Elle profiterai de ce tumulte pour prendre sa revanche, autant sur la noblesse de Mahrak que sur leurs prêtres corrompus. Elle instiguerai contre eux, et même si elle ne pouvait plus réellement prétendre au pouvoir, elle ferai en sorte qu’eux non plus ne le puissent. Elle réduirai leurs espoirs à néant, comme ils l’avaient fait à son ancêtre, elle en faisait le serment.


Compétences :
• Doctrine du culte (Asaph) [carrière]
• Éloquence [carrière]
• Alphabétisation (Khemri)
• Empathie
• Étiquette
• Séduction

Bourse: 2 Couronnes d'or || Autres :
Inventaire:
Tenue en lin fine de qualité
Dague sainte
Coiffe en bronze et or, avec l’effigie d’un aspic
Brassard en bronze gravé
Bague en or avec émeraude
Torque en bronze gravée
Accessoires de calligraphie
Feuilles de papier (x2) [achat]
Coffre en bois [achat]
Parfums [achat]
Maquillage [achat]
Peigne [achat]

Autres:


Asaph : 30


Code pour fiche

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<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva;  font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Informations générales sur le personnage :<html></p><center></html>

|< 50em >|
|  **Nom et Prénom:**  |  Ânkhti   |  <html><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/5450351avatar.jpg" /></html>  | 
|  **Age:**   |  16 ans    |  :::  |
|  **Sexe: **  |    Féminin   |  :::  | 
|  **Race: **  |   Humaine   |  :::  | 
|  **Carrière: **  |  Voie du Prêtre  |  :::  | 
|  **Lieu/ville de départ:**   |  Khemri  |   :::  |
|  **Fréquence de jeu:**   |  -  |   :::  |
|  **MJ:**   |  **à compléter**  |   :::  |


<html><br></html>


^  Nom de la ligne  ^  FOR         ^  END           ^  HAB                            ^  CHAR                            ^  INT                            ^  INI                            ^  ATT                            ^  PAR                           ^  TIR                           ^  NA                           ^  PV                            ^
|  Profil de départ (+4 PC initiaux)  |  8   |  8     |  9                      |  10                      |  9                      |  8                      |  8                      |  8                      |  8                      |  1                      |  60/60                      | 
|  Profil actuel  |  8   |  8     |  9                      |  10                      |  9                      |  8                      |  8                      |  8                      |  8                      |  1                      |  60/60                      | 
|  Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir)  |  A remplir par le MJ   |||||||||||
<html><br></html>

| **XP disponible:**  |  0     | 
| **PC dépensés:**  |    4     | 

<html><br></center></html>

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<html><br></html>
<html><img align="right" src="http://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre2.jpg" style="padding-left:10px;padding-bottom:10px;" /></html>
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva;  font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description physique :<html></p></html>
 
Malgré seulement ses seize ans, Ânkhti possède déjà sur le plan physique de tous les atouts d’une jeune femme, certains disant que son corps ne changera plus avec le temps. De corpulence moyenne pour une femme, atteignant le mètre soixante-six pour cinquante-neuf kilogrammes, elle possède des formes généreuses pour son âge, qui ne font qu’accroitre sa beauté générale, lui valant d’accroitre son succès auprès de la noblesse masculine, et attisant la jalousie de certaines femmes n’ayant pas été aussi bénie par Asaph.
Des yeux d’un inconnu, la première chose qui ressortirai, outre sa silhouette sans réel défaut de proportions, serait sa peau blanche, prouvant aux yeux de tous qu’elle n’est pas une paysanne des champs, mais une pure fille de la noblesse. Elle possède de longs cheveux noirs descendant jusqu’au bas des omoplates, dont émane des odeurs d’huiles parfumées, et maintenus par une coiffe en bronze à l’effigie d'Asaph. Encadré par ce mélange d’ébène, de bronze et d’or, on distingue un visage assez fin, dont les irrégularités, s’il y en avait, ont été gommées par le maquillage. Elle possède une mâchoire légèrement carrée, un menton peu marqué, un nez court et fin dont le bout remonte légèrement, et des pommettes saillantes. De ce visage, ressorte deux choses : une bouche aux lèvres rosies par le maquillage, et des yeux noirs, aux longs cils et aux sourcils entretenus de façon impeccable. Ânkhti est une belle femme, mais comme un de ces magnifiques jardins de Khemri, sa beauté est en partie due à un entretien constant, de mains expertes et trop couteux pour la plèbe.

Drapée  dans des vêtements en fibres de lin et en soies d’une grande finesse, et portant nombre de bijoux de bronze dont les motifs attestent la création par un artisan de premier ordre, et les petites pièces en or portant des pierres précieuses, confirme cette impression de luxe, et que la jeune femme est une noble à la famille puissante et riche. Quand elle sort, elle a tendance à se couvrir de vêtements blancs recouvrant un maximum de peau dénudée, et à prendre une ombrelle, afin de ne pas bronzer comme le reste du bas-peuple.

 
 
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva;  font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Description psychologique :<html></p></html>
 
Ânkhti est une jeune femme d'origine noble, elle le sait, en profite et en abuse. En effet, depuis sa plus tendre enfance, elle à été choyée par ses parents, et ses serviteurs répondaient aux plus simples de ses désirs. A tel point qu'il est évident pour elle que la majorité des humains soient inférieurs à elle, n'étant là que répondre à ses désirs, ou à ceux d'un autre puissant. Cette pensée n'a pas pour origine l'ignorance : elle ne fait que suivre le schéma culturel de la Nehekara, où les hommes et les femmes élus des Dieux dominent le reste de la populace. Ainsi, Ânkhti méprisera toutes personnes de rang inférieur au sien, exceptés ceux dont les maîtres sont les plus puissants. Il n'est bien sur pas envisageable qu'une personne du bas-peuple puisse sortir du lot et grimper en statut, et le cas échéant, sa simple vue dégoûtera la noble Néhékarienne.

Ânkhti est une prêtresse du culte d'Asaph, sa divinité gardienne, et embrasse ses principes. C'est pourquoi la jeune femme place la beauté au centre de tout ce qui existe : certes, elle respecte la noblesse, mais elle considère que les nobles ne devraient pas être autorisés à être laids, salissant l'image de ces « élus », et que la laideur devrait être éradiquée de la face du monde. Ainsi, Ânkhti ne se laisse jamais aller, et refuse de se déplacer sans de beaux atours, avec d’ostentatoires bijoux de bronze et d'or, et un maquillage parfait et un parfum délicat. Elle tente toujours de ne pas déroger à la règle car son apparence physique est sa meilleure arme, et elle le sait. Elle n'hésite pas à séduire et manipuler des hommes et des femmes pour le simple plaisir, et n'hésiterai pas à donner de sa personne pour obtenir ce qu'elle veut. Elle essaye de faire fit de ses contraintes de prêtresse, mais elle se soucie trop des apparences pour désobéir à la doctrine du culte.

Elle se sait élue d'Asaph, déesse de la beauté, de la vengeance et de la magie. C'est pourquoi elle se permet d'être rancunière, ne pardonnant nul acte envers elle, ses proches ou ses ancêtres, ce qui est la raison première de son objectif actuel est de faire payer à l'intégralité des successeurs du Roi Phar de Mahrak  la trahison de leur ancêtre, ainsi qu'aux prêtres de Ptra et de Phakth, qui ont orchestré ce drame. Cet vengeance est la source même des ambitions de la jeune femme : pour ce faire, elle devra s'élever dans son ordre, peut-être même d'apprendre à manifester la magie d'Asaph dans le monde des hommes, afin de faire chuter ces hommes et que tous apprennent ce qu'il en coûte de s'en prendre à Ânkthi et à sa lignée.

 
__Alignement :__ 
 
 
<html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva;  font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Historique du personnage :<html></p></html>
 
Toute l'histoire remonte à bien longtemps avant la naissance d'Ânkhti, plus même à la naissance de son grand-père, Antef. Comme son nom l'indique, « Celui que son père a amené » n'était ni plus ni moins que le bâtard du fils successeur de la famille détentrice du pouvoir de Mahrak, né de la relation illégitime entre le premier prince et une fille noble de Khemri. L'enfant fut confié à ses serviteurs, et élevé tel un descendant légitime du prince.
Six ans plus tard, le prince trouvait une épouse, une magnifique jeune femme de la noblesse de Mahrak, et le statut d'Antef se dégrada petit à petit. La jeune femme devenue future reine, ne pouvait supporter de voir le rejeton d'une autre passer devant ses propres enfants, aussi tenta-telle de l'évincer de la succession. Antef n'avait pas l'âge pour résister, ses tuteurs ne souhaitant pas se mettre leur future souveraine à dos, ne s'y opposèrent pas, excepté le prince lui-même, qui refusait d'abandonner la chair de sa chair, même s'il n'était pas de sa femme légitime. Ainsi, pendant quelques années, le garçon subit quelques « accidents », tel une chute dans un escalier après avoir été bousculé malencontreusement par une servante, brûlé aux jambes par un bain bouillant au lieu de chaud, risquer l'arrêt cardiaque suite à une tisane apaisante trop fortement dosée, et ainsi de suite.
Tout s'arrêta lorsque le prince héritier eu vent de ces rumeurs, et qu'il menaça sûrement et simplement son épouse de la rejeter, même si il avait fait serment devant les dieux de la choisir, et donc de se parjurer devant les Dieux.

Quand l'épouse du prince en parla aux prêtres, dont elle était un important mécène, ceux-ci furent simplement choqués : quel futur roi digne de ce nom serait prêt à se parjurer des Dieux ? Et délaisserai son épouse pour partir à la guerre, confiant le destin de sa lignée entre les mains d'un bâtard ? Il ne fallut que les conseils du grand prêtre de Ptra et de Phakth à l'oreille du roi pour que celui-ci donne pour mission au Prince héritier de poursuivre les choses lézards ayant attaqués des villes au sud de Mahrak, et son action était dans le but de « montrer la grandeur de la cité en apportant la justice à ces créatures barbares ».
Le prince mourru dans cette expédition, un dard empoisonné de l'une de ces créatures ayant eu raison de lui. Dans les deux mois qui suivirent, l'épouse du prince fut remariée à son cadet, désormais héritier légitime, et Antef , âgé alors de dix ans, fut emporté par un partisan loyal au défunt prince vers sa famille maternelle, à Khemri, où il eu une vie paisible sous le règne du roi Settra.

Pendant que royaume de Khemri florissait sous le règne du célèbre roi, la fille d'Antef, la dénommée Néheteni , signifiant « celle que j'avais demandé » fut la concubine d'un noble de Khemri, Ouser, un homme de grande taille au tempérament doux. Et ils eurent un premier fils Senedj, « Le craintif »,  nommé ainsi car il pleurait constamment quand il était dans une endroit ou face à quelqu'un qu'il ne connaissait pas.
Mais l'amour d'Ouser pour Néheteni était fécond, et elle tomba de nouveau enceinte. Cependant, tout ne se passa pas aussi bien que pour le premier. C'était après les importantes pluies qui causèrent les crues du fleuve Vitae que l'accident arriva. Le marbre mouillé, chose assez inhabituel pour les habitants de Khemri, était particulièrement glissant, et Néheteni chuta violemment, autant sur le dos que sur le ventre. Au bas de l’escalier, pétrie de douleurs, elle remarqua un saignement sur ses vêtements blancs.

Les soigneurs étaient mitigés sur le sort de l’enfant. Pour la plupart, celui-ci était déjà mort, et le cadavre serait expulsé lors de l‘accouchement. Ouser, démuni, pria les dieux, promettant de leur confier son enfant si celui-ci venait à naitre. Un mois plus tard naissait ânkhti, signifiant « Elle est vivante », rappelant les paroles de la sage-femme aux parents. 
Durant sa jeunesse, Ânkhti fut considérée comme une vraie princesse par sa famille. Bijoux, serviteurs, rien ne lui était refusée, et rien ne lui était réellement imposé, contrairement à son frère ainé qui devait apprendre les codes permettant de succéder à son père. Elle multipliait les possessions, et malmenait celles qui devaient s’occuper d’elle. Certains diraient qu’elle était ingérable, et ils n’avaient peut-être pas tort.

Elle se calma vers ses huit ans, quand elle dut choisir une divinité à laquelle se vouer, assurant que la promesse du son père soit tenue. Etant une femme, on lui conseilla fortement de devenir prêtresse d’Asaph ou de Basth. Elle se dirigea naturellement ver la première voie, préférant la beauté à l’amour, la vengeance à la grâce. 
On lui offrit une éducation privilégiée, assistant à des cours avec d’autres enfants de bonne naissance, ou de famille aisée : quiconque pouvait prétendre à devenir prêtresse, s’il passait les tests d’entrée. Cependant, seuls ceux qui étaient doués dès le début avaient de réelles chances de s’élever dans la hiérarchie du temple.

Elle suivit les apprentissages jusqu’à ses quatorze ans, apprentissage durant lequel elle apprit la doctrine du culte, mais aussi de nombreuses ficelles de la politique, comment se tenir en société, et apprit de nombreuses choses sur différents domaines. Et c’est à cet âge que l’entrée au temple devenait possible : les meilleurs aspirants étaient choisis, afin de continuer leur formation au sein même du temple. Pour le culte d’Asaph, il était certes nécessaire d’être instruit, mais il y avait une autre condition : pour rejoindre le culte de la déesse de la beauté, on ne choisissait que les plus beaux aspirants. Ânkhti fut acceptée sans problème au sein du culte, et commença réellement sa formation, tentant de s’attirer les faveurs de membres importants du culte.

Ce n’est que deux ans plus tard que la jeune femme appris pour sa l’histoire de sa famille, de la bouche même de sa mère. Ainsi, elle aurait pu être une princesse ? Certes, elle était contente de sa position actuelle, mais elle était en colère de par les agissements à l’encontre de son arrière-grand-père et de son grand-père. Elle se jura vengeance, plus par fierté dans un sentiment de toute-puissance dut à sa jeunesse. On l’avait empêché de devenir princesse… Après quelques semaines de réflexion, elle était arrivée à la conclusion suivante : c’était actuellement le bon moment pour se venger : le roi Phar était vaincu, sa succession encore indéterminée, et les descendants se battant pour le contrôle d’une citée affaiblie. Elle profiterai de ce tumulte pour prendre sa revanche, autant sur la noblesse de Mahrak que sur leurs prêtres corrompus.  Elle instiguerai contre eux, et même si elle ne pouvait plus réellement prétendre au pouvoir, elle ferai en sorte qu’eux non plus ne le puissent. Elle réduirai leurs espoirs à néant, comme ils l’avaient fait à son ancêtre, elle en faisait le serment. 

 
 
<html><br></html>
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<html><br></html>
 
<html><img align="left" src="http://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre4.jpg" style="padding-right:10px;" /></html>  <html><p style="text-align: center; font-family: verdana,geneva;  font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Compétences :<html></p></html>
		
• **Doctrine du culte (Asaph) [carrière]** : Votre personnage, en tant qu'initié, prêtre ou cultiste, connait les croyances de base, les détails des cérémonies religieuses, les costumes appropriés, les jours saints, les comportements honorables et interdits, les symboles de son culte/religion, les cérémonies. Il sait également expliquer la signification des jours saints célébrés par le culte/religion, décrire les dispositions traditionnelles de lieux saints de son culte/religion, être capable d'apprendre ces détails aux pratiquants et demandeurs intéressés.
		
• **Éloquence [carrière]** : Votre personnage a cette faculté de savoir manipuler des assemblées ou des foules entières de personnes uniquement par la persuasion verbale. Il peut ajouter un bonus de +1 sur ses tests pour arriver à ses fins
		
• **Alphabétisation (Khemri)** : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet si bien entendu il comprend ce langage
		
• **Empathie** : Votre personnage a aiguisé ce sentiment naturel commun à toute personne douée de conscience. Ce sentiment lui permet, sur un test réussi, de détecter des émotions normalement imperceptibles : peur, haine, mensonge, etc. Il arrive aussi à savoir si une personne ment ou si elle dit la vérité, si ses intentions sont bonnes ou mauvaises etc.,
		
• **Étiquette** : Votre personnage connait les conventions sociales et la façon adéquate de se comporter et de s'exprimer convenablement dans la plupart des situations que l'on peut rencontrer dans le «beau monde». Il a donc un bonus de + 1 sur tous les tests en rapport avec des personnes appartenant à la haute société.
		
• **Séduction** : Votre personnage dégage une combinaison de charme naturel et d'attrait physique. Il peut ainsi ajouter un bonus de +1 pour tous les tests mettant en jeu des personnes du sexe opposé (voire du même sexe).
 
<html><br></html>
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<html><br></html>

<html><center></html>
<html><img src="http://warforum-jdr.com/images/imgfiches/barre3.jpg" /></html>
<html><p style="font-family: verdana,geneva;  font-size: large; font-weight: bold; color: #6a94bd; text-decoration: underline;"></html>Inventaires et biens du personnage:<html></p></html>


|  **Bourse:**  |  2 Couronnes d'or  |

<html><br></html>

|< 50em >|
^  Inventaire                          ^^^^
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Tenue en lin fine de qualité**    |  -  |  -  |
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Dague sainte   **    |  13+1d6 dégâts, 5 parade  |  -  |
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Coiffe en bronze et or, avec l’effigie d’un aspic**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Brassard en bronze gravé**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Bague en or avec émeraude**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Torque en bronze gravée**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Accessoires de calligraphie**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Feuilles de papier (x2) [achat]**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Coffre en bois [achat]**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Parfums [achat]**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Maquillage [achat]**  |||
|  <html><img src="http://warforum-jdr.com/wiki-v2/lib/exe/fetch.php?w=42&h=42&media=icongeneriqueobjfiche.jpg" /></html>  |  **Peigne [achat]**  |||
<html><br></html>

|< 50em >|
^  Grimoire                          ^^
 
<html></center></html>
 
<html><br></html>
===== Parcours =====
 
===Quêtes accomplies===
 
Nom + lien + récompenses obtenues
 
=== Classes acquises ===
 
=== Carrière et classe en cours d'apprentissage===
 
**Carrière :** Voie du Prêtre
<html><br></html>
**Classe actuelle :** Initié
 
=== Dévotion religieuse ===

^  Dieu      ^  Points de dévotions disponibles           ^  Points de dévotions dépensés         ^
|  **Asaph**    |  30  |  0  |
 
 
==== Autres ====
 

Viola Schutten, Voie du Serviteur de Khorne
Profil: For 9 (10*) | End 9 | Hab 8 | Cha 8 | Int 8 (7*) | Ini 8 | Att 11 | Par 8 | Tir 8 | NA 1 | PV 60/60
*Possède la Marque de Khorne (+1 For / -1 Int)
Lien Fiche personnage: Viola la Violente

"Il faut toujours se donner à 100%... sauf pour un don du sang!"

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[MJ] Le Djinn
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Re: [Concours officiel] L'Âge d'Or de Khemri

Message par [MJ] Le Djinn »

Le concours est dorénavant fermé! Mes décisions arriveront d'ici peu!
Enfermé dans une lampe pendant des siècles, cloisonné dans une pièce de métal par une malédiction... Puis un jour un naïf est venu, me libérant dans sa sottise... Tant pis pour lui... Et pour tous les autres.

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