[Jehan] Prouver sa valeur : Recuperer son honneur

[Jehan]

Anne-Marie venait de lui enlever son bandage, qui recouvrait sa plaie au bras. Une odeur pas très plaisante envahit la pièce. Quel était-ce maléfice ? Il ne sentait presque rien quand on le frappait au bras. Que ce passait il ? Qui était vraiment Anne-Marie ?

Pendant que Jehan se perdait dans ses pensées, la guérisseuse en avait profité pour lui appliquer un bandage sur sa nouvelle blessure. Cette fois-ci le bandage semblait être plus poreux, mais il semblait fonctionner, car en quelques secondes le saignement cessa, absorbé par le tissu blanchâtre…

Anne-Marie retira sa capuche, dévoilant une amulette à la forme rectangulaire. Jehan ne connaissait pas cet insigne. Sa sauveuse souffla sur les deux bougies, qui illuminaient la pièce et se plaça sur son torse. Le cœur d’Anne-Marie semblait lui appartenir à présent, il pouvait en faire ce qu’il voulait.

Mais d’un autre côté, elle ne lui avait pas répondue…

Elle devait lui cacher quelque chose. Alors qu’elle commença à l’embrasser tendrement, Jehan la poussa sur le côté et se releva précipitamment, l’épée pointée sur la gorge pâle de la jeune femme surprise.

« Je crois que tu as oublié de me répondre ! Comment as-tu guéri ma plaie, sorcière ? »

[[MJ] Longrange]

Jehan leva son épée contre la gorge de la guérisseuse. Un acte menaçant, qui fit instantanément retomber toute joie dans sa voix , et l'effrayait indéniablement. Le sang de Richard avait à peine séché sur la lame.

"- Mais Je ...han, Par les dieux que fait tu ? "

La femme était vraiment terrorisé, et aussi surprise d'avoir été ainsi repoussé et traité de sorcière.
Mais qu'est que Jehan avait derriere la tête, se demandait elle ?

"- Je ... t'en supplie, je ne veut pas te faire de mal ... "

En effet, elle était sans arme, un combat se résumerait à l'égorger comme il l'avait fait avec Richard.
A ce moment, les larmes commencèrent à lui monter aux yeux .


"- J'ai toujours fait de mon mieux pour te soigner, toi Jehan, le seul chevalier encore digne pour défendre le peuple ... A présent, je regrette profondément de t'avoir menti. Oui j'aurais du te parler de l'aprés coup de l'opération au bras ...


"- Mais ... Je te doit la vérité, Je ne sait pas ce qu'est cette blessure au bras et bien ... j'espérais qu'elle disparaisse avec le temps, mais quoi que je fasse ... qu'elle que soit les remèdes que j'appliquais, elle continuait à grossir encore et encore ... voila, je n'ai pas put admettre que je n'était pas assez doué pour te soigner, j'espère seulement qu'il guérira un jour ... non je n'ai pas pu .... "

De chaudes larmes coulaient à présent de ses yeux. Jehan pouvait les voir clairement parmi l'obscurité.

"- ... Je voulais juste t'apporter un peu de réconfort... Nous autres du bas peuple, nous souffrons quotidiennement et tu est notre seul espoir ... Tu peut endurer cette nouvelle épreuve Jehan, et je t'y aidera ... Je le jure ... "

Puis elle baissa les yeux, en laissant couler des gouttes d'argent contre le parquet.

[Jehan]

"- ... Je voulais juste t'apporter un peu de réconfort... Nous autres du bas peuple, nous souffrons quotidiennement et tu est notre seul espoir ... Tu peut endurer cette nouvelle épreuve Jehan, et je t'y aidera ... Je le jure ... "

Anne-Marie se mit à pleurer, laissant couler des gouttes d’argent contre le parquet. C’est grâce à cela, que Jehan comprit comme elle l’avait soignée. Cette femme était belle et bien une sorcière. Une mutante !

Loin au nord des contrées du Vieux Monde, du Nouveau Monde et de Cathay, s’étend une région connue sous le nom des Royaumes du Chaos. C’est là, dit-on, que vivent les dieux immortels ainsi que d’innombrables monstruosités sans nom qui hantent les plans éthérés. Jehan avait juré de combattre ce genre d’immondices et maintenant, il allait devenir comme eux.

Jehan était terrifié par ce qu’il était devenu. L’image qu’il avait de lui-même venait de se briser. Le Jehan qu’il pensait être, l’identité même de son âme, n’était plus. Son corps entier frémissait sous une terreur sans nom. C’était donc en lui. La souillure du Chaos était en lui. Les dieux sombres avaient apposé leur marque sur son corps, qui allait commencer à changer selon leurs caprices. Il était damné.

Les pensées se bousculèrent au milieu de l’effroi qui tourbillonnait dans sa tête, chacune demandant une attention particulière et il ne les comprenait pas toutes. Il était désormais un mutant, un proscrit et plus un être humain. Il ne pourrait jamais rentrer chez lui. Aucun Seigneur ne voudrait de lui. Et il n’oserait jamais reparaître devant Sœur Théodora. Il ne pourrait plus aller parmi les gens, de crainte de les contaminer.

Jehan se détourna d’Anne-Marie, le falichon glissa sur le cou de la femme mutante, y laissant une estafilade peu profonde. Elle porta rapidement sa main à la gorge pour étancher le sang. Pendant ce temps, Jehan venait de s’asseoir sur le lit en tenant sa tête à deux mains. Il avait besoin de réfléchir à ce qu’il allait devenir et faire des prochains jours…

C’est le visage parsemé de larmes, que Jehan se tourna vers Anne-Marie.

« Et comment, tu pourrais m’aider à endurer cette épreuve ? En sachant que je deviens une créature, que j’ai toujours voulu exterminer… »

[[MJ] Longrange]

/hrp les larmes de cristales c'est une metaphore, elle pleure normalement du liquide T'y est pour rien, 'jaurait du etre plus clair /hrp Enfin, ton action reste logique et tes pensées sont parfaitement RP . trés bon ! .

Jehan fit glisser sa lame, le long du cou de la femme. Elle n'esquissa pas un geste. Le sang gicla, contre Jehan, le touchant quelque peu. Il n'avait pas forcer pour autant. Elle s'agenouilla rependant encore un peu de sang, avant de s'affaler contre le mur.

A présent il avait encore du sang sur les mains. Cette substance visqueuse semblait le retrouver ou qu'il soit.

Le chaos, l'ennemi tant redouté. Il était ainsi en lui. C'était ce qu'il croyait ?
la fin. Aucun seigneur ne voudrait de lui à présent.

"- Et bien .... Sir Jehan Sombrebois ... Ne crois tu point en la Dame ? " Elle parlait d'un ton triste.

Elle lui avait dit la même chose. A peine quelques jours auparavant. Il était sur le point de mourir d'une infection. Nul chevalier, nul prêtre ni Tancred, ni Theodora. Personne.

"- Une cellule solitaire, laissé à l'agonie ... Tu auras préférer cette glorieuse mort ? Personne ne t'aurais aider Jehan. Tous ces soit disant chevaliers ne te considéreront jamais comme l'un des leurs. Ils te verront toujours comme un paysan parvenu. "

Jehan dut se souvenir, presque à regret. Les nobles le laissant quitter le chateau en vie obéissaient à contrecœur à Sir Tancred, il put voir la haine dans leur visage.
Un paysan osant abattre un seigneur.

"- La dame, la chevalerie. Des mensonges pour opprimer le bas peuple. Mais Jehan. Tu connais à présent la vérité ... "

Elle se releva avec quelques peines. Elle ne saignait plus que quelques gouttes. L'entaille était toujours présente, mais la plaie s'était résorber d'elle même sans même qu'elle eut à y toucher.

Elle se rapprocha de nouveau. En saisant le visage
"- Je soignerais tes blessures, même si tu me fait du mal, car je veut que tu accomplisse ton reve ... "

Elle sécha ses larmes d'un revers de la main. En retrouvant comme une partie de sa joie perdu.

"- Tu deviendra le chevalier du peuple. Aucun code ne t'attachera, aucune blessure ne t'abattre ... Tu sera invincible Notre protecteurs contre ces nobles vaniteux et égoïstes .... Tu sera notre héros ... "

Son bras ne le lançait plus. Il n'avait plus l'impression de pourrir sur place. Il commençait à s'habituer à ce tiraillement persistant


"- Sir Jehan ... de sombrebois ... " Elle était désormais assit à ses cotés. Toute la scène s'étant dérouler dans une obscurité des plus complète.
Sa lame dégoulinait encore de sang. Comment pouvait elle être aussi coupante en étant rouillé ?

Elle était revenu, alors que Jehan faillit la tuer. Elle l'aimait beaucoup c'était certain.
Ses larmes reflétaient le peu de lumière de la pièce. Liquide, chaud et salé comme celle du chevalier.

[Jehan]

Anne-Marie venait de s’approcher du chevalier perdu. Elle venait de sécher ses larmes et plus aucune goutte de sang coulait le long de sa gorge. En apprenant l’atroce nouvelle, Jehan s’état emporté et avait entaillé le cou de la femme.

"- Tu deviendra le chevalier du peuple. Aucun code ne t'attachera, aucune blessure ne t'abattre ... Tu sera invincible Notre protecteurs contre ces nobles vaniteux et égoïstes .... Tu sera notre héros ... "

D’un autre côté, elle n’avait pas tord. Quand il était arrivé dans la demeure de Sir Tancrède, personne n’avait voulu l’aider. Ils l’avaient enfermés dans une petite cellule, en attendant que Morr vienne le chercher. Sans l’intervention d’Anne-Marie, il serait mort. Mort, mais pas habité par le Chaos.

"- Sir Jehan ... de sombrebois ... "

Elle était maintenant assisse sur le lit, à côté de lui. Le falichon de Jehan dégoulinait encore du sang. Cette arme était tranchante, alors qu’elle était rouillée. Cette arme devait, elle aussi, ne pas être saine. Jehan jeta son arme au bout de la chambre et hurla de toutes ses forces. C’était un écuyer damné.

Il était maintenant temps de se ressaisir. Il n’allait pas passer le reste de sa vie à se lamenter. Il devait agir pour lui, mais aussi pour le Peuple de Bretonnie. D’un revers de la main, il sécha ses larmes et se tourna vers cette sorcière. D’une seule main, il la saisit par la visage:

« Je veux que tu saches quelque chose. Tu n’ai rien pour moi et tu ne sera rien qu’une satanée sorcière à mes yeux. Maintenant, tu vas m’aider à découvrir mes nouveaux talents et ensuite, je partirai de ce lieu maudit. Je partirai en quête de la Dame. Le seule personne, qui pourrait me soigner. Aller, lèves-toi ! »

[[MJ] Longrange]

Jehan jeta avec une haine non contenu son falichon, en hurlant au soleil de midi, sa rage d'avoir été ainsi trompé.

Mais Jehan n'était pas du genre à se laisser aller à un destin. Il allait se ressaisir.

La traitant de "satané sorcière", il réclama de façon fort peu courtoise son aide pour maitriser ses nouveaux pouvoirs.

Pour autant, elle demeurait d'une cordialité à toute épreuve.

"- Tes dons ... Oui ils sont très généreux et tu pourras en faire ce que bon te semble... " Lui souffla elle avant de l'emmener plus bas dans la maison.

Ils traversèrent d'un pas lent les escaliers dans une maison peu entretenu, mais ayant quelques choses de ... confortable.
Ils descendirent encore. Durant ces quelques instants. Le torse de Jehan commençait à le taillader de quelques douleurs. Quand à son bras. Il semblait "revenir" à la vie. Il pouvait le sentir de nouveau.


Ils approchèrent. De nombreuses personnes se tenaient sur le parquet de cette cave aménagé. Et un autel laissait fumée des cierges. Les signes et le grimoire qu'il arborait était tout à fait inconnu de Jehan, mais sa connaissance de l'histoire et des lettres lui apprirent que ce n'était ni des écrits de la Dame, ni aucun des codes de chevalerie.

Il demeurait encore trop loin pour lire les écrits.

De nombreuses personnes, la majorité encapuchonnés parurent murmurer avec ferveur en sa direction. Il reconnu cependant certaines des pauvres gens qu'il avait amener ici pour se faire soigné.
En effet, leur état n'indiquait qu'il ne souffrait plus ni de la faim, ni de la maladie, et dans le fond de la salle, des enfants riaient en jouant gaiement avec un animal de la taille d'un petit chien à en déduire par la silhouette.

Elle ouvrit son bandage. Le don, apparut en effet.
La croute avait laisser place à un bras plus épais que celui dont il avait l'habitude. Plus puissant également. Plus résistant ...

"- Il t'as donner un bras puissant. Un don magnifique Jehan, aucune épée ne peut le trancher. Aucun os ne peut résister à sa poigne. Mais ton bras n'est pas encore ... complet. "

Elle lui toucha le torse, au point où son torse avait était lacérer par l'épée de feu-Richard.

"- Je crois en ta quête, Jehan. Je suis convaincu que tu pourras apporter la lumière sur la bretonnie et aider le peuple ... Mais tes ennemis seront nombreux et ce n'est pas une cotte de maille en charpie qui te protègera durant ta quête. "


Ce dernière gisait en haut dans la chambre. Au vu de l'état elle était pratiquement inutilisable sans réparation.

Elle désigna un simple drap à même le sol, en fasse de l'autel.

"- Un pouvoir encore plus puissant. Que tu pourra mettre au service du peuple et de la Dame. Des Chevaliers arrogants comme Richard, seront comme des fourmis devant toi ... Accepte ce don Jehan. Aide le peuple, je t'en conjure. "


Elle le suppliait, mais tous autour parurent attendre la décision de l'Écuyer, il put lire une lueur d'espoir dans leurs yeux.
L'espoir de voir un hero émergé.

Une phénomène nouveau l'envahit. Son torse nue parut cicatrisé à vue d'œil. Comme la coupure qu'il eut fait à Marie-Anne. Une femme normal se serait vider de son sang. Mais cette régénération dépassait l'entendement.

Et ce n'était qu'un peu de pouvoir ... Une pincée.

[Jehan]

Anne-Marie entraina Jehan dans les sous-sols de la maison. Un endroit que l’écuyer n’avait pas visité. Son bras semblait être guéri, alors que maintenant c’était son torse qui le lançait. Ils arrivèrent dans une cave aménagée où se trouvaient de nombreuse personnes, pour la plupart ils avaient une capuche rabattue sur la tête.

Jehan reconnut sans grand mal, les hommes et les femmes qu’il avait guidé jusqu’ici. Ils ne souffraient plus de la faim et plus de la maladie. Mais ils devaient être eux aussi hantés par le Chaos, comme lui. Au fond de la salle, il remarqua des enfants en train de jouer avec un chien. Ils avaient tous retrouvés la joie de vivre, mais à quel prix ?

Pendant qu’il analysé cette scène, Anne-Marie en avait profité pour retirer son bandage du bras. Quand il posa de nouveau sur sa blessure, il remarqua que la croûte avait laissé place à un bras plus puissant et plus résistant.

"- Je crois en ta quête, Jehan. Je suis convaincu que tu pourras apporter la lumière sur la bretonnie et aider le peuple ... Mais tes ennemis seront nombreux et ce n'est pas une cotte de maille en charpie qui te protègera durant ta quête. "

La cotte de maille dont elle parlait gisait dans la chambre. Elle était toute abimée par le coup monstrueux que lui avait infligé Richard de Montlac. De sa main blanchâtre, la sorcière désigna un drap blanc, qui se trouvait juste devant l’autel.

"- Un pouvoir encore plus puissant. Que tu pourra mettre au service du peuple et de la Dame. Des Chevaliers arrogants comme Richard, seront comme des fourmis devant toi ... Accepte ce don Jehan. Aide le peuple, je t'en conjure. "

Il lui fallait donc accepter une autre mutation pour pouvoir sauver le peuple. De toute manière, il était déjà damné. Il allait offrir son corps au Chaos pour sauver des villageois en péril. Jehan espérait au moins, que la Dame verrait son acte de sacrifice.

L’écuyer posa son regard sur son torse et remarqua qu’il était en train de cicatriser à une rapidité incroyable. Comme l’entaille qu’il avait fait au cou d’Anne-Marie.

« Tu n’as pas besoin de jouer plus longtemps la comédie, sorcière. Je vais me sacrifier pour le peuple. »

C’est d’un pas lourd, qu’il s’avança en direction du drap blanc.

[[MJ] Longrange]

Jehan, se sacrifia donc pour le bien de son peuple.
Il espérait qu'a travers cette action, la Dame remarque son abnégation pour le mener à la rédemption en tant que chevalier du Graal.


Il s'allongea sur la fine couche de laine, le séparant du sol. Et laissa Marie-anne ouvrit un coffret avec un respect religieux.


תהילה לאלים של כאוס
לשכור או נור
אף אחד אינו נצחי
כל רצון לחיות במצב של תוהו ובוהו
תהילה לאלים של כאוס

La psalmodie s'élevait de la foule. Elle priait ardemment. Mais tout ceci demeurait incompréhensible pour l'écuyer.

Sa respiration se fit difficile, sa vision se fit trouble. Une fièvre l'envahit également.

Pour autant ...


תהילה לאלים של כאוס
לשכור או נור
אף אחד אינו נצחי
כל רצון לחיות במצב של תוהו ובוהו
תהילה לאלים של כאוס

Ses mots semblait si pur. Si vrai.

Un monde, un château.Un soleil sur un ciel clair Des drapeaux portant le triangle sacré triomphaient en toute place.

Une foule. Elle l'acclamait.

"- Jehan ! Jehan ! Jehan ! "



"- Jehan ! Jehan ! Jehan ! "


Lui les voyait depuis les remparts.
Le peuple n'avait plus ni faim, ni froid. Il vivait heureux et longtemps.

Enfin, il eut craint d'etre seul. Ses chevaliers firent annoncer Théodora.
Dame Theodora.
Tout était parfait.

"- Je souhaite rester à tes cotés pour toujours ... Jehan " Lui dit elle.

Sa présence réconfortante à ses cotés. Il leva son bras gauche. Le bras du vainqueur, le bras du conquérant.

La foule l'acclamait de nouveau.

Tout était si parfait ...

Et bien plus tard, ses yeux s'ouvrirent à nouveau.

Il avait mal en tout endroit. Mais c'était acceptable. Bien loin de l'agonie qu'il avait ressentit à la montagne. Un fièvre lui encombrait l'esprit ... Mais son torse était cicatrisé, la balafre était extraordinairement large, et se joignait en 3 points mais elle était soigné. Son bras semblait revivre à nouveau. Comme si ... Comme si il était plus puissant encore.

Sa vision demeurait trouble encore un instant. Mais la salle demeurait tel qu'elle était. Exceptionnellement vivante.

"- Tu est prêt, Jehan. Désormais, Il t'accompagnera. Il sera ton protecteur. Souvient toi de ces prières si tu est en danger ..."


Il se releva doucement. Sa fièvre ne cessait de le tirailler, mais il ne s'était jamais senti en aussi bonne forme. Elle paraissait, acceptable. Le pire était passé.


"- Tu trouveras nos frères et sœurs dans toute les régions la bretonnie. Ou plutôt, ils te trouveront. Ils t'aideront dans ta quête, car tu fait deja tant pour nous. "



Continua elle.

"- Nous sommes tous derriere toi... Chevalier , oui .. Chevalier Jehan. Celui qui défendra le peuple. Et aidera les miséreux. Le hero, le sauveur ... "

Conclut elle avant qu'un autre frere entrait dans la pièce.

"- Sir Jehan. Votre mounture est prete. "

Délivrance, oui, il l'avait laissé aux bons soins de ses hôtes.
On vint lui donner son cheval. Il était hanarché et pret à partir. Il semblait un peu ... different aussi. Un simple touché sur sa peau lui fit sentir un poil chaud, et une bete plus musclé, plus brave qu'auparavant.

Ils ressortaient tout deux plus fort de cette épreuve.

Jehan dut ensuite se décider pour emmener sa cotte de maille endommagé et son falichon, sa seul arme. ses deux seuls biens avec le reste des bandages des montagnes et un fond de provisions.

"- Tu pourrais aller vers le nord . Beaucoup souffrent encore la bas de la tyrannie d'hommes comme Richard. Vers merceau-des-cloux et Paravon. " dit elle en conseil. Que Jehan était libre de suivre ou non.

Il était chevalier à présent. Errant, de peu de bien, mais il n'en demeurait pas moins un chevalier choisit par le peuple du bourg de mont-lac. Et sa quête continua ainsi.

Tous sortirent à la lueur du petit matin pour lui souhaiter bonne chance. Des larmes meme d'émotions emplissaient leurs yeux. Ils l'aimaient beaucoup et avait une confiance aveugle en Jehan. Le sauveur.

Felicitation, tu vient de passer au rang 1 : Chevalier Errant
Tu gagne +1 END.
Ajoute une cotte de maille endommagé et un falichon à ton inventaire

Tu est n'est pas officiellement chevalier bretonnien étant donner que tu n'a pas eut noble pour t'adouber. Cependant, tu est passé au travers de suffisamment d'épreuve pour mériter cette place pour le peuple.