Un village au fond de la montagne

D'immenses montagnes forment la chaîne des Monts brumeux. De nombreuses colonies orques et gobelines s'y trouvent.

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[MJ]Deus Ex Ridiculis

Un village au fond de la montagne

Message par [MJ]Deus Ex Ridiculis »

Nombreux ceux qui sont persuader que les royaumes nains se résument à leur grandes forteresse millénaires, nombreux sont ceux qui pensent que l'intégralité des membres de ce fier peuple préfèrent se terrer dans les profondeur des montagnes. Cependant, contrairement à l'opinion commune, il y a aussi, à proximité de chaque forteresse naine, des nombreux petits villages, qui sont des zones d'échanges, de chasse, de culture, mais aussi de refuge, pour tout ces nains qui décide de quitter leur forteresse au nom de l'honneur, tel les tueurs, ou même les rangers. Karak Ekrund n'échappait en rien à cette règle, et à des lieux à la rondes, on pouvait y trouver de ces petits villages éprouvés par la guerre et le brigandage, mais si important dans les relations avec le monde non nains.

Kadrin Ok, était un de ces petits villages, surement un des plus éloignés de la forteresse, dont on le pouvait voir que la silhouette se dessina au loin par les journée sans nuages. Il était également un village d'une très grande importance commerciale et diplomatique, car situé entre la Bretonnie et la somptueuse cité Tiléenne de Miragliano. Ce village était le paradis pour quiconque cherchait un groupe de mercenaire du peuple des montagnes afin de traversé les Monts Brumeux, que beaucoup connaissent sous le non de Voutes...

Il n'était donc pas rare du tout d'y trouver une forte concentration d'humains, Tiléens ou Bretonniens, ou même marchand de l'empire, chacun se livrant à des activités multiples et variées. Cependant, même dans un tel village, il était un type de visiteur qui était rare, et dont la présence était vue avec un mélange de crainte et de respect, représentative de ce qu'était ce genre de visiteur aux yeux de la race naine.

Et justement, un bruit courait dans les 5 tavernes qu'abritait le village (chez les nains, il y a un théorème : pour chaque tranche de 20 nains, il y a une taverne :roll: ), un de ces visiteurs arpentait le village depuis quelque jours. Un membre du culte des Tueurs, portant sur son dos une immense cicatrice, était là, cherchant un moyen, d'accomplir son destin, afin de laver son honneur souillé. Nul doute que cela ferait un garde de caravane tout à fait acceptable, et désiré par la plupart des marchands présents dans la ville. Le plus offrant, et le premier arrivés serait probablement également le premier servit...

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Portedeuil
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Re: Un village au fond de la montagne

Message par Portedeuil »

Il y avait maintenant moins d'une demi lune que Portedeuil marchait dans la montagne sans rencontrer grand monde. Ses basiques connaissance du massif des Voûtes lui permettait d'emprunter généralement le bon chemin et il tombait le plus souvent sur des hameaux ou des petits campements. Or, cette fois si il se souvint rapidement du village de Kadrin Ok. Il n'y était jamais allé mais tout nain de Erkund pouvait citer son existence.

A cet instant, le tueur ce maudit lui même, la seul pensé de son ancien foyer fit trembler son esprit, il se refusait d'y repenser. Chose extrêmement dure pour un nain, race fière de leur patrie et de leurs familles. Mais Portedeuil était un mort en vie, il n'avait plus de lien, plus d'attache, simplement le destin brute de mourir.
Il repoussa une branche d'un revers de hache et tomba nez à nez avec la clairière qui abritait le village. Ses fortifications étaient rudimentaire mais suffisant, c'était des nains qui défendez le village non pas de frêle Umgi. De la il pouvait entendre les braillements des marchands et il savait sûrement qu'on l'avait déjà repérer. Ainsi, il sortit des bois.

Les gardes de la porte le dévisagèrent longuement mais ne dirent mots. Portedeuil ne ressentait aucune gêne mais il savait qu'il n'était pas toujours bon signe de voir un tueur.

Il ne retint pas que le regard des nains mais aussi des humains plusieurs chuchotèrent a son passage, impressionné ou simplement étonnés. Le tueur prit la direction de la première taverne qu'il rencontra et entra en claquant légèrement la porte. Il grogna d'une façon très naine et ses pas arrachèrent des petits craquements au planche de bois recouvrant le sol. S'essayant dans le fond de l'auberge, la ou les ombres masquaient le plus possible sa silhouette il soupira longuement. Soupire qui ressemblait plus a un sifflement d'ours. Les discutions reprirent bien vite leurs cours laissant le tueur seul.

Il tapota légèrement sa bourse, il lui restait encore un peu de cet mitraille humaine que lui avait laissé les derniers humains qu'ils avaient croisés. Son gosier était sec mais l'obligeance était d'attendre qu'on vienne lui demander quoi boire et il n'était pas du genre a ce lever et a parler en premier.
Modifié en dernier par Anonymous le 16 juin 2009, 20:01, modifié 2 fois.
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[MJ]Deus Ex Ridiculis

Re: Un village au fond de la montagne

Message par [MJ]Deus Ex Ridiculis »

Au milieu de toutes ces personnes qui avait remarqué le tueur, il y en avait une qui avait décidé de prendre les devant, une qui savait avoir besoin d'un guerrier aussi redoutable.

Cet homme ne tarda d'ailleurs pas à se manifester, car il avait besoin de bras, et de bras fort, ainsi que d'une bonne hache pour sa futur expédition au travers des terres de son pays. Il se leva donc et s'approcha donc du nain passablement grognon, même pour ceux de sa race, cependant, quand on connaissait la raison pour laquelle un nain rejoignait le culte des tueurs, on comprenait aisément pourquoi...

Il était grand pour un homme, avait de long cheveux, et de fines moustache l'identifiant comme un estaliens, ce qui était confirmer par son habillement, ainsi que ses deux gardes du corps. En effet, il avait un magnifique chapeau à plume, une cape de grand facture, et une tenue impécable à la mode de ce pays si extravagant, et les deux gardes avait une manière de s'approcher très prohce de cela également, la seule différence étant les rapières qui étaient attachés à leur ceinture respectives, les présentant comme les redoutables duelliste de ce pays, capables de pourfendre n'importe qui en combat singulier.

Toujours était-il que si ces deux gaillards semblait particulièrement sérieux, le premier, lui, affichait un sourire amicale, et avait deux chopes de bières à la mains, et s'adressa au nains en Reikspield, malgré un accent qui trahissait ses origines.


Bonjour ségnor nain, Vous mé semblé assoiffé, pourrais-je mé permttre de vous offrir oune ou deux pintes dé cette bière...

Sans même attendre la réponse du tueur, il s'assit à la table, face à lui, et tendit une des deux pintes au guerrier. Il semblait jaugé celui qui lui faisait face, comme s'il voulait voir si la force qu'il semblait dégager était réelle ou pas...

Souis-je bête... Bien sour qué vous en voulez, c'est dé la bougman triplé X, tous les nains l'aime, même si cé n'est pas la méjor...

Après cela, il resta assit, sa propre pinte à la mains, attendant la réaction de Portedoeuil. Tout le monde avait compris ce qu'il voulait en abordant le tueur, mais il prenait son temps, comme savent si bien le faire les estaliens, car il tenait à juger de la force du nain, et cela il ne le pourrait qu'en tournant autour du pots, sauf si celui-ci bien sur, se débrouillait pour accélérer le mouvement...

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Portedeuil
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Re: Un village au fond de la montagne

Message par Portedeuil »

L'odeur de la nourriture qui cuisait et les rictus se dessinant dans la fumée des fumeurs de pipes de la taverne ne suffirent pas a détourner l'attention du tueur. D'un œil que l'ont qualifierait de mauvais il scrutait toute personne susceptible de poser problème ou simplement de le regarder. Il ne voulait pas être dévisagé, la honte suintait de tout ses pores et il en arriverait bientôt a un point ou il ne pourrait en supportait plus. Mais Portedeuil devrait vivre et il l'espérait mourir sans. Malheureusement sa courte rêverie fut détourner par un Umgi qui l'avait surpris légèrement. Il ne remarqua l'homme qu'une fois qu'il fut sur lui. Accompagné de deux autres hommes, des combattants jugea le nain vue leurs armes, ce qui voulait donc dire que l'homme était un marchand ou un noble.

Il ne reconnaissait pas leurs accoutrement, ils n'étaient ni de l'Empire, ni de la Bretonnie et bien qu'ils ressemblaient aux Tiléens leurs manières étaient différente. Sûrement des hommes venu de l'ouest, une contrée dont il avait oublié le nom. Et au fond qu'elle importance, ils restaient des hommes, éphémères frêles et peu digne de confiance.

Cet homme par contre voulait quelque chose de lui, il s'assit a la table lui proposant a boire. La soif prit le tueur quand il fut mit au courant de la noble provenance de la bière, a un tel point que l'ont pouvait le lire dans ses yeux. Mais Portedeuil douté qu'un si petit village possède un tonneau d'une des plus grandes bières du légendaire maître brasseur. Le nain aimait noté qu'il lui ressemblait assez, tout les deux avaient été brasseur et tout les deux étaient partit en quête de vengeance, malheureusement, Portedeuil n'empruntait en aucun cas le glorieux chemin de Josef Bugman. Il saisit la choppe, huma légèrement le parfum qu'elle dégageait et y porta ses lèvres avant d'avaler de grande lampées d'alcool. Il la reposa a moitié vide et émit un rot sonore, ce qui ne choqua personne sauf peut être les humains présents. Il releva légèrement la tête.


Que me veux tu Umgi, ont n'offre pas bière a inconnu si ont ne cherche rien a extirper de lui, je n'ai pas d'argent a te donner et si tu veux me le dérober je jure sur Grimnir de voir le jour demain.


Toujours très brut, cette phrase résonna tel le roulement des rochers dans la montagne, son accent était a coupé au couteau mais il n'avait pas apprit longuement le langage des hommes. Aussi en d'autre thermes il stipulait que si l'humain voulait le souler et le voler, il le tuerait.
Modifié en dernier par Anonymous le 17 juin 2009, 14:31, modifié 1 fois.
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[MJ]Deus Ex Ridiculis

Re: Un village au fond de la montagne

Message par [MJ]Deus Ex Ridiculis »

Contrairement à ce que tout le monde aurait put attendre, la réaction des gardes du corps du noble fut de sourire, et heureusement, car beaucoup prétendent que lorsque les duellistes d'Estalie dégainent, leur lame virevoltent tellement vite que personne ne la voit, même si dans la situation présente, il était possible que le tueur s'en sorte en cas de conflit...
Également à l'inverse à ce que tout le monde aurait put attendre, le noble éclata d'un rire clair et sonore, ce qui confirmait que les Estaliens était bel et bien ces gens extravagant et tordu dont tout le monde parlait.

Après cette franche rigolade, il prit une gorgée de sa bière, nullement choqué par les manières très brutale du tueur, puis il s'appuya sur la table, avec ce même sourire au lèvre que ce qu'il affichait depuis le début, mais cette fois, il y avait dans son regard une lueur étrange, comme s'il n'attendait que le moment où le tueur se jetterait sur lui. Il s'adressa au nain en baissant beaucoup sa voix, au point qu'elle semblait presque être un chuchotement.


Si yavé voulu vous voler, jé n'aurais pas prit la peine d'acheter la pinte sénior nain, quand à votre défi, c'est avec plaisir que jé l'aurais rélévé si jé n'avais pas eu bésoin de vous, et de votre hache.

Se reculant ensuite, puis posant ses pieds sur la table, il recommença à parler, comme s'il n'avait jamais insinué qu'en cas de duel, il était sur de s'en sortir vainqueur, il semblait avoir jugé la volonté et le courage de ce guerrier, et devait avoir décidé qu'il était temps de lui exposé la mission qu'il voulait lui donner.

Si jé souis venu vous voir sénior nain, c'est parcé qué jé mé rend en Tilée, dans la somptoueuse cité dé Luccini. Comme vous pouvez, l'imaginez, yai beaucoup d'énémis, et jé vous avouerais qué, malgré mé amis que vous voyez et moi même, la caravane qué jé mène risque de soubir quelques attaques, et par mesoure de sécurité, yaimerais qué vous fassiez parti dou voyage...

A ces mots, il laissa glisser sa main vers la bourse bien remplie qu'il avait la ceinture, car il savait que TOUT les nains, tueurs ou pas ne résistaient jamais à l'appelle de l'or. Bien sur, il attendait de voir si son interlocuteur aborderait le sujet où pas, mais manifestement, il pouvait payé, et en grande quantité...

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Portedeuil
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Re: Un village au fond de la montagne

Message par Portedeuil »

Portedeuil aurait put prendre ces rires pour un affront mais le marchand sembla lui couper l'herbe sous le pied et il n'eut pas le loisir de répondre. C'était donc un caravanier ou une personne détenant des marchandises dans une caravane qui partait pour Luccini de l'autre coté des Voûtes. Un voyage long et peut être périlleux, il pourrait s'entraîner a pourfendre et même peut être trouver la mort héroïquement.

Le nain voulut réfléchir il soupira légèrement quand un simple geste qui évoquait pour lui un grand bonheur, défit toute ses barrières mental. L'or était la ressource principal des nains, c'était bien plus qu'une simple monnaie, c'était un lien qui unissait toute leur race. A un tel point que plus d'une vingtaine de mot existait pour différencier tout les types d'or. Portedeuil se redressa lentement et but une gorgée de bière.


En Tilée vous dite.


Il vida le reste de sa bière rapidement et ses traits semblèrent changer. Il deviendrait un garde de caravane s'il le fallait et voir la Tilée ne lui était pas désagréable.


Je serais votre garde de caravane s'il le faut. Mais combien payerez vous mes services ? Il lança un signe de tête aux deux gardes du corps. Eux la, ils sont habillés avec des vêtements couteux et des armes d'une qualité passable pour votre race et si je dois venir avec je veux pouvoir posséder pareil somme.

Le tueur essaya de mettre une pointe d'humour dans sa phrase mais l'humour nain et qui plus est venant d'un tueur devait sembler bien froid ou très peu compréhensible pour un humain. Qu'importe.
Modifié en dernier par Anonymous le 18 juin 2009, 18:57, modifié 1 fois.
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[MJ]Deus Ex Ridiculis

Re: Un village au fond de la montagne

Message par [MJ]Deus Ex Ridiculis »

Sans se départir de son sourire, l'Estaliens regarda le nain avec un air entendu. Sa main préalablement descendue détacha de sa ceinture une bourse manifestement pleine, et la posa sur la table, bien en vu du tueur. Il prenait tout son temps pour faire chaque geste, comme s'il voulait mettre en haleine le nain qui lui faisait face, ce qui, lorsque l'on considère le tempérament moyen des Estaliens, quelque choses de fort probable.

Toujours sans dire un mots, il fit un signe de tête à ses deux camarades, qui partir vers le comptoir, manifestement pour aller chercher de la bière, qui se vidait en quantité, car oui, mine de rien, notre ami Estalien avait déjà finit sa bière aussi.

Après cela, il se tourna vers le tueur, pour ce qui allait probablement être une négociation intéressante, ou peut être rapide, cela, seul l'avenir le dirais...


Tout d'abord, il faut qué vous sachiez que moi, jé né pay qu'en or... Lé voyage d'ici Luccini séra long.... Qué dites vous dé... oune pièce d'or?

C'est à ce moment qu'arrivèrent les deux gardes du corps, avec deux pintes de bière, et les posèrent sur la table. En homme prévoyant, l'homme avait du se douter que les négociation durerait probablement un moment...
A noter que si mes souvenir son exact, une pièce d'or ça fait 120 pistoles, pour que tu puisses te repérer... (en gros notre ami est pété de tune...)

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Portedeuil
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Re: Un village au fond de la montagne

Message par Portedeuil »

Selon la dernière édition : 1 couronne d'or = 20 pistoles d'argent = 240 sous de cuivre. Mon personnage demandera donc plus d'argent si ont suit ce taux de change. Sinon je rectifierais ;)
C'était un homme riche Portedeuil le savait, tout indiquait en lui que jamais il n'avait connut la misère. Mais l'or rendait faible le cœur des hommes aisément corrompus ont ne pouvait faire confiance a quelqu'un de trop riche car il pouvait tout aussi bien vous payez pour le protéger que pour vous faire assassiné. Mais le tueur ne pensait pas vraiment a sa, si Grimnir décidait de le voir mourir comme un lâche il accepterait ce destin même si toute les fibres de son être en passant par tout ses poils de barbes ce révoltaient a cette simple pensée. D'un ton grognant il répondit lentement.

Me prends tu pour un ignorant Umgi ? Mon peuple utilisés la monnaie bien avant que le tient ne sorte cul de terre. Si je décide de t'accompagner jusqu'à Luccini tu me devras 8 de ces pièces d'or.

Le nain était non pas froid mais brute, les nains étaient distant avec les humains même si un serment millénaire les liées pour toujours. Et Portedeuil devait porter un lourd fardeau sur les épaules si bien qu'il ne pouvait faire preuve de bon sens.
Il soupira longuement et porta une main dans sa ceinture et y trouva des dés en os qu'il lança nonchalamment sur la table. Ils roulèrent peu de temps avant que le bois n'absorbe les la vitesse et que deux signes runiques apparaissent sur la table. Le tueur soupira et grogna avant de reprendre les dés rapidement et de posé un regard perçant sur son compagnon de table.

Il laissait une part de son jugement aux hasards, car Portedeuil pensait que ses pas ne pouvaient être dicté que par la puissance du dieu sans peur et que celui ci le guidait tout les jours de sa vie et grâce a ses dés. C'était simple d'esprit mais le nain y croyait dure comme fer et celui qui oserait ce moquer de sa pratique devrait bientôt comprendre que les deux runes qui étaient sortit annonçaient la mort en khazalid.
Modifié en dernier par Anonymous le 20 juin 2009, 19:46, modifié 1 fois.
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[MJ]Deus Ex Ridiculis

Re: Un village au fond de la montagne

Message par [MJ]Deus Ex Ridiculis »

Ok, on va faire comme ça, donc, une pièce d'or= 20 pistoles (mais ça n'empêche pas qu'il est toujours pété de tune)
C'est avec un grand intérêt que l'Estalien contempla les dés tandis qu'ils roulaient sur la table. Son interlocuteur avait grandement levé les prix, pourtant, il ne semblait pas gêné le moins du monde, par cela. En réalité, il semblait même beaucoup s'amuser, comme s'il s'attendait depuis le début à cela.

Il attrapa une des chopes qu'avaient apporté ses gardes, faisant signe au nain de prendre l'autre s'il le voulait. Buvant doucement, il ne quitta pas des yeux le combattant, et lorsqu'il reposa sa chope, il reprit la bourse et l'ouvrit. A ce moment là, ses deux amis redoublèrent de vigilance, car, dans un pays comme celui-ci, les voleurs n'étaient pas si rare que ce que les nains pouvaient le penser.

Dans un geste rare pour un marchand, et encore plus pour un noble, l'homme retira de la bourse deux pièces d'or, qu'il jeta sur la table, juste à porter de main du tueur, et joignant le geste à la parole, lui fit une offre encore plus rare...


Dissons dos mainténant, et jé vous en offrirai au moins 4 dé plous à l'arrivé, voir peut être un peu plous. Y bien sour, tout vos frais de nourritoure, de boisson ou de logément dourant lé voyage sera payé par ma bourse...
Et ceci, je vous lé promet sour mon honneur et celoui dé mes amis, moi, don Bernardo dé la Mancha


A ces mots, il reposa sa main sur sa bourse, puis repris une gorgé de la bière qu'il y avait dans la pinte qu'il avait déjà utilisé. Il semblait avoir décidé que les négociations avait assez duré. Il fallait avoué qu'en cette époque sombre, peu de gens était capable de laissé autant d'argent en pré-paiement, et que fasse à un nain, le fait de donné sa parole était un preuve de bonne fois, mais cela, il n'y avait qu'une personne qui pourrait le décider...

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Portedeuil
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Re: Un village au fond de la montagne

Message par Portedeuil »

Portedeuil grogna légèrement comme il le faisait souvent. Il saisit la nouvelle chope de bière et dégusta rapidement la bonne moitié de son doux arôme. Ce que le Marchand ne savait pas c'était qu'un tueur qui commençait a boire s'arrêter généralement bien longtemps après la cinquième choppe et Portedeuil ne faisait pas exception a la règle a vrai dire son passé de brasseur en faisait un nain assez résistant a l'alcool mais au détriment d'une sur consommation qui défiait grandement le raisonnable.

Les deux pièces d'or roulèrent sur la table et le nain savait qu'il n'était pas le seul a les avoirs vu roulé, des regards peut être plus que malsain et a la lourde signification ce tournait vers les pièces. Le tueur était a vrai dire a l'écoute et il ne réfléchit pas longtemps avant de s'emparer d'un geste vif de l'or qu'il plaça dans sa bourse de fortune. Il était maintenant a la tête d'une petite richesse personnelle qui lui permettrait peut être d'entretenir avec plus de soin son arme et aussi de se fournir de la graisse de porc. Il vida sa chope.


Marché conclut Don Bernardo dé la Mancha, je vous servirez de protecteur jusqu'à Luccini. Je me nomme Portedeuil.

Son nom n'avait rien de commun et le nain l'avait prononcé avec une certaine réticence car il savait que de nombreuses oreilles naines l'écoutait. Mais ses pensées furent balayer par le fait que bientôt il pourrait s'exercer toujours plus ainsi que d'étriper les possibles montres qui s'attaqueraient au convois et tout sa avec un hébergement, a manger et a boire gratuitement. Que demandez de plus ?

Bien, quand partons nous ?
Modifié en dernier par Anonymous le 26 juin 2009, 09:09, modifié 1 fois.
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