A la conquête de Quenelles!

[Fianna]

Guillaume avait l'air satisfait, un bon point pour elle, elle n'avait pas apprécié de se retrouver plantée là au milieu de cette soldatesque, mais ça lui permis de noter la défiance d'un des hommes qui semblait proche du seigneur, c'était risqué mais se faire accepter dans cette "maison" lui permettrait de mieux appréhender la situation, si personne ne lui faisait confiance elle agirait de nouveau comme chez les soeurs. Maintenant il fallait qu'elle se conforme au personnage.

Tu les dévisages trop ils vont se douter que tu n'es pas si innocente qu'il y parait, si tu veux être tranquille il faut que tu agisses comme les stupides bécasses qui sortent du couvent.

Elle baissa soudainement les yeux comme quelqu'un qui ne se sent pas à sa place. Quand Guillaume lui proposa une auberge elle ne pu s'interdire de relever la tête. Plaisantait-il ? Une auberge ?

Sire, non que je remette en cause votre décision, je ne suis que votre prisonnière, mais une auberge ? Sire ? Je me croit suffisamment bien née pour être accueillie en votre demeure, je devais être présentée à la cours. Ce n'était pas rien tout de même ! Pourquoi voulait-il me faire résider dans une auberge ? Pourquoi n'envoyait-il pas quelqu'un prévenir ... Prévenir qui d'ailleurs ? Le Chanoine ? Ce pingre, escroc, voleur si elle pouvait le tuer elle en aurait une joie incroyable. Le chanoine serait trop content de se débarrasser d'elle, d'ailleurs à bien y réfléchir les soeurs seraient peut-être les seules à s'inquiéter de sa santé. Peut-être quelqu'un à la cours, elle en doutait, ses "amies" n'était rien de plus que des connaissances et son nom ne suffirait pas à la protéger si ce noble ne cherchait que les richesses...

Elle s'était interrompue dans sa tirade véhémente. Son jeune visage avait reflété son intense réflexion, elle avait du coup suivis les autres sans prendre garde à leurs regards.

[Guillomeux]

/hrp, apo, permet moi cette petite ellipse scenaristique. Je suppose que en rentrant vers l'auberge, on tombe pas sur des shinobis du village caché du scorpion Quenellois, des démons ninja des douzes bras de shivas ou des mines Teller Mark4 modele antichar.
Guillaume apprécie peu de discuter en plein cambrousse comme ca. Surtout que chacun sait ce qu'il doit faire. /hrp

Guillaume attendit la réponse de Bjorn au sujet des hommes qu'ils lui prêterait pour" l'embuscade" de l'auberge. Dans le pire des cas. Geoffroy saurait attraper un aubergiste trop confiant et un assassin trop cupide.
Si ce dernier refusait. Il lui indiquerait de continuer les raids de caravane en tachant de viser principalement le blé.

Guillaume se renseignerait sur le cour actuel, mais logiquement, il devait toujours avoir continuer sa courbe ascendante. Il attendrait simplement le bon moment pour revendre et croquer le doux fruit de la spéculation.

Aussi il écouta d'un oreille partiellement attentivement les allégations de la petite damoiselle.
Cela allait s'annonçait parfois pénible. Ils n'étaient même pas encore arriver, qu'elle se plaignait deja.
"- Mademoiselle Fianna de Brugh Na Boinn" Dit il sans avaler sa langue.

"- Vous serez présenter à la cour bien assez tôt. Pour autant, j'aimerai auparavant savoir qui était votre réfèrent pour vous introduire à la cour. Je ne vous cache pas mon étonnement de voir une si noble dame tel que vous, si peu escorté. "

"- Aussi, je ne doute pas que vous avez de nombreux talents que vous n'aspirez qu'a partager, je me trompe ? Allons ma chère parlez moi un peu de vous. "



La silhouette encore trop familière de l'auberge apparut enfin.
L'aubergiste, serait certainement enchanté de les voir. Mais pour le moment, il fit signe à Geoffroy de garder un contact visuel sur lui.
Il ne devait pas sortir d'ici.

[[MJ] Apocalypsus]

Je laisse ici le post de Fianna pour que la suite soit logique. Le post est fait sous word, je n'attends donc que la réponse de Fianna pour la mettre en ligne

[Fianna]

La jeune fille sortie du couvent croisa le regard de Guillaume, le noble n'était pas dupe, contrairement au soldat, il devait très bien savoir qu'elle n'avait pas de fortune. Il n'y avait pas d'innocence dans les yeux de Fianna, du calcul, de la réflexion, de la colère et un air de souris prise au piège.

Que fais-tu maintenant ?

Elle répondit lentement pour gagner du temps.

Sire, vos soldat ont tué le moinillon qui m'accompagnait, c'était lui qui gardait la lettre d'introduction à remettre à la duègne qui s'occupe des demoiselles de compagnie.

Elle se demandait ce qu'elle allait bien pouvoir lui dire de plus, qu'elle avait une passion pour les poisons ?

Et pourquoi ne pas lui proposer une hache pour me décapiter ? Pensa-t-elle avec une pointe d'auto-dérision.

Mes nombreux talents se limitent au savoir des dames de compagnie. S'il me demande de lui broder quelque chose ou de lui conter une geste chevaleresque je suis finie. Comprenez bien que la situation m'embarrasse autant que vous. Mis à part vous lire vos missives je ne vois pas en quoi je puis vous être utile. Vous m'en voyez désolée.

[[MJ] Apocalypsus]

Bjorn se dirigeait vers le camp, accompagné de ses hommes. Ils avaient l'air partagés. Certains d'entre eux étaient très heureux : le butin était bon et la paye ne devrait pas trop tarder. Cependant, quelques uns (ceux qui avaient été les plus récemment engagés) avaient dans leurs pensées. Leurs actes leur avait sûrement paru dénué de sens ? Enfin... Un peu de maturité leur viendra à force...

Coup de magie du MJ qui fait avancer l'heure...

Il se trouva un peu plus tard devant l'entrepôt, gardé par les soins de sa compagnie. SA compagnie, le possessif roulait étrangement encore dans ses pensées. Otto vint à sa rencontre et le salua sobrement. Il servait sous ses ordres depuis assez longtemps pour éviter le formalisme sans que cela puisse offusquer les autres soldats.

-Hum Bjorn... On a pas encore fait la cérémonie de passation de la capitainerie. Je sais pas si tu avais été mis au parfum ? Et... hum. Je voulais te demander une faveur... On pourrait en parler, nous deux ?

La question avait l'air de le tarauder suffisamment pour qu'il se trémousse nerveusement sur ses jambes.

- Sinon, y'a un des rigolos de l'entrepôt qui a un problème avec l'entrepôt... Faudrait que le client se ramène...

Il laissa sa phrase en suspens. Il savait bien que les problèmes des clients pouvaient amener à des problèmes pour la compagnie. Il se tut et attendit que le nouveau capitaine l'emmène à l'écart s'il lui plaisait. A moins qu'il avait de choses plus importantes à faire ? Otto le savait, être capitaine n'était pas la position la plus facile au sein d'une compagnie et c'est pourquoi, Bjorn savait qu'il pouvait compter sur lui car il faisait tout pour l'alléger d'une partie de son dur labeur

***************************

Accompagné de deux mercenaires et de la belle Fianna, Guillomeux allait à l'auberge. Fianna pour sa part n'avait pas l'air extrêmement utile malgré le fait qu'on voyait qu'elle occultait sciemment une partie d'elle même. Pour se protéger ? Pour sa fierté ? Guillomeux ne le savait pas vraiment. Il se savait influent et charismatique... Une bougrette, bien que de sang noble pouvait parfaitement se laisser impressionner.... Au seuil de la porte, le noble laissa passer un mercenaire devant. Il n'accepterait pas une nouvelle tentative d'assassinat. C'était la première fois qu'on tentait d'attenter à sa vie. Le pouvoir était dangereux... mais tellement énivrant.

Une fois entré dans l'auberge, Guillomeux eut la surprise de voir l'aubergiste.

- Eh eh eh ! Bien le bonjour messires ! Bienvenue ! Je vous offre la première pinte pour le renouveau de l'établissement !

C'était un nain.

[Guillomeux]

Guillaume écoutait les allégations de la jeune fille. Il n'avait que peu de temps à perdre. Pour autant, la dites Fianna lui donna quelques informations utile. Lui permettant ainsi de fomenter la suite de son plan machiavélique.

Mise à part que cette gueuse avait omis de dire que la lettre se trouvait sur le cadavre froid du pauvre badaud l'accompagnant.


"- Vous n'avez ainsi donc aucune introduction officiel. Voila qui est fort fâcheux.Cependant, estimez vous heureuse d'être tomber sur moi. En bas monde votre beau minois et vos atours n'auraient pas stopper les brigands. " Dit il encore sur la route.

"- Quand à vos talents. Nous en ferons bonne usage. J'ai justement quelques missives à envoyer. Enfin. Nous aurons surtout beaucoup à discuter"
Ceci était peu important, mais par principe, Guillaume n'envisager par que quelque un soit totalement inutile.


Une fois dans l'auberge. Cette maudite et damnée auberge, il allait faire signe à Geoffroy de bloquer les issues et de mettre la main "courtoisement" sur l'aubergiste avant de s'apercevoir que le traitre avait été remplacer par un ... nain.

Un NAIN. Une maudite boule de poils hursutes, ivrognes, et puant la biere.
Enfin. C'était toujours mieux que ces traitres qui peuplaient le duchée Quennelles.

"- Monsieur, l'aubergiste. Je vois que vous avez pris les choses en mains. En tant que bon client, j'espère que vous avez une bonne explication à ce soudain remplacement de notre homme qui gérait le lieu pas plus loin que deux jours plus tôt. "
La question allait s'avérer important.
Nul menace pour le moment. Mais il allait devoir mettre la main sur l'ancien aubergiste ou l'assassin. Ne serais-ce que pour calmer Guillaume.

Il fit signe aux hommes de Bjorn de prendre une table et de surveiller un homme qui correspondrait à la description de l'assassin qui leur avait faites.
Le signal pour passer à l'action était simplement.
"- Messieurs, levons notre verre en ce jour nouveau"
Des ivrognes pourraient retenir ce signal.

Lorsque que l'aubergiste aura suffisamment répondu à ses questions. Il irait parler avec Fianna, en privée ou presque ( Geoffroy comptant comme du privée )
Au moins, c'était un outil de plus à utiliser. Il suffisait de la convaincre.
Et de l'introduire.
Oui, une introduction rapide, et qui allait s'avérer douloureuse.

... Pour ses adversaires.

L'introduction dans ... à la cour.

[Fianna]

Elle savait bien qu'il n'avait pas tort, mais elle doutait qu'une lettre introductive aie pu la sauver de brigands, par contre elle espérait rapidement être débarrassée de la présence de l'homme derrière eux, voir le noble en privé pourrait lui permettre d'obtenir plus qu'une position d'écrivain.

D'autant que mon tracé est loin d'être gracieux, à force il va finir par se demander ce qu'on m'a appris dans mon couvent... Elle ricana intérieurement en pensant à la mauvaise réputation qu'elle ferait aux soeurs qui l'avaient élevée. "Beau minois" ce qu'il faut pas entendre... Je n'ai jamais ouïe parler du votre en tout cas

Et c'était exact, elle ne se souvenait pas avoir entendu parler d'un Guillaume de Quenelle et ce n'était pas une bonne nouvelle, avec l'introduction d'un homme dont la réputation était celle d'un homme de foi de son oncle le chanoine elle aurait au moins pu bénéficier d'une pitié qui lui aurait été utile, là elle se demandait si l'influence du Guillaume était avérée ou totalement nulle. Dans le second cas il lui faudrait être patiente et travailler pour lui en espérant rencontrer un parti lui permettant de poursuivre ses travaux et en ayant les moyens. Elle savait qu'elle ferait une belle veuve...

Tu t'écartes du sujet, concentre toi sur ses manières, regarde comme il sous entend la menace quand il s'adresse au commerçant. Et c'est ce qu'elle fit elle nota tout ce qui pourrait dans l'avenir être utilisé à son bénéfice.

[Bjorn Svennson]

Ils avaient enfin été payés, Bjorn était rassuré, ses hommes avaient largement mérité leur salaire, cela faisait des semaines qu'ils survivaient comme ils le pouvaient, quelques pistoles leurs feraient le plus grand bien. Étrangement certains soldats semblaient comme choqués par leurs actes, il n'avait pas imaginé que cela puisse se produire, c'était des mercenaires après tout, toute notion de morale à grande échelle ou de questions existentielles n'avaient que peu de place, ils étaient payés pour tuer, ils le fessaient bien et c'était tout ce qui compte. Normalement l'argent les remettrait sur le droit chemin.

Peu de temps après leur arrivé, alors que Bjorn était sorti un peu pour réfléchir un peu à l'écart, Otto se ramena avec un air à moitié gêné qui n'augurait rien de bon, ou pas... Il le salua sobrement, en même temps ils combattaient ensemble depuis combien déjà? quinze ans? Cela faisait beaucoup d'années et beaucoup de sang.


-Hum Bjorn... On a pas encore fait la cérémonie de passation de la capitainerie. Je sais pas si tu avais été mis au parfum ? Et... hum. Je voulais te demander une faveur... On pourrait en parler, nous deux ?


- Sinon, y'a un des rigolos de l'entrepôt qui a un problème avec l'entrepôt... Faudrait que le client se ramène...

Oula ca faisait beaucoup de choses en même temps, le "capitaine" fronça les sourcils un instant avant de répondre.


-Une faveur Otto? De quel genre de faveur? Et que ce passe-t-il à l'entrepôt?

Bjorn s'était concentré sur le plus pressant, la cérémonie viendrait bien assez vite.

[[MJ] Apocalypsus]

Diantre ! Un nain, la stupéfaction fut telle que Guillomeux resta interdit quelques moments. Reprenant rapidement sa contenance habituelle, il ne resta que quelques traces rubiconde sur ses joues. Fianna nota sa fureur... Elle avait l'habitude de comprendre le fonctionnement des nobles. Guillomeux, bien qu'un peu mystérieux était comme un livre ouvert pour la petite noble. En effet, les soeurs du couvent (qu'elle périssent tous) gardaient bien pour elle leurs ressentiment, mais elle avait appris à comprendre ce qu'elle aurait pu appeler "la colère cachée".

"- Monsieur, l'aubergiste. Je vois que vous avez pris les choses en mains. En tant que bon client, j'espère que vous avez une bonne explication à ce soudain remplacement de notre homme qui gérait le lieu pas plus loin que deux jours plus tôt. "

Le nain sourit grassement au compliment. Il ne devait pas avoir l'habitude. Il répondit dans un gros sourire...

- Eh bien, cher monsieur, le rigolo a désiré vendre sa boîte pour pas grand chose. Ca m'a paru étrange mais vu le prix j'ai accepté. Mon rêve de devenir aubergiste se réalise ! Je ne sais qu'une chose, c'est qu'il n'a pas quitté la ville. Vous devriez peut être aller le voir chez lui ?

Il fit alors discrètement signe à Fianna afin de lui parler en privé...

Jet de perception 18 pour 9 échec

... cependant, elle était complètement distraite par les joueurs de dés sur la table voisine. Guillomeux allait devoir se faire plus insistant ou plus direct.

****************************

-Une faveur Otto? De quel genre de faveur? Et que ce passe-t-il à l'entrepôt?


Otto se dandina un petit peu plus comme si c'était possible. Le sujet devait vraiment lui tenir à coeur.

-Eh bien... Je souhaite vraiment t'en parler, mais en privé...

Dit-il dans un quasi murmure, comme si la honte le rongeait.

-Pour les rigolos, je sais pas faudrait qu'on aille les voir : ils m'ont simplement dit qu'il y avait un souci. Je pourrais t'en parler en route. Je me doute qu'il s'agit d'un problème d'entreposage. En même temps, autant de blé avec les rats qu'on a pu voir quand vous étiez partis... Je pense qu'il doivent avoir peur qu'il se gâte. Faut voir...

[Guillomeux]

Il remercia l'aubergiste, en tordant ses mots de la façon la plus aimable possible.

Bien que l'envie de lui assener la verité sur cette boulatre naine puante d'alcool, Guillaume ne savait que trop qu'il n'avait pas besoin de se faire des ennemis de plus .

"- Je vous en remercie maitre nain, et en effet, il va s'en dire que votre biere sera sans aucun meilleur que celle de l'ancien propriétaire. Celui ci m'avait d'ailleurs laisser une missive à mon intention, connaissez vous son adresse pour que je puisse y envoyer une estafette ? "

Avec un peu de chance, il saurait la position au moins approximative de l'aubergiste, et pourrait la confier aux bons soins des hommes de Bjorn.

Ensuite voyant que la damoiselle avait des yeux ronds comme émerveillé par un vulgaire jeu de dés. Cela l'énerva aussi passablement. Il avait une tonne de choses à faire, et elle regardait des DES !

"- Damoiselle Fianna. " Fit il quand il fut à coté.
"- Nous serons plus à l'aise pour discuter dans mes appartements. " conclut il. Avant de l'inciter généreusement à monter. Geoffroy l'y aidait en "couvrant" ses arrières.

Une fois dans sa chambre. Il s'assit, et attrapa le premier verre de vin à porter. Et en servit un à son hôte.
Il eut une pensée pour son feu-demi-frère Aldric dont on disait qu'il était un aviné notoire.
Personne ne le regretterais de toute façon. Mais il fallait reconnaitre que passer sa vie dans le vin n'était jamais une pure perte.

"- Damoiselle Fianna, je suis un homme occupé. Vous me pardonnerez donc, qu'on en vienne à la raison de votre venu ici directement."

Il se saisit d'un papier et d'une plume et s'installa.

"- Vous provenez d'un couvent et vous êtes d'une famille noble. Votre rang étant pour ainsi dire inexistant pour le moment, vous avez cependant droit aux honneurs de la cours. "

Guillaume avait au moins les bases de ce genre de problématique. La cour était un lieu où se passait et se disait beaucoup de chose.
Mais guillaume ne s'était pas fait introduire pour une bonne raison. Il risquait sa réputation la bas. C'était encore trop tôt.

"- Vous avez certainement apprit l'enseignement pour être une dame de compagnie. Et vous m'avez dit que vous saviez écrire. Parfait, ainsi vous remplissez parfaitement les conditions pour être des plus talentueuse. "

"- Vous m'avez dit savoir écrire, vous écriez donc vous même ce qui suit. " Il lui confia un bon papier ainsi qu'une plume.

"- Indiquez y vos rangs et titres, et que le couvent vous a assumer prêt à œuvrer en tant que Dame de compagnie à Quenelles. Ensuite vous irez rendre visite à un noble de bas étage et tacherez de le convaincre de vous introduire à la cour. Concernant le sceau et la signature, celui ci peut avoir été lorgner durant votre long voyage vers Quennelles, mais n'importe qui ayant les registres nobles de la région ne pourra que confirmer que vous êtes bien du dit-couvent. Nous aviserons pour la suite. "

C'était le plan, il s'agissait ensuite de la convaincre. Il avait commencer par le plan pour que son oreille ne garde que la "récompense" probable.

"- Vous savez comme moi ce qu'un rang si bas peu apporte. Au mieux, après des années de labeur à la cour, vous vous marriez à un petit chevalier de bas étage possédant au mieux une parcelle de terre tenant plus de l'exploitation agricole que du fief. Vous conviendrez comme moi que Duchesse Fianna De Brugh na Boinne. Cela sonne bien n'est pas ? "