La Bretonnie, c'est aussi les villes de Parravon et Gisoreux, les cités portuaires de Bordeleaux et Brionne, Quenelles et ses nombreuses chapelles à la gloire de la Dame du Lac, mais aussi le Défilé de la Hache, le lieu de passage principal à travers les montagnes qui sépare l'Empire de la Bretonnie, les forêts de Chalons et d'Arden et, pour finir, les duchés de L'Anguille, la Lyonnesse, l'Artenois, la Bastogne, l'Aquilanie et la Gasconnie.
C'est à cause de gens comme vous sans honneur que ce monde est si cruel. Mais je n'ai pas l'intention de me laisser mourir ici ce soir.
Dunois jette ensuite sa dague en direction d'Hervé, non seulement pour tenter de le blesser, mais également pour détourner son attention. Dunois se jette à la suite de la dague pour se ruer sur Hervé, il se jette corps et âmes sur lui.
Pour la dague T2 : 12+ score obtenu 9
A la suite De la Dague, Dunois à l'intention d'agriper la main qui tient la dague d'Hervé et de le rabattre au sol, la main gauche maitrisant la dague d'Hervé, la main droite agripant Hervé à la gorge. Dunois en profite même pour tenter d'asséner un coup de genou en plein dans l'entre jambe pour calmer radicalment son adversaire.
Hervé évite sans peine la dague jetée par Dunois mais, surpris de le voir se ruer sur lui, n'a pas l'habileté suffissante pour esquiver la charge.
Le choc est violent.
The Puppet Master a écrit :Saisir le bras armé : réussite automatique due au RP.
Saisir Hervé à la gorge : HA(3) vs HA(4) : 7+ score obtenu : 6, raté de peu.
Coup de genou : HA(3) difficulté combat corps à corps : 5+ obtenu : 4, encore raté.
Hervé tente de se défendre : HA(4) difficulté combat corps à corps : 5+ obtenu : 9, aie !
Dunois, chargeant avec conviction, parvient à saisir le bras d'Hervé pour l'empêcher de se servir de son arme et lui assène un coup de genou... dans le ventre, ce qui a pour effet de couper le souffle du traitre. Les deux hommes roulent à terre.
La flèche dans le bras droit de Dunois se casse quand celui-ci rencontre le sol gelé et s'enfonce encore plus profondément dans sa chair lui arrachant un cri de douleur et l'obligeant à lacher sa prise sur le cou d'Hervé. Ce dernier tente alors de frapper le jeune homme au visage avec sa main libre. Son poing rencontre la pointe du menton de Dunois projetant sa tête en arrière. Les deux hommes roulent à nouveau et Dunois se retrouve en position de force sur Hervé. Il peut lire, malgré l'obscurité de la nuit, sur son visage toute la surprise et la détresse du disciple de Marcus face à cette situation.
Mais, au moment où Dunois espère enfin profiter de son avantage pour mettre un terme au combat, une violente douleur envahi tout son corps... L'accolyte d'Hervé vient de lui planter son poignard entre les omoplates. Dunois s'effondre, terrassé, sur Hervé qui le repousse sur le côté en jurant.
Autour de Dunois tout se met à tournoyer et, bientôt, la nuit étoilée s'obscurcit pour finalement disparaitre. Le jeune noble perd connaissance. Ses yeux se sont clos, seules ses oreilles parviennent encore à saisir des bribes de conversations.
Enfin, je croyais que nous n'en viendrions jamais à bout ... occupons-nous du vieux ...le coffret ... à moi ... Moussillon... vite ...
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Il fait froid, Dunois frissonne, ses yeux s'ouvrent à nouveau...
Le soleil est à son zénith...
Le jeune noble est meurtri, son bras, son dos, son visage, son corps tout entier crie sa souffrance...
Après quelques minutes, il parvient à recouvrer ses esprits... L'embuscade, les ombres, Hervé, la douleur, la nuit...
Soudain, une pensée horrible le saisit. Marcus !
Tant bien que mal, Dunois se traine jusqu'à l'endroit où ils avaient installé le vieil homme et leur campement. Il l'aperçoit enfin, Marcus est toujours là, enroulé dans sa couverture près des cendres froides. Il tousse ! Il est toujours vivant !
The Puppet Master a écrit :Dunois : 5 PV suite aux nombreuses blessures subies
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
oublient qu'elles n'ont que l'illusion de la liberté...
Une fois rassurer sur l'état du vieil homme Dunois s'enquiert aupres de lui, s'il est réveillé.
Comment-allez-vous maître Marcus?
Dunois attend sa réponse avant de lui dire qu'il doit vérifier une chose et qu'il revient sous peu. En fait Dunois part récupérer ses dagues sur le champ de bataille ainsi que d'éventuels autre chose que les ombres aurait laissé.
Malgré les tentatives répétées de Dunois pour obtenir une réponse, Marcus ne dit mot. Il semble que le pauvre homme soit pris par la fièvre et sombre peu à peu...
Dunois ne retrouve sur les lieux du combat que les corps des deux ombres qu'il a abattues, quelques flèches disséminées ça et là, un arc brisé et un poignard sur un des cadavres.
Ses dagues ont été emportées par Hervé ou son accolyte alors qu'ils laissaient Dunois pour mort...
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
oublient qu'elles n'ont que l'illusion de la liberté...
Tu me le paieras Hervé sois en sûr, je te retrouverai et je récupérerai ce que tu m'a volé. Que la Dame de Maudisse toi et ton acolyte.
Dunois retourne donc aupres de Marcus qui malade ne peut rien dire.Dunois regarde si le coffret auquel tenait tant marcus est encore là, tout en réfléchissant à quoi faire. Le village est à une journé de marche mais pourra-t-il tenir jusque là? S'il le peut Dunois porte Marcus en direction de Saint Martin les lys. Dans le cas ou il ne le pourrait pas il met Marcus à l'abris, va chercher de quoi le couvrir en détroussant les ombres prépare un feu pour le réchauffer et veille le vieil homme attendant une idée ou de l'aide, priant la dame POur le salue de cette homme et de som homme et lui demandant de lui accorder la force, et l'occasion de se venger d'Hervé.
Dunois comprend vite que, dans son état, il lui est impossible de porter Marcus jusqu'à Saint-Martin-Lys. Il ramasse donc les manteaux des cadavres et en couvre le vieil homme. Ensuite, il rassemble quelques morceaux de bois et prépare un feu.
Marcus ne tousse plus et sa respiration se fait plus calme.
Nul besoin de fouiller dans les affaires pour s'apercevoir que le coffret, si précieux aux yeux de Marcus, n'est plus là.
Dunois souffre énormément et frissonne car la fièvre empourpre maintenant son front. S'il ne fait rien pour soigner ses blessures, une mort certaine l'attend d'ici peu... D'autant plus que ses provisions aussi ont été emportées par Hervé.
Le soleil est haut dans le ciel clair de l'hiver bretonnien, mais il fait froid aujourd'hui. Dunois est seul et blessé, sur un chemin désert, à veiller sur un vieil homme mourant à plus d'une journée de marche du premier village.
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
oublient qu'elles n'ont que l'illusion de la liberté...
Dunois malade rassemble ses forces pour se diriger vers Saint-Martin oui il espere trouver une âme qui pourrait lui venir en aide. Il glisse alors à l'oreille de Marcus qu'il va tenter de chercher du secours et quelqu'un pour penser ses blessures, et que s'il peut reprendre la route qu'il se dirige vers Saint-Martin en Lys. Puis Dunois se met en marche vers Le village de SaintMartin en Lys.
Si Dunois ne rencontre aucune difficulté pour rejoindre le village de SaintMartin en Lys il cogne à la premiere porte qui se présente et demande qu'on l'emmene au Temple de la dame et qu'un homme à besoin d'aide sur la route de Carcassonne à une journé de marche avant de s'écrouler épuisé et presque exsangue
Epuisé, à bout de force, ne tenant plus debout que par la volonté de la Dame, Dunois parvient, après presque deux jours d'errance, à Saint-Martin-Lys. Le jeune noble s'effondre immédiatement après avoir demandé de l'aide au premier paysan rencontré...
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Dunois se réveille sur une paillasse, quelques couvertures lui apportent un peu de chaleur et un feu brule dans une petite cheminée d'angle. Son bras et son dos sont couverts de bandages, le reste de son corps est nu. Le jeune homme à l'impression de se réveiller aprés un mauvais rêve mais la douleur lui rappelle bien vite que toute cette mésaventure fut belle et bien réelle. La mort n'avait pas voulu de lui cette fois-ci, mais la prochaine fois peut-être sera-t-il moins chanceux !
A cet instant, un homme fait irruption dans les songes de Dunois.
Ah, Messire Dunois est réveillé ! C'est pas trop tot. J'ai bien cru que tu allais dormir un jour de plus...
Cette voix et cette façon si familière de s'adresser à un noble... ça ne peut être que Clodomir ! Le colosse borgne qu'il avait du affronter à la lutte lors de la fête de l'hiver, le champion des champions depuis plus d'une décennie, lui apporte un bol de soupe et une miche de pain.
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
oublient qu'elles n'ont que l'illusion de la liberté...
Les premieres pensées de Dunois vont vers maître Martin, alors même qu'il souffre le martyr, Dunois s'inquiéte de son ancien compagnon de route, il se lève presque d'un bond alors que Clodomir tente de le calmer. La douleur lui rappelle que Clodomir dit vrai et que mieux vaut rester tranquille. Dunois se rallonge donc se tenant le bras et grimaçant de douleur.
Qu'en est-il du vieil homme qui m'accompagnait, je l'avais laissé à une journée de marche au sud, à t-on été le chercher?
Oui, nous l'avons trouvé. La mine de Clodomir devient tout à coup plus sombre.Malheureusement, j'ai bien peur que ces jours ne soient comptés. Je te mènerai près de lui dès que possible. En attendant, bois çail tend à Dunois le bol de soupe fumante et celui-ci peut sentir le doux parfum d'un potage aux légumes, et repose-toi, tes blessures ne sont pas jolies à voir...
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
oublient qu'elles n'ont que l'illusion de la liberté...
