[Bastogne] La dette du noble.

La Bretonnie, c'est aussi les villes de Parravon et Gisoreux, les cités portuaires de Bordeleaux et Brionne, Quenelles et ses nombreuses chapelles à la gloire de la Dame du Lac, mais aussi le Défilé de la Hache, le lieu de passage principal à travers les montagnes qui sépare l'Empire de la Bretonnie, les forêts de Chalons et d'Arden et, pour finir, les duchés de L'Anguille, la Lyonnesse, l'Artenois, la Bastogne, l'Aquilanie et la Gasconnie.

Modérateur : Equipe MJ

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[MJ] Longrange

Re: [Bastogne] La dette du noble.

Message par [MJ] Longrange »

Yorrick chargea de nouveau cette fois ci bouclier en avant, pour minimiser les risques qu'il prendrait lors de sa charge.

Yorick arriva le premier au contact, en comptant sur son bouclier pour le déstabiliser et sur son épée pour le vaincre.
Le maitre d'armes tacha d'analyser chacun de ses mouvements, mais le Yorick feinta depuis son dos, ne lui laissant qu'une fine ouverture pour apercevoir la provenance du coup.
/HRP : Charge avec bouclier ! :
Yorick INI : 16
Maitre d'arme : INI : 6 deux attaques.

Yorick est en charge et frappe le premier.

Charge !
15 EN FOR
14 ATT

Yorick ATT 11 reussite !
PAR : 4 Reussite pas de dégats.
Contre attaque Maitre d'arme ATT : 6
Jet : 7 reussite ! Pas de dégats.
Maitre d'arme : Attaque coup de bouclier

ATT : 2
PAR : 10 reussite de justesse. Pas de dégats

Poussé !
FOR opposé !
FOR Yorrick : 9
For maitre d'arme : 10
Maitre d'arme 15 ( -1 différence de FOR ) : 14
Yorrick 11

Yorrick Résiste et le repousse.

Yorick chargea le premier, et eut une ouverture pour sa frappe habilement contrer par le coté de l'acier d'un bouclier adverse. Le maitre d'arme enchaina immédiatement avec une contre attaque en estoc qui vint lui aussi faire crisser le métal du bouclier de Yorick. Cependant, l'impérial avait l'avantage sur le rythme du combat, et il imposa une frappe de bouclier destiné à assommer l'écuyer.
Ce dernier put placer en opposition in extrémis son propre écu afin de se prémunir contre la défaite.
Les deux aciers entrèrent en contact avec une violence Inouïe mais Yorrick avait réussit à le repousser d'un mètre ou deux.

"- Voila tu commence à comprendre lui "
expliqua le maitre.

"- J'ai servi plusieurs années dans les armées impériales chez les fantassins. Avec un simple bouclier, tu peut mettre ton adversaire à terre, et l'achever en moins de dix secondes. C'est la meilleur façon de t'en débarrasser. Si tu frappe assez fort. Tu peut même l'assommer sur le coup. "


Pour illustrer ses propos. Il frappa un coup dans le vent. Ca semblait enfantin. Mais en plein combat, prendre un ascendant physique suffisant pour plaquer son adversaire au sol était difficile.



"- Tout est une question de rythme, tu ne doit pas laisser le temps à l'adversaire de trouver la faille dans ta défense. A ce propos Il faudra aussi que tu travailles la prise de ton bouclier et tes techniques de blocage qui sont assez ... Faible. "

Mais un regard presque paternel vint sortir de ses yeux.

"- Mais tu est plutôt bien battu, mieux que ce que j'espérais pour un écuyer. Allons déjeuner, nous reprendrons ensuite. "


Yorick savait qu'il avait beaucoup à apprendre, mais le maitre d'arme était visiblement un expert du combat à pied. Sous sa directive, il pourra rapidement progresser dans l'art du combat. Il en aura bien besoin.

Le repas léger mais nourrissant incluant un peu de viande grillé, des fruits et des légumes avec de bonnes tranches de mie, et bien sur une pinte de vin rouge ( qui se buvait avec la viande ) fut entrecouper de discussion avec le maitre d'arme.

Celui ci demandait à son élève sur quelles domaines du combat il souhaitait progresser en prévision du tournoi ayant lieu prochainement.
Celui lui proposa des entrainements d'ordre general, ou bien l'apprentissage du maniement de differentes techniques. Bien qu'il nota que Yorick avait un bon potentiel au bouclier.





/hrp salut Yorick. Alors, tu a le temps d'apprendre des compétences de combat ( http://www.warforum-jdr.com/wiki-v2/doku.php?id=v3 )

Fait moi un RP sur comment tu les apprend et sur quoi tu travail.

Info :
Monter une caractéristique au choix ( ATT, FOR, PAR,INI ) : 75 XP ( UNE SEUL FOIS PAR RANG )
Apprendre une competence de combat : 40 XP.
Apprendre une competence de type "Maitrise" : 75 XP

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Yorick le Tempérant

Re: [Bastogne] La dette du noble.

Message par Yorick le Tempérant »

Le jeune écuyer lors de sa passe d'armes eu encore droit à une leçon de combat au corps à corps et il du s'avouer la supériorité flagrante du maître d'arme, malgré l'arrogance de la jeunesse qui le poussait à défier son aîné. Finalement le combat se termina par un match nul, mais Yorick avait vite comprit que le maître n'avait pas délivrer contre lui tout son savoir-faire et sa puissance, lui laissant l'espoir qu'il était un tant soit peu fort et habile. Après lui avoir donné quelques conseils sur la manière d'utiliser un bouclier lors d'un combat à pieds, Maître Heinman l'invita à aller déjeuner au mess privé de la maison de Sir dietrich. Un repas simple composé de viande séchée, de pain et de fromage. Le jeune homme fidèle à sa réputation ne but pas trop de vin pour être en pleine possession de ses moyens lors de l'entraînement de l'après-midi.

Tu te bats bien Yorick, mais tu ne te bats pas encore assez bien. Tu arrives peut être à tenir le coup quelques minutes contre moi, car je retiens certain de mes coups, mais lors du tournoi, il faudra que tu fasses honneur à Sir Dietrich et peut-être qu'avec un peu de chance tu arriveras même à surpasser tes adversaires. Je ferais tout mon possible pour te rendre la tâche plus aisé en essayant de t'entraîner durant ces deux prochaines semaines. Garde bien à l'esprit que ce ne sera pas chose facile, et que tu devras y mettre du tien si tu veux avancer. Alors à présent que j'ai vu tes capacités au duel, dis moi donc où excelles-tu ? et que voudrais-tu apprendre de ma part jeune écuyer ? lui demanda le maître d'armes tout en mâchonnant un morceau de viande sur une tranche de pain, s'abreuvant par intermittence de vin coupé d'eau.

Yorick attendit de terminer ce qu'il avait en bouche pour répondre à son interlocuteur...

Et bien Messire, comme vous devez déjà le savoir, je suis maintenant l'écuyer de Sir Gibaud d'Armagnac depuis près de six années. Mon maître, bien qu'il ait prouvé sa valeur à maintes reprises en tant que chevalier du royaume ne m'accorde pas tellement de temps pour mon apprentissage de chevalier, malheureusement... C'est pourquoi depuis mon arrivé au château de Bastogne, je dois sûrement mes lacunes au combat à mon entraînement autodidacte. Je m'entraîne chaque jour à l'équitation, au combat à l'épée, mais contre des mannequins de bois dans la cour du château, et puis je ne dois pas oublier mon apprentissage des lettres et de la culture, connaissances indispensables à la vie de tous chevaliers à mon sens.

J'ai déjà combattu quelques brigands de grand'Route, et perdu il y de cela peu deux combats contre des vampires, mais ces expériences m'ont fortifiés je pense. Toutefois, il faudrait que je me perfectionne à l'exécution de la charge bretonnienne, au combat en duel en armure lourde ainsi qu'au combat au bouclier. C'est pourquoi je souhaiterai apprendre ces diverses choses auprès de vous, Maître heinman, qui connaissez tant de choses ! Aussi j'aimerais que vous me fassiez l'honneur de m'apprendre à me servir de ce bouclier comme d'une arme de parade plut^tot que d'attaque.


L'ex-fantassin continua à manger sa pitance durant l'exposé du jeune écuyer, il semblait absent, comme perdus dans ses pensées....

Tout en continuant à mâcher la nourriture qu'il avait dans la bouche, il répondit à Yorick, ce qui ne manqua d'énerver ce dernier quant aux bienséances de l'impérial qui lui faisait face.

Et bien ! Voilà un programme bien chargé fiston ! Comme je te l'ai dit, j'ai servi une paire d'années dans l'infanterie impériale avant de me mettre au service de Sir Dietrich comme maître d'armes. Et je ne sais pas ce qu'on vous apprends en Bretonnie, mais quand on parle d'infanterie dans l'Empire, on ne pense pas à la cavalerie jeune homme ! Ainsi je ne pourrais pas t'apprendre à charger comme tous ces chevaliers arrogants que compte la Bretonnie.

Néanmoins, pour ce qui est du reste, tu peux te fier à moi bien que je n'arriverai pas à t'enseigner tout mon vaste savoir durant ces deux prochaines semaines, je pense que je peux t'inculquer une bonne base. Ainsi je te propose le programme suivant. Durant les jours suivants, nous nous attèlerons à ta carrure de chevalier avec beaucoup de musculation. Il en faut pour réussir à porter de telles armures comme en portent les gens de ton peuple.

Bien que tu sois déjà bien battis, il faut que tu progresses encore un peu et ta condition d'homme n'est pas encore atteinte à ton âge. Ensuite, je t'apprendrai à bien te battre en duel, en t'enseignant les différentes passes d'armes et bottes secrètes d'escrime que je connais pour tes duels dans le tournoi.... Je tiens à ce que tu fasses honneur aux couleurs de Sir Dietrich !


Les deux hommes terminèrent ainsi leur repas et l'entraînement pu reprendre son cours...
J'aimerais donc augmenter la maîtrise parade au bouclier.

Suite du post dans pas trop longtemps je pense demain :)

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[MJ] Longrange

Re: [Bastogne] La dette du noble.

Message par [MJ] Longrange »

/hrp yorick comme tu m'a dit par skype, pas de soucis, je te continue. /hrp
L'entrainement reprit donc son cours. Yorick avait hâte d'apprendre les techniques au bouclier. Et peu à peu, jour après jour, l'écuyer apprit de nombreuses méthodes de offensives et défensives utilisable avec cette simple plaque de métal incurvé.

Assez rapidement dans l'entrainement Yorick apprit à se défendre efficacement contre les coups de taille. C'était le plus facile. Ils laissaient une large ouverture pour contre-attaquer après avoir encaisser le coup.

Ensuite, le maitre d'arme passa directement à des attaques de son cru. Le Sturtzhau. Derrière ce nom étranger se cachait une attaque redoutable qui consiste en une attaque commençant par une attaque d'estoc classique vers le haut du bouclier adversaire, avant de changer de direction et de faire mine d'entailler l'épaule.

Par deux fois. Yorick s'y reprit. L'attaque était vicieuse et imprévisible, mais une maitrise suffisante du bouclier permettait d'empêcher quoi que ce soit de se mettre en place autour. Il suffit d'y aller à grand coup de reins pour repousser, et déséquilibrer l'adversaire.

Vers la 2eme semaine. Yorick fut surprit de voir dans le hall, une armure l'attendant.

Un magnifique harnois de tournoi. Revêtu de mailles ainsi que de renforts en plaque. Il promettait un destin favorable à son porteur.
Il avait du couter au bas mot plusieurs centaines de pistoles.
Image
Une armure pratiquement neuve. Elle constituerait un allié de poids pour les futurs combat de l'écuyer.

"- Joli"
Commenta le maitre d'arme "- Dans l'empire seul les chevaliers et les régiments d'élite en sont équipé. Mais vous les bretonniens, vous savez faire vos boites de conserves. "

Un sceau en cire était placé sur le cœur. Il portait armoiries de Sir Dietrich.

"- Je vais demander à un larbin de t'aider à l'enfiler. Une armure de tournoi a un poids repartit sur tout le corps. Mais ca reste pesant, comme tu va le voir "


Une fois ce labeur fait, ils s'entrainèrent de nouveau dans la cours. Yorick fut quelques peu décontenancer par le poids de l'armure. Ses mouvements à l'assaut était quelques peu plus lent, et il lui était impossible d'éviter des coups d'une certaine vitesse par des mouvements d'esquive pur. Il devrait apprendre à les bloquer ou les encaisser.

Une autre semaine se déroula ainsi. 10 heures par jour d'entrainement, en enfilant une armure, et en la nettoyant le soir.
A plusieurs reprises, Yorick se rendit compte qu'il aurait du être toucher par les estafilades du maitre d'arme celui ci lui envoya une estocade.

"- Les coups rapides les plus faibles seront repoussé par tes protections. Et si l'adversaire tente de mettre plus de puissance, tu aura le temps d'intercepter son attaque. "


Puis, la 2eme semaine termina. Yorick eut un entrainement complet, bien qu'intense. Le maitre lui fit un dernier débriefing sur leur entrainement passé.

"- Bien bien. Il semblerait que le jour soit venu. Ta présence ne m'a pas été désagréable, tu te défend plutôt bien pour quelques un de ton age. Je n'ai pas pu t'apprendre tout ce que je sais, mais c'est ce que je peut faire de mieux en aussi peu de temps. Passe mes hommages à Sir Dietrich et remercia le pour la rondelette somme qu'il m'a confier.
Enfin, bonne chance pour le tournoi. Je sais que tu sera à la hauteur. Les autres chevaliers n'ont pas ta ...tempérance au combat Ha ! "

Heinman, homme de l'empire repartit sur ces mots.

Ensuite, plus tard dans la matinée. Un émissaire de la cour du Duc informa Yorick de l'imminence du tournoi celui ci se déroulerait dés l'aube le jour prochain.
Yorick fut également convier auprès de Sir Dietrich.

L'émissaire le guida à travers la ville, le bourg de bastogne était bien en effervecence. Non loin à l'exterieur des murs. Un grand tournoi rassemblant des chevaliers de tout les horizons allaient rassembler.
La peste n'y changerait rien. L'honneur exigeait ce genre de rencontre afin que les seigneurs et ducs puissent trouver de bons chevaliers à leur service. Et que bien entendu, les dames puissent avoir à faire à des bons parties pour le prestige de la famille, ni plus ni moins.

Plusieurs banderoles et foire à la saucisse plus tard, Yorick atteint, la résidence, où se trouvait actuellement Sir Dietrich. Celui ci possédait plusieurs maisons en ville. En y ajoutant les quartiers-maitres des guildes des négociants, en vin, en bois, et en blé.

Visiblement enchanté de le voir. Il invita Yorick à s'assoir et à prendre un verre.
Un excellent rosé de l'Anguille. Visiblement. Yorick le tempérant n'en but que des "larmes"

"- Bien le bonjour. Le maitre d'arme m'a fait part de tes progrès. Tu n'est pas sans savoir que le tournoi commencera demain. Et que je compte sur toi pour te démener durant ces épreuves. Il s'agit de notre honneur à tout deux. "
Une mise en garde tout à fait logique.
Il continua.

"- Tu sais certainement comment cela fonctionne. Le duc présidera les épreuves avec des participants tirés au sort. Seulement une coutume du duché de Bastogne autorise les participants de renommé inférieur à celle de l'adversaire à provoquer le duel en corps à corps au sol. Il serait judicieux que tu utilises ceci pour prendre l'ascendant sur ceux qui te surpasse en combat monté. "

Yorick se souvint qu'aucun cours du maitre d'arme ne l'avait pas préparer au combat monté. Il avait les bases de la cavalerie. Mais le combat en joute était autrement plus difficile. Il risquait gros à se mesurer aux autres sans entrainement.

"- .. Quand à l'armure que tu as vu, je l'ai fait importé pour toi ... Elle sera tienne ... Si tu gagnes mais Je suis confiant en tes capacités. Tu n'est pas n'importe qui n'est pas ? "


C'était une armure qu'il n'aurait pas obtenu avant des mois voir des années d'économies. Cela pouvait il être si facile ?



/hrp
Tu apprend aprés un entrainement intense.
les competences suivantes :
Parade ( Bouclier ) : +1 PAR avec un bouclier
Combat au bouclier niveau 1 : Coup de bouclier utilisable , +1 FOR pour la poussé
Maitrise : Armure lourde. Pas de malus supplémentaire avec une armure lourde. ( sauf ceux de l'armure en elle même )

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Yorick le Tempérant

Re: [Bastogne] La dette du noble.

Message par Yorick le Tempérant »

Ainsi pendant deux longues et fatigantes semaines, l'écuyer s'entraîna tous les jours au combat en duel et les différentes techniques de combat rapproché que pu lui apprendre le maître d'arme Heinman. Ainsi il apprit comment se battre avec son nouveau bouclier et comment parer plusieurs types d'attaques avant de riposter soit avec son épée soit avec le bouclier lui-même. Le bouclier ne servait pas seulement à bloquer les coups adverses, il servait également à charger son adversaires et à le pousser pour le faire reculer, laissant souvent de la place pour charger et prendre l'initiative, ou dans certains cas plus favorables à déséquilibrer totalement le combattant en le faisant chuter à terre. Une fois sur le sol l'adversaire était à la merci du chevalier. Yorick apprit également à mieux se servir de son épée grâce à certaines bottes secrètes de l'impérial dont une (le Stursaus ou quelque chose qui y ressemble) que le Musicien aimait particulièrement, car même vicieuse et subtile, elle n'en demeurait pas moins honorable de par sa complexité. Toutefois cet entraînement martial s'accompagna également de séances de musculation physique, destinées à préparer le Tempérant à porter la lourde armure de plaque qu'il porterait le jour du Tournoi. Ce fut lors de sa deuxième semaine d'entraînement que l'écuyer découvrit le cadeau que lui avait fait sir Dietrich. Une armure lourde d'obsidienne l'attendait dans le hall de la demeure de sir Dietrich.

"- Joli" Commenta le maitre d'arme
Heu, Ahem oui fascinante répondit le jeune écuyer quelque peu abasourdi par la somptuosité de l'armure qui lui faisait face. Elle se composait de tous les éléments constituants d'une bonne armure, à savoir : Le heaume à visière de plaque, le coletin protégeant le cou et le col, des spallières, un plastron et sa pansière. Les brassards, cubitières, protège-poignets et gantelets protégeaient tout le bras du bas de l'épaule jusqu'aux mains. Les tassettes, genouillères à ailettes, grèves et solerets quant à eux protégeaient les jambes de haut en bas également. A cela il ne fallait pas oublier très certainement une épaisse cotte de maille à capuchon qui devait certainement aller plus bas que la taille.

Par la Dame, Cette chose doit peser une tonne ! pensa le jeune et inexpérimenté chevalier.

"- Dans l'empire seul les chevaliers et les régiments d'élite en sont équipé. Mais vous les bretonniens, vous savez faire vos boites de conserves. "
"- Je vais demander à un larbin de t'aider à l'enfiler. Une armure de tournoi a un poids repartit sur tout le corps. Mais ca reste pesant, comme tu va le voir "


J'espérai vraiment que vous me diriez cela mon cher maître. Heureusement que l'entraînement physique que j'ai reçu durant cette semaine et durant mes quelques années de service auprès de Sir Gibaud m'aideront à la supporter. Heureusement également que nous disposons encore d'une bonne semaine d'entraînement pour m'aider à m'habituer à son poids, qui je n'en doute pas, doit être titanesque !

Durant la deuxième semaine où Yorick de Moussillon s'entraîna avec son armure sur le dos en permanence, ce dernier s'aperçut très rapidement que bout de quelques quarts d'heures de combat, le poids du métal sur le dos le fatiguait très vite. Néanmoins il s'endurcit avec le temps et chaque jour il arrivait à combattre plus longtemps avec l'armure. De plus, avec tout cet attirail sur le dos et par le temps ensoleillé du Sigmarzeit, l'apprenti chevalier étouffait rapidement de chaleur. Comme si toutes ces contraintes ne suffisaient pas, il se rendit vite compte que l'armure ralentissait beaucoup ses mouvements pendant le combat, lui qui aimait beaucoup bouger. Il apprit donc à encaisser les coups avec son armure et à bloquer ces derniers avec son bouclier. Il se jura alors qu'une fois l'armure sienne, il la personnaliserai à son goût en ôtant quelques pièces peu utiles afin de lui procurer une meilleure visibilité et mobilité.
Cf. image de profil.
Au terme de sa dernière semaine d'entraînement, le maître d'arme vint rendre visite au chevalier qui était occupé à briquer et lubrifier son armure dans l'armure de la maison.

"- Bien bien. Il semblerait que le jour soit venu. Ta présence ne m'a pas été désagréable, tu te défend plutôt bien pour quelques un de ton age. Je n'ai pas pu t'apprendre tout ce que je sais, mais c'est ce que je peut faire de mieux en aussi peu de temps. Passe mes hommages à Sir Dietrich et remercia le pour la rondelette somme qu'il m'a confier.

Merci énormément à toi Maître d'armes pour ton enseignement qui m'a été plus que profitable, je saurais m'en souvenir quand viendra l'heure de mon adoubement. Tu m'as également montrer que mon arrogance des premiers jours était totalement infondée et je m'excuse pour cela. A présent j'essaierai d'être plus humble dans mes actes. Je ferais parvenir tes remerciements et adieux à Sir Dietrich.

A ce moment précis, l'écuyer se rendit compte qu'il n'avait pas vu une seule fois le marchand nordique durant ces deux dernières semaines et il se souvint de la promesse d'enquête qu'il avait faite au Duc de Bastogne. Yorick se souvint alors du comportement étrange de Sir Dietrich lors de l'exécution des manants et il se demanda comment le noble impérial avait bien pu occuper son temps depuis lors. Il se promit à lui même qu'il essaierai d'en savoir plus.

Mais dis moi Heinman, comment se fait-il qu'on ait pas vu une seule fois Sir Dietrich dans les parages deux déjà deux semaines ? Sais-tu ce qui le retenait si longtemps ailleurs ?

Le maître d'armes omis de répondre à sa question et pris congé.

Enfin, bonne chance pour le tournoi. Je sais que tu sera à la hauteur. Les autres chevaliers n'ont pas ta ...tempérance au combat Ha ! "

Avec un sourire bienveillant, Yorick répondit : Merci pour tes encouragements maître d'armes, je saurais m'en souvenir pendant les combats. Je te souhaite un bon retour dans l'Empire, et qui sait ... Peut-être nous reverrons-nous un jour ! Je l'espère de tout coeur !

Sur ce le maître d'armes quitta la demeure.

Ensuite, plus tard dans la matinée. Un émissaire de la cour du Duc informa Yorick de l'imminence du tournoi celui ci se déroulerait dés l'aube le jour prochain.
Yorick fut également convier auprès de Sir Dietrich.

Avant de quitter la demeure, Yorick empaqueta toutes ces affaires dans un baluchon en rangeant soigneusement son armure. Il attacha ce dernier solidement sur le dos de son destrier et prit les rênes pour accompagner à pieds l'émissaire. Il n'oublia cependant pas de s'équiper du plastron aux couleurs de Sir Dietrich qui embellissait quelque peu sa tunique de lin et accrocha par dessus son ceinturon auquel pendouillait le fourreau de son épée. Il avait également placer le fanon verte de Dame claire entre sa tunique et le plastron...

Durant le trajet jusqu'à la résidence du marchand, le jeune écuyer remarqua que le bourg de Bastogne avait bien changer pendant la durée de son entraînement. En effet, il n'avait pas quitté la demeure de Dietrich et n'avait pas vraiment eu de nouvelles de l'extérieur depuis déjà deux semaines. La ville était en effervescence. On installait des banderoles, et échoppes d'étoffes, de souvenirs, et d'alimentation çà et là dans toute la ville, destinés à vendre le plus de bien possibles aux visiteurs venus des quatre horizons pour assister au tournoi. L’évènement, en plus d'être un joli divertissement pour la gente noble et bourgeoise, était également un bon moyen d'attirer du monde en ville et de faire des affaires pour les marchands itinérants ou non.

Après une bonne marche, les deux hommes atteignirent la résidence privée de Sir Dietrich. Une belle maison aux airs gothiques qu'on voyait surtout dans l'empire. Une maison de marchand à n'en pas douter, quand l'écuyer vit les grandes fenêtres laissant passer beaucoup de lumière à l'intérieur, mais indéfendable en cas d'attaque.
Image
Avant d'entrer dans la résidence, Yorick fit savoir à l'émissaire d'annoncer au maître des lieu sa venue et de bien vouloir le faire patienter pendant qu'il s'occupait de son destrier.

Tu as bien compris Emissaire, un homme de la stature et du rang de Sir Dietrich comprendra bien qu'un cheval et le plus fidèle ami de tout chevalier bretonnien, et il ne m'en voudra certainement pas de le faire attendre pour m'occuper un peu de mon destrier.

Après un quart d'heure d'attente Yorick entra dans la demeure où Sir Dietriech l'invita à s'assoir et boire du vin de l'Anguille avec lui.

"- Bien le bonjour. Le maitre d'arme m'a fait part de tes progrès. Tu n'est pas sans savoir que le tournoi commencera demain. Et que je compte sur toi pour te démener durant ces épreuves. Il s'agit de notre honneur à tout deux. "
Je ferais tout mon possible pour ne pas vous décevoir Sir, et j'honorerai avec tout mon courage et mon honneur votre blason.

Et le jeune chevalier s'inclina en guise de salut, plus pour la bienséance que par réelle envie de s'incliner devant un marchand impérial.

"- Tu sais certainement comment cela fonctionne. Le duc présidera les épreuves avec des participants tirés au sort. Seulement une coutume du duché de Bastogne autorise les participants de renommé inférieur à celle de l'adversaire à provoquer le duel en corps à corps au sol. Il serait judicieux que tu utilises ceci pour prendre l'ascendant sur ceux qui te surpasse en combat monté. "

Cela est vrai Sir que maître Heinman ne m'a pas entraîner au combat monté et encore moins aux joutes équestres. Néanmoins, je pense avoir un bon niveau d'équitation. Je m'y entraîne depuis mon plus jeune âge, bien que je ne pense pas atteindre le niveau d'un vrai chevalier, j'essaierai de faire tout mon possible pour désarçonner le plus grand nombre de mes adversaires, d'autant plus que je suis dans les faveurs de certaines damoiselles de la cour. Je n'aimerai pas les décevoir autant que je n'aimerai pas VOUS décevoir sir.

Néanmoins Yorick se souvint qu'aucun cours du maitre d'arme ne l'avait pas préparer au combat monté. Il avait les bases de la cavalerie. Mais le combat en joute était autrement plus difficile. Il risquait gros à se mesurer aux autres sans entrainement.

"- .. Quand à l'armure que tu as vu, je l'ai fait importé pour toi ... Elle sera tienne ... Si tu gagnes mais Je suis confiant en tes capacités. "

Sir... votre confiance m'honore, je ne vous décevrai pas, dussai-je y laisser la vie, bien qu'il serait regrettable d'en arriver jusque là lors d'une joute.

Tu n'est pas n'importe qui n'est pas ?

Evidemment que non, je ne suis pas n'importe qui ! Je suis Yorick de Moussilon dit Le Musicien ou Le Tempérant dans ce duché, fils de Malebaude de II de Moussilon dit Le Cruel, Ecuyer de sir Gibaud d'Armagnac, et fidèle serviteur du Duc Bohémond de Bastogne, du Roy Louen Coeur de Lion et de la Dame !

J'ai recu l'éducation propre à tout noble destiné à devenir chevalier bretonnien, j'adhère aux valeurs nobles et vertueuses de la chevalerie bretonnienne et des compagnons de Gilles le Breton. Je voue ma vie au graal et à la Dame. L'honneur, la noblesse d'esprit, le courage et l'amour de ma terre natale furent les premiers valeurs qui me furent inculquées et j'ai voué ma vie toute entière à parfaire mes connaissances et mes compétences pour servir du mieux que je le peux mon Royaume.

Si après cela, je suis encore n'importe qui... Je vous demande Sir ... qui puis-je bien être ?


Sir dietrich eut l'air convaincu par la démonstration quelque peu extravagante du jeune écuyer.

Bien alors nous irons ensemble jeune Yorick, et nous détrônerons le champion en titre du tournoi !

Je l'espère bien sir, mais à présent je dois vous quitter, car j'ai un rendez-vous qui m'attends au château du Duc. Si votre seigneurie veut bien m'excuser ... Et sans un mot de plus il sortit de la demeure, laissant son cheval dans les luxueuse écuries de la résidence du marchand et prit le chemin du château de Bastogne.

______________________________________________________________________________

Une fois arrivé aux portes de celui-ci, le soleil déclinait déjà dans le ciel et la journée touchait à sa fin. Le chevalier revit enfin sa demeure bien aimée, bien qu'austère, le château ducal lui était familier et les gens qui l'occupaient lui étaient familier. Il arriva au poste de garde devant les portes et s'annonça aux gardes.

Soldat, je suis Yorick Le Tempérant, écuyer de Sir Gibaud d'Armagnac, fait place et laisse moi pénétrer dans l'enceinte du château.

Bien Sir, vous pouvez entrer et bienvenue chez vousrépondit un garde l'ayant reconnu.

L'écuyer entra dans l'enceinte du château et traversa la cour intérieure saluant çà & là quelques nobles qu'il connaissait de vue. Il fut soulagé de ne pas rencontrer son maître chevalier Sir Gibaud et déçu de ne pas rencontrer le princesse de Bastogne Dame Claire. Mais à cette heure de la journée, elle devait très certainement être dans ses appartements occupée à se préparer pour le dîner du soir. Yorick saisi le fanion vert qui lui avait été offert deux semaines plus tôt et le porta à ses narines pour en humer les effluves de parfum qui y restait. L'odeur lui donna du baume au coeur et il se sentit ragaillardi pour rendre visiter au père de Dame Claire, le bon Duc de Bastogne.

Arrivé au porte du donjon, Le Musicien se présenta à nouveau au héraut qui se tenait devant les portes, encadrés par deux hallebardiers en uniforme jaune et rouge du duché.

Messire Héraut, je suis Yorick le Tempérant et je viens en ces lieux car je dois rendre compte de certaines affaires au Duc Bohémond de Bastogne, aie la bonté de m'annoncer à celui-ci, et ensuite reviens me voir pour me prévenir quand le Duc jugera jugera bon de me recevoir. Tu me trouveras au mess en train de souper.

Bien Monseigneur, je vais de ce pas prévenir le duc de votre requête, vous serez informez de sa réponse le plus rapidement possible. Monseigneur. le héraut s'inclina en guise de prise de congé et s'en alla vers les appartements du Duc.

Yorick quant-à lui quitta le donjon et alla prendre son souper au mess. A peine eu-t-il le temps d'avaler sa première lampée de ragoût accompagné d'une miche de pain, que le héraut vint déranger son dîner.

Monseigneur, le Duc vous fait savoir qu'il n'est pas trop occupé pour le moment et qu'il accepte de vous recevoir et d'entendre ce que vous avez à lui dire.

Et bien ne faisons pas attendre le Duc en ce cas. Merci héraut, j'y vais de ce pas. Et l'écuyer sans terminer son repas se leva, quitta le mess et entra dans le donjon pour rejoindre les appartements de Bohémond de Bastogne.
Une fois arrivé, il toqua trois fois à la porte et entra dans les appartements après qu'il ait entendu une voix derrière l'en autorisant.

Monseigneur Duc, merci de m'accepter au sein de vos appartements et de m'accorder un peu de votre précieux temps. Je vous promet de ne pas être trop long pour que vous puissiez retourner à vos occupations ducales le plus rapidement possible.

Ha vous voilà enfin Sir Yorick, cela fait deux semaines que je suis sans nouvelles du seul écuyer qui participera au tournoi. Quels ragots m'apportes-tu de l'extérieur du château mon brave ?

Messirecommença Yorick en s'inclinant bien bas en guise de salut et de remerciementsComme vous le savez, cela fait déjà deux semaines que je m'entraîne durement tous les jours pour être le plus prêt possible et au meilleur de ma forme lors du tournoi qui débutera demain. Cet entraînement m'a été offert par Sir Dietrich et exécuté par un maître d'armes, Messire Heinman, s'étant déplacé spécialement des contrées impériales.

A l'extérieur du château le bourg est en ébullition et tous les préparatifs se passent à merveille pour les joutes à venir. Mais je pense honnêtement que les gens ne sont content qu'en façade...Il font mines d'être content de par cet évènement qui leur amène un peu de clarté dans leur vie morne, mais la peste court toujours à travers le royaume, Elle détruit le bas peuple de bretonnie de l'intérieur. Enfin je ne suis pas venu vous voir pour parler de politique ou d'économie Monseigneur. Veuillez me pardonnez de vous avoir rappelez la mauvaise conditions des manants, votre grandeur doit certainement être au courant plus que moi de ces choses là, et n'a certainement pas envie d'en entendre parler plus qu'elle s'en occupe déjà...

Comme vous me l'avez demandé tantôt, je suis resté aux aguets quant-aux agissement de sir Dietrich durant ces deux dernières semaines. Malheureusement, je ne pourrais pas vous en dire beaucoup sur ces actions. Mon entraînement était intensifs, et je n'ai pu voir le marchand que très peu. En fait, je ne l'ai pas vu durant toute la durée de mon entraînement car il n'était pas dans sa demeure. J'ai essayé de me renseigner auprès du maître d'armes ou de ces serviteurs, de manières assez discrètes bien évidemment, Mais mes interlocuteurs ont toujours su esquiver mes interrogations de manières subtiles... Comme s'ils essayaient de me cacher quelque chose, ou de me dissimuler la nature des occupations de sir Dietrich. Cela m'a parut assez louche, mais je m'en remet à votre saint jugement mon Duc.

J'aurais certainement plus le loisir d'être en présence du marchand durant le tournoi. Dois-je continuer mon investigation monseigneur ?


L'entretien avec le duc fut bref, celui-ci donna à l'écuyer ses ordres et l'invita à manger à la table des seigneurs du château pour la soirée, à retrouver sa chambre pour la nuit et à partir au tournoi en sa compagnie le lendemain à l'aube...

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[MJ] Longrange

Re: [Bastogne] La dette du noble.

Message par [MJ] Longrange »

/hrp excellent post, du haut niveau ! /hrp
Aprés s'être entretenu avec Sir Dietrich, de façon fort.
Yorick se dirigea vers le bureau du Duc de Bastogne. Visiblement, le château avait quelques peu changer en préparation du tournoi. Sir Bohémond, avec une joie non dissimulé et il le salua chaleureusement.

"- Et bien Yorick, quelle nouvelle mon plus fidèle homme me rapporte ? "


S'en suivit un récit exhaustif des agissements du tempérant durant ces dernières semaines.
Récit qu'il agrémenta de son propre avis sur la situation intérieur du duché. Ce qu'il ne fut pas pour plaire au Duc. Il avait envie d'entendre autre chose que ce qu'il savait deja.

Fort heureusement Yorick ne s'y attarda pas plus que de raison, et enchaina sur ses découvertes ( ou plutôt ses non-découvertes ) sur les activités du fameux Sir Dietrich. Il avait en effet tenu Yorick à l'écart de ses activités durant son entrainement.
Sir Bohémond acquisa devant les doutes de Yorick vis à vis de ce marchand. Puis annonça.

"- Reste proche de lui. Lorsque qu'il te fera suffisamment confiance. Il sera bien plus ouvert à ton égard. Ta mission continuera donc durant le Tournoi ... "



Sur ces mots.

"- Bonne chance Yorick, j'ai foi en ta bravoure. Cela faisait bien longtemps qu'on avait pas vu un écuyer durant un tournoi de cet envergure. Le dernier en date remonte à mon arrière grand père. Il s'agissait de Sir Steffan Dit le Brave, il est désormais chevalier du graal et belle et bien en vie en train de défendre quelques lieux saints non loin de Couronne."


Yorick, chevalier du Graal ? C'était ce qu'induisait le Duc.

"- J'ai hâte de te voir à l'œuvre. Que la Dame soit avec toi. "
Lui dit il.

Puis à peine une heure plus tard Yorick se retrouva sur le champ de lice. Et à entendre la foule et le fracas des armes. Le tournoi avait deja commencer.

Les combattants venu de tout les horizons avaient deja commencer à se battre. Ils étaient 500 et venaient de la Bretonnie et bien au dela. Yorick put même apercevoir quelques chevaliers Kislevite aux allures d'ours bourru et ceux d' Estalie tout en couleurs partageant le sens du duel des Bretons.
Des échauffements en pas d'armes généralement, c'est à dire des duels à pied. Ces dites mises en forme qui étaient deja très violente.
Mais plus loin, les clameurs de la foule étaient saisissante, mais d'autres sons lui parvinrent.
A l'oreille l'ecuyer devina les claquements caractéristiques d'un fléau d'armes.

L'ecuyer se dégagea un oeil parmi la foule qui encourageaient les combattants, et reconnu au moins l'un des deux combattants.

Sir Bertrand du Guesclin, un chevalier de renom. Aussi appeler l'écraseur d'orc avait engager le combat avec Sir Stevan de Montlac, lui même beaucoup moins connu.

La joute avait bien avancé. Ils avaient tout deux brisés leurs lances et avaient dégainer leurs armes d'appoints. Sir Bertrand provoqua Stevan à une joute sans bouclier.

Celui ci honorable. Le lâcha à son tour.
Le large écu tomba au sol. Et les chevaliers s'élancèrent. La foule était en flammes. Même les nobles des gradins semblaient s'être intéresse à ce nouveau duel. Même les dames de la cour semblaient captivées.

Première passe. La hache de main rencontra la chaine du fleau et Sir Bertrand faillit renversé son adversaire. Il se rattrapa au dernier moment.
Incapable de s'arrêter sur une défaite ou de déclarer forfait, l'homme de Montlac repartit à l'assaut, les chevaux allèrent à une vitesse fabuleuse. Il avait préparer une violente frappe destiné à renverser Bertrant une bonne fois pour toute. De son coté, le fleau prit de la vitesse, et tourna de plus en plus rapidement. Sans son bouclier en défense Sir Stevan fut frapper le premier. Percuter sur le casque par 3 bons kilos lancé à pleine vitesse contre lui.


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La foule applaudit le geste. Elle continua à l'applaudir quand le chevalier mordit la poussière la tête la première, avec certainement le cou brisé.
Les tournois n'étaient pas forcement mortel. Mais l'honneur n'a de limite que ceux qui la pratiquent.
Et l'honneur avait réclamer un autre du aujourd'hui.

"- Sir Yorick ? "
Fit une voix derriere.
Il s'agissait d'un des domestique de Sir Dietrich.
"- Suivez moi je vous prit. Il faut vous armer. " Et Yorick n'ayant pas d'écuyer. Ce jeune homme trés respectueux ( à peine plus jeune que lui en fin de compte ) lui servit.

Il enfila son armure pièce par pièce. La gambeson en coton en premier, puis la cotte de mailles et enfin les plaques.

Un arsenal fort protecteur, mais qui limitait en partie ses mouvements. Le heaume fut la cerise sur le gâteau. Il ne pouvait pas voir à moins de deux mètres devant lui, bien qu'il vit sans mal plus loin.

Rare était les chevaliers joutaient sans casque. Mais il s'agissait pour la majorité de chevaliers n'ayant pas l'argent pour s'en acheter un, ou de chevaliers qui faisaient démonstration d'une grande arrogance ( ou dans grand courage )

Enfin, dans sa tente, son "écuyer" dont il apprit le nom par la suite.
"- Je me nomme Estban Sir. Il est à présent temps de choisir vos armes, comme vous n'avez pas indiquer de préférence à mon maitre. Il a prit soin de vous présenter un choix exhaustif. "


Le choix était saisissant. Une épée, une hache à une main, une épée bâtarde des boucliers de 2 tailles differentes. Ainsi que une bonne lance de joute ainsi que sa petite sœur. La demi-lance.
Tous portait un signe, ou un tissu indiquant armoiries de Dietrich bien entendu.


" Une fois que vous serez prêt, vous pourrez présenter vos armoiries et votre allégeance à la foule aux dehors, le destrier est deja prêt. . "
/hrp. tu peut te servir en arme.

Info :
La lance de joute à une meilleur allonge que la Demi lance, mais est plus difficile.

Le bouclier en acier protège moins bien que l'écu complet, mais ce dernier est plus lourd.

L'épée bâtarde est utilisable à une main ,mais sera plus lente qu'une épée classique, elle compte comme une arme lourde à deux mains.

La hache est efficace contre les boucliers, mais moins rapide qu'une épée.

Choisit les attentivement. Tu peut bien entendu te battre avec ton épée familial c'est toi qui voit. tu peut prendre une lance, une lame d'appoint et un bouclier.
Indique moi si tu te bat avec casque ou non, et si tu souhaite garder les plaques qui te protege. ( Tu a en sur tout le corps, torse, bras , jambe, mais tu peut les retirer si tu le souhaite. Ca deviendra de la maille classique )

Moins tu a d'armure plus tu gagne en vitesse.

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