Quelques instants plus tard, ce fut le noir. Letbo avait reçut un coup sur la tête qui l'avait assommé. Il ne se réveilla que longtemps plus tard dans un endroit inconnu et plongé dans les ténèbres... En fait, Letbo se rendit vite compte qu'il était dans un sac de toile. Il ne se trouvait certainement plus dans l'infirmerie car il n'entendait plus le bruit causé par l'agitation incessante qui avait lieu dans le petit bâtiment blanc. En réalité, il était dans un petit pièce remplie de sac et et caisses et de nombreuses affaires de sa maîtresse. Il devait en sortir s'il voulait revoir sa maîtresse...
30 000 000 d' "amis"
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Re: 30 000 000 d' "amis"
Mais faites taire cette abominable créature, on ne peut pas travailler correctement !
Quelques instants plus tard, ce fut le noir. Letbo avait reçut un coup sur la tête qui l'avait assommé. Il ne se réveilla que longtemps plus tard dans un endroit inconnu et plongé dans les ténèbres... En fait, Letbo se rendit vite compte qu'il était dans un sac de toile. Il ne se trouvait certainement plus dans l'infirmerie car il n'entendait plus le bruit causé par l'agitation incessante qui avait lieu dans le petit bâtiment blanc. En réalité, il était dans un petit pièce remplie de sac et et caisses et de nombreuses affaires de sa maîtresse. Il devait en sortir s'il voulait revoir sa maîtresse...
Quelques instants plus tard, ce fut le noir. Letbo avait reçut un coup sur la tête qui l'avait assommé. Il ne se réveilla que longtemps plus tard dans un endroit inconnu et plongé dans les ténèbres... En fait, Letbo se rendit vite compte qu'il était dans un sac de toile. Il ne se trouvait certainement plus dans l'infirmerie car il n'entendait plus le bruit causé par l'agitation incessante qui avait lieu dans le petit bâtiment blanc. En réalité, il était dans un petit pièce remplie de sac et et caisses et de nombreuses affaires de sa maîtresse. Il devait en sortir s'il voulait revoir sa maîtresse...
Soumettez-vous à la grandeur de la culture Shadok acceptez la toute puissance de notre raisonnement.
-Pourquoi faire simple quand on peu faire compliqué.
-La ligne droite est le plus long chemin entre deux points.
-La notion de passoire est indépendante de la notion de trou, et réciproquement.
-On dit que trois points sont parallèles si ils sont placé de tel sorte que si on n'en déplace un, ils ne sont plus parallèles. D'où théorème : La condition suffisante pour qu'un point reste bien parallèle à deux autres points, est qu'il reste là où il est et qu'il ne bouge pas.
-On n'est jamais aussi bien battu que par sois même.
-Il faut pomper pour vivre donc il faut vivre pour pomper.
-C'est encore dans la marine qu'il y a le plus de marins.
-Pour qu'il y ai le moins de mécontents possibles il faut toujours taper sur les mêmes. (les PJs)
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Re: 30 000 000 d' "amis"
Profondément touché par l'état de sa maîtresse, le presque-gobelin-gris continua sans relâche de se rouler à terre. Renversant les tabourets et meubles qui se trouvaient sur sa course, faisant vaciller les pauvres prêtresses qui s'évertuaient du mieux qu'elles le pouvaient à esquiver la misérable créature devenue complètement incontrôlable. Des bruits de verre brisés, des hurlements féminins suraigus ainsi que des croassements sonores pouvaient êtres entendus à l'autre bout du couloir tant le jeune gnoblar était agité. Lorsque tout à coup une des prêtresses chargées de soigner la maîtresse de Letbo se mit à hurler « Mais faites taire cette abominable créature, on ne peut pas travailler correctement! ». Et seulement quelques secondes plus tard, tout droit sortit de nulle part, un gigantesque chevalier en armure fit irruption dans la pièce. Il semblait être pris par un violent excès de colère ; ses yeux étaient exorbités et sa moustache grise semblait vibrer sous l'effet de sa rage montante. Lorsqu'il vit le pauvre presque-gobelin-gris s'agiter dans tout les sens et empêcher les pauvres femmes de faire leur travail correctement, il asséna à ce dernier un violent coup de point sur le haut de la tête, l'assommant sans même qu'il n'ait le temps de comprendre ce qu'il venait de lui arriver.
Quelques heures plus tard, la pauvre créature se réveilla avec un terrible mal de tête. Autour de lui, tout était noir, comme si la vue lui avait été enlevée. Il ne comprenait pas bien ce qui lui arrivait car d'habitude sa vue ne souffrait absolument pas du manque de lumière. Il avait beau se débattre en tout sens pour essayer de trouver une quelconque source de lumière, une sorte de filet invisible semblait le maintenir prisonnier dans cette terrible pénombre artificielle. Plus il se débattait, plus sa prison essayait de l'étouffer d'avantage. Et ce n'est qu'après avoir vaillamment lutté corps et âme contre un sac en toile qu'il comprit qu'il était en réalité coincé dans ce dernier. Fier de cette découverte, il chercha tout autour de lui un moyen de s'extraire de ce sac, et lorsqu'il eut enfin réussi à trouver où se trouvait la corde qui refermait le sac, il usa de ses longues griffes pour transpercer une partie du sac et défaire les liens. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il se rendit compte que l'endroit où il s'était retrouvé était remplit d'objets appartenant à sa maîtresse. Signe pour lui que cette dernière ne pouvait être bien loin. Et lorsqu'il fut enfin sorti de la pièce dans laquelle il avait été jeté sans ménagement, il s'engouffra à nouveau dans le dédale de couloirs pour ainsi retrouver la chambre de sa propriétaire.
Quelques heures plus tard, la pauvre créature se réveilla avec un terrible mal de tête. Autour de lui, tout était noir, comme si la vue lui avait été enlevée. Il ne comprenait pas bien ce qui lui arrivait car d'habitude sa vue ne souffrait absolument pas du manque de lumière. Il avait beau se débattre en tout sens pour essayer de trouver une quelconque source de lumière, une sorte de filet invisible semblait le maintenir prisonnier dans cette terrible pénombre artificielle. Plus il se débattait, plus sa prison essayait de l'étouffer d'avantage. Et ce n'est qu'après avoir vaillamment lutté corps et âme contre un sac en toile qu'il comprit qu'il était en réalité coincé dans ce dernier. Fier de cette découverte, il chercha tout autour de lui un moyen de s'extraire de ce sac, et lorsqu'il eut enfin réussi à trouver où se trouvait la corde qui refermait le sac, il usa de ses longues griffes pour transpercer une partie du sac et défaire les liens. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il se rendit compte que l'endroit où il s'était retrouvé était remplit d'objets appartenant à sa maîtresse. Signe pour lui que cette dernière ne pouvait être bien loin. Et lorsqu'il fut enfin sorti de la pièce dans laquelle il avait été jeté sans ménagement, il s'engouffra à nouveau dans le dédale de couloirs pour ainsi retrouver la chambre de sa propriétaire.
Modifié en dernier par [MJ] Shadoko le 03 déc. 2009, 18:09, modifié 1 fois.
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Re: 30 000 000 d' "amis"
Tu restes ici toi, tu as été acheté il y a peu... il va venir te chercher.
Cela ne pouvait dire que deux choses, soit sa maîtresse l'avait abandonné, soit elle était morte. Le chevalier remis Letbo dans la petite pièce et fit bien attention à ce qu'il ne puisse plus en sortir. Le petit gnoblard attendit longtemps... il n'avait rien à faire et il se demandait se qu'il allait devenir. A un moment, bien plus tard, la porte s'ouvrit et Letbo découvrit celui qui allait devenir son nouveau maître... C'était un homme imposant, aux cheveux bruns et qui avait une barbe touffue. Son visage était couvert de cicatrices, il portait une armure de cuir et une longue épée pendait à sa ceinture.
Petit esclave, tu es à moi. Nous bientôt partir vers le nord, vers Kislev, vers mon pays. Je t'ai acheté, tu es à moi et tu vas me suivre.
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