Le salaire de la rancune [Karanak]

Les Principautés Frontalières ou les Royaumes Renégats, ont toujours été le théâtre d’innombrables batailles, guerres, conquêtes et défaites. La plupart des habitants des Principautés s’accommodent néanmoins de la situation, dans ces contrées où le moindre manant peut devenir roi en un jour pour connaître une mort ignoble le lendemain.

Les forêts des Principautés Frontalières regorgent de gobelins des forêts, d'elfes sylvains, etc. A proximité se trouve Barak-Varr, et les célèbres Pics Sanglants, remplis d'Orques.

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[MJ] The Puppet Master
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Le salaire de la rancune [Karanak]

Message par [MJ] The Puppet Master »

La rancune et la honte avaient poussé Borik et deux de ses compagnons d'infortune, Gimrin et Baelfur, à, non seulement, embrasser la voie du tueur nain mais, également, accepter de suivre le capitaine Thorgan « Mâchefer » alors qu'il remontait avec son navire, une barge à fond plat aménagée pour naviguer en eau peu profonde, le cour de la rivière hurlante en direction des Montagnes du Bord du Monde.
Pourtant, les trois nains imaginaient que ceux qu'ils cherchaient continuaient d'écumer les eaux du Golfe Noir en se gargarisant de leurs victoires sans même plus penser à l'embarcation naine qu'ils avaient envoyée par le fond quelques semaines plus tôt. Ils en étaient même persuadés ! Mais la promesse faite par Thorgan de les garder à bord une fois ces affaires à Vitrolle terminées avait suffie à Borik.

- Tu n'es pas le seul à vouloir prendre ta revanche, mon jeune ami, lui avait dit celui qui commandait à la destinée du « Poing d'Acier », le navire qui était sensé être l'instrument de la vengeance de Borik, mais, pour ce coup-là, il te faudra patienter. Si jamais tu offres des garanties suffisantes, je t'emmènerai avec moi sur le Golfe Noir. Pour l'heure, c'est vers les Montagnes du Bord du Monde, berceau de mes ancêtres, qu'on va naviguer car mes affaires passent avant ta rancune. Et puis, qui sait, peut-être trouveras-tu, en route, la mort honorable que tous les tueurs nains appellent de leurs vœux, avait-il conclu avec une grande tape dans le dos du jeune nain.

Une pluie fine et froide battait le pont de la barge et fouettait les visages bourrus des nains postés à la proue. Ils scrutaient sombrement les alentours attendant de voir surgir d'éventuels ennemis désireux d'en découdre sans que jamais rien de tel, depuis une semaine, ne se soit produit. Les vaguelettes de la rivière hurlante, bien que gonflées par les pluies automnales sur les pentes des Monts du Bords du Monde, n'étaient que bien peu de choses en comparaison des flots déchaînés du Golfe Noir et leur léger roulis ne suffisait pas à ranimer la flamme marine qui s'était éteinte dans le cœur de Borik et ses camarades.
Derrière eux, un vieux loup de mer, édenté par le scorbut, tirait des bouts, épaulé par deux jeunes mousses, pour hisser la grande voile carrée afin de prendre le vent marin qui s'était levé. La manœuvre allait, enfin, permettre à la barge d'avancer plus vite qu'à la seule force des bras de la douzaine de rameurs repartis de chaque bord du pont.

- Aye ! Comm' j'te l'dis ! Un sacré foutu d'pirat', c'ui-là…
- Comment tu dis ?
- Jashed Jaha, dit « l'sombre ». Une des pires crevures qu'aient r'monté l'Golfe Noir d'puis l'Arabie…


Le ciel resta bas toute la journée et la pluie continua sans s'interrompre toute la nuit également. Tout le monde sur le pont était trempé jusqu'à l'os et grelottait dans les ténèbres. Seul le réconfort des capots protégeant la cargaison permettait aux hommes de trouver un peu de chaleur en se serrant les-uns contre les autres à l'abri de la pluie.
Thorgan « Mâchefer » ne quittait jamais la barre plus d'une heure et semblait insensible aux éléments, drapé dans son manteau de cuir.
Ce ne fut qu'en milieu de matinée le lendemain qu'il cessa de pleuvoir mais la proximité de plus en plus grande des Monts du Bord du Monde apportait une fraîcheur qui transissait le corps autant que l'âme des hommes et des nains. Seuls les bruissements de l'eau, les craquements de la coque et les manœuvres de l'équipage venaient, de temps à autre, crever le silence qui pesait sur le navire.

Dans l'après-midi, quelques timides rayons de soleil percèrent les nuages et le capitaine annonça qu'on approchait de l'endroit le plus critique du voyage : une passe entre de hautes collines à l'aplomb de la rivière ; endroit au combien propice à des attaques et embuscades en tout genre. Même si son lit était encore assez large, la rivière hurlante allait en se rétrécissant de plus en plus et il n'y avait guère plus d'une dizaines de mètres entre la barge et les rives de chaque côté.
Jet de dé caché !
L'espace d'un instant, Borik eut l'impression que quelque chose avait bougé en haut d'un surplomb rocheux à bâbord et, la seconde d'après, une nuée de corbeaux s'envola bruyamment des frondaisons à son sommet...
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
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Re: Le salaire de la rancune [Karanak]

Message par Karanak »

Une vingtaine de personne étaient partis, seulement trois étaient revenues... Mais ces trois là portaient sur eux le fardeaux des morts et ils n'allaient s’arrêter que quand justice sera fait !
Ses compagnons de route, ses frères de rancune et de honte l'avaient suivit jusqu'au Temple de Grimnir ne leurs laissant plus qu'une seul raison de vivre, une seul raison d’être... Se venger !

Et ils sembleraient que les ancêtres soient avec eux car à peine avoir terminé le rite et être entré dans la première taverne... Que le destin semblait s'en mêler !
Ils rencontrèrent Thorgan « Mâchefer » le capitaine du fiers « Poing d'Acier » et lui racontèrent leurs histoires gravées par la honte et le déshonneur. Il écouta, respectueusement et leur proposa de rejoindre son équipage tout en leur fessant une promesse...
S'ils réussissaient à lui offrir des garanties suffisantes pour prendre le risque de cette chasse au pirate, alors il mènerait lui même son bateaux dans la traque aux forbans.

Touché par cette offre et cette promesse qui valait tout l'or du monde pour nos trois noyés de la honte, ils acceptèrent sans remords de le servir pour espérer un jour pouvoir lancer la traque... Borik pouvait comprendre le capitaine de navire, le pragmatisme avant tout, il ne pouvait désâment pas tout risquer sans contre partie.
Il avait raison, la hâte dans sa course a la revanche lui avait fait oublié pendant un instant toute l'organisation nécessaire avant de pouvoir ne serait ce qu'imaginer se lancer a leur poursuite... Mais ne disait-on pas que les nains avaient une mémoire millénaire et une patience de pierre. Il pourra attendre, sa soif de vengeance devenant le feux qui brûle dans les plus grand fourneaux des plus grandes forges. Permettant la création des lames les plus dangereuses, qu'il plongera ensuite dans le cœur chaud de ses ennemies.

Cela fessait maintenant une semaine qu'il naviguait et leur présence sur le navire était assez bien pris malgré le fait qu'il était 3 tueurs... Car certaines personnes ne se sentaient pas a l'aise avec un tueur dans une salle qu'il pouvait quitter a tout moment. Alors trois tueurs dans un espace renfermé !
Mais de toute façon le groupe restait généralement ensemble, se soutenant ensemble tel les maillons d'une chemise de maille qui résisteraient à tous les coups. Pour autant cela ne voulait pas dire qu'il ne fessait rien, loin de la. Il aidait dans les manœuvres dès que possible ou patrouilles sur le pont. Il aidait quand il le pouvait tel trois ombre silencieuse mais prêt à aider... C'est certainement cela qui, au fil des jours, détendit l’atmosphère sur le navire et amena ensuite une franche camaraderie entre les trois tetes oranges et l'équipage.

Quand il pouvait Borik passait un peux de temps avec le capitaine et un peux plus avec le quartier-maître. Un certain Oldor "Sourcil-de-pierre", un vieux nain inspirant le respect tant par sa barbe que par son expérience. Et il était toujours là pour raconter une histoire à l'équipage relatant les hauts fait du navire ou de certains ancêtres. Borik prenait plaisir de leur discutions nocturne sur le gaillard avant, cela lui rappelait tant de souvenir sur son ancien navire...

Un jour alors qu'il patrouillait sur le pont tribord du navire, il entendit une discutions entre deux rameurs qui attira rapidement toute son attention...

- Aye ! Comm' j'te l'dis ! Un sacré foutu d'pirat', c'ui-là…
- Comment tu dis ?
- Jashed Jaha, dit « l'sombre ». Une des pires crevures qu'aient r'monté l'Golfe Noir d'puis l'Arabie…

-"Vas-y voir mon gars... Ton Jashed là, son drapeau... Tu sais à quoi il ressemble ?" Dit-il avec une pointe de tension notable dans la voix."C'est pas un kraken noir sur un fond de vague rouge."

Qu'il ait répondue par la négation et la tension serait partie de son corps tel un boulet de canon tiré a pleine puissance et il aurait quitté le vieil homme en silence mais non sans l'avoir remercié avant...
Qu'il ait répondue par l'affirmation et notre chers Borik aurait eu alors un rictus de haine et une lueur de folie passant dans les yeux, le souffle court, il demanderait toute les informations qu'ils auraient en sa possession. Le respect de la vieillesse étant la seul chose qui le protégeait d’être secoué comme un gobelin par Borik...

Les jours se succédèrent dans leurs mornes habituelles jusqu’à ce qu'un jour le capitaine leur annonça que l'on allait passer un point dangereux de l'étape est pour cause... Le bateau de ne serait qu'à quelques brasses de la rive, de quoi rapidement l'aborder avec des chaloupes ou grâce au surplomb rocheux qui jetait une ombre sur le pont du navire...

C’était d’ailleurs une ombre mouvante sur le pont qu'il lui fit lever la tete et lui donna l'impression du voir du mouvement à bâbord, suivis juste après de la fuite d'une nuée de corbeaux de leur perchoir. Avant son malheur il aurait pris ça pour une coïncidence mais maintenant il ne laissait plus rien au doute...
Il se dirigea rapidement vers ses frères Gimrin et Baelfur pour leur parler.

"J'ai vue du mouvement sur la crête rocheuse à bâbord, posté vous de sorte à pouvoir repousser un abordage au cas où... Je vais avertir Oldor ou Thorgan de ce que j'ai vue..."

Gageons qu'ils suivirent ses directives car il alla directement voir la personne la plus proche de lui, et qui devait certainement être Oldor, pour lui faire part de son impression et lui suggérer de préparer discrètement les marins aux combats en finissant sa phrase part... "On est jamais trop prudent..."
Et voila mon premier post sur le forum dsl pour l'attente... Je me suis permit de donner un nom au quartier-maître et d'autre chose, si tu penses que j'ai surpassé mes droits fait le moi savoir. En espérant que ce poste te plaise moi en tout cas ce début d'histoire oui.
Modifié en dernier par [MJ] The Puppet Master le 16 oct. 2016, 12:54, modifié 1 fois.
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Re: Le salaire de la rancune [Karanak]

Message par [MJ] The Puppet Master »

A peine Borik avait-il fini de partager ses inquiétudes que l'embarcation s'engageait déjà dans le défilé où le lit de la Rivière Hurlante était le plus étroit et les surplombs les plus hauts.
Ce fut là, alors que toutes les respirations se faisaient courtes et les regards inquiets, que des cris stridents résonnèrent alentour se répercutant de toutes parts dans l'étroite gorge.
Immédiatement, on jeta sur le navire des sortes de boules vertes qui tombaient… en hurlant !
Quand l'une d'elle vint s'écraser aux pieds du « Mâchefer », alors qu'une dizaine d'autres avait échoué dans la rivière, tous furent stupéfaits de voir agoniser une petite créature à la peau verte, aux longues oreilles pointues et aux dents jaunes.
D'un coup de botte, le capitaine nain fit rouler le corps désarticulé par dessus bord en soufflant sous son épaisse barbe brune :

- Saletés de crétins de grobi* ! Puis, d'une voix forte et postillonnant : Tout le monde à son poste ! Sécurisez la marchandise ! Je ne veux pas voir une seule de ces saletés y toucher ! (*) en Khazalid dans le texte. Grobi : gobelins Dans la seconde qui suivit, comme si les ordres de Thorgan avaient tiré de leur torpeur les membres d'équipage, on courut et s'activa en tous sens sur le pont. Chacun, tirant une arme dissimulée sous une bâche ou derrière un tonneau, se mit en position alors qu'une nouvelle pluie de gobelins descendait du ciel en criant.
Quel spectacle de voir tomber, depuis les surplombs rocheux, ce déluge de créatures vertes !
Chaque chute était assortie de cris stridents et de rires inquiétants, et des gerbes d'eau accompagnaient les plongeons des gobelins autour du bateau.
Les éclats de voix de ceux qui allaient échouer sur le pont étaient plus des couinements apeurés que des hurlements visant à instiller la peur dans le cœur des défenseurs car ils avaient compris qu'ils ne feraient que rebondir sur le bois dans un craquement sinistre annonciateur de leur mort quasi-instantanée. De leur côté, ceux qui avaient mieux visé et avaient touché l'eau, tentaient de se hisser à bord de la barge à fond plat et, déjà, une demi-douzaine d'entre eux y étaient parvenus.
Les hommes et nains d'équipage faisaient leur possible pour les repousser mais le nombre d'assaillants ne faisait que croître et ils avaient bien du mal à tous les empêcher de rejoindre le pont.
Gimrin et Baelfar abattaient leurs marteaux sans coup férir sur les gobelins qui parvenaient à passer outre les défenses de l'équipage. Les malheureux petits peaux-vertes n'avaient pas la moindre chance face à de telles armes et un seul coup suffisait à les mettre hors d'état de nuire quand ça ne les tuait pas tout net.
Tout à coup, alors qu'il allait se mêler à l'affrontement, Borik remarqua un gobelin tenant une torche et courant vers la voile avec, sans doute l'intention d'y mettre le feu ! Malheureusement, avant de pouvoir intervenir, le tueur nain aurait d'abord à se défaire de trois de ses « frères » bondissant dans sa direction et il n'avait pas vraiment le temps de s'y attarder...
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Re: Le salaire de la rancune [Karanak]

Message par Karanak »

Borik venait à peine de finir sa mise en garde quand lui et le contre-maître levèrent la tete en entendant des hurlements au-dessus d'eux... Ils purent assister à un étrange phénomène météorologique assez rare pour la saison, rien de moins qu'une pluie de grobi dont certains c'étaient déjà écrasé sur le pont du navire.

Tout le monde fue pendant un instant stupéfait de ce qu'il avait vue et par extension par la preuve de l’imbécillité crasse des gobelins. Mais l'heure n'était plus a la réflexion mais a l'action, car déjà les vermines bien vivante qui avait eu la présence d'esprit ou la chance de tomber dans l'eau prenait d’assaut le navire de toute part. Les marins nains comme humains se battaient maintenant cote a cote pour repousser cette invasion le temps que les rameurs nous sorte de ce défilé et nous ramène vers des eaux plus profonde ce qui empercherait l'arrivé de nouveaux renfort ennemie...

Les pirates étaient toujours sa priorité dans sa liste de vengeance mais aujourd’hui il allait temporairement les délaissaient pour massacrer du gobi et ainsi venger des milliers de frères mort de leur main et de nombreux sacrilège fait a l'encontre de sa race par cette moisissure verte. Il fut emplis de joie féroce quand il voyait le carnage que fesait ses deux frères Tueurs dans les rangs ennemies et comptait faire de même quand un détail attira son attention...

Dans la mêlée générale, Borik vit un gobelin qui semblait esquiver tout les combats semblant avoir une mission particulière ou ayant tout simplement un éclair de gobi sournois. En effet non content de foulée ce navire de ces pattes vertes malodorantes, il avait dans ces mains une torche qu'il semblait vouloir utilisé pour mettre le feux a la voile et ainsi les clouées sur place dans le défilé... Ou du moins les ralentir suffisamment pour les submerger sous leurs nombres.

Les flammes étant une des choses les plus redoutées sur un navire avec les maladies et les femmes pour certains marin. Mais là il fallait tenter de l’arrêter dans son horrible manœuvre, et c'était bien ce qu'il comptait faire si trois de ces enflures ne lui avaient pas bloqué le chemin, pensant à tord qu'il fessait une proie facile a trois contre un...

Il aurait bien pris tout son temps pour leur faire comprendre qu'un dawi valait bien dix grobi mais hélas il n'en avait pas le temps, il chargea alors ses ennemies en brandissant ses deux haches et en profitant de son ambidextrie pour tuer ou du moins mettre hors d'état ses assaillants le plus rapidement possible pour intercepter le porteur de flambeau...
En commencent par celui qui avait des poignards dans chaque mains...

Il tente néanmoins d'avertir ses frères Tueurs de la menace en espérant que sa voix porte suffisamment malgré la bataille rangé:


"Gimrin... Baelfar... Le grobi avec la torche, faut le chopper !"
Modifié en dernier par [MJ] The Puppet Master le 21 oct. 2016, 11:14, modifié 1 fois.
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Re: Le salaire de la rancune [Karanak]

Message par [MJ] The Puppet Master »

INI : 1.gobelins (10) 2.Borik (6)
Attaque gob 1 : 6 (réussite → localisation : torse) / parade Borik sous PAR (9) : 10 (échec)
Dégâts : [FOR de l'attaquant x2] + [Points de dégâts de l'arme de l'attaquant (fixes+ aléatoires)] - [END du défenseur] - [Points de protection de la zone touchée] = 29 – 9 = 20
Borik perd 20 PV
PV restants à Borik : 50/70
Attaque gob 2 : 7 (réussite → localisation : torse)
Dégâts : [FOR de l'attaquant x2] + [Points de dégâts de l'arme de l'attaquant (fixes+ aléatoires)] - [END du défenseur] - [Points de protection de la zone touchée] = 29 – 9 = 20
Borik perd 20 PV
PV restants à Borik : 30/70
Attaque gob 3 : 11 (échec)
Attaque Borik sous ATT (10) : 9 (réussite → localisation : bras gauche) / parade gob 3 : 4 (réussite)
[FOR de l'attaquant x2] + [Points de dégâts de l'arme de l'attaquant (fixes+ aléatoires] - [END du défenseur] - [Points de protection de la zone touchée] - [Points de parade de l'arme/du bouclier du défenseur] = 16+18+2D8+1D10 (violence forcenée) – 12 = 42
Test END suite perte plus de la moitié des PV : 2 (réussite)
Les saletés vertes étaient aussi rapides que vicieuses et Borik fut impuissant face à la coordination de leurs attaques. Les coups de poignard passèrent outre sa défense et lacérèrent la poitrine et le ventre du nain, marquant sa chair de larges entailles vermeilles. Néanmoins, la riposte du tueur toucha l'un des assaillants qui tenta d'interposer sa lame mais, sous la puissance de l'attaque, manqua de se faire arracher le bras et roula dans un couinement pitoyable quelques mètres plus loin. L'épaule disloquée et le bras ballant, le gobelin sanglotait sur son sort, incapable de reprendre le combat. Il fixa son bourreau de ses petits yeux rouges et feula craintivement à son encontre tel un chat défait protestant, pour la forme, face à plus fort que lui.

- Baelfar ! Descends-moi c'te salop'rie avant qu'il foute le feu ! aboya Gimrin en réponse à l'avertissement de Borik.

Il abattit, dans la foulée, son marteau sur deux gobelins qui bondirent en arrière pour éviter l'assaut, laissant le champ libre au second tueur pour se lancer à la poursuite du pyromane.
Des douze hommes et nains d'équipage il n'en restait plus que huit encore debout à repousser les peaux-vertes assaillant la barge. Thorgan « Mâchefer » s'était armé d'une épée manifestement de facture naine et ferraillait aux côtés de son quartier-maître pris au piège au milieu d'un cercle de six gobelins vindicatifs.
Borik avait encore deux adversaires à abattre et, avant de pouvoir secourir qui que ce fut, il devait en priorité rester en vie...
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