Vengeance et dettes à payer [Koravar]

[Koravar]

Heureusement Matthias sembla faire marcher le peut de matière grise qu'il possédait et s'élança à la suite du semi-elfe en embarquant Pierre au passage. Le semi-elfe tourna rapidement la tête pour voir le géant à la hache commencer à le rattraper, Pierre sur ses talons. Finalement le géant le dépassa et détruisit une barricade que les bandits avait sans doute érigé à la hâte (Koravar préférait cette explication plutôt que celle, peut rassurante, que le géant puisse détruire une solide barricade bien construite avec sa seul force et en un seul coup.
Il sortirent du camp en courant avant de s'immobiliser, à la fois de stupeur et d'admiration. Sous leurs yeux ébahis, une armée d'animaux furieux sortaient de la forêt pour attaquer les brigands. C'était donc ça les bruits effrayants qu'ils avaient entendus. Ils restèrent immobiles, éberlués par ce spectacle aussi impressionnant qu'effrayant. Pour Koravar une seul chose pouvait expliquer que les animaux leurs viennent en aide... la magie.
Comme tous les gens "normaux" Koravar se méfiait de la magie. Elle était imprévisible et à ce qui lui avait raconté son maitre elle provenait du chaos. En même temps, si elle lui venait en aide Koravar n'allait pas lui craché dessus. Il se demandait juste qui avait bien pût envoyer ces bêtes pour les aider. Étais-ce la sorcière ou...
Il fut coupé dans ses pensées alors qu'une flèche s’abattis sur son épaule. Heureusement elle de s'y planta pas et ne heurta aucun point vital, mais elle y traça tout de même un sillon sanglant. Le semi-elfe porta immédiatement sa main à son épaule, en grognant de douleur, il avisa que deux autre flèches s'étaient plantés dans le sol. En tournant la tête il put voir que les bandits s'était réveiller (vu le ramdam ce n'était pas étonnant) et commençait à se défendre. Alors qu'il hésitait quand à la marche à suivre, trois homme armé surgirent des fourrés. Si deux d'entre eux n'étaient pas des plus impressionnants, malgré leurs lances,leurs boucliers et leurs mines féroces, le troisième en revanche dans on armure complète presque rutilante et son épée à deux mains de vilaine allure capta immédiatement l'attention des trois fuyards.

*Quoi ?! Un chevalier ? Ici ? Mais qu'est-ce que fous un chevalier ici ? * Se demanda mentalement le semi-elfe. Toutefois, sa surprise et son interrogation passèrent rapidement en second plant suite au paroles de l'homme en armure.

-Vils brigands, je vais vous anéantir. POUR LA DAME!


*Quoi !!!* Se demanda le semi-elfe alors que le chevalier commençait à le charger. Il se mit à réfléchit à tout allure, il n'avait aucune envie de se lancer dans un combat contre le bretonnien beaucoup mieux protéger que lui, peut-être que s'il arrivait à lui faire comprendre qu'il était de son côté...

-De grâce messire écoutez-moi ! Ma famille et moi ne sommes pas du côté de ces assassins ! Nous sommes venu venger un des nôtres qui habitaient le dernier village attaqué par ces pilleurs et libéré ma soeur qui avait été envevé mais ils étaient trop nombreux, et nous avons du fuir mais mon oncle et ma soeur sont entre leurs griffes, de grâce aidé nous ! Dit le semi-elfe d'un ton suppliant à l'homme en armure. il espérait que le chevalier serait intéressé par le fait d'augmenter son prestige aux yeux de la dame en sauvant une jeune femme et faisant une cause juste.
Sinon, il ne resterait plus que deux solution au demi-elfe, combattre le chevalier ou retourner au camp.

[[MJ] Drakonis]

Bon, un petit post pour débuter et se mettre dans le bain, le temps que je me glisse pleinement dans votre aventure.

Le chevalier jaugea Koravar du regard, semblant hésiter entre l’occire sans plus attendre ou bien prendre en compte ses arguments. En tout cas, il allait falloir le convaincre de la véracité de ses dires.

Test de Char : 1, réussite critique
Je démarre fort…

Le bretonnien s’exclama soudainement : « Je ne puis souffrir que des brigands attaquent des honnêtes gens ainsi. Compagnons, châtions ces gueux comme ils le méritent. Point de pitié pour la canaille ! Pour la Dame ! » Et sur ces mots, sans plus se préoccuper du semi-elfe, il chargea, sabre au clair, suivi de ses hommes d’armes. Koravar était donc sauf, ses camarades toujours à ses cotés.

Amerkan avait en face de lui une véritable montagne de muscles engoncée dans une imposante armure. La montagne le toisa sévèrement, tentant manifestement de décider si oui ou non il l’embrochait sur le champ ou s’il attendait un peu.

Test de Char : 8, réussi

Finalement, après plusieurs minutes d’un lourd silence seulement entrecoupé par les pleurs de la sorcière, qui avait manifestement du mal à supporter ce trop-plein d’émotion, l’homme abaissa son arme et marmonna quelque chose qui ressemblait fortement à : « Paysan stupide ». Mais il fit signe aux autres soldats de s’éloigner, puis il chargea sans plus attendre, emportant avec lui toute sa troupe. Amerkan restait donc seul avec la sorcière, avec enfin peut-être l’espoir de s’enfuir de ce lieu maudit.

[Amerkan]

Amerkan attendait désespérément la réponse du soldat menaçant. Il venait de laisser son couteau à terre afin de montrer ses intentions pacifique. Après un silence assourdissant, le garde rappela ses chiens de garde et insulta Amerkan d'un discret:
"Paysan stupide"
"Paysan stupide?!"s'interpella Amerkan. "Non mais il s'est regardé l'autre andouille à la tête d'une armée de Bretonnien?!"

Amerkan ravala une fois de plus sa fierté bafouée et se retourna vers ses compagnons d'infortune tandis que la troupe armée chargeait dans le camp. Il s'adressa tout d'abord à Wilhelm en lui demandant s'il avait besoin d'aide puis alla vers la jeune femme en pleur. Il ajusta la veste qu'il venait de lui donner afin que ses formes ne paraissent plus. Puis il leur proposa une directive:

"Je vous propose d'aller à la rencontre de vos amis. Ils doivent être sorti du camp. Nous devrons donc longer la palissade, ainsi nous serons sur de les retrouver. Néanmoins je me permet de vouloir prendre des précautions. Nous longerons le bord de la forêt afin de pouvoir nous enfuir rapidement si l'un des bandits venait à nous attaquer."

Puis en attendant la réponse Amerkan ramassa le couteau laissé à terre et aida ses camarades à se relever. Il avait encore une longue route à faire jusqu'à l'Empire, et avec pour tout équipement un pantalon et un poignard et pas un sous en poche, la route serait plus longue et difficile que prévue. Ainsi Amerkan avait déjà décidé de retourner dans le camp après l'assaut des animaux et des Bretonniens pour reprendre son équipement et au passage trouver de l'équipement ou quelques richesses. Amerkan ne voulait prendre aucun risque, il indiqua à ses amis de se tenir dos au soleil dans le cas où un combattant enivré par la bataille se jetterait sur eux, le bandit sûrement ivre se retrouverais les yeux face au soleil et serait immédiatement aveuglé, donnant ainsi le temps au groupe de battre en retraite.
Cependant quelque chose intrigué Amerkan. Les animaux qui avaient soudain attaqué le camp ne pouvait pas avoir charger au hasard, cette hisotire était liée à la magie; Maerkan en était sûr. Les bandits ne possédaient aucun mage à la connaissance de l'ingénieur et les chevaliers Bretonnniens ne maîtrisé pas la magie liée à la nature. Sachant qu'il était avec la sorcière lors de l'incantation il ne pouvait s'agir que de l'un des amis du faux bandit. Le vieil homme qui était sorti du camp fatigué devait être à l'origine de ce chaos. Mais comment un paysan pouvait il maîtriser la magie sans l'avoir apprise au préalable avec un mage expérimenté. Il fallait se méfier de cet homme étrange bien qu'il aida Amerkan et les autres à sortir du camp.
Amerkan se focalisa alors sur sa mission principale: retrouver le reste du groupe et son équipement dont son cher pistolet.

HRP:Je ne sais plus si je l'ai précisé mais Ayla n'est pas encore rentrée dans l'aventure/HRP

[Koravar]

Koravar attendit tendu la réponse du chevalier. Si celui-ci décidait d'attaquer, il était loin d'être sur d'en ressortir vainqueur, surtout si il était soutenu par ses hommes. Le chevalier le jaugea un instant, hésitant apparemment entre écouter le semi-elfe qui fuyait les ennuis ou tenter de le transformer en de hachis parmentier. Heureusement, il décida de croire l'histoire du demi-elfe, sans doute espérait-il amené sur lui le regard de la Dame en accomplissant une bonne action.

« Je ne puis souffrir que des brigands attaquent des honnêtes gens ainsi. Compagnons, châtions ces gueux comme ils le méritent. Point de pitié pour la canaille ! Pour la Dame ! » S'exclama-t-il en chargeant le camp de bandit suivis par ses hommes d'armes en ignorant superbement le demi-elfe et ses compagnons comme si ils n'avaient jamais existé. Le demi-elfe poussa un discret soupir de soulagement, puis il se retourna vers ses deux camarades.

-Bon, je crois que ce frimeur en armure et ses amis vont occuper les bandits un bon moment, sans compter avec l'aide de nos "amis" de la forêt Allons chercher les autres discrètement, on décidera de la marche à suivre après puisque le plan "on égorge tout le monde discrètement et on s'en va tranquillement" n'est plus d’actualiter. Si des brigands nous bloquent le passage, débarrassons nous en le plus vite possible, on ne joue pas aux héros et on ne se sépare pas. Vue le bordel, c'est le meilleur moyen de nous foutre encore plus dans la mouise. Dit le semi-elfe. Avec un peut de chance et de doigté on pouvait limiter la casse si on agissait sans être irréfléchi et en profitant de la confusion actuelle. Une fois tout le monde réunis, ils pourraient réfléchir à leurs prochaines actions. A savoir aider le chevalier et sa clique ou les laisser faire le sale boulot. Il prit son épée et se dirigea ensuite vers l'emplacement du camp où il avait vu pour la dernière fois l'ingénieur en longeant les bords de la forêt, la sorcière et le vieux sorcier. Il espérait que rien ne leurs étaient arrivés, si l'un d'eux mourait, Koravar ne pourrait s'empêcher d'en être attristé, car il se serait dit que c'était son rôle de les protéger, il vivrait leurs morts comme un échec personnel.

Hrp- Bon ben, j'essaie de me déplacer discrètement là où se trouve Amerkan et les autres en profitant de la confusion. Si je tombe sur des ennemis qui m'attaquent j'utilise coup précis + coup puissant + arme de prédilection.-Hrp

[[MJ] Drakonis]

Amerkan et ses deux compagnons du moment se mirent donc à progresser en longeant l’orée de la forêt. Wilhelm ahanait et soufflait douloureusement, mais continuait à avancer bravement. Quant à la sorcière, elle s’était visiblement décidée à arrêter de pleurer pour le moment, comme si un réflexe de survie s’était décidé à l’en empêcher.

Koravar et ses comparses commencèrent à se faufiler discrètement vers le lieu où ils avaient vu pour la dernière fois Wilhelm, la sorcière et l’ingénieur, attentif à ne pas faire trop de bruits. Mieux valait éviter de se faire repérer.

Test secret : réussi

Silencieusement, ils progressèrent pendant plusieurs minutes. Malgré le noir de la nuit, Koravar parvenait à guider ses compagnons grâce à ses yeux sensibles. Au bout d’un moment, il distingua trois silhouettes avançant furtivement, l’une courbée, soufflant, la deuxième marchant dans un léger froufrou de jupons, et la troisième tentant de vérifier si un danger les menaçait. La jonction se fit à grand renfort de « Wilhelm ! », « Les gars », « Bon, ben, nous voilà. ». Maintenant, ils étaient tous réunis, restait à décider de la suite de leurs actions.

[Amerkan]

Amerkan menait la marche, soutenue par son "fidèle" poignard. Il était attentif au moindre bruit et se retournait parfois pour voir si la jeune femme et l'aïeul le suivait. Les rayons du soleil progressaient à travers les collines, cependant l'environnement dans lequel avançait Amerkan et ses compagnons était relativement sombre. Soudain trois appels retentirent:
« Wilhelm ! »
« Les gars! »
« Bon, ben, nous voilà. »
C'était le reste du groupe , composé de la montagne de muscle, du freluquet berzerk et du bandit renégat. Cela étonné Amerkan qu'il est pu les repérer à une telle distance car le premier geste de l'ingénieur avait été de brandir son couteau et de mettre sa main gauche en arrière afin d'ordonner une halte. Il les aurait sans doute chargé si à son grand étonnement, le vieil ne s'était pas précipité vers eux.
Chacun serra l'autre dans ses bras à l’exception de la sorcière qui se sentait un peu nue, et d'Amerkan qui ne connaissait personne. Il s'avança néanmoins vers le bandit et lui tendit la main en signe de reconnaissance.
"Je vous remercie de m'avoir sauvé. Si vous n'aviez pas été là j'aurais sans doute servi de cible vivante ou de plat de résistance à des chiens sauvages. Mais pardonnez moi je ne me suis pas présenté normalement vu les circonstances. Je me nomme Amerkan Butoda, de Tilée; je me rendais dans l'Empire afin d'apprendre l'ingénieurie, lorsque ces bandits m'ont capturé."
Puis il ajouta:"Voilà vous avez tout, cependant j'aimerais formuler une requête: mon équipement et mon argent se trouve encore dans le camp, je souhaiterais y retourner afin de les retrouver. J'avais avec moi une arme d'une qualité exceptionnel: un pistolet. Et pour tout vous dire ma seule arme."

[Koravar]

Le demi-elfe guida ses camarades à l’orée de la forêt, en tête de groupe, sa vision nocturne lui permettait de voir là où tout humain normalement constituer aurait été aveugle. Il avait son épée brandi en arrière de façon à pouvoir donné un coup rapide et puissant sur le premier idiot venu. Ils progressèrent ainsi aussi discret que possible, le demi-elfe était ravi de voir que ses comparses ne faisaient pas d'histoire pour charger le camp et tuer le plus d'ennemis possibles, mais il était vrais que la perspective de se retrouver au beau milieu d'un champ de bataille peuplé de bandits furieux, d'un chevalier et de sa clique de tordu sans oublier des animaux ensorcelés n'était pas une perspective très réjouissante,même pour des guerriers endurcis et assoiffés de revanches.
Au bout d'un moment le semi-homme finit par voir trois silhouettes qui essayaient visiblement se déplacer le plus discrètement possible, accompagné de bruits étouffer. Le semi-elfe fit signe à ses compagnons de s'arrêter et qu'il n'y avait pas de danger car il avait reconnu les trois individus.
Les retrouvailles des trois cousins se firent dans un concert de "Wilhelm !" , " Les gars" , "Bon, ben, nous voilà." accompagné de solides claques dans le dos. Koravar lui alla pendant ce temps vers la sorcière et lui demanda:

-Est-ce que tu vas bien ? Tu n'est pas blessé ? Avec la voix la plus douce et rassurante qu'il arrivait à faire.

Quelques instants plus tard le jeune homme vu plus tôt vint lui parler, il se présenta en lui tendant la main. Le semi-elfe hésita quelques secondes puis la serra.

-Koravar. Dit-il simplement.

L'ingénieur lui demanda ensuite de l'aide pour récupérer son arme, un pistolet que les bandits lui avaient dérober. Le semi-elfe hésita un instant, puis, il se retourna vers les trois cousins.

-Bon, on fait quoi parceque... Attendez un minute... où est Albert ? Demanda le semi-elfe qui avait enfin remarqué qu'il manquait quelqu'un.

[[MJ] Drakonis]

Au moment où ils étaient enfin sortis de toute cette mélasse surgissait un nouveau problème : Albert, ou plutôt l’absence d’Albert. Tous se retournèrent vers Koravar, comme s’ils attendaient confirmation, puis finalement, il fallut bien s’avouer qu’Albert n’était pas là, et que c’était plutôt embêtant…

Aussitôt Pierre et l’autre cousin firent : « Il a dû se faire rattraper quand on s’enfuyait. Il faut y retourner, on peut pas le laisser dans la mouise. Et puis, avec la boite de conserve géante, le chemin doit sûrement être dégagé. Allez hop, en route, on y va ! » Autrement dit, ils proposaient à la joyeuse troupe rassemblée là de repartir à l’assaut du camp.

Amerkan aurait préféré attendre tranquillement afin de récupérer son pistolet, mais voilà que son plan se compliquait singulièrement. Les gros bras allaient vouloir repartir en chasse de leur camarade, et sans renforts, sa tâche risquait d’être un peu plus hasardeuse. Il allait falloir établir un nouveau plan pour récupérer et le pistolet et Albert.

Au loin, ils entendaient le fracas des combats, les chevaliers et leurs hommes d’arme luttant avec férocité contre les pillards, qui se regroupaient en masse au centre du camp, désormais engagés dans une bataille pour leur survie, car les chevaliers bretonniens n’étaient pas forcément connus pour leur grande pitié contre les brigands. En tout cas, l’action se concentrait au milieu du camp, la petite troupe étant soigneusement cachée par le couvert des arbres.

Bon, vous me dites comment vous vous organisez dans les prochains posts.

[Koravar]

La sorcière n'eut pas le temps de répondre aux interrogations du semi-elfe que d'autres ennuis arrivaient. Albert était resté au camp, rien que ça ! Koravar soupira, encore des ennuis en perspective. Il réfléchit quelques instants, comme le firent remarque Pierre et son cousin, les bandits allaient êtres pas mal occupé avec le chevalier et auraient d'autres chats à fouetter. D'ailleurs ça pouvait s'entendre d'ici. Malgré tout Koravar ne pouvait s'enlever l'impression qu'il venait de quitter un océan de merde pour y replonger juste après s'être séché. Il finit par prendre une décision.

-Bon, Wilheim tu reste ici avec Claudia, veille sur elle, mettez vous dans un coin discret et ne vous faites pas remarquer. ne sortez que dès vous nous voyez ou qu'on vous préviennent que la voix est libre. Pierre, Matthias, Amerkan avec moi, on va aller chercher Albert.
Et peut-être accessoirement ton pistolet. Dit le semi-elfe à l'ingénieur. Il se retourna vers les cousins. Bon, on va chercher Albert et on se taille, faites gaffes sur qui vous tapez qu'on ne blesse pas le chevalier et sa clique. On tue rapidement et si possible discrètement et on ne joue pas aux héros. Compris ? Bon alors on y a. Dit le semi-elfe en se retournant pour aller vers le camp. Il avait décider de laisser Albert garder la sorcière car celui-ci n'avait pas l'air au mieux de sa forme, mieux valait ne pas tenter le mauvais sort et les problèmes, quand à la sorcière elle était bien trop . il se dirigea donc à nouveau vers le camps en prenant bien garde au danger qui pourraient survenir.


Hrp- Bon rebelote, j'essaie de me déplacer discrètement vers le camp en profitant de la confusion. Si je tombe sur des ennemis qui m'attaquent j'utilise coup précis + coup puissant + arme de prédilection.-Hrp

[Amerkan]

Amerkan fut subjugué par la folie des Bretonniens. L'un de leur camarade était resté dans le camp infesté d'ennemi assoiffés de sang et il voulait partir le chercher. Toute fois, il était normal qu'ils partent le chercher puisqu'il faisait partie de leur famille, et l'ingénieur avait lui aussi une dette de vie envers le groupe. Il acquiesça d'un signe de tête la décision du dénommé "Koravar". Avant de pénétrer une nouvelle fois dans le camp, en laissant la sorcière et le vieil derrière eux, il interpella Koravar:

"Je ne vous serais d'aucune utilité au corps-à-corps, je suis un piètre guerrier. Cependant je constate qu'à votre flanc se tient une arbalète à répétition. J'ai déjà étudié cet arme et je pense pouvoir m'en servir. Je vous serai bien plus utile avec cette arme à distance qu'avec ce canif. En plus 'être légère et maniable, elle est silencieuse et rapide bien que sa portée s'en trouve diminuée."


En disant cela il désigna l'objet. Amerkan trouvait deux utilités à cette objet: il lui serait beaucoup plus facile de combattre avec cela et elle lui permettrait de rester à distance et de ne pas risquer sa vie inutilement en se jetant sur l'ennemi. Ils allait maintenant entrer dans le camp. Une forte agitation y régnait: des cris de bêtes sauvages et d'humains s'étant tourné vers l'appel du sang se battaient frénétiquement. On pouvait entendre des cris de tout sentiment: de joie, de plaisir, de souffrance, d'agonie, de guerre. Mais malgré cette cacophonie, un silence assourdissant régnait sur la plaine. Les premières lueurs du jour apparaissait. C'était un temps pour le début d'une vie se dit Amerkan en proie à un certains spiritualisme.

HRP: Si Koravar me donne l'arbalète ce qui est fort probable, j'utilise -Tir précis -/HRP