La pomme mécanique
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Re: La pomme mécanique
Je suis enfin libre! Je n'ai plus ce poids à trainer à mon pied. Ça fait un bien fou. Bon, par contre, j'ai la cheville toute bleue et je pense que j'aurai ces traces pendant un bon bout de temps. Honnêtement, c'est un bon, ce norse!
"Merci l'ami. J'vais devoir te payer une poule pour te remercier de ce que tu fais pour moi, si ça continues!"
Alors que je commence à être plus attentif au butin qu'on pourrait amasser dans cette forge vide, la douleur commence à revenir. Sans doute à cause du souci du boulet, je ne prêtais plus garde à mes blessures. Mais je suis mal en point et je commence à avoir une sale gueule, je pense. J'ai un vertige, et manque de m'écrouler. Je me rattrape à l'établi. J'entends d'une voix de plus en plus éloigné mon camarade:
""- Je regarde si y'a pas des trucs intéressants a prendre, on sait jamais... et si ça se trouve, il a une caisse pleine de pistoles !"
Il perd pas le nord, le bougre. J'avoue que j'avais la même idée. Mais là, c'est le cadet de mes soucis. Je sens un nouveau vertige me parvenir. Cette fois, je n'arrive pas à me retenir et je titube sur quelques mètres avant de m'effondrer au sol. Je me relève lentement. Il faut absolument que je vois un médecin.
"On devra revenir, vieux. Faut que tu m'aides encore une fois. J'dois voir un toubib, et vite. Conduis moi."
Sans attendre sa réponse, je me porte à la hauteur du norse et je passe un bras au-dessus de ses épaules. Il va falloir qu'il m'aide à marcher jusqu'au docteur le plus proche, et vite...
"Merci l'ami. J'vais devoir te payer une poule pour te remercier de ce que tu fais pour moi, si ça continues!"
Alors que je commence à être plus attentif au butin qu'on pourrait amasser dans cette forge vide, la douleur commence à revenir. Sans doute à cause du souci du boulet, je ne prêtais plus garde à mes blessures. Mais je suis mal en point et je commence à avoir une sale gueule, je pense. J'ai un vertige, et manque de m'écrouler. Je me rattrape à l'établi. J'entends d'une voix de plus en plus éloigné mon camarade:
""- Je regarde si y'a pas des trucs intéressants a prendre, on sait jamais... et si ça se trouve, il a une caisse pleine de pistoles !"
Il perd pas le nord, le bougre. J'avoue que j'avais la même idée. Mais là, c'est le cadet de mes soucis. Je sens un nouveau vertige me parvenir. Cette fois, je n'arrive pas à me retenir et je titube sur quelques mètres avant de m'effondrer au sol. Je me relève lentement. Il faut absolument que je vois un médecin.
"On devra revenir, vieux. Faut que tu m'aides encore une fois. J'dois voir un toubib, et vite. Conduis moi."
Sans attendre sa réponse, je me porte à la hauteur du norse et je passe un bras au-dessus de ses épaules. Il va falloir qu'il m'aide à marcher jusqu'au docteur le plus proche, et vite...
Victor Metzger, Marin
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Re: La pomme mécanique
La forge était vide. Pourtant, de la fumée s'échappait des ustensiles faits pour forger le fer... Ils avaient été utilisés récemment. Sans doute leur propriétaire était parti se soulager...
Les deux marins fouillèrent rapidement les étals, cherchant quelques pistoles. La seule qu'ils trouvèrent était tombée entre deux planches du parquet fait de bois.
Haussant les épaules, les deux compères allaient partir quand Bjornulf remarqua qu'en dessous de l'emplacement où la pistole était située se cachait.... une autre pièce. Il prit un burin quelconque et souleva "délicatement" la planche, trouvant ainsi un sacré magot...
Le gredin qui dirigeait cette endroit avait laissé une bonne quarantaine de pistoles, qu'ils avaient tous deux trouvés!
Les deux marins fouillèrent rapidement les étals, cherchant quelques pistoles. La seule qu'ils trouvèrent était tombée entre deux planches du parquet fait de bois.
Haussant les épaules, les deux compères allaient partir quand Bjornulf remarqua qu'en dessous de l'emplacement où la pistole était située se cachait.... une autre pièce. Il prit un burin quelconque et souleva "délicatement" la planche, trouvant ainsi un sacré magot...
Le gredin qui dirigeait cette endroit avait laissé une bonne quarantaine de pistoles, qu'ils avaient tous deux trouvés!
- Björnulf le Loup-à-Miel
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Re: La pomme mécanique
Y'avait rien d'autre que d'la maudit ferraille dans la caisse de bois, je vois que Victor commence a chercher lui aussi. Sachant pas trop dans combien de temps le forgeron allait revenir, on a décidé de se grouiller, et la seule pièce qu'on a trouvé était coincée entre deux planches du parquet...
"- Héhé, ça sera déjà ça..."
Victor commençait a tituber, je pensais que c'était à cause de l'hydromel mais il vient s'accrocher à mon épaule.
"- On devra revenir, vieux. Faut que tu m'aides encore une fois. J'dois voir un toubib, et vite. Conduis moi.
- Ok, accroche toi bien ça serait pas le moment de tomber..."
En sortant de la forge je remarque que les planches où c'était coincé la pièce sonnaient pas pareil que les autre, j'assoie Victor contre un mur et lui demande de m'attendre deux seconde, que j'avais un truc a vérifier. Ni une ni deux je m'empare d'un burin pour arracher quelques planches, là dessous je découvre un petit coffre en bois, un bon coup de burin et le cadenas saute, je l'ouvre et là...
"- Oh ! Par Rikdom ! Victor ! Regarde c'que j'ai trouvé sous les planches !" je lui montre le coffre ouvert, plein de jolies pièces d'or ! Le temps de les compter et de partager le magot, et j'étais déjà dehors avec Victor sur l'épaule.
Je sais pas vraiment où aller, j'interpelle un passant en espérant qu'il pourra me dire où trouver un médecin.
"- Et toi, attends ! Mon camarade est souffrant, dis moi où je peux trouver un docteur. Et dépêche toi !"
"- Héhé, ça sera déjà ça..."
Victor commençait a tituber, je pensais que c'était à cause de l'hydromel mais il vient s'accrocher à mon épaule.
"- On devra revenir, vieux. Faut que tu m'aides encore une fois. J'dois voir un toubib, et vite. Conduis moi.
- Ok, accroche toi bien ça serait pas le moment de tomber..."
En sortant de la forge je remarque que les planches où c'était coincé la pièce sonnaient pas pareil que les autre, j'assoie Victor contre un mur et lui demande de m'attendre deux seconde, que j'avais un truc a vérifier. Ni une ni deux je m'empare d'un burin pour arracher quelques planches, là dessous je découvre un petit coffre en bois, un bon coup de burin et le cadenas saute, je l'ouvre et là...
"- Oh ! Par Rikdom ! Victor ! Regarde c'que j'ai trouvé sous les planches !" je lui montre le coffre ouvert, plein de jolies pièces d'or ! Le temps de les compter et de partager le magot, et j'étais déjà dehors avec Victor sur l'épaule.
Je sais pas vraiment où aller, j'interpelle un passant en espérant qu'il pourra me dire où trouver un médecin.
"- Et toi, attends ! Mon camarade est souffrant, dis moi où je peux trouver un docteur. Et dépêche toi !"
BJÖRNVLF LE LOVP-A-MIEL
"NOVS AVTRES CAMARADES N'AVONS PAS D'AVTRE CROYANCE QU'EN NOVS-MÊMES ET NOTRE CAPACITÉ DE VICTOIRE, ET CELA NOVS SVFFIT AMPLEMENT. NOS DIEVX SONT EN NOUS."
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Re: La pomme mécanique
Avec Björnulf, on commence à sortir de la forge. J'ai bien besoin de son aide, car j'avoue que j'aurai du mal à marcher tout seul. En prenant appui sur lui, je commence à faire quelques pas. Il proteste même pas, comme si c'était naturel de m'aider, alors qu'au fond, on se connait pas encore beaucoup. Mais ça va changer, j'en fais le serment.
Arrivé à la sortie, le norse me prévient qu'il a vu quelque chose et m'abandonne quelques instants. Je m'appuie sur une enclume et je l'observe. Comme s'il savait où il allait, il va vers un endroit précis, l'endroit où il avait trouvé une pistole quelques instants plus tôt. Il s'arme d'un burin et en un ou deux coups, il défonce le plancher pour trouver un coffre.
Mon nouvel ami pousse une exclamation et m'appelle pour me montrer sa découverte. Il ouvre le coffre devant moi. De jolies pistoles s'entrechoquent les unes contre les autres. Je comprendrai qu'il les garde pour lui, puisque c'est lui qui les a trouvé, mais il n'y pense même pas. Il compte les pièces. Il y en a quarante en tout. Sans hésiter, il m'en donne vingt. Je les glisse dans ma bourse et j'affiche un sourire fatigué à mon acolyte.
"Merci pour tout, tu es un bon, le norse."
Il m'offre à nouveau ses épaules sur lesquelles je prends appui. A peine sorti, il interpelle le premier passant qu'on croise.
"- Et toi, attends ! Mon camarade est souffrant, dis moi où je peux trouver un docteur. Et dépêche toi !"
Oui, il faut vraiment se dépêcher...
Arrivé à la sortie, le norse me prévient qu'il a vu quelque chose et m'abandonne quelques instants. Je m'appuie sur une enclume et je l'observe. Comme s'il savait où il allait, il va vers un endroit précis, l'endroit où il avait trouvé une pistole quelques instants plus tôt. Il s'arme d'un burin et en un ou deux coups, il défonce le plancher pour trouver un coffre.
Mon nouvel ami pousse une exclamation et m'appelle pour me montrer sa découverte. Il ouvre le coffre devant moi. De jolies pistoles s'entrechoquent les unes contre les autres. Je comprendrai qu'il les garde pour lui, puisque c'est lui qui les a trouvé, mais il n'y pense même pas. Il compte les pièces. Il y en a quarante en tout. Sans hésiter, il m'en donne vingt. Je les glisse dans ma bourse et j'affiche un sourire fatigué à mon acolyte.
"Merci pour tout, tu es un bon, le norse."
Il m'offre à nouveau ses épaules sur lesquelles je prends appui. A peine sorti, il interpelle le premier passant qu'on croise.
"- Et toi, attends ! Mon camarade est souffrant, dis moi où je peux trouver un docteur. Et dépêche toi !"
Oui, il faut vraiment se dépêcher...
Victor Metzger, Marin
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Re: La pomme mécanique
Ils avaient à peine parcouru une vingtaine de mètres en sortant de l'échoppe qu'ils trouvèrent un passant, sans doute un habitant de ces lieux. Victor le héla, et, entouré par deux grands gaillards, le frêle homme qu'ils avaient interpellé se sentait plus qu'intimidé. Il allait bredouiller une vague réponse quand un cri les arrêta :
« Vous deux! Arrêtez-vous tout de suite! »
Ils se retournèrent lentement, tandis que le passant filait en douce, et virent la forge et un homme souffrant d'embonpoint, vêtu d'une ample chemise de nuit bleue pointer un tromblon vers eux, à a peine dix mètres d'où ils étaient, devant l'entrée du forgeron.
La crainte d'avoir été reconnu submergea Victor, qui s'efforça de rester calme. Comment cet homme pouvait-il savoir qu'il était le fameux meurtrier?
« Vous deux! Arrêtez-vous tout de suite! »
Ils se retournèrent lentement, tandis que le passant filait en douce, et virent la forge et un homme souffrant d'embonpoint, vêtu d'une ample chemise de nuit bleue pointer un tromblon vers eux, à a peine dix mètres d'où ils étaient, devant l'entrée du forgeron.
La crainte d'avoir été reconnu submergea Victor, qui s'efforça de rester calme. Comment cet homme pouvait-il savoir qu'il était le fameux meurtrier?
- Björnulf le Loup-à-Miel
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Re: La pomme mécanique
Le gars que je venais d'arrêter avait l'air tout fébrile en me voyant, il allait me répondre quand une voix s'éleva derrière moi.
"- Vous deux! Arrêtez-vous tout de suite !"
Je jette un oeil, un gros bonhomme en chemise de nuit avec un fusil... si il croit me faire peur !
"- Quoi qu'est-ce que tu veux toi ?! Tu vois pas que cet homme a besoin de soins ?!"
Sans chercher a comprendre ce qu'il nous voulait, je me préparais a lui faire manger le sol pavé... c'était une crevette - si on oublie la largeur de son bide - comparé a ce que j'avais l'habitude d'affronter, il allait regretter de nous avoir emmerdé...
Je lâche Victor, de toute façon il a l'air de s'être remis de sa nausée et m'approche de quelques mètres en parlant au bonhomme, tranquillement pour pas qu'il se brusque.
"- Je te conseil de t'en aller, j'en ai vu des pires que toi, et tous sont allé rejoindre les poissons au fond des océans..."
Je le regarde férocement, le jauge, guète ses réactions... il ne bouge pas d'un pouce et m'a en joue, prêt a tirer. Soudain je dégaine mes lames, en jette une en arrière pour que Victor l'attrape et me rue vers l'affreux.
"- Porcinet, tu vas rejoindre tes ancêtres !"
"- Vous deux! Arrêtez-vous tout de suite !"
Je jette un oeil, un gros bonhomme en chemise de nuit avec un fusil... si il croit me faire peur !
"- Quoi qu'est-ce que tu veux toi ?! Tu vois pas que cet homme a besoin de soins ?!"
Sans chercher a comprendre ce qu'il nous voulait, je me préparais a lui faire manger le sol pavé... c'était une crevette - si on oublie la largeur de son bide - comparé a ce que j'avais l'habitude d'affronter, il allait regretter de nous avoir emmerdé...
Je lâche Victor, de toute façon il a l'air de s'être remis de sa nausée et m'approche de quelques mètres en parlant au bonhomme, tranquillement pour pas qu'il se brusque.
"- Je te conseil de t'en aller, j'en ai vu des pires que toi, et tous sont allé rejoindre les poissons au fond des océans..."
Je le regarde férocement, le jauge, guète ses réactions... il ne bouge pas d'un pouce et m'a en joue, prêt a tirer. Soudain je dégaine mes lames, en jette une en arrière pour que Victor l'attrape et me rue vers l'affreux.
"- Porcinet, tu vas rejoindre tes ancêtres !"
BJÖRNVLF LE LOVP-A-MIEL
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- Victor Metzger
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Re: La pomme mécanique
J'attrape la dague que le norse m'a jeté. Je lui jette un rapide coup d'oeil -belle arme, bien équilibrée- et je fonce sur l'homme en pyjama. J'ai beau être mal en point, je ne supporte plus les marienburgers. Il va payer pour tout les autres.
Mon camarade est quelques mètres devant moi. Il sera le premier au contact, mais je le rejoindrai quelques secondes après. J'espère qu'il m'en laissera un peu. Ce n'est pas mon genre d'attaquer un ennemi à deux contre un. Mais je n'ai plus de pitié pour ces chiens. Ils se disent cité libre? Indépendante de l'empire? Et bien qu'ils s'aident, et les dieux les aideront! Ces pourritures m'ont battu comme tapis à plusieurs quelques heures plus tôt, je n'ai aucun état d'âme d'égorger un des leurs.
En chargeant cet adversaire dans un accoutrement si pitoyable, je me demande comme il sait que je suis recherché. Il m'a peut-être vu quelques instants plus tôt avec le boulet à la cheville, avant qu'on aille dans la forge, Björn et moi? Ou alors, c'est peut-être le forgeron? Ce serait plus plausible, en fait... Et il est fâché qu'on lui est pris ses pistoles...
Peu importe, cet enfant de catin sera mort dans quelques instants...
Mon camarade est quelques mètres devant moi. Il sera le premier au contact, mais je le rejoindrai quelques secondes après. J'espère qu'il m'en laissera un peu. Ce n'est pas mon genre d'attaquer un ennemi à deux contre un. Mais je n'ai plus de pitié pour ces chiens. Ils se disent cité libre? Indépendante de l'empire? Et bien qu'ils s'aident, et les dieux les aideront! Ces pourritures m'ont battu comme tapis à plusieurs quelques heures plus tôt, je n'ai aucun état d'âme d'égorger un des leurs.
En chargeant cet adversaire dans un accoutrement si pitoyable, je me demande comme il sait que je suis recherché. Il m'a peut-être vu quelques instants plus tôt avec le boulet à la cheville, avant qu'on aille dans la forge, Björn et moi? Ou alors, c'est peut-être le forgeron? Ce serait plus plausible, en fait... Et il est fâché qu'on lui est pris ses pistoles...
Peu importe, cet enfant de catin sera mort dans quelques instants...
Victor Metzger, Marin
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Re: La pomme mécanique
L'imposante moustache du bourge remua alors qu'il fronçait son nez d'un air désapprobateur. Il gueula, indigné, comme un porc qu'on égorge :
« Bande d'insolents! Voleurs malappris! »
« Dans ta face l'étranger! »
Le bourge l'écrasa d'un coup de pied, le plaquant au sol... Et donna un coup à Victor, qui, affaibli, encaissa sans rien dire... Et tomba lui aussi au sol...
Avec un petit rire sadique, le bourge les ligota et les traina jusque dans sa maison...
HRP: Vous avez le choix. Abandonner votre perso, le laisser crever... Ou continuer le rp. J'ai, de toute façon, préparé un rp ci-dessous.
Ci vous estimez que les dégâts sont trop importants, et que finalement vous détestez les échecs critiques, et que vous voulez faire à la place un elfe sylvain unijambiste joueur d'accordéon, libre à vous de le faire...
C'est votre personnage, votre choix... ^^
« Bande d'insolents! Voleurs malappris! »
Le bourge tira une fois. L'odeur de poudre envahit les narines des deux marins, puis l'explosion. Leurs oreilles bourdonnèrent, mais ils avaient connu pire. Ils continuèrent à courir vers le gros porc, qui entreprit de recharger son arme le plus vite possible... C'était la dernière ligne droite...Tir du bourge
13 ( Raté! )
Une autre explosion. Et une douleur sans pareille assaillit Bjornulf ; il était touché. La chienne d'arquebuse faisait mal. De là où il était, le gros jubilait.Tir du bourge
9 ( Réussi! )
18 points de dégâts!
Il reste 22 à Bjornulf!
« Dans ta face l'étranger! »
Le bourge donna un coup de crosse dans le visage de Bjornulf. Il était assez rapide pour quelqu'un de sa corpulence. Le coup toucha l'oeil du norse qui le ferma une seconde, déconcentré : un deuxième coup l'acheva, et il fit tomber sa dague à une bonne vingtaine de mètres de lui.Test d'INI
Bourge : 1 ( Réussi! )
Bjornulf : 6 ( Réussi! )
Victor : 12 ( Et... non! )
Bourge contre Bjornulf ( 3 attaques à cause de la réussite critique )
Réussi! ( Réussite critique xD ) Pas de parade possible!
19 points de dégâts!
Il reste 3 à Bjornulf!
Réplique de Bjornulf!
Raté! Échec critique! xDD
Bjornulf lance son arme à (1d20) 17 mètres! Il est désarmé!
Bourge contre Bjornulf
Réussi, paré! ...6 points de dégâts!
Bjornulf est inconscient!
Bourge contre Victor
Réussi! Devinez quoi... Et oui! Réussite critique!
Inutile de dire que Victor est inconscient...
Bon... C'est pas ma faute, j'vous le jure!
C'est pas fait exprès
Le bourge l'écrasa d'un coup de pied, le plaquant au sol... Et donna un coup à Victor, qui, affaibli, encaissa sans rien dire... Et tomba lui aussi au sol...
Avec un petit rire sadique, le bourge les ligota et les traina jusque dans sa maison...
HRP: Vous avez le choix. Abandonner votre perso, le laisser crever... Ou continuer le rp. J'ai, de toute façon, préparé un rp ci-dessous.
Ci vous estimez que les dégâts sont trop importants, et que finalement vous détestez les échecs critiques, et que vous voulez faire à la place un elfe sylvain unijambiste joueur d'accordéon, libre à vous de le faire...
C'est votre personnage, votre choix... ^^
- Victor Metzger
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Re: La pomme mécanique
Le destin avait eu raison de moi, Victor Metzger. Je ferme les yeux pour la dernière fois. Je vois la mer, calme, placide. Manann va m'accueillir dans un voyage éternel. Je suis prêt, je n'attends que ça. Mon seul regret c'est de ne pas avoir connu plus tôt le norse qui m'a tant aidé. Je le reverrai dans une autre vie, j'en suis certain.
Mon souffle se fait de moins en moins rapide. J'entends le bruit des vagues. Je suis bien. Enfin.
Mon souffle se fait de moins en moins rapide. J'entends le bruit des vagues. Je suis bien. Enfin.
Modifié en dernier par [MJ] Abhorash le 31 mai 2010, 20:10, modifié 1 fois.
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Victor Metzger, Marin
Amis, ne plaignez pas le marin disparu, - Heureux, il dort où il voulait vivre. - Amis, ne plaignez pas le marin disparu, - Mais priez que les vagues le bercent doucement.
- Björnulf le Loup-à-Miel
- PJ
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Re: La pomme mécanique
Le chien... il m'avait massacré, son arme m'avait massacré... je sentais le sang qui coulait le long de mes plaie, laissant peu à peu mon corps exsangue tandis que mes yeux se fermaient. J'étais a la fois triste et heureux, je n'aurais pas pu revoir ma fille, ni ma femme, ils m'attendraient mais jamais je ne reviendrais. Mais j'étais heureux, enfin mon esprit quittait le rêve, et j'allais rejoindre mes ancêtre, je vois d'ailleurs déjà mon père, mort il y a cinq ans, qui m'attends, souriant et prêt a m'accueillir, je suis enfin libre.
BJÖRNVLF LE LOVP-A-MIEL
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